Opération Crescendo : Quand la guerre civile menace et que les moutons se réveillent !

Il est temps que les moutons dociles que nous avons été jusqu’à présent se réveillent et se rebellent. Il est temps que les moutons tondables à souhait que nous avons été jusqu’à aujourd’hui se transforment en brebis galeuses face à ce néolibéralisme assassin !

Le peuple pour le peuple !

Voici une vidéo que l’on doit à « Cafard le » ce jeune Suisse qui fait tout ce qu’il peut afin de nous mettre en alerte. Chapeau bas mon ami.

L’opération Crescendo, ce mouvement populiste qui se met en place par le peuple et pour le peuple serait-il la graine des futures révoltes populaires ? Au train où vont les choses, après la mise en évidence de faits de corruption aux plus hauts niveaux, après les emplois fictifs, après les révélations sur les campagnes truquées et manipulées que reste-t-il au peuple à quoi s’accrocher ?

Le désespoir est mobilisateur et lorsqu’un peuple n’a plus rien à perdre et qu’il se dresse comme un seul homme pour luter contre son oppresseur, rien ne peut l’empêcher d’aller dans le sens de sa victoire.

Le système capitaliste est à bout de souffle, en faillite et nous assistons-là à son agonie, à son chant du cygne. Ce n’est qu’une question de temps mais attention car son instinct de survie est tenace.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / Cafard le

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Manifestation du samedi 25 février au parvis des droit de l’homme au Trocadéro a Paris.

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Économie : La Banque nationale suisse ne souhaite pas supprimer l’argent liquide !

De par le monde, on a beaucoup écrit et débattu sur le numéraire au cours des dernières années et des mois passés. Pour certains de ses détracteurs, il y a lieu de le supprimer, pour d’autres, les possibilités de paiement sans numéraire le rendront de toute façon obsolète au fil du temps. On constate cependant que « les rumeurs concernant la mort du numéraire sont très exagérées », pour broder sur une citation de Mark Twain.

Preuve en est la demande robuste émanant du public. Ces dernières années, de nombreux pays ont enregistré une progression du numéraire en circulation par rapport au produit intérieur brut (PIB). Ce phénomène est lié à la crise financière mondiale qui a engendré par moments une incertitude accrue concernant la stabilité des banques. Il s’explique aussi par le fait que l’argent placé sur un compte courant génère peu d’intérêts, et que le coût d’opportunité pour la détention de numéraire est donc faible.
En même temps, différentes enquêtes et la simple observation des faits montrent que le numéraire reste un moyen de paiement toujours largement répandu. Cela peut surprendre au vu du nombre d’options disponibles permettant de payer sans espèces. Ainsi, le public privilégie le numéraire pour des raisons personnelles, par exemple parce qu’il permet un « contrôle budgétaire » plus efficace ou qu’il requiert moins d’aptitudes techniques. Ces préférences peuvent certes changer. Mais le numéraire présente des caractéristiques dont les moyens de paiement sans numéraire ne sont pas dotés dans la même mesure. Il est par exemple plus fiable, car il peut aussi être utilisé indépendamment des infrastructures techniques. En outre, il assure une protection complète de la sphère financière privée. Seule la disponibilité de numéraire garantit que la décision de fournir des informations financières à tel ou tel destinataire appartient bel et bien au propriétaire des données.

Abstraction faite de ces considérations relatives à la demande, la Banque nationale suisse (BNS), en tant qu’institut d’émission, n’a pas l’intention de remettre en question la pérennité du numéraire. Assurer l’approvisionnement en numéraire, de même que faciliter et assurer le bon fonctionnement de systèmes de paiement sans numéraire sont deux tâches qui lui sont assignées à valeur égale par la loi. En les assumant l’une et l’autre, la BNS permet aux usagers d’opter pour le moyen de paiement qu’ils préfèrent dans tel cas concret.

Le libre choix n’est toutefois garanti dans les faits que si les deux moyens de paiement − avec ou sans numéraire − jouissent de la confiance du public. La confiance dans le numéraire requiert une politique monétaire axée sur la stabilité et en mesure de garantir que les billets et monnaies conservent leur valeur sur le long terme. Elle présuppose aussi la mise en circulation de billets de banque de haute qualité et difficiles à contrefaire. La nouvelle série de billets de banque suisses fournit à ce titre un excellent exemple. Répondant en effet à des exigences élevées en termes de technologie, de sécurité et de graphisme, elle est ainsi également un symbole de la qualité et de la stabilité de notre monnaie, mais aussi une « carte de visite » pour la Suisse.

 

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Colonies africaines, l’esclavage mental

Les Européens sont longtemps restés aux frontières de l’Afrique, sur les côtes océanes, ne s’aventurant pas à l’intérieur des terres, mis à part quelques aventuriers audacieux. Ce n’est qu’à partir de la fin du XIX° siècle qu’ils s’engagent dans la conquête territoriale du continent. Si en 1880, à peine un dixième du continent noir était sous contrôle européen, vingt ans plus tard, seuls l’Ethiopie, le Maroc (conquis en 1912) et le petit Libéria y échappaient. Entre temps, les puissances occidentales se sont entendues lors de la conférence de Berlin (1884-1884) sur la répartition du gâteau. Des facteurs liés aux avancées techniques et au contexte économique de l’époque expliquent cette nouvelle étape des relations Europe-Afrique au tournant des années 1880.

Techniquement, les maladies tropicales ne représentent plus un obstacle insurmontable pour les Européens: l’usage de la quinine permet de résister au paludisme, et d’autres médicaments et vaccins rendent désormais possible leur séjour prolongé à l’intérieur des terres africaines. Des innovations en matière d’armement, notamment avec le développement d’armes légères, mobiles et semi-automatisés (canons à répétition) donnent un avantage militaire décisif aux forces européennes, particulièrement dans les batailles à découvert. Enfin, l’invention du télégraphe permet de mieux connecter les postes avancées de leurs bases arrière sur les côtes océaniques ou en métropole. Concrètement, les troupes européennes resteront peu nombreuses durant cette phase de conquête, les états-majors occidentaux s’appuyant principalement sur des auxiliaires autochtones, issus d’ethnies anciennement marginalisées ou souhaitant tout simplement bénéficier des retombées de pouvoir de la nouvelle puissance du moment, au détriment des anciennes.

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Politique : François Asselineau, un personnage haut en couleur et qui monte, qui monte, qui monte…

François Asselineau cet homme politique atypique, haut en couleurs et qui monte irrésistiblement était au salon de l’agriculture ou il s’exprimait  sur le sort des paysans et le devenir de la paysannerie en France. Le constat est désastreux, ce sont de plus en plus de suicides et si on laisse faire, d’ici 10 ans on se retrouvera avec des fermes aux mille vaches et un terroir français complètement anéanti.

Il parle également du frexit par le fameux article 50 de la constitution européenne ce que vont d’ailleurs faire les anglais dans quelques semaines.

Il déplore notamment le peut de temps d’audience que lui accordent les grands médias et insiste sur le fait que plus de la moitié des français ne savent plus pour qui voter car que ce soit de gauche ou de droite, tous les programmes sont des copiés collés à quelques nuances près.

François Asselineau président de l’UPR (Parti Populaire Républicain) est le seul à proposer une sortie concrète non seulement de l’Europe mais aussi de l’OT.A.N.

N’étant pas français, je ne pourrai  donc pas m’exprimer dans les urnes au mois de mai, mais je suis cet homme depuis plus de 3 ans et je confirme que toutes ces analyses qu’elles soient politique, géopolitiques, économiques etc… ce sont avérées exactes.

François Asselineau organise des meetings à petits budgets contrairement aux grands partis qui n’hésitent pas à faire le show en manipulant même l’ambiance, payant des figurants pour donner une impression de liesse et d’engouement général comme cela a été le cas il n’y a pas longtemps lors d’un meeting de Macron.

Je ne dis pas que l’U.P.R soit le seul parti crédible, il y en a d’autres comme par exemple celui de Jacques Cheminade qui propose purement et simplement de se passer de la finance ou encore celui de Jean Lassale qui se tourne vers la France profonde tout en restant ouvert au progrès.

Il faut absolument que les français comprennent que des alternatives existent et que le clivage entre la gauche et la droite qui au final ne servent que les mêmes intérêts doit une fois pour toutes disparaitre pour laisser place à un réel débat citoyen.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Histoire : Quand la France plongeait les Algériens dans des fosses d’acide et quand le 17 octobre 1961 on jetais des algériens vivants dans la seine

Quand l’histoire nous rattrape :

Je vous présente dans ce billet deux faits historiques impliquant la France lors de massacres à l’encontre du peuple algérien.

Le premier se situe avant la guerre d’Algérie ou des civils étaient littéralement brûlés vifs dans des bains d’acide et le second, en mai 1961 qui suite à une manifestation pacifique des algériens réunissant à Paris des familles entières sans armes que Maurice Papon, préfet de police de Paris décida de réprimander par la force en torturant à mort, en ligotant certains manifestants des pieds à la tête puis les jetant dans la Seine les abandonnant à leur triste sort; ces faits ne sont révélés dans aucun manuel d’histoire et pourtant ils existent. Ils font partie de la sombre histoire de France.

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Mise à jour, le 27 février 2017 à 10:25

Certains commentaires m’accusent d’attiser la haine ou encore de faire le jeu de Macron alors qu’il n’en est rien.

Il s’agit juste pour moi de remettre l’église au milieu du village. Toutes les cultures ont leur zone d’ombre, ce n’est pas pour autant qu’il faille les occulter. Je pense que c’est dans la compréhension, la connaissance et l’auto critique que l’humanité pourra avancer et non en restant dans l’ignorance et le déni.

GS

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Les atrocités du 17 octobre 1961 :

Ce fut un massacre dont certaines antennes médiatiques indépendantes nous laissent quelques brides aujourd’hui mais que les médias Mainstream actuels se font un devoir d’enterrer à tout jamais.

Les lignes qui suivent vous relatent les faits de ces deux incidents. Ce qu’il faut garder en mémoire suite à leur lecture, c’est la manipulation médiatique dont nous sommes tous victimes, qui nous empêche de nous regarder dans les yeux et de nous remettre en question.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

La France qui se prévaut d’être un pays démocratique et qui n’hésite pas à dénoncer les exactions commises dans les autres pays, oublie qu’en temps de guerre elle a utilisé les mêmes procédés décriés à grands cris aujourd’hui.
Les français ont pratiqué la torture qu’ils ont utilisée comme une arme de guerre pour faire parler les plus récalcitrants.

Bien avant la guerre d’Algérie, la torture est institutionnalisée et largement exploitée par les forces coloniales françaises contre des centaines de milliers d’Algériens.

En bon gestionnaire de la crise, le gouvernement français a assuré ses arrières en votant le 31 juillet 1968 une loi d’amnistie qui va couvrir l’ensemble des infractions commises en Algérie. Celle-ci prévoit notamment que «  Sont amnistiées de plein droit toutes infractions commises en relation avec les événements d’Algérie  ».
Cette loi s’oppose aux principes mêmes du droit international qui ne concède pas la possibilité de soustraire les auteurs de violations des droits de l’homme à la justice. Et pourtant le régime français empêchera toute victime de le poursuivre après la guerre.

En 1961, un article paru dans le journal Vérité-Liberté donne un aperçu d’un des lieux mythiques des renseignements français qui a servi à torturer des milliers d’Algériens, la ferme Ameziane. Un extrait de l’article donne toute l’étendue du calvaire vécu par la population, hommes, femmes et enfants.

«  À la ferme Ameziane, centre de renseignement et d’action (C.R.A.) de Constantine, elle se pratique à l’échelle quasi industrielle.(…) C’est à la ferme Ameziane que sont conduits tous les suspects pris par les unités de l’Est algérien. L’arrestation des « suspects » se fait par rafles, sur renseignements, dénonciation, pour de simples contrôles d’identité.
Un séjour s’effectue dans les conditions suivantes : à leur arrivée à la « ferme », ils sont séparés en deux groupes distincts : ceux qui doivent être interrogés immédiatement et ceux qui « attendront », à tous on fait visiter les lieux et notamment les salles de tortures « en activité » : électricité (gégène), supplice de l’eau, cellules, pendaisons, etc.
Ceux qui doivent attendre sont ensuite parqués et entassés dans les anciennes écuries aménagées ou il ne leur sera donné aucune nourriture pendant deux à huit jours, et quelquefois plus encore.

Les interrogatoires,(…) sont menés systématiquement de la manière suivante : dans un premier temps, l’Officier de renseignement pose ses questions sous la forme « traditionnelle » en les accompagnant de coups de poing et de pied : l’agent provocateur, ou l’indicateur, est souvent utilisé au préalable pour des accusations précises et… préfabriquées. Ce genre d’interrogatoire peut être renouvelé.
On passe ensuite à la torture proprement dite, à savoir : la pendaison (…), le supplice de l’eau (…), l’électricité (électrodes fixées aux oreilles et aux doigts), brûlures (cigarettes, etc.) (…) les cas de folies sont fréquents (…) les traces, cicatrices, suites et conséquences sont durables, certaines même permanentes (troubles nerveux par exemple) et donc aisément décelables.
Plusieurs suspects sont morts chez eux le lendemain de leur retour de la « ferme ».
Les interrogatoires-supplices sont souvent repris à plusieurs jours d’intervalle. Entre-temps, les suspects sont emprisonnés sans nourriture dans des cellules dont certaines ne permettent pas de s’allonger. Précisons qu’il y a parmi eux de très jeunes adolescents et des vieillards de 75, 80 ans et plus.
À l’issue des interrogatoires et de l’emprisonnement à la ferme, le « suspect » (…) sera considéré comme « disparu » (lorsqu’il est mort des suites de l’interrogatoire ou abattu).  »

Aujourd’hui la France se targue d’être un pays qui défend les droits de l’homme, des minorités et des opprimés partout dans le monde.

Et pour rappel, le massacre du 17 octobre à Paris, une tacha sombre dans l’histoire de France que l’état minimisa.
Le 17 octobre 1961 alors que la guerre d’Algérie touche à sa fin,
le FLN appelle à une manifestation pacifique dans les rues de Paris
pour dénoncer le couvre-feu raciste imposé quelques jours plus tôt aux Algériens et par extension à tous les Maghrébins (obligation d’être sans cesse isolé, et interdiction aux travailleurs algériens de sortir de 20h30 à 5h30, les cafés tenus par des musulmans doivent fermer à 19h…). Cette manifestation rassemble environ 30.000 personnes.
Début de la manifestation pacifique le 17 octobre 1961 à Paris
Le préfet de police de Paris, Maurice Papon, qui a reçu carte blanche des plus hautes autorités, dont de Gaulle, lance, avec 7.000 policiers, une répression sanglante. Il y aura 11.730 arrestations, et peut-être beaucoup plus de 200 morts, noyés ou exécutés, parmi les Algériens.

Ce crime au coeur de l’État français n’a toujours pas été reconnu officiellement alors même que les partisans de la Nostalgérie prônent la promotion de l’oeuvre positive française durant la colonisation dans les programmes scolaires !!! [1]

Le 27 octobre 1961, Claude Bourdet, alors conseiller municipal de Paris et aussi journaliste à « France-Observateur », avait interpellé le préfet de police, Maurice Papon, en plein conseil municipal de Paris sur l’exactitude des faits qui se lisaient dans la presse parisienne, à savoir le repêchage dans la Seine de 150 cadavres d’Algériens depuis le 17 octobre 1961 entre Paris et Rouen.

Sur Youtube

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Occupation palestinienne : Interview exclusive de celui qui a filmé le meurtre de Abdel al Sharif

Interview exclusive de Imad Abu Shemsya, le courageux Palestinien qui a filmé le meurtre de Abdel Fatah al Sharif par le soldat franco-israelien « Elor Azaria » condamné le 20/02/17 à 18 mois ferme.

Si un palestinien jetais des pierres, il pourrait écoper de 20 ans de prison !

L’exécution a eu lieu le 24/03/16 à 30 mètres de chez lui, la vidéo a pu faire le tour du monde et elle est la seule preuve de cet homicide volontaire.

Témoignage :

Un grand merci à  Dounia pour cette interview.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Mafia et corruption : L’industrie pharmaceutique

Quand la mafia prend le contrôle politique d’un pays et notamment celui du ministère de la santé, ce dernier ne prend plus compte des intérêts de la sécurité sanitaire de la population mais de ceux de l’industrie pharmaceutique et des grandes assurances. C’est malheureusement la triste réalité.

Il y a 30 ans, la sécurité sociale était là pour soigner purement et simplement les gens et ce quels que fussent leurs revenus. Aujourd’hui, cette même sécurité sociale est devenue une entité commerciale qui doit générer des profits coûte que coûte.

On doit cela aux traités européens qui ce sont insidieusement mis en place par de mini accords successifs décidés en toute discrétion et qui ont été signés par les pays membres.

Voilà donc une fois de plus, une Europe néolibérale qui avance comme une machine sans âme ni conscience à l’encontre des peuples.

Combien de temps cela va-t-il encore durer ?

Mise à jour de l’article le 25 février 2017 à 21:06 : Une liste de médicaments mis sous surveillance en 2013 :

Source : protégée.

Médicaments sous surveillance

2 avr. 2013 mis à jour

SANTÉ

Dans la foulée du scandale du Mediator, les autorités sanitaires ont rendu publique lundi une liste de plusieurs dizaines de médicaments placés sous « surveillance renforcée », en raison de leurs « signaux de risques » ou de leur commercialisation récente. Voici cette liste complète.

La liste de dizaine de médicaments et de douze familles de médicaments sous surveillance, publiée lundi par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), couvre un spectre très vaste. Elle comporte des médicaments utiles et d’autres contestables, parmi lesquels certains voient leur « mort annoncée« .

La liste des « 77 » recoupe une liste de 59 médicaments (dont deux retirés du marché) déjà inscrits dans un programme de surveillance appelé plan de gestion de risque. Mais la publication simultanée de douze familles de médicaments augmente considérablement le total des produits évoqués. Vaccins antigrippaux, pandémique et saisonnière, vaccins contre l’hépatite B (enquête depuis 1994 sur l’éventuelle survenue de maladies auto-immunes…) font partie de ces familles. Y figurent aussi des collyres destinés à dilater la pupille avant un examen du fond de l’oeil (risque d’intoxication, particulièrement chez le petit l’enfant), des sclérosants veineux, ou encore des « biphosphonates » prescrits notamment pour l’ostéoporose féminine et qui comportent un risque de nécrose de l’os de la mâchoire. La liste des 77 donne une idée du « ménage à faire », comme certains le réclament.

Dans les faits, il est prévu :
 – Le retrait d’un médicament anti-insomnie, le Noctran, pour cause de mélange inutile à risque.
– La disparition annoncée par la direction de l’Afssaps du vaso-dilatateur buflomédil déjà sur la sellette.
– Le suivi renforcé du Multaq, utilisé pour des troubles du rythme cardiaque, après le signalement de cas d’hépatites graves, notamment aux Etats-Unis. Ce médicament est commercialisé en France depuis fin octobre 2010.
 – La réévaluation bénéfices/risques d’Alli (orlistat), médicament vendu sans ordonnance pour maigrir, faite au niveau français, est maintenant dans les mains européennes. Ce médicament d’automédication est suivi notamment pour « mésusage important ». – Réévaluation également pour l’antidiabétique Actos qui continue à être surveillé (risques cardio-vasculaires et de cancer de la vessie).
– Examen en mars par le Comité technique des Centres d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépendance du cas du somnifère Stilnox et de ses génériques (zolpidem), objet d' »abus » et de « mésusages ».
– Surveillance de la Ritaline (méthylphénidate et autres noms de marque) donnée aux enfants hyperactifs « en raison de cas d’abus et d’usage détourné ». Cette surveillance va être complétée d’un examen en avril par le CTPV (comité technique de pharmacovigilance. Avec mise en place prochaine d’un groupe de travail ad hoc afin d’élaborer des recommandations pour le « bon usage » de la molécule de méthylphénidate.
 – Poursuite de la surveillance des médicaments contre l’acné de type Roaccutane (isotrétinoïne et génériques) en raison de risques psychiatriques et tératogènes (malformations du foetus). – La contraception d’urgence (pilule Ellaone) et des vaccins contre le cancer de l’utérus ou la méningite font partie du lot des 77. Le 77e produit ajouté à liste des 76 initialement prévus est le Colokit, utilisé pour la préparation du colon à des examens radiologique ou endoscopique qui fait l’objet d’un suivi renforcé (troubles rénaux, lésions gastriques…).

La liste par médiaments et classes de médicaments

LES MEDICAMENTS SOUS SURVEILLANCE

  • – ACTOS® (pioglitazone)
  • – ALLI® (orlistat)
  • – ARCOXIA® (étoricoxib)
  • – ARIXTRA® (fondaparinux sodique)
  • – BLEU PATENTE V
  • – BYETTA® (éxénatide)
  • – CELANCE® (pergolide)
  • – CERVARIX® (vaccin anti-HPV)
  • – CHAMPIX® (varénicline)
  • – CIMZIA® (certolizumab pegol)
  • – COLOKIT (phosphate de sodium, comprimés)
  • – CYMBALTA® (duloxétine)
  • – Dextropropoxyphène (DI-ANTALVIC®, PROPOFAN® et génériques)
  • – EFIENT® (prasugrel)
  • – ELLAONE® (ulipristal)
  • – EQUANIL®, méprobamate RICHARD
  • – EXJADE (déférasirox)
  • – Fentanyl cp ou spray nasal (EFFENTORA®, INSTANYL®, ABSTRAL®)
  • – FERRISAT® (fer dextran)
  • – FONZYLANE® & Génériques (buflomédil)
  • – GALVUS® (vildagliptine) EUCREAS® (vildagliptine + metformine)
  • – GARDASIL® (vaccin anti-HPV)
  • – GLIVEC® (Imatinib)
  • – HEXAQUINE® et médicaments contenant de la quinine
  • – INTRINSA® (testostérone)
  • – ISENTRESS® (raltégravir)
  • – Isotrétinoïne et génériques
  • – JANUMET® (sitagliptine, metformine) JANUVIA® (sitagliptine)
  • – KETUM® et génériques (kétoprofène)
  • – LANTUS® (insuline glargine)
  • – LEVOTHYROX® et génériques (levothyroxine)
  • – LIPIOCIS® (esters éthyliques d’acides gras iodés (iode 131) de l’huile d’oeillette)
  • – LYRICA® (prégabaline)
  • – MEPRONIZINE® (méprobamateacéprométazine)
  • – MEOPA (oxygène, protoxyde d’azote) (ANTASOL®, ENTONOX® , KALINOX®)
  • – METHADONE AP-HP sirop et gélules
  • – Méthylphénidate (RITALINE®, CONCERTA®, QUASYM®, AMM RITALINE®, AMM RITALINE P®, AMM CONCERTA®, AMM QUASYM®)
  • – Minocycline (MYNOCINE® et génériques)
  • – MULTAQ® (dronédarone)
  • – NEXEN® (nimésulide)
  • – Nitrofurantoine (FURANDATINE®, FURADOÏNE® MICRODOÏNE®)
  • – NOCTRAN® (acépromazine, acéprométazine, clorazépate)
  • – Saxagliptine
  • – ORENCIA® (abatacept)
  • – PARLODEL® et génériques (bromocriptine)
  • – PEDEA® (ibuprofène injectable)
  • – Pholcodine et spécialités
  • – PRADAXA® (dabigatran)
  • – PRAXINOR® (théonédraline / caféine)
  • – PREVENAR 13® (7 sérotypes)
  • – PRIMALAN® (méquitazine)
  • – PROCORALAN® (ivabradine)
  • – PROTELOS® (ranélate de strontium)
  • – PROTOPIC® (tacrolimus)
  • – REVLIMID® (Lénalidomide)
  • – RIVOTRIL® (clonazépam)
  • – ROACTERMA® (tocilizumab)
  • – ROHYPNOL® (flunitrazépam)
  • – SORIATANE® (acitrétine)
  • – STABLON® (tianeptine)
  • – STELARA® (ustekinumab)
  • – STILNOX® et génériques (zolpidem)
  • – SUBUTEX® et génériques (buprenorphine)
  • – THALIDOMIDE CELGENE®
  • – TOCTINO® (alitrétinoïne)
  • – Tramadol (spécialités en contenant)
  • – TRIVASTAL® (piribédil)
  • – TYSABRI® (natalizumab)
  • – VALDOXAN® (agomélatine)
  • – VASTAREL® (trimétazidine)
  • – VFEND® (voriconazole)
  • – VICTOZA (liraglutide)
  • – XARELTO® (rivaroxaban)
  • – XYREM® (oxybate de sodium)
  • – ZYPADHERA® (olanzapine)
  • – ZYBAN® (chlorhydrate de bupropion)
  • – ZYVOXID® (linézolide)

LES CLASSES DE MEDICAMENTS VISEES

  • – AGONISTES DOPAMINERGIQUES (piribédil, pramipexole, ropinirole, apomorphine, cabergoline, pergolide, lisuride, bromocriptine, bensérazide, entacapone)
  • – ANTI DEPRESSEURS INHIBITEURS DE LA RECAPTURE DE LA SEROTONINE (fluoxétine, fluvoxamine, sertraline)
  • – ANTI-TNF (HUMIRA®, ENBREL®, REMICADE®…)
  • – BIPHOSPHONATES (FOSAMAX® : acide alendronique
  • – FOSAVANCE® : acide alendronique
  • – LYTOS® : clodronate de sodium
  • – CLASTOBAN® : clodronate de sodium
  • – CLODRONATE DE SODIUM G GAM®: clodronate de sodium
  • – DIDRONEL®: etidronate sodique
  • – BONVIVA®: acide ibandronique
  • – BONDRONAT® : acide ibandronique
  • – DESTARA® : acide ibandronique
  • – AREDIA®: pamidronate de sodium
  • – ACTONEL®: risédronate monosodique
  • – SKELID®: tiludronate disodique
  • – ZOMETA®: acide zolédronique
  • – ACLASTA®: acide zolédronique)
  • – Collyres mydriatiques anticholinergiques
  • – Immunoglobulines IV
  • – SCLEROSANTS VEINEUX : AETOXISCLEROL® (Lauromacrogol 400), LAUROMACROGOL 400 KREUSSLER® (Lauromacrogol 400), MICROSCLEROL®, SCLEREMO® (Glycérine + alun de chrome), TROMBOVAR® (Teradécyl sulfate de sodium)
  • – Solutés de Dialyse Péritonéale BAXTER (EXTRANEAL®/ DIANEAL®/NUTRINEAL®)
  • – VACCINS ANTI-GRIPPAUX (MUTAGRIP®, VAXIGRIP®, TETAGRIP®, INFLUVAC®, IMMUGRIP®, AGRIPPAL®, GRIPGUARD®, PREVIGRIP®, FLUARIX®)
  • – VACCINS ANTI-GRIPPE A (H1N1) (CELVAPAN®, PANDEMRIX®, FOCETRIA®, PANENZA®)
  • – VACCINS ANTI-HEPATITE B (GENHEVAC®, ENGERIX B®, HBVAXPRO®, TWINRIX®, INFANRIX HEXA®, FENDRIX®)
  • – VITAMINE D, A, C et E spécialités

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Saluons le courage de la résistance palestinienne

Sur la photo, Dounia en compagnie de Salha âgé de 12 ans, fils de Imad Abu Shemsya qui a filmé l’exécution de Abdel Fatah al Sharif par le soldat franco-Israélien : Elor Azzaria

Il faut saluer ces héros de l’ombre qui au quotidien lutent contre l’occupation Juive sioniste; celles et ceux qui au péril de leurs vies, hommes, femmes et même enfants sans contre partie tentent d’informer un monde aveuglé par l’illusion de la propagande et de la publicité c’est à dire nous, sur une réalité qui n’a rien à voir avec le confort et et l’opulence de nos vies d’occidentaux inconscients, endormis et soumis à un capitalisme Kanibal.

Ce peuple palestinien qui est en première ligne de mire, qui au fil des jours, des mois et des années, qui au fil des massacres et des meurtres dont il est victime est finalement plus conscient que chacun d’entre nous sur la triste réalité de ce monde. Ce peuple volontairement sacrifié sur l’hôtel de la finance par une oligarchie démoniaque (et le terme est faible) et qui se fait l’ambassadeur de la souffrance et de l’injustice comme c’était le cas pour le peuple juif lors de la seconde guerre mondiale.

Le professeur Norman Finkelstein se fustige en disant qu’Israël utilise la souffrance du peuple juif pour perpétrer les massacres qu’il commet contre les palestiniens. Il a à ce sujet écrit un livre intitulé « L’industrie de holocauste »

A quand la reconnaissance de cela si l’on se dit humain ?

Dounia fait partie de cette résistance qui jour après jour tente de dévoiler les violences, les tortures, les barbaries, les démolitions de maisons et les vols d’enfants commis par la junte Juive sioniste.

Faisant partie du média indépendant Lies Breaker,  qui soutient inconditionnellement les opprimés et que je tiens à saluer au passage que Dounia tente d’atteindre le maximum d’entre nous.

Dounia, car c’est comme cela qu’elle veut qu’on l’appelle risque chaque jour sa vie en diffusant des « lives » pour dévoiler aux yeux du monde ce qui se passe derrière le mur de la honte.

Chapeau bas Dounia !

Voici un live tourné le vendredi 17 février 2017 célébrant le 12 ème. anniversaire de la résistance pacifique dan le village de Bil’in.

Si vous avez un Cœur, à défaut de partager cet article, likez-le ne serais-ce que pour vous dédouaner de l’indifférence grandissante.

Merci pour eux.

La Palestine, ce peuple martyre au nom d’un capitalisme Mortifère et inhumain !

Voici un documentaire que Dounia m’avait suggérer de regarder et que je tiens à partager avec vous :

« 5 caméras brisées »

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Emad, paysan, vit à Bil’in en Cisjordanie. Il y a cinq ans, au milieu du village, Israël a élevé un « mur de séparation » qui exproprie les 1700 habitants de la moitié de leurs terres pour « protéger » la colonie juive. Les villageois de Bil’in s’engagent dès lors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres. Emad filme ce conflit dès le début pendant cinq ans. Avec sa caméra, il établit la chronique intime de la vie d’un village en ébullition, dressant le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ce conflit sans fin.

(Bande annonce)

Et voici un extrait du film

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