Banques & Economie : Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! (Vidéo)

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Faillites bancaires, gel préventif des avoirs, Allemagne en faillite etc …

Une petite mixture qui sent à plein nez la  prochaine crise économique mondiale et cela se profile non plus à l’horizon qui est une ligne imaginaire mais au prochain carrefour.

Fabrication de fausse monnaie avec une planche à billets qui tourne à plein régime (quantitative easing), taux d’intérêts négatifs, la situation économique actuelle nous mène droit à un remake de la grande dépression de 1929.

Intervenants vidéo :

  • Olivier Delamarche : Analyste financier, président-fondateur de la société de gestion de portefeuille Platinium Gestion. Il est spécialisé en analyse macro-économique et gestion de portefeuille. >>>
  • Pierre Jovanovic : journaliste, essayiste, écrivain, éditeur et conférencier français d’origine serbe, né le 3 janvier 1960 à Belgrade (Serbie). >>>
  • Charles Gave : Essayiste, financier et entrepreneur français. >>>

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L’Euro : 20 ans après sa création, un bilan mitigé

Malgré l’engouement des médias de masse, 20 ans après sa création, la monnaie unique comporte néanmoins et ce toujours pour ces mêmes médias, quelques zones sombres.

Alors que des économistes qui sont toujours plus nombreux parlent d’une implosion de la monnaie unique et d’un retour aux monnaies nationales, les camp eurosceptiques et europhiles campent quand à eux sur leurs retranchements.

Immersion dans deux visions complètement opposées de l’avenir d’un rêve qui entre promesses électorales non tenues, pressions médiatiques et naïveté collective, s’effrite au fil des ans : l’Europe.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Charles Gave…Le krach imminent et le retour au Franc

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Politique : Selon l’économiste Charles Gave, Emmanuel Macron risque de ne pas arriver au terme de son mandat

Selon le président Emmanuel Macron, les Français sont réfractaires au changement et selon l’économiste et entrepreneur Charles Gave, Macron réforme la France à tour de bras alors qu’il se garde bien de toucher à toutes les chasses gardées de l’État. Il devrait en priorité détruire tous les privilèges indus qui existent dans l’État. Il devrait détruire les privilèges que les politiques ont de toucher cinq ou six retraites…

G.S / FINALSCAPE

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Économie : Dévaluation de la devise turque, les banques vont sauter

Très prisé sur Finalscape pour la pertinence de ces analyses, Charles Gave, économiste et financier nous donne son avis concernant les répercutions économiques après l’impressionnante dévaluation de la Livre turque.

Contrairement à Alexis Tsipras qui suite à la faillite de la Grèce a littéralement trahit son peuple, le président Erdoğan ne va probablement pas se coucher. Il y a fort à croire que le président turque va commencer par nationaliser les biens étrangers de façon à ne pas avoir à payer la dette.

Durant des années, la banque centrale américaine a maintenu des taux d’intérêts à 0% ceci afin de conserver sa place de leadership ; ce qui signifie que le fait d’emprunter des dollars ne coutait rien en intérêts. Des pays tels que l’Argentine, l’Afrique du sud, le Brésil ou la Turquie ce sont précipités sur l’aubaine.

Aujourd’hui, les taux d’intérêts sur le dollar sont passés de 0 à 3% à court terme. Toutes les dettes que ces pays ont contractés représentent aujourd’hui 3%. Le problème pour ces pays, c’est qu’ils ne possèdent pas de cash flow positif en dollars et plus personne ne va leur en prêter parce que tout le monde sait qu’il n’y aura jamais de remboursement.

Mais la question essentielle est de savoir : qui a prêté à la Turquie ?

Ce sont des banques européennes. Et si la Turquie ne rembourse pas, ce sont ces mêmes banques qui vont se retrouver devant une impasse et pas des moindres. Ces banques ont elles-mêmes emprunté des dollars aux États-Unis pour les prêter à la Turquie et si ce pays devait faire faillite, les banques en question ont de fortes chances de sauter…

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

G.S / FINALSCAPE

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Économie : La fin du cash, vous n’aurez plus aucun secret pour l’État

Quoi de plus simple, de plus pratique et de plus rassurant que de payer sans liquide.

Les moyens mis à notre disposition pour régler une addition, payer ses factures, s’offrir un cinéma etc … sont si nombreux et faciles d’accès que l’on peut se demander « pourquoi encore s’encombrer avec du cash ? »

Tous les organismes de paiement s’entendent avec les banques et leurs alliés au gouvernement pour convaincre les consommateurs de l’inutilité mais aussi et surtout de la dangerosité que le fait d’avoir du cash dans son porte monnaie nous fait encourir. Bientôt, payer en liquide sera suspect, ce qui d’ailleurs est déjà le cas aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.

Aujourd’hui, on ne consomme plus sans présenter ce fameux bout de plastique, ce sésame qui nous ouvre toutes grandes les portes des palais de la consommation tout en nous déroulant le tapis rouge. Prendre un ticket de bus et même aller se soulager dans des toilettes publiques, par un simple effleurement de notre carte bancaire, le tour est joué et selon certains services, payer avec de la monnaie est carrément impossible.

On n’arrête pas le progrès n’est-ce pas ? Mais toutes les médailles ont un revers car si la technologie sous couvert de sécurité nous simplifie la vie, de l’autre côté du miroir, en temps réel, on connait vos moindres faits et gestes.

Pour quelqu’un qui n’a rien à se reprocher, où est le problème me direz-vous ?

Le fait d’avoir du liquide ou des métaux précieux comme l’or par exemple nous préserve un espace de vie privée auquel les banques n’ont et n’auront jamais accès et c’est bien ce qui les dérange. À votre avis, pourquoi les grands manitous de la finance mettent-ils tout en œuvre pour abolir l’argent liquide ? Par un simple jeu d’écriture, une banque peut garnir votre compte et à l’inverse peut vous le vider. Notre dépendance aux banques devient telle que leur pouvoir sur nos vies sociales, sur nos vies tout court devient total et dictatorial; il faut bien s’en rendre compte.

Tout ceci n’est pas de la paranoïa mais une triste évidence. Dans la vidéo qui suit, Charles Gave, économiste, financier et entrepreneur nous l’explique et nous met en garde.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Charles Gave : Le Brexit est un coup de pied envoyé à la fourmilière pour nous ouvrir les yeux

Charles Gave : L’UE est une atteinte totale à la démocratie.

Comment peut-on parler de démocratie à partir du moment ou des gens non élus qui résident à Bruxelles passent au dessus de la justice d’un pays ?

Comment peut-on parler de démocratie quand un pays souverain dépend d’une élite non élue ?

Charles Gave nous dévoile la vérité toute nue, vérité que bien des gens semblent ne pas avoir compris et ce, pour notre plus grand malheur !

Tout comme un coup de pied infligé à une fourmilière, pour Charles Gave, le Brexit est un monumental coup de pied infligé à la constitution européenne qui lui fait perdre toute sa légitimité.

Charles Gave tout comme Olivier Delamarche ont été évincés des plateaux de télévision.

Chercheurs de vérité, à vos claviers !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Économie : Krach économique, le compte à rebours a commencé

Voltaire disait « Une monnaie basée sur la confiance envers celui qui l’émet retournera invariablement à sa valeur d’origine »

Se dirige-t-on vers un nouveau Krach économique ?

Selon certains experts en économie cela est inéluctable et pour les plus alarmistes, la crise des subprimes de 2008 aurait été une partie de plaisir en comparaison de la bulle qui va nous exploser à la figure d’ici une quinzaine de mois.

Un document vidéo (fin d’article) relatant des évènements économiques liés à la situation mondiale actuelle vous permet en quelques minutes de vous faire une idée de la taille de la bombe à retardement sur laquelle nous sommes tous assis.

Après la crise des subprimes en 2008 les choses ne ce sont pas améliorées et les promesses faites par les banquiers et les élites de l’époque à savoir : Les trois fameux « Plus jamais » ne peuvent pas être tenues :

  • Plus jamais les états n’interviendront.
  • Plus jamais les contribuables ne paieront.
  • Plus jamais une banque fragilisée mais responsable ne sera sauvée de la faillite.

Si par exemple la Deutsche bank qui se trouve être en état de quasi Banqueroute devait aujourd’hui faire faillite, que se passerait-il ?

Dans le cadre du « Too big to fail » l’état n’aurait d’autre choix que de la renflouer car une faillite de cette banque systémique entrainerait par effet de dominos un krach économique qui aurait des répercutions désastreuses à l’échelle planétaire. Il est aussi intéressant de savoir que depuis 2015, la grande banque a perdu plus de la moitié de sa valeur en bourse.

Le quantitative easing permet à la banque centrale d’acheter des actifs ou des titres (dettes) avec de l’argent qu’elle crée. Il s’agit donc d’un moyen de réinjecter de l’argent dans l’économie en espérant la refaire partir.

Quelles seront les conséquences d’une utilisation extrême de la planche à billets ?

En tant normal, pour une croissance mondiale qui varie entre 3 et 4 ℅, la masse monétaire fluctue dans les mêmes proportions.
Aujourd’hui, pour une croissance mondiale qui est proche des 0, on se retrouve avec une masse monétaire qui est proche des 18℅.

Autrement dit et avec des mots simples :

Vous vous retrouvez sans emploi, sans aucun bien personnel, la banque vous inonde de billets en basant leur valeur sur ce que vous possédez. Par conséquent, quelle est la valeur de votre argent ?

Une banque qui fait faillite peut en toute légalité se renflouer sur votre propre compte.

En France, depuis janvier 2016, une loi passée pendant l’été 2015 permet aux banques françaises menacées de faillite de se servir sur le compte de ses clients.

Et pour rester dans l’indécence, en Suisse comme c’est très probablement le cas dans bien des pays en Europe et dans le reste du monde, les assurances maladie ajustent leurs primes en fonction des pertes occasionnées par de mauvais placements  sur les marchés financiers.

Et tout récemment,

L’union européenne explore un gel préventif des comptes afin d’éviter des ruées bancaires.

Cette information est tombée hier, et elle n’est pas des plus optimistes. Selon ce que rapporte reuters, les états membres de l’union européennes envisagent des mesures qui permettraient de geler provisoirement les comptes des déposants afin d’éviter toute ruée bancaire. Voilà ce qu’a révélé reuters en ayant pris connaissance d’un document européen.

Selon cet article, ce projet étudié depuis le début de l’année, sort moins de 2 mois après qu’une telle ruée aux guichets de la banque espagnole Banco Popular, ait contribué à sa faillite.

Stéphane Guibert / Finalscape/ VK

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Économie : Un retour au Franc est inévitable

Analyse pertinente de l’économiste Charles Gave  pour qui, selon lui, un retour au Franc est inévitable.

L’Euro ne marche pas et ne pourra jamais fonctionner. L’Euro est une machine qui a été bâtie contre toutes les lois monétaires ce qui implique qu’il va falloir une fois ou l’autre retourner aux monnaies nationales et le fait que le front national l’ait dit avant les autres ne signifie pas pour autant que l’idée soit fausse.

L’Euro ne peut pas fonctionner car nous sommes confrontés à des productivités différentes entre les états et qu’il n’y a aucun mécanisme d’ajustement.

Exemple : En Italie le coup du travail est de 25 % plus élevé qu’en Allemagne et le coup du capital est plus bas en Allemagne qu’en Italie ce qui fait que tous les investissements se produisent en Allemagne et la croissance en Italie se met en berne.

A terme, l’Allemagne va faire faillite. Les Allemands qui ont suivi une politique mercantiliste depuis 10 ans en taxant la consommation et en subventionnant la production sont  devenus super compétitifs par rapport aux autres pays avec lesquels ils avaient des taux de change fixe. Ils ont développé mille milliards d’Euros d’excédent commercial vis à vis de ces pays de l’Euroland  et comme nous sommes dans une zone de payements fermée cela signifie que les allemands se sont embourbés dans mille milliards d’Euros de papier émis par les grecques, les français, les italiens etc… Ces mille milliards d’Euros valent aujourd’hui et à tout casser, 500 milliards si tout va bien. Le capital des banques allemandes est de trois cent milliards. Le rapprochement est  donc vite fait, le système financier allemand est aujourd’hui en faillite.

>>>Voir aussi l’article sur la Deutsche Bank<<<

L’Allemagne aujourd’hui est à la veille de rentrer dans une dépression.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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