Société : Enfant du latin « Infans » ou, celui « qui ne parle pas »

L’imposture des « droits sexuels » Introduction à la notion perverse de « l’enfant sexualisé »

  • La propagande de masse introduit la notion perverse de « l’enfant sexualisé », potentiellement « consentant » à avoir des rapports sexuels avec un adulte.
  • L’enfant n’est pas en maturité psychologique, biologique et émotionnelle d’avoir un rapport sexuel, il est sous l’influence et la domination d’un adulte.
  • Un enfant n’a pas de libre-arbitre, il n’est pas responsable mais vulnérable, il ne peut donc pas donner son consentement.
  • Soit l’adulte protège l’enfant, soit il en abuse. Protéger veut dire protéger son innocence. Innocence signifie, étymologiquement,  « à qui l’on ne doit pas nuire ».
  • L’adulte qui projette que l’enfant serait « consentant » ce qui par définition, le transgresse, est pervers.
  • Les droits sexuels « pour tous » (enfants compris) et l’éducation sexuelle pour les très jeunes enfants sont une transgression de leur innocence.
  • L’éducation sexuelle pour les jeunes enfants et les droits sexuels « pour tous » sont portés par de grandes organisations internationales et nationales.

Vidéo : Analyse cinglante de Ariane Bilheran 

Vidéo complète, préambule :

Courte présentation par Ariane Bilheran de son livre « L’imposture des droits sexuels.

Ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial », en vente sur amazon. Les « droits sexuels » sont une nouvelle idéologie à la mode, portée par différentes instances internationales en matière de santé, et en particulier, en matière de santé des mineurs. Dans cet essai radical, Ariane Bilheran propose, sans exhaustivité, une analyse des dérives déjà existantes en France, sous couvert de « l’éducation à la sexualité », ainsi qu’une étude littérale de nombreux passages de la « déclaration des droits sexuels » qui soutient une telle idéologie pédophile, sous couvert de lutter pour les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé. La philosophe et psychologue démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’adjuvante de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme.

Elle décrypte ici les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « nouvel ordre mondial » au travers de la transgression sexuelle des enfants et adolescents.

Lorsque les fous sont au pouvoir, ils imposent leur délire, sur la base d’une contagion délirante qu’il s’agit d’identifier pour s’en prémunir. Ils détruisent les enfants et persécutent les sains d’esprit.

Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, spécialisée dans la psychologie du pouvoir déviant (harcèlement, manipulation, tyrannie, totalitarisme et ses pathologies : paranoïa, perversion…) et du pouvoir juste (autorité, reprise de son pouvoir personnel etc…).

L’action de professionnels de santé en France

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L’OMS plébiscite l’enseignement de la masturbation aux enfants de 4 ans

Dernière mise à jour : samedi 1er. septembre 2018 – 18:00

Planning des cours en maternelle à la rentrée :

Contrairement aux idées reçues, tous les documents mentionnés lors des débats n’émanent pas du Ministère de l’Éducation Nationale. En effet, la publication du bureau régional pour l’Europe de l’Organisation Mondiale de la Santé (2010), Standards pour l’éducation sexuelle en Europe est peut-être l’une des plus explicites.

Le document est qualifié par ses auteurs de « Cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé et les spécialistes ». À partir de la page 38, un tableau spécifie l’information à donner aux enfants selon leur âge, ainsi que les compétences et attitudes à travailler.

Le document prévoit ainsi d’informer :

  • L’enfant de 0 à 4 ans sur “le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce”, “la tendresse et le contact physique comme une expression de l’amour et de l’affection”, “le droit de refuser si l’expérience ou le ressenti n’est pas plaisant”, “le droit d’explorer les identités sexuelles”.
  • L’enfant de 4 à 6 ans sur “les sensations liées à la sexualité (proximité, plaisir, excitation) comme faisant partie de la gamme des sensations humaines”, “les différences liées aux genres”.
  • L’enfant de 6 à 9 ans sur “les choix possibles en matière de parentalité, grossesse, infertilité, adoption”.

La liste se poursuit ainsi pour les enfants de 9-12 ans, 12-15 ans, 15 ans et plus.

Plus récemment en France, la « Stratégie nationale de santé sexuelle » fixant un agenda 2017-2030, a été publié sur le site du Ministère des Solidarités et de la Santé. On y apprend que le premier objectif du premier axe sera « d’éduquer les jeunes à la sexualité, à la santé sexuelle et aux relations entre les personnes ». La « vision » de l’axe I est « d’agir précocement auprès des jeunes pour permettre à chacun de prendre des décisions éclairées et responsables quant à leur santé sexuelle ».

Dans un document annexe fixant la feuille de route 2018-2020, on apprend que la première des 26 actions mises en oeuvre sera de « produire un plaidoyer interministériel pour promouvoir l’éducation à la sexualité ». « Elaborer, à l’attention des professionnels, des relais et des parents, un plaidoyer partagé au niveau interministériel en faveur de cette démarche, qui explique le contenu de l’éducation à la sexualité aux différents âges de la vie ».

Le document n’indique pas si le document de l’OMS mentionné plus haut fera référence pour la rédaction du futur plaidoyer.

Le document de l’UNESCO, Principes directeurs internationaux sur l’éducation sexuelle, voit quant à lui un grand intérêt à confier l’éducation sexuelle aux enseignants. Il stipule que « les enfants âgés de 5 à 13 ans, en particulier, passent un temps relativement long à l’école. Par conséquent, les écoles ont, concrètement, les moyens d’être en contact répété et durable avec un grand nombre de jeunes de différents milieux ».

Aujourd’hui, plusieurs textes font référence pour les enseignants français :

  • L’article L312-16 du Code de l’Éducation (2001) qui prévoit qu’«une information et une éducation à la sexualité soient dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupes d’âge homogène».
  • La circulaire « L’éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées » (2003), qui prévoit que « trois séances d’information et d’éducation à la sexualité doivent, au minimum, être organisées dans le courant de chaque année scolaire ».
  • Le site Éduscol, du Ministère de l’Éducation Nationale, qui propose d’éduquer à la sexualité selon 3 axes, biologique, social et psychoaffectif (abordant les questions d’orientation sexuelle et d’identité).
  • Le site Canopé, placé sous tutelle du ministère de l’Éducation nationale,  édite « des ressources pédagogiques répondant aux besoins de la communauté éducative ». Le site annonce que les Standards pour l’éducation sexuelle de l’OMS répondent « à la demande des adultes intervenants » qui « expriment régulièrement leur besoin de disposer d’un référentiel sur les connaissances ». Le site considère que le texte de l’OMS « propose un cahier des charges pour une éducation à la sexualité, avec un cadre et des exigences de base ».

Des ressources à disposition des professionnels et des particuliers existent également :

Face à l’ensemble de ces faits, des professionnels de l’enfance ont déjà fait entendre leurs voix et tirent la sonnette d’alarme.

Pour le collectif de psychologues et pédopsychiatres fondé par le Dr Maurice Berger, « les adultes n’ont pas à initier les enfants à la sexualité et au plaisir sexuel ».

« Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de ‘l’éducation sexuelle’ et des ‘droits sexuels’ mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de ‘prévention’ et ‘d’égalité’. »

Pour Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, docteur en psycho-pathologie, spécialiste de l’analyse de la psychologie du pouvoir et des pouvoirs déviants, le projet de la “Déclaration des Droits sexuels » “d’éduquer sexuellement les mineurs” est une grave dérive qui ouvre la porte à la perversion de la pédophilie.

“Il existe de dérives graves en France au travers de la prétention des adultes à éduquer sexuellement des mineurs sexuels. »

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Éducation sexuelle en primaire : Vives réactions

Je voulais donner suite au billet que j’ai publié hier sur ces pages concernant l’éducation sexuelle chez des enfants de 9 à 11 ans.

Pour rappel :

Parler de sperme, de masturbation d’éjaculation et autres scènes en les mimant devant des gamins de 9 à 11 ans, cela me dérange et me semble contre nature.

Entendre une enseignante dire : “Les mots que l’on a utilisé pendant la séance sont des mots qui peuvent sembler surprenants à l’école primaire, mais finalement, ce sont des mots de la langue française et qui veulent dire ce qu’ils veulent dire”.

Cela veut dire quoi ?

Que l’on banalise ce qu’il y a encore peu choquait lorsqu’un mot concernant les rapports sexuels sortait de la bouche d’un enfant.

Comme on est partis, à quand la projections de film X à la maternelle ?

Retour sur l’article

À télécharger ici : Standards pour l’éducation sexuelle en Europe

La nouvelle loi Shippa, l’éducation sexuelle en primaire tout n’est-il pas cousu de fil blanc ?

Lorsque je parlais du planning familial et des droits sexuels chez les enfants il y a un peu moins de deux ans, les insultes à mon égard étaient courantes et on me casait dans la sphère conspirationniste. Aujourd’hui, la théorie du complot à levé son voile et nous met face à la réalité.

>>>Ici, tous les témoignages et possibilité de publier le sien anonymement<<<

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Éducation sexuelle en primaire, je n’ai jamais vu ça !

Je ne suis pas un dinosaure et quand j’étais ados, il y avait dans le programme scolaire des heures d’éducation sexuelle mais en comparaison à ce que l’on voit aujourd’hui en France, c’était soft, très soft. De plus, ces cours n’étaient pas donnés avant la secondaire, (âge 13-15 ans).

Je ne sais pas ce qui se trame vraiment en France, mais je suis choqué par ce que j’ai vu.

Parler de sperme, de masturbation d’éjaculation et autres scènes en les mimant devant des gamins de 9 à 11 ans, cela me dérange et me semble contre nature.

Entendre une enseignante dire : « Les mots que l’on a utilisé pendant la séance sont des mots qui peuvent sembler surprenants à l’école primaire, mais finalement, ce sont des mots de la langue française et qui veulent dire ce qu’ils veulent dire ».

Cela veut dire quoi ?

Que l’on banalise ce qu’il y a encore peu choquait lorsqu’un mot concernant les rapports sexuels sortait de la bouche d’un enfant.

Comme on est partis, à quand la projections de film X à la maternelle ?

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

Magistral coup de Gueule de la part d’une maman qui a les yeux ouverts.

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« Éducation sexuelle » et « droits sexuels » : Nos enfants sont-ils en danger

Sexe :

  • Que dit l’école à vos enfants ?
  • Qui décide en matière d’éducation sexuelle ?

Sous l’impulsion de l’OMS, (organisation mondiale de la santé) qui recommande de commencer dès la maternelle (4-6 ans), l’éducation nationale suit…

Au collège, l’éducation sexuelle devient une matière transdisciplinaire : elle est abordée en enseignement civique et moral, en SVT en français…

L’éducation nationale va plus loin, en proposant des lectures et des brochures…

Personne n’y croyait et pourtant cela est désormais bien établi : L’ONU demande les droits sexuels et la sexualité procréative à partir de 10 ans !

Message de l’application « Arbre d’esprit »

Ils veulent sexualiser nos enfants dès leur plus jeune age et avec la loi prochain e sur les droits sexuels des enfants, libéraliser la pédophilie puisque nous ne pourront plus attaquer en justice les pédophiles comme votre enfant était d’accord …..

Nos enfants doivent apprendre à lire, écrire et compter et non apprendre à se masturber à caresser leur amis .
Si vous ne comprenez pas le projet de l’école de la république par le prisme maçonnique vous ne comprendrez rien à l’accélération des actes satanique de nos dirigeants en direction nos enfants……

Vincent peillon , Hamon , Belkacem sont franc maçons pour être ministre de l’éducation Française c’est le passage obligé.
Tous les sataniques ne sont pas franc maçons mais tous les franc maçons sont sataniques, pour les petits degrés ils ne le savent même pas ils sont les idiots utiles mais servent la Kabbale et les idées anti chrétienne de la synagogues qui a créée cette secte religieuse et anti-religieuse sauf pour celle du judaïsme.

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Pour Rappel : L’ONU demande les droits sexuels et la sexualité procréative à partir de 10 ans !

L’ONU demande les droits sexuels et la sexualité procréative à partir de 10 ans !

Déclaration téléchargeable en fin d’article

Il y a longtemps que les pédophiles prédateurs cherchent à légaliser l’acte de pédophilie sans vraiment avoir trouvé le bon créneau. Celui qui permettrait de faire voter une loi les mettant à l’abri de poursuites pénales et des peines d’emprisonnement mais, aussi, qui passerait pour être acceptable aux yeux de l’opinion publique.

Chacun sait que les plus grands pervers impunis, puisque protégés, œuvrent dans les plus grandes institutions et qu’ils ont des postes dans les plus hautes fonctions du secteur privé comme celui du public, et ce, en se permettant de nous dicter la morale que nous devons suivre tout en nous menaçant des sentences prévues si nous l’enfreignons. Des sentences qui ne les concernent pas.

Banki Moon pourrait donc être définitivement considéré comme une véritable ordure si ce projet était avalisé. Celui de « vouloir légaliser la sexualité et celle procréative à 10 ans avec les moyens contraceptifs et abortifs qui vont avec au cas ou…».

Cette marionnette onusienne, qui n’est qu’un VRP stipendié des plus grands lobbies, et qui piétine depuis son arrivée le rôle même de l’ONU, même si nous savons que cette institution use et abuse de mensonges et de sophismes, et qu’elle n’a été créée que pour être un outil international de contrôle et de propagande, offrirait, sous couvert d’acte vertueux, un visa de respectabilité et d’immunité totale à cette engeance composée de pédo-criminels et de pédo-satanistes qui viole, torture et tue les enfants.

Comme nous savons que les enfants âgés de 10 ans sont les plus prisés par ces malades, que beaucoup de snuff movies et de photos pédopornographiques sont tournés avec des enfants de cet âge, même si certains préfèrent des beaucoup plus petits et des bébés, nous comprenons pourquoi, pour le moment, ils se contentent d’abaisser la sexualité à 10 ans. Ils opèrent progressivement pour en arriver à ce qu’ils veulent ; c’est à dire que la sexualité puérile soit banalisée comme dans le Talmud de Babylone.

Question ; Que feront-ils des bébés nés de petites filles de 10, 11 ans et plus ? Bien évidemment, ils seront pris en charge dans de dits « instituts d’aide à l’enfance» ou  de dites « associations de protection de l’enfance » qui ne s’avèrent être que des réservoirs où les pédophiles viennent faire leur marché et où les satanistes, qui eux, ont besoin parfois de victimes sacrificielles pures, donc très jeunes, viennent aussi. Mais nous savons aussi que des enfants servent de cobayes pour de nombreux tests pharmaceutiques et expériences médicales.

Combien de petites filles auront décidé volontairement d’être sexuellement actives et enceintes, et combien seront aptes à élever leur enfant ? Aucune.

vk

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ippf_sexual_rights_declaration_french

>>> Voir Aussi <<<

Et :

« La Déclaration des droits sexuels » de la Fédération Internationale du Planning Familial: une abomination!

La mission de l’IPPF, International Planned Parenthood Federation (Le Planning Familial mondial) est de contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des femmes et des hommes en agissant pour la santé et les droits sexuels au niveau politique et sur le terrain auprès des populations. Il s’agit de donner aux personnes, notamment démunies et vulnérables, la possibilité et les moyens de faire des choix libres et éclairés quant à leur vie sexuelle, affective et reproductive et d’avoir accès à des services adaptés et de qualité.

Blablabla….

Le pouvoir de consultation et d’interférence dans les réglementations et lois gouvernementales de l’IPPF est considérable puisque cet organisme mondial développe des partenariats avec des organisations gouvernementales et non gouvernementales, des agences de l’ONU et des parlementaires et veille à ce que ses objectifs et priorités soient pris en compte dans les débats internationaux.

Je rappelle ici, avant d’aller plus loin, les récents scandales dans lesquels le Planning Familial américain a été reconnu et impliqué, soit la revente d’organes de fœtus avortés: http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2016/03/le-national-health-service-nhs.html

Il semble que le trafic humain, tel que défini par « La Déclaration des droits sexuels » de l’IPPF, ne sera plus illégal ou criminalisé si un enfant « consent » à s’unir à toute personne et ce, peu importe son âge et son orientation sexuelle (pédophile, transgenre…). L’obstruction des parents ne pourra plus faire obstacle à cette union puisque l’enfant aura la « capacité évolutive » de prendre seul ses décisions concernant sa vie. Les parents ne pourront pas non plus s’objecter à l’avortement ou à la prise de moyens contraceptifs puisque ce sera un droit sans restriction ni discrimination afin de respecter la « capacité évolutive de l’enfant »!

Voici la « Déclaration des droits sexuels »:
https://www.planning-familial.org/sites/internet/files/declaration-droits-sexuels-ippf.pdf

(page 15) Crime du trafic de l’être humain : il s’agit de l’acquisition d’individu(s) par des moyens illégaux tels que la force, la fraude ou la tromperie, ce dans le but de les exploiter.

(page 15) Capacité évolutive : terme se référant spécifiquement à la capacité de l’enfant à pouvoir prendre seul des décisions concernant sa vie. Il s’agit également du concept selon lequel la capacité de l’enfant à prendre des décisions évolue lors de son passage de la petite enfance à l’enfance, et de l’enfance à l’adolescence.

(page 10) Toute personne a le droit d’accéder à la santé reproductive et à d’autres technologies médicales, ou de les refuser, ce sans discrimination. Toute restriction à ce droit étant fondée sur l’âge ne doit pas transgresser les principes de non discrimination et de capacité évolutive de l’enfant.

Écoutez cette dame, Marion Sigaut, écrivaine et conférencière, qui fait une présentation détaillée et documentée de cette véritable abomination:

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