Politique : Alain Soral donne raison à François Asselineau concernant Marine Le Pen

Pour Alain Soral, le moment ou il c’est senti la plus mal à l’aise durant le meeting politique réside dans le fait qu’elle ne s’adressait non pas aux français mais aux « Beaufs«  » de ses meetings qui crient : « On est chez-nous » un moment donné, elle est la Madone des « Beaufs » et rien d’autre.

Elle est très capable de lire un discours écrit par quelqu’un d’autre, elle a un vocabulaire limité, elle cherche ses mots en fait, elle n’est pas très bonne et il y a une évidence dans tout cela c’est que Florian Philippot est meilleurs qu’elle, le numéro 2 du Front National est plus performant, plus cultivé, plus intelligent, plus fin dialectiquement que la numéro 1.

On est face à une héritière qui n’est la que parce qu’elle porte le nom de son père et qu’elle a été imposée mais qui n’a absolument pas la compétence pour porter le mouvement de l’opposition nationale qui regrouperait toute l’opposition nationale.

Elle c’est mise à dos des gens comme moi, comme Dieudonné sans compter les contradictions de démarrer une campagne sur une rupture radicale de l’Euro et l’Union européenne et de revenir en cours de route en « baragouinant » des trucs à deux entrées etc…  Ce qui donne presque raison à François Asselineau.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Loading

«On en a marre des Arabes !» : leçon de boxe de Soral sur le plateau de «Niveau Zéro» de Dieudonné

Dieudonné constate les dégâts sur Daniel Conversano, après les coups d’Alain Soral, capture d’écran Twitter

Lors du tournage d’une émission de Dieudonné, l’essayiste Alain Soral a perdu son calme et entrepris de corriger un certain Daniel Conversano, auteur de propos racistes. Au milieu, l’humoriste Dieudonné tente de protéger le décor de son plateau.

Ce devait être un débat d’idées sous la houlette de l’humoriste Dieudonné. Mais l’essayiste Alain Soral, fondateur de l’association Egalité et réconciliation, est aussi instructeur fédéral de boxe française. On s’en rend compte dans une démonstration donnée sur la personne de Daniel Conversano, «suprémaciste» plus ou moins connu pour ses positions à l’encontre des Arabes et des musulmans.

Le moment où Alain Soral vient au contact, à l’encontre de Daniel Conversano

L’objet de la querelle, le mérite supposé d’Alain Soral dans la montée du Front national (FN). Pour Daniel Conversano, le polémiste n’y serait pour rien. Pour Daniel Conversano, les bons scores du FN s’expliqueraient, plus simplement, par la présence des immigrés dans le pays. «Ce ne sont pas des Français», explique Conversano, «Comment oses-tu dire ça ?», lui rétorque Alain Soral, lequel prône une ligne de réconciliation entre les communautés dites «de souche» et «de branche» en France, donc exempte de considérations de races.

Daniel Conversano se met alors à hurler : «C’est pas ta ligne qui a amené le FN à 30 %… C’est parce que les gens en ont plein le cul des Arabes !» Et, là tout s’enchaîne, après les propos racistes : malgré l’intervention de Dieudonné, Alain Soral place quelques frappes efficaces et Daniel Conversano sortira de l’échange la bouche en sang.

Loading