Et si on s’arrêtait un moment sur les massacres au Donbass? / Și dacă ne oprim o clipă la masacrele din Donbass? / And if we stopped for a moment on the massacres in Donbass?

Et si on s’arrêtait un moment sur les massacres au Donbass?

Ce qui m’insupporte par dessus tout, c’est l’ignorance, le déni et la connerie humaine. Le Donbass ce sont près de 80’000 morts dont beaucoup d’enfant, des crimes contre l’humanité perpétrés par l’Ukraine depuis 7 ans!

Image:

  • « Si les médias avaient diffusé les images de tous les bombardements Ukrainiens sur les populations du Donbass depuis 7 ans, aujourd’hui tout le monde acclamerait Vladimir Poutine. »

Și dacă ne oprim o clipă la masacrele din Donbass?

Ceea ce mă deranjează mai presus de toate sunt ignoranța, negarea și prostiile umane. Donbasul este aproape 80.000 de morți, inclusiv mulți copii, crime împotriva umanității comise de Ucraina timp de 7 ani!

Imagine:

  • „Dacă mass-media ar fi difuzat timp de 7 ani imaginile tuturor bombardamentelor ucrainene asupra populațiilor din Donbass, astăzi toată lumea l-ar aplauda pe Vladimir Putin”.

And if we stopped for a moment on the massacres in Donbass?

What bothers me above all is ignorance, denial and human bullshit. The Donbass is nearly 80,000 dead, including many children, crimes against humanity perpetrated by Ukraine for 7 years!

Picture:

  • « If the media had broadcast the images of all the Ukrainian bombings on the populations of Donbass for 7 years, today everyone would be cheering Vladimir Putin. »

Stéphane Guibert / Rares Mihai Florescu

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Et si on remettait les pendules à l’heure ? / Dacă punem lucrurile la locul lor ? / What if we set the record straight?

Et si on remettait les pendules à l’heure ?

10 guerres et 6 millions de morts, zéro sanctions…

Dacă punem lucrurile la locul lor ?

10 războaie și 6 milioane de morți, zero sancțiuni…

What if we set the record straight ?

10 wars and 6 million deaths, zero sanctions…

Crédit vidéo: Radio Télévision Suisse

Mise en ligne: Stéphane Guibert

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Mali :13 Soldats français Tués , une analyse qui ne sera probablement jamais diffusée en occident

Mali :13 Soldats français tués, une analyse qui ne sera probablement jamais diffusée dans les médias occidentaux.

« Propagande occidentale »

Cette vidéo à de fortes chances d’être censurée assez rapidement. Téléchargée et re-postée sur le réseau social russe VK, je vous laisse la visionner et vous faire votre propre opinion.

Une nappe phréatique en dessous du Niger vient d’être découverte. Elle serait à même de suffire à la population mondiale durant deux siècles ! L’eau est un élément géostratégique majeur et les convoitises se profilent à l’horizon.

Jean-Luc Michel, géopoliticien depuis Bruxelles nous donne son point de vue sur les crises humanitaires en centre Afrique.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Histoire anniversaire : 22 avril 1889. Le jour où 50 000 colons s’installent sur les terres indiennes

Washington autorise les colons américains à s’emparer chacun de 64 hectares sur le territoire indien de l’Oklahoma.

Le 22 avril 1889 est le jour de l’une des plus grandes spoliations de terre jamais organisées légalement. Ce jour-là, 50 000 fermiers, employés, maquereaux, bandits, cordonniers, crève-la-faim, cow-boys, spéculateurs… s’abattent comme un vol de sauterelles sur le territoire indien de l’Oklahoma avec la bénédiction du gouvernement des États-Unis. Plusieurs westerns hollywoodiens évoquent cette première distribution gratuite de terres. Près de 800 000 hectares !

Quand ils s’élancent à bride abattue, ces milliers d’hommes et de femmes poussés par la pauvreté et l’espérance d’une vie meilleure.

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Un clip du comité international de la croix-rouge appel au bannissement des armes nucléaires

Bannissons les armes nucléaires avant qu’il ne soit trop tard !

Un clip du comité international de la croix-rouge appel au bannissement des armes nucléaires avec un titre inquiétant et une vidéo post-apocalyptique.

G.S / FINALSCAPE

Et pour rappel :

Terrifiant. Les images des essais nucléaires américains, effectués entre 1945 et 1962, qui viennent d’être déclassifiées, montrent les effets dévastateurs, de la bombe H. Qu’elles aient lieu dans le Pacifique, le désert du Nevada ou en altitude, ces explosions rappellent les plus impressionnantes scènes de films de science-fiction. Sauf qu’il s’agit ici de la réalité.

L’image est incroyable. Une boule de feu, gigantesque, rapide, qui enfle et file vers la surface de notre planète. En dessous, un relief, qui semble en comparaison minuscule, bientôt happé par l’explosion nucléaire initiée en altitude.

Les États-Unis ont mené plus de 200 essais nucléaires entre 1945 et 1962. Lesquels ont été filmés sous tous les angles pour les besoins de la science et de l’armée américaine. Ces images étaient jusqu’ici classées « confidentiel défense ». Elles viennent d’être déclassifiées, à l’image de la vidéo présentée ci-dessous :

Toutes témoignent de la violence, de la disproportion, de l’énormité d’une explosion nucléaire, alors même que les armes qui existaient alors étaient bien moins puissantes que celles aujourd’hui détenues par les États-Unis, la Russie, la France, la Chine, le Royaume-Uni, Israël, l’Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.

Pas moins de 6 500 films ont été localisés par le laboratoire national de Lawrence Livermore. De son côté, le physicien spécialiste des armes Greg Spriggs a restauré les pellicules, certaines ayant souffert du temps, comme l’explique le Huffington Post.

4 200 films ont été numérisés, 750 déclassifiés et un premier échantillon de ces vidéos a été publié sur YouTube.

La bombe larguée sur Hiroshima, le 6 août 1945, avait une puissance de 15 kilotonnes (soit l’équivalent de 15 000 tonnes de TNT). La plus forte bombe utilisée par les Américains, lors de l’opération « Teapot » (essais nucléaires atmosphériques au-dessus du désert du Nevada), en 1955, était de 43 kilotonnes. La plus forte bombe nucléaire aujourd’hui disponible a une puissance de 57 mégatonnes – soit 1 325 fois plus que celle de cette vidéo :

seconde guerre mondiale : Bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki les 6 et 9 août 1945

Extrait du film : « L’empire du soleil » de Steven Spielberg (1987)

Stéphane Guibert / Finalscape

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Coup de gueule personnel : La vérité nous libèrera

En Syrie comme dans le reste du monde, il est désormais inacceptable d’accréditer les images et les situations que les médias mainstream nous jettent en pâture. En faisant quelques recherches sur le web tout en se soustrayant à la manipulation des médias de masse, on aura vite fait de comprendre à quel point le mensonge qui est ancré et accepté par la plus grande partie d’entre nous fait partie de la vérité que l’on veut nous faire avaler.

La Syrie, la Palestine, le Yémen ou tous ces pays ciblées par l’appât du gain seront systématiquement les victimes inconditionnelles de coups D’État et de rébellions formatées par l’occident. Il faut être clair !

Si ce qui se passe en France aujourd’hui avec le mouvement des Gilets jaunes se produisait en Syrie, il y a fort à parier que le régime Français en place, celui de Macron, aurait appelé à la destitution du gouvernement de Bachar el-Assad en le conspuant et en le traitant de dictateur.

Alors qu’en Syrie le peuple essaye de se reconstruire, voilà qu’en Europe, des Élites (non élues), à la solde du grand capital, font tout ce qu’elles peuvent pour détruire la souveraineté et la démocratie.

L’Europe promise n’est qu’une chimère, un mensonge qui ne sert qu’à une économie néolibérale et dont les seuls bénéficiaires sont les riches qui se gavent au détriment de celles et ceux qui ne peuvent même plus se nourrir correctement.

La vidéo que je vous propose dans ce billet nous parle du Congo et du génocide qui s’y perpétue depuis des décennies.

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Histoire & Réalités : Le massacre des Amérindiens

Source de l’image

Première publication : 16 septembre 2017

L’un des plus grands génocides de l’histoire de l’humanité et pire encore celui-ci continue tranquillement.

Les amérindiens sont parqués principalement dans des zoos réserves au états-unis d’Amérique.

Le cinéma des années soixante en a fait des barbares sauvages qui agressaient les pauvres colons esseulé dans leurs forts… ce qui est assez loin de la réalité historique. Aujourd’hui leur seul droit est de conserver le silence.

Avant l’arrivée des colons, huit millions d’Amérindiens vivaient parmi soixante millions de bisons (Carl et Lewis traverseront des troupeaux s’étendant sur plus de 20 kilomètres) et deux millions de loups sur un espace de 9.364.000km carré, actuel Etats-Unis d’Amérique.. Soit six bisons par km carré, un homme par 2 km carré et un loup par 5 km carré.

Et de nos jours :

  • Quelque centaine d’amérindiens.
  • Quelques milliers de loups (traqué sans cesse).
  • Dix-mille bisons.

S’il est certain et reconnu que les maladies intégrées involontairement par les colons en Amérique causèrent la majeure partie des morts amérindiens, le regroupement, la déportation et l’exécution de tribus entières, qui ne figurent dans aucun manuel d’histoire, est responsable d’un nombre de morts ahurissants, oubliés.

Les Anglo-saxons n’ont jamais pensé que les Amérindiens pouvaient être “utilisables”. Ils les considéraient comme des adorateurs de Satan, des sauvages qui ne pouvaient pas trouver de salut au sein de la toute puissante Eglise, aussi leur extermination pure et simple, fut adoptée, petit à petit, « comme la seule politique acceptable ».

David E. Stannard écrivait “des milliers d’Indiens furent assassinés, sans relâche, escarmouche après escarmouche. Des centaines d’autres furent aussi assassinés au cours d’empoisonnements de masse, planifiés avec une habileté et une traîtrise ignoble. Un grand nombre d’amérindiens furent capturés au cours de véritables battues, à l’aide de chiens de meute et des Mastiff. »

Les bisons sont massacrés pour leurs fourrures et pour priver les amérindiens de leurs principales sources de nourriture.

Jusque dans les années 1830-1840, l’Ouest des Etats-Unis demeure le domaine des Indiens. L’honteuse déportation des tribus amérindiennes de l’Est par les troupes américaines vers le « Territoire indien » (une bande de terre au centre des USA « accordée » aux amérindiens) marque le peu d’intérêt que les colons européens portent à cette région jugée trop aride pour être cultivé.

Tout change en 1848 avec la découverte de l’or en Californie (où là aussi de nombreuses tribus vont disparaître, exterminées pour la folie de profit des colons).

Depuis les grandes villes de la côte Est des USA, des dizaines de milliers de colons vont s’élancer vers l’Ouest. S’en suivront de nombreux accrochages avec les peuples amérindiens qui habitaient les grandes plaines des Etats-Unis. Ces accrochages vont se transformer en de véritables guerres avec l’envoi des troupes américaines, envoyées par le Congrès américain pour protéger l’avancée de leurs colons.

Ces guerres vont se terminer en 1890 par un triste et célèbre massacre : Le massacre de Wounded Knee, où plus de trois cents Sioux-Lakotas désarmés vont être massacré par les mitrailleuses Hotchkiss du 7e régiment de Cavalerie. Les morts (hommes, femmes et enfants) dépouillés de leurs vêtements, sont jetés dans une fosse commune.

S’il est vrai qu’aucun des camps n’eut jamais le monopole de la terreur et des crimes, une simple comparaison des pertes subites par chacun des deux « camps » suffit à comprendre l’ampleur du désastre.
Le génocide culturel, qui s’accompagne par la disparition total des rites indiens, est lui reconnu de tous.

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Environnement : Écocide, un crime contre l’humanité et la nature qui doit être jugé et condamné

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« Ceux qui commettent ce crime détruisent les conditions vitales pour tous ».

Un écocide, c’est un crime contre l’environnement. Valérie Cabanes est juriste en droit international. Elle se bat pour que les écocides soient reconnus par la justice.

Tous les signaux sont au rouge. Notre civilisation industrielle et capitaliste détruit l’écosystème planétaire tel que nous le connaissons depuis 10’000 ans.

Depuis la première ère industrielle, nous avons fonctionné comme des prédateurs sur Terre. Nous avons puisé toutes les ressources possibles pour le bien-être de quelques-uns. Aujourd’hui, 8 personnes dans le monde détiennent un patrimoine équivalent à 3,6 milliards d’humains.

Nous entendons des alertes scientifiques toutes les semaines aux informations. Et pourtant, rien ne se passe et rien ne se passe déjà depuis les années 1970 où les premières alertes sont apparues.  Les questions qu’il faut se poser sont :

  • Comment se fait-il que ceux qui induisent, que ceux qui financent, que ceux qui décident, effectivement, de toutes les technologies qui détruisent l’atmosphère, qui détruisent la biodiversité et la biosphère, soient, aujourd’hui, dans une totale impunité et puissent continuer à faire ce qu’ils font ?
  • Comment se fait-il qu’un Donald Trump puisse sortir de l’accord de Paris sans être inquiété par une justice internationale, parce qu’il menace l’intérêt général ?
  • Comment se fait-il que les multinationales ne sont pas, aujourd’hui, en situation d’être reconnues responsables quand elles violent les droits de l’homme  et le droit de l’environnement ?

Alors il nous faut aussi reconnaitre en droit national, en droit européen, en droit international, le crime d’écocide, parce que ceux qui commettent ce crime, détruisent les conditions vitales pour tous !

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Congo : La guerre dans notre pays n’est tellement pas relayée par les médias internationaux et encore moins dans nos médias locaux que l’on finirait par croire que c’est une vue de l’esprit ou une fiction.

Les pays du bassin du Congo doivent apprendre à panser les plaies d’un confit ayant fait plus de 3 millions de morts.

Le bassin du Congo est le centre d’un conflit méconnu et pourtant l’un des plus meurtriers de la planète depuis des décennies. Près de huit pays (Zimbabwe, République démocratique du Congo, Angola, Namibie, Tchad, Rwanda, Ouganda et Burundi) s’y sont affrontés entre 1998 et 2003. Ce qui en a fait la plus grande guerre entre Etats dans l’histoire de l’Afrique et lui a valu le surnom de « guerre mondiale africaine ». On aurait dénombré plus de 3 millions de victimes, essentiellement des civils massacrés ou morts de faim et de maladies.

Ce conflit a été déclenché notamment par les séquelles du génocide rwandais de 1995 et la lutte pour le contrôle des richesses minières de la région du Kivu en RDC. Cette dernière abrite des gisements de cobalt et surtout de coltan (80 % des réserves mondiales), un minerai dont est extrait le tantale, composant clef des téléphones portables, ordinateurs portables, consoles et caméras. Le coltan se vend actuellement à 35 dollars le kilo, mais le tantale à 400 dollars…

La méfiance persiste

Le conflit a opposé une trentaine de groupes rebelles alliés ou rivaux suivant les appartenances ethniques, les circonstances et les intérêts, soutenus par l’une ou l’autre des deux coalitions étatiques s’affrontant; l’Angola, la Namibie et le Zimbabwe se sont engagés militairement, quoique de manière épisodique, derrière l’armée congolaise appuyée par des milices rwandaises. En face, le Rwanda, qui avait porté au pouvoir le président congolais Laurent Kabila avant que ce dernier ne se retourne contre lui en raison de ses prétentions, était appuyé par l’Ouganda et le Burundi. Si la guerre est finie depuis un accord, sous parrainage de l’ONU, fin 2002 qui a abouti à un gouvernement de transition en RDC, les ex-belligérants doivent apprendre à tourner la page. Ce qui n’est pas aisé, comme l’a illustré une flambée de violences en 2007. La méfiance persiste toutefois entre le Rwanda, aux ambitions politiques et militaires inversement proportionnelles à sa taille (12 millions d’habitants), et le Congo, géant de la région (87 millions d’habitants) aux pieds d’argile.

C’est pourquoi le Fonds bleu, premier accord de coopération entre les douze pays de la région, pour la plupart parties prenantes du conflit, « constitue une étape encourageante », souligne sir David Richmond, ancien diplomate britannique et directeur de la Fondation Brazzaville. Cette dernière promeut des projets de développement qui s’apparentent parfois à de la diplomatie informelle pour faire baisser les tensions locales. Si la valorisation en commun (hydroélectricité, irrigation, drainage) du fleuve peut effectivement constituer un antidote aux tensions, les pays du bassin font toutefois assez peu de commerce entre eux, étant peu complémentaires.

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Géopolitique : L’OTAN et les stratégies de la mort

Les guerres sont vendues aux opinions par le mensonge, la propagande, et les contre-vérités. Elles sèment la désolation, beaucoup trop d’hommes, de femmes, d’enfants en meurent. C’est ce que montre ce montage vidéo qui mêle courts extraits d’une conférence de l’historien Daniele Ganser et images d’archives. On le doit à la chaîne YouTube « Phoenix Division » de pacifistes allemands. Les Allemands ont un puissant mouvement pacifique, en France qu’en est-il ?

La vidéo a le mérite d’être courte, et par-là, percutante. Il ne faut cependant pas se priver d’approfondir ses recherches, et ses sources, car elles sont fondées.

L’historien suisse est en effet un expert en matière de guerre secrète et de stratégie de la tension ( qui constituent la politique de l’OTAN ). Il a fondé et dirige un institut de recherche : SIPER à Bâle. Sa thèse de doctorat sur les armées secrètes de l’OTAN, son premier livre aussi, avait été saluée par la presse (le « Spiegel » et avait fait l’objet d’un documentaire d’Emanuel Amara et diffusé sur France 5 en 2011. Dans cette conférence près de Ramstein en Allemagne (base US d’où sont pilotés les drones en mission au Moyen-Orient), Daniele Ganser impressionne non seulement par son expertise scientifique, mais aussi par sa capacité à bousculer ses auditeurs, pour les amener à changer de perspective.

Qu’infligeons-nous aux autres peuples du fait de notre politique internationale, et pourquoi nous est-il si difficile de voir dans ceux que nous bombardons, nos semblables, des êtres humains avant tout ? Les thèmes de la guerre et la paix sont en lien avec les ressources naturelles comme le pétrole et le gaz. Nous vivons en effet une époque dominée par les guerres pour les ressources. Notre civilisation est droguée au pétrole. Lourdement accro et prête à marcher pour cela sur les cadavres.

La sortie de la spirale de la violence passe aussi par la révolution énergétique. Son dernier livre, bestseller en Allemagne : « Les guerres illégales de l’OTAN » aux Éditions Demi-Lune.

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