Forfaiture: 2007, après la signature du pacte de Lisbonne, les Français ce sont fait avoir comme jamais / Trădare: 2007, după semnarea Tratatului de la Lisabona, francezii au fost înșelați / Betrayal: 2007, after the signing of the Lisbon pact, the French were cheated like never before

Forfaiture:

2007, après la signature du pacte de Lisbonne, les Français ce sont fait avoir comme jamais!

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Lors de la création de l’UE, je disais que ce qui n’avait pas abouti par la force lors de la seconde guerre mondiale était en train de se concrétiser par la diplomatie et le mensonge.

Les présidents français après le général De Gaulle ne sont que des pantins manipulés par Bruxelles qui elle est une succursale des Etats Unis dont la capitale se situe en Israël et le tout, sous l’égide Sioniste.

Trădare:

2007, după semnarea Tratatului de la Lisabona, francezii au fost înșelați!

La 29 mai 2005, francezii au votat 55% împotriva Tratatului Constituției Europene.

Puși ​​în lumina reflectoarelor, susținătorii „da” au fost susținuți de o presă care susținea în mare măsură tratatul, în timp ce susținătorii „nu” au fost excluși de la televiziunile și coloanele din ziare.

În ciuda acestei campanii mediatice partizane, „nu” a câștigat, iar francezii au fost tratați ca „populiști”.

Trei ani mai târziu, ignorând votul popular, Nicolas Sarkozy a modificat Constituția și a adoptat legea care a făcut posibilă ratificarea Tratatului de la Lisabona, copie fidelă a Constituției europene respinsă în timpul referendumului. O negare a democrației care marchează o ruptură între francezi și elitele politice și media.

Când a fost creată UE, am spus că ceea ce nu a fost realizat cu forța în timpul celui de-al Doilea Război Mondial s-a realizat prin diplomație și minciună.

Președinții francezi de după generalul De Gaulle sunt doar marionete manipulate de Bruxelles, care este o ramură a Statelor Unite a cărei capitală se află în Israel și toate acestea, sub egida prietenilor noștri sionişti.

Betrayal:

2007, after the signing of the Lisbon pact, the French were cheated like never before!

On May 29, 2005, the French voted 55% against the European Constitution Treaty.

Placed in the spotlight, the “yes” supporters were supported by a press largely supportive of the treaty, while the “no” supporters were sidelined from television sets and newspaper columns.

Despite this partisan media campaign, the “no” won, and the French were treated as “populists”.

Three years later, ignoring the popular vote, Nicolas Sarkozy modified the Constitution and passed the law which made it possible to ratify the Lisbon Treaty, a true copy of the European Constitution rejected during the referendum. A denial of democracy which marks a break between the French and the political and media elites.

When the EU was created, I said that what had not been achieved by force during the Second World War was being achieved through diplomacy and lies.

The French presidents after General De Gaulle are only puppets manipulated by Brussels which is a branch of the United States whose capital is located in Israel and all under the Zionist aegis.

  • Lorsque Jacques Chirac retourne sa veste.
  • Găină Jacques Chirac își întoarce haina.
  • When Jacques Chirac turns his coat around.

Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK)

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Pour rappel France : La forfaiture de 2005

Pour rappel France : La forfaiture de 2005

Après le Brexite et un désamour des Européens de plus en plus flagrant pour cette Europe du capital, un petit rappel des faits concernant la France.

Pour commencer un Jacques Chirac résolument contre et qui retourne sa veste.

Conférence de Jacques Chirac en 1979. On nous avait dit que le fait  de voir une domination Américaine sur l’Europe était conspirationniste, que la construction européenne n’était absolument pas un moyen de de bâillonner et de ligoter la France ainsi que tous les pays membres. L’histoire nous prouve aujourd’hui le contraire.

youtube

Viennent ensuite en 2005, les résultats du référendum français concernant l’adhésion ou non à la constitution Européenne et le Non l’emporte à plus de 54% contre 45% pour le Oui.

Trahison par la la révision de la Constitution, nécessaire à la ratification du traité européen de Lisbonne.

Le 4 février 2008, les parlementaires qui se réunissent à Versailles adoptent la révision de la constitution qui leur permettra l’adoption du traité de Lisbonne.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Le Fascisme qui s’emballe !

>>>Peine de mort rétablie en Europe en cas d’insurrection<<<

Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK)

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XIT ! Démocratie, quand tu fous le camp !

Démocratie, quand tu fous le camp !

Les européistes ne reculent devant rien !

Quelques rappels :

  • 1972, le peuple Norvégien dit non à l’UE par référendum. Les élites norvégiennes on exigé un second vote et en 1994, le peuple c’est prononcé en disant une fois de plus : « NON ». Suite à ce résultat cinglant, les élites demandent un nouveau référendum.
  • 1992, le peuple Danois dit non par référendum au traité de Maastricht suite à quoi il a été obligé de revoter.
  • 2001, le peuple Irlandais a voté non par référendum au traité de Nice, traité qui lui a été imposé par la suite.
  • 2008, le peuple Irlandais a voté non par référendum au traité de Lisbonne, un second référendum lui a été imposé.
  • 2005, le peuple Français a voté non par référendum contre la constitution européenne et c’est en 2007 que Nicolas Sarkozy ratifie le mortifère traité de Lisbonne ce qui par forfaiture fit entrer le pays dans l’UE.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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L’arnaque de l’union européenne

L’arnaque de l’UE après la ratification du traité de Lisbonne par Nicolas Sarkozy en 2007

Et pour rappel :

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Crédit vidéo : La vrai démocratie >>>

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Manifestations en France : Les Gilets jaunes ne ciblent pas les bonnes personnes

Image : Ce sondage représentatif remonte à 2015. Il est clair qu’aujourd’hui le camp du « Non » a nettement progressé. (G.S)

UNION EUROPÉENNE

Une vidéo qui explique clairement d’où vient le problème en France

La vidéo est très claire et explicite. Elle explique à celles et ceux qui ne l’auraient pas encore compris que manifester contre les pantins qui sont au pouvoir ne sert strictement à rien car ils ne font qu’appliquer les directives de Bruxelles.

Ce qu’il faut aussi et surtout rappeler c’est que lors du référendum de 2005 où les français votèrent à plus de 54% contre l’adhésion du pays à l’EEE, deux ans plus tard, en 2007, Sarkozy ratifia le traité de Lisbonne ce qui par forfaiture fit intégrer  ou si vous préférer, avaler la France par l’Union européenne.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Se rebeller contre un gouvernement qui dépend d’une autorité supranationale, quelle perte de temps et d’énergie !

Les Français représentés par le mouvement des Gilets jaunes ne cessent de scander au fil de leurs actes des slogans « anti Macron » mais est-il nécessaire de rappeler que depuis la forfaiture de 2007 ou fut ratifié par Nicolas Sarkozy avec la complicité du PS. alors dirigé par François Hollande le mortifère traité de Lisbonne, le gouvernement doit se plier aux ordres de l’empire ?

Le slogan « Macron dégage » doit en faire rire plus d’un dans l’enceinte des hémicycles bruxelloises. Pendant qu’en France la police casse du manifestant se goupillent dans les couloirs obscures du parlement européen des lois liberticides et permissives qui ne profitent qu’à celles et ceux qui ont conçu ce système mortifère.

Les Français ont la mémoire courte ; alors pour rappel, quelques vidéos qui remettront les pendules à l’heure :

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Jacques Chirac qui en 1979 dénonçait une construction Européenne de l’impuissance, une Europe ouverte à toutes les crises du monde, une Europe non Européenne et dominée par des intérêts Germano-américains, une Europe du chômage importé, une Europe mollusque, sans corps et sans dessein véritable, une Europe ou les multinationales dictent leurs lois aux états et qui retourna sa chemise comme une crêpe avant le référendum de 2005.

Mise en ligne : Stéphane Guibert pour Finalscape

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François Asselineau : Un homme dit tout ce que tout le monde pense tout bas

Pour François Asselineau, Président de l’UPR, le but des euro-atlantistes est de fragmenter la France, de dissoudre l’État-nation, de diviser pour mieux régner, de nous lier pieds et poings afin de nous soumettre en esclavage au profit des oligarques et des marchés financiers.

Au fil des ans, depuis 2005 date du référendum où les français avaient refusé l’adhésion à l’espace économique européen et suite au mortifère traité de Lisbonne en 2007 où Sarcozy souttenu par le PS y avait fait entrer le pays  par la petite porte, la situation n’a cessé de se dégrader tout en faisant reculer la démocratie mettant en place une forme de dictature molle.

François Asselineau, candidat à la présidentielle de 2017 et seul parti prônant la sortie de l’Europe, de l’euro et de l’OTAN, systématiquement ostracisé par les grands médias aurait-eu-t-il raison ? Un retour en arrière est-il possible ?

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Sur VK : François Asselineau : Un homme dit tout ce que tout le monde pense tout bas.

Entretien complet sur Youtube :

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Pour rappel : 2005 quand les français disaient Non à l’Europe (Dossier)

Suite à ce vote de 2005 les européistes prétendaient que :

« On aura un dé tricotage de la protection sociale et une augmentation des délocalisations.

Le référendum de 2005 met à jour un décrochage des classes défavorisées. C’est un vote qui suscite l’expression de la peur de cette union européenne en ce qu’elle ne protège pas suffisamment sur le plan social.

Jacques Chirac qui en 1979 dénonçait :

« Une construction Européenne de l’impuissance, une Europe ouverte à toutes les crises du monde, une Europe non Européenne et dominée par des intérêts Germano-américains, une Europe du chômage importé, une Europe mollusque, sans corps et sans dessein véritable, une Europe ou les multinationales dictent leurs lois aux états »

Et qui retourna sa chemise comme une crêpe avant le référendum de 2005.

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 27). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

2017 : Le plan de Macron pour l’Europe résumé en dix points

Emmanuel Macron a dévoilé dans un discours à la Sorbonne son projet pour «refonder» l’Europe.

Les français demandent un référendum qui leur permettrait de faire comme leur voisin anglais, organiser un Frexit par le biais de l’article 50, mais demander un référendum pour quelque chose qui leur a été volé en 2008 puis 2009 !? Ne serais-ce pas l’hôpital qui se moque de la charité ?

Pour clore ce chapitre, la vidéo d’un politicien Italien qui, suite à un vote des suisses qui n’allait pas dans le sens des intérêts européens :

« L’Europe doit respecter la volonté du peuple Suisse, oui au référendum, oui à la liberté des peuples, Assez de dictature européenne ! Assez ! »

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Pour rappel : La forfaiture du 29 mai 2005

Forfaiture avant d’accorder votre voie, souvenez-vous !

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Suisse : Berne devrait payer pour les chômeurs frontaliers (Les Suisses sont-ils racistes?)

Voilà une bonne nouvelle pour les frontaliers  travaillant sur Genève et environs :

La Commission européenne veut mettre à jour les règles du chômage pour les travailleurs transfrontaliers. Ce changement de cap pourrait coûter plusieurs centaines de millions de francs à la Suisse.

Ce qu’il faut savoir c’est que le nombre de frontaliers pour le seul canton de Genève a atteint 89’000  en 2016 et dépassera les 100’000 en 2020 pour une population actuelle de 490’578 habitants ce qui représente environ 18% de la population.

Cette décision devrait donc ravir les travailleurs français exerçant une activité sur le sol helvétique et du même coup Pôle emploi en France qui verra la courbe de sans emploi s’inverser vers la baisse.

La difficulté à retrouver un emploi pour les résidents genevois toutes nationalités confondues est devenu un parcours du combattant et plus l’âge de la retraite se rapproche plus l’idée de travailler devient une utopie.

On se souviendra du tollé qu’avait soulevé le vote des suisses concernant la limitation de l’immigration de masse, c’était le 9 février 2014 initiative qui n’a d’ailleurs pas encore été mise en place.

Un employeur déclarait :

« On ne trouvera jamais les compétences nécessaires dans les volumes dont nous avons besoin sur le marché local en Suisse »

On parle ici d’un employeur dont le secteur d’activité est la vente.

Ce qui reviendrait à dire qu’en Suisse, il n’y a pas assez de main d’œuvre qualifiée pour assurer l’offre dans le secteur de la vente alors que le tôt de chômeurs à Genève est l’un des plus élevés de la Suisse avec  12’730 personnes concernées en 2016.

Une petite erreur c’est glissée dans l’extrait de ce reportage : On parle de 180’000 travailleurs français traversant au quotidien la frontière franco-suisse alors qu’à l’époque, en 2014, on recensait 80’000 frontaliers ainsi en deux ans, 2014-2016 ce sont pas moins de 9’000 emplois frontaliers qui ont été créés.

La votation du 9 février n’implique pas les frontaliers déjà en poste à Genève mais celles et ceux qui arriveraient sans contrat de travail ou sans aucune autorisation.

Entendons-nous bien, je n’ai rien contre les frontaliers qui viennent travailler sous nos latitudes et je dirais même qu’ils ont bien raison mais je m’insurge contre un système qui met à rude épreuve les citoyens et résidents qui faute de pouvoir retrouver un emploi à temps sont relégués à l’hospice générale et qui arrivés à ce stade n’ont plus les moyens de se sortir de ce système.

Votations du 9 février 2014 la forfaiture !

Pour en revenir au résultat sur les votations du 9 février 2014 il est important de savoir que le PLR et le PS se sont inclinés devant l’UE en acceptant une loi d’application qui viole grossièrement l’article constitutionnel issu de l’initiative contre l’immigration de masse.

Le gouvernement a ratifié le protocole concernant la Croatie alors que ce texte est en opposition évidente avec l’article 121.a de la constitution fédérale.

Dans l’article constitutionnel 121a (alinéa 4) approuvé le 9 février 2014 par le peuple suisse ont lit textuellement ce qui suit: « Aucun traité international contraire au présent article ne sera conclu ». De surcroît le Parlement n’a accepté le 17 juin 2016 la ratification du protocole qu’à la condition qu’il existe « une règlementation de l’immigration compatible avec le droit suisse ». Il est donc, d’une part, clair que l’extension de la libre circulation des personnes à la Croatie viole directement la Constitution fédérale puisqu’elle étend cette libre circulation au lieu de la restreindre; d’autre part, comme il est incontestable que la décision de ce jour du Parlement concernant l’application de l’initiative contre l’immigration de masse (art. 121a cst.) ne répond d’aucune manière aux exigences constitutionnelles, on ne saurait pas non plus affirmer que la condition fixée par le Parlement pour la ratification du protocole concernant la Croatie est remplie. De ce point de vue également, l’ordre juridique suisse n’est pas respecté.

Il faut donc bien admettre que le Conseil fédéral ignore une fois de plus la Constitution et la volonté du peuple par cette décision inacceptable. L’UDC rejette catégoriquement cette violation de la Constitution par le gouvernement fédéral et elle continuera de se battre de toutes ses forces pour le respect du peuple qui a exigé la limitation de l’immigration de masse.

Stéphane Guibert / Finalscape

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