CULTURE & CINEMA : Quand aimer va au delà des mots et de la raison / CULTURĂ ȘI CINEMA: Când să iubești depășește cuvintele și rațiunea / When to love goes beyond words and reason

  • Film en français. Sous-titré en anglais.
  • Film în franceză. Subtitrat in engleza.
  • Film in French. Subtitled in English.

CULTURE & CINEMA : Quand aimer va au delà des mots et de la raison:
« Les amitiés particulières »

Ce film m’a fait pleurer. Laissez-vous transporter dans la tendresse et la beauté d’un moment. C’est un cadeau que je vous fait.

Un film interdit aux moins de 18 ans lors de sa sortie en salles.

Didier Haudepin (Alexandre Motier) et Francis Lacombrade (Georges de Sarre) sont les deux principaux acteurs de ce splendide film réalisé par Jean Delannoy  en 1964.

Un amour secret mais concret qui devait se solder par le suicide du jeune Alexandre.

Une puissance, une tendresse mais aussi une violence que des images osées pour l’époque relatent dans une histoire d’amour qui serait banale aujourd’hui. Chapeau bas à ce réalisateur visionnaire.

Les amitiés particulières, un film tiré du célèbre roman de Roger Peyrefitte et édité par Jean Vigneau en 1943.

Magnifiques prestations, magnifiques visages, un film de toute beauté à regarder sans préjugé.

    

CULTURĂ ȘI CINEMA: Când să iubești depășește cuvintele și rațiunea:
„Prieteniile speciale”

Acest film m-a făcut să plâng. Lasă-te transportat în tandrețea și frumusețea unui moment. Este un cadou pe care ți-l fac.

Un film interzis sub 18 ani la acea vreme

Didier Haudepin (Alexandre Motier) și Francis Lacombrade (Georges de Sarre) sunt cei doi actori principali din acest splendid film regizat de Jean Delannoy în 1964.

O dragoste secretă, dar concretă, care avea să se încheie cu sinuciderea tânărului Alexandru.

O putere, o tandrețe dar și o violență pe care imaginile îndrăznețe ale vremii le relatează într-o poveste de dragoste ce ar fi obișnuită astăzi. Felicitări acestui regizor vizionar.

Special Friendship, film bazat pe celebrul roman al lui Roger Peyrefitte și regizat de Jean Vigneau în 1943.

Spectacole magnifice, chipuri magnifice, un film de o mare frumusețe de vizionat fără prejudecăți.

    

When to love goes beyond words and reason:
« The special friendships »

This movie made me cry. Let yourself be transported into the tenderness and beauty of a moment. It is a gift that i am giving you.

A film banned from under 18 when it is released in theaters.

Didier Haudepin (Alexandre Motier) and Francis Lacombrade (Georges de Sarre) are the two main actors in this splendid film directed by Jean Delannoy in 1964.

A secret but concrete love that was to end in the suicide of the young Alexander.

A power, a tenderness but also a violence that daring images for the time relate in a love story that would be commonplace today. Hats off to this visionary director.

Special Friendships, a film based on the famous novel by Roger Peyrefitte and edited by Jean Vigneau in 1943.

Magnificent performances, magnificent faces, a film of great beauty to watch without prejudice.

Mise en ligne: Stéphane Guibert

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Alimentation et Santé : Faire plier les industriels nous incombe

Dans le cadre d’une démarche personnelle « C’est à nous de faire plier les industriels » je suis à la recherche de producteurs de charcuterie sans Nitrite de sodium afin de les répertorier et de les référencer pour faciliter à celles et ceux qui cherchent une alternative aux grandes surfaces une manière de se nourrir sainement.

Vous pouvez contacter le site au moyen du lien de contact dans le menu de gauche

D’avance merci.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Alimentation : Nitrite de sodium dans la charcuterie, suite du dossier après une initiative personnelle en Suisse

Suite à une initiative personnelle invitant une chaîne de supermarchés Suisse à proposer à sa clientèle une alternative à l’additif E 250 (Le nitrite de sodium) hautement cancérogène que l’on retrouve notamment dans la charcuterie, voici le récapitulatif d’un échange de mails :

Mais avant tout et pour rappel :

Nitrite de Sodium :

Conservateur chimique qui serait exclusivement mélangé avec du chlorure de sodium et et qui se transforme dans l’estomac en Nitrosamine. Il est surtout utilisée pour les charcuteries.  Les risques encourus sont :

  • Hyperactivité
  • Asthme
  • Insomnies
  • Nausées
  • Vertiges
  • Baisse de tension
  • Cancer

Voir aussi « Additif E 249 » qui devrait être évité.

Mail envoyé le 19 décembre 2017 :

Le nitrite de sodium, additif E250, c’est ce qui donne à la charcuterie son aspect si appétissant. Seulement voilà, cet additif  est à l’origine de milliers de cancers colorectaux en Europe chaque année.

Dans le cadre d’une démarche personnelle : « C’est à nous consommateurs de faire plier les industriels », voici une lettre que j’ai fait parvenir à une grande chaîne de supermarchés en Suisse.

Bonjour ;

Je suis l’auteur d’un blog passablement visité en Suisse et de par le monde. Il y a quelques temps, j’ai publié un article sur le nitrite de sodium (Auditif E250) qui sert à donner à la charcuterie l’aspect qu’on lui connaît.

Cet additif a malheureusement des conséquences désastreuses sur la santé publique, il est à l’origine de milliers de cancers colorectaux chaque année rien qu’en Europe.

L’alternative de la viande sans additif E250 existe en le supprimant purement et simplement.

Les industriels qui ne veulent pas lâcher l’affaire se défendent en prétendant que sans cet additif il y a un risque de botulisme, il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite de sodium ça existe comme par exemple au Danemark et les gens qui consomment la viande sont en parfaite santé. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite de sodium et depuis, les autorités de la santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.

J’aurais une suggestion à vous faire :

Dans le cadre d’une campagne « Le client a le choix de ce qu’il mange » pourquoi ne pas proposer un rayon de viande sans nitrite de sodium ?

Je pense que vous seriez le précurseur des grandes surfaces en Suisse dans ce domaine tout en laissant le choix à vos clients et selon l’impact, adapter votre offre par la suite.

Je vous mets en lien l’url de l’article.

Bien à vous

Stéphane Guibert

Je tiens à remercier l’équipe du magasine « Cash investigation » qui m’a permis de me documenter sur le sujet

La réponse de la chaîne de supermarchés sera publiée ici avec tous les liens.
>>>Alimentation : Les dangers de la charcuterie au Nitrite de Sodium<<<

Réponse reçue le 29 décembre 2017 :

Monsieur,

Nous avons bien reçu votre prise de contact et nous vous en remercions.

Nous sommes naturellement très heureux que vous ayez été bien conseillé dans le magasin et que vous preniez le temps de nous écrire au sujet de cette thématique. Autant le dire tout de suite: il existe des méthodes permettant de conserver la viande sans sel nitrité et Migros propose aussi de tels produits dans son assortiment (voir à ce propos le texte ci-dessous).

Voici notre prise de position sur cette thématique en général:

L’utilisation de conservateurs – nitrates et nitrites – est un préalable incontournable au salage et, aussi, à la saumure avec la constitution de l’arôme typique de saumure des produits à base de viande. Mais ils ont aussi et surtout un effet de conservation sur les produits et sont, aujourd’hui, restés le moyen le plus efficace pour prévenir la survenance d’intoxications alimentaires dangereuses pour la santé qui sont engendrées par la toxine de la bactérie Clostridium botulinum. La pasteurisation ne permet pas d’exterminer ces bactéries qui, en tant que spores, résistent aussi aux températures très élevées. Il est permis de supposer que la suppression du traitement d’articles à base de viande à l’aide de sel de saumure nitrité ferait même augmenter le nombre des maladies dangereuses. C’est pourquoi, aujourd’hui, le nitrate et le nitrite figurent respectivement parmi les ingrédients les plus importants dans les denrées alimentaires.

L’additif E250 (nitrite de sodium) a, donc, une innocuité totale sur le plan de la santé et, conformément à l’ordonnance du DFE sur l’agriculture biologique, il est aussi autorisé dans les produits bio.
L’inconvénient du sel nitrité réside dans le fait que la digestion des salaisons produit des nitrosamines dangereuses auxquelles on reproche un effet cancérogène. Pour protéger la santé, la législation fixe en conséquence des quantités maximales de sel nitrité dans les charcuteries. De plus, les charcuteries saumurées devraient être consommées avec modération, comme le rappellent les recommandations actuelles pour une alimentation saine (voir à ce propos la pyramide alimentaire suisse sous le lien http://www.sge-ssn.ch/fr/toi-et-moi/boire-et-manger/equilibre-alimentaire/pyramide-alimentaire-suisse/).

Les sels de saumure (nitrate/nitrite) sont importants pour la couleur, le goût et la sécurité des charcuteries. Les produits fabriqués sans sels de saumure ont une couleur brune et peu de goût. De tels produits ne seraient guère acceptés par notre clientèle.

D’un point de vue technologique, il n’existe que peu d’alternatives aujourd’hui:

  • Les produits non saumurés peuvent être colorés, p. ex. avec du jus de betterave rouge. La couleur devient ainsi plus agréable, mais le goût change peu. Pour nous, ce n’est pas une option.
  • Il est possible d’utiliser des poudres de légumes naturellement riches en nitrate/nitrite et qui peuvent être déclarées, non pas comme additif (avec un numéro E), mais comme extrait d’épice ou extraits de légumes. L’effet serait le même, tout comme les quantités contenues dans le produit. Nous considérons cette possibilité technologique comme trompeuse; c’est pourquoi elle n’est pas non plus une option pour nous.
  • Le jambons de Parme (d’Italie) qui sont coûteux en raison de leur durée de maturation, ne doivent leur conservabilité qu’à du sel et à beaucoup de temps (temps de maturation > 12 mois).

Voir aussi : Les multiples dangers des additifs alimentaires

Merci A Migros pour cette réponse.

A Suivre…

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

 

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Alimentation : Nitrite de sodium dans la charcuterie, des milliers de cancers colorectaux en Europe chaque année pourraient être évités

Le nitrite de sodium, additif E250, c’est ce qui donne à la charcuterie son aspect si appétissant. Seulement voilà, cet additif  est à l’origine de milliers de cancers colorectaux en Europe chaque année.

Dans le cadre d’une démarche personnelle : « C’est à nous consommateurs de faire plier les industriels », voici une lettre que j’ai fait parvenir à une grande chaîne de supermarchés en Suisse.

Bonjour ;

Je suis l’auteur d’un blog passablement visité en Suisse et de par le monde. Il y a quelques temps, j’ai publié un article sur le nitrite de sodium (Auditif E250) qui sert à donner à la charcuterie l’aspect qu’on lui connaît.

Cet additif a malheureusement des conséquences désastreuses sur la santé publique, il est à l’origine de milliers de cancers colorectaux chaque année rien qu’en Europe.

L’alternative de la viande sans additif E250 existe en le supprimant purement et simplement.

Les industriels qui ne veulent pas lâcher l’affaire se défendent en prétendant que sans cet additif il y a un risque de botulisme, il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite de sodium ça existe comme par exemple au Danemark et les gens qui consomment la viande sont en parfaite santé. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite de sodium et depuis, les autorités de la santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.

J’aurais une suggestion à vous faire :

Dans le cadre d’une campagne « Le client a le choix de ce qu’il mange » pourquoi ne pas proposer un rayon de viande sans nitrite de sodium ?

Je pense que vous seriez le précurseur des grandes surfaces en Suisse dans ce domaine tout en laissant le choix à vos clients et selon l’impact, adapter votre offre par la suite.

Je vous mets en lien l’url de l’article.

Bien à vous

Stéphane Guibert

Je tiens à remercier l’équipe du magasine « Cash investigation » qui m’a permis de me documenter sur le sujet

La réponse de la chaîne de supermarchés sera publiée ici avec tous les liens.
>>>Alimentation : Les dangers de la charcuterie au Nitrite de Sodium<<<

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

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Alimentation : Les dangers de la charcuterie au Nitrite de Sodium

Achèteriez-vous du jambon ou toutes autres charcuteries dont la couleur est grise avec quelques reflets verts ? Non bien sur et les industriels de la charcuterie le savent très bien. C’est la raison pour laquelle notre bon jambon tout rose contient un ingrédient essentiel, le Nitrite de Sodium (Additif e250) qui donne à la viande cette couleur rose si « appétissante » pour le consommateur, vous et moi.

Le problème avec cet aditif, c’est qu’il est au cœur d’un enjeu sanitaire très important. Il est suspecté de jouer un rôle dans le développement du cancer colorectal, le troisième cancer le plus mortel. C’est un phénomène qui se déroule durant la digestion. En avalant un morceau de charcuterie, les molécules de nitrite vont réagir avec les protéines de la viande. Elles vont avoir tendance à se transformer en substances très dangereuses, les nitrosamines qui sont connues pour causer des dommages dans le gros intestin. Cela peut provoquer des ruptures de l’ADN ou faire muter les cellules en cellules pré-cancéreuses.

Si la viande ne contenait pas cet additif  le nitrite, cela correspondrait à plusieurs milliers de cancers en moins en Europe chaque année.

Cependant, les industriels on un argument de masse en faveur du nitrite, c’est son rôle contre le botulisme. Il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite ça existe comme au Danemark par exemple et les clients qui consomment la viande sont en pleine forme. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite et depuis, les autorités de santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle, alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.

A la question du PDG de Herta France, (Filiale du groupe Nestlé), est-ce que la fabrication de charcuterie sans nitrite serait possible ?

« C’est extrêmement dangereux, je ne le ferai jamais, je ne prendrai jamais cette responsabilité si je n’ai pas 100% de certitude que je n’aurai pas de cas de botulisme. »

Si l’on compare le nombre de cas de botulisme chez les consommateurs qui mangent de la viande sans nitrite et le nombre de cancers chez ceux qui consomment de la charcuterie au sel nitrité, il n’y a pas photo.

« C’est aux consommateurs qu’il incombe de faire plier les industriels car si la viande au Nitrite de Sodium existe, c’est qu’il y a une forte demande et c’est par nos gestes de tous les jours que nous arriverons à vivre dans un monde plus propre, plus respectueux de la vie et de l’environnement ; donc meilleur pour nous. »

Où se procurer des produits sans additif en France :

Terres de Roussillon :

Nos charcuteries sèches sont fabriquées dans la plus pure tradition : Saucissons sont composés de 90% de viande maigre et 10% de gras de bardière.

Tous nos produits ne contiennent NI salpêtre, NI ferments, NI sel nitrité Ni rien d’autres que nos ingrédients 100% naturels ET Bio.

Pour un goût incomparable!!!

Ils sont emballés sous vide pour une conservation optimale de la qualité du séchage! Vous les dégustez comme à la sortie du séchoir!

Possibilité de commander en ligne.

Où se procurer des produits sans additif en Suisse :

Tous les produits sont certifiés « Bio » et sans sel de nitrite. Possibilité de commander en ligne.

Beaucoup de producteurs locaux ce sont mis au « Bio » que ce soit en France, en Suisse ou en Belgique et c’est l’occasion pour nous, consommateurs de soutenir des entreprises locales tout en contribuant à la protection et au respect de notre environnement.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

Voici un petit montage de l’émission « Cash investigation » qui vous relate tout cela en images.

Et voici l’émission dans son intégralité.

Et pour rappel :

Plus le jambon est rose, plus il faut se méfier !

La couleur naturelle du jambon c’est pas le rose ! Le jambon de Paris doit être gris-blanc. Le rose est en réalité une substance dangereuse. C’est à cause du nitrite que le jambon devient rose et c’est à cause du nitrite que cet aliment devient cancérogène.

Alors pourquoi continuer à manger du rose ?

La même question se pose pour les knacks. Il est invraisemblable de donner aujourd’hui aux enfants des saucisses Knacks traitées aux nitrites.

J’ai passé 5 ans à fouiller les archives médicales et administratives, que ce soit en France, aux Etats Unis ou en Allemagne. Ce que j’ai découvert, c’est qu’en fait le nitrate et le nitrite qui sont présentés comme des ingrédients qu’on utilise pour protéger le consommateur sont en fait des ingrédients qui sont utilisés afin d’avantager les fabricants, pour accélérer la fabrication ce qui est caché au grand public. Ce que les fabricants disent, c’est que le nitrate et le nitrite ne sont pas dangereux et même que ces ingrédients nous protègent. Ceci est un mensonge ! Et c’est un mensonge d’autant plus intolérable que maintenant, toutes les instances sanitaires reconnaissent et affirment que les charcuteries nitrées sont particulièrement cancérogènes.

Les charcuteries ont été classées, fin 2015, après 30 ans d’études épidémiologiques, en catégorie 1 des substances cancérogènes. C’est le seul aliment qui fait partie de cette catégorie.

Guillaume Coudray

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