Lorsqu’il ne reste plus que la haine pour exister / Când a mai rămas doar ură să existe / When there’s only hate left to exist

  • Vidéo: « Les aventures de Rabi jacob » avec Louis de Funès.
  • Videoclip: „Aventurile lui Rabi Jacob” cu Louis de Funès.
  • Video: « The Adventures of Rabi Jacob » with Louis de Funès.

Lorsqu’il ne reste plus que la haine pour exister

Une pensée toute particulière à mes amis Musulmans ainsi qu’une larme de tendresse et de compassion au peuple palestinien dont le cœur saigne depuis trop longtemps.

Ce n’est pas le peuple Israélien qui est visé dans cet article, Dieu sait combien d’amis je compte parmi eux. J’ai même vécu dans la communauté Juive à Brooklyn (USA) pendant 6 mois. Ce sont les Sionistes à qui l’on doit sur cette terre, la plus grande part de misérè, d’injustices et de crimes contre l’humanité.

Je dédie cet article à tous les peuples opprimés que ce soit en Palestine, en Syrie, au Yémen et ailleurs. L’encre de mon cœur servira leur cause jusqu’à la dernière goute.

Când a mai rămas doar ură să existe

Un gând foarte special pentru prietenii mei musulmani, precum și o lacrimă de tandrețe și compasiune față de poporul palestinian ale cărui inimi au sângerat de prea mult timp.

Nu poporul israelian este vizat în acest articol, Dumnezeu știe câți prieteni am printre ei. Am locuit chiar și în comunitatea evreiască din Brooklyn (SUA) timp de 6 luni. Sioniştilor le datorăm cea mai mare parte din mizeria, nedreptăţile şi crimele împotriva umanităţii de pe acest pământ.

Dedic acest articol tuturor oamenilor oprimați, fie că este vorba în Palestina, Siria, Yemen și în alte părți. Cerneala inimii mele le va servi cauza până la ultima picătură.

When there’s only hate left to exist

A very special thought to my Muslim friends as well as a tear of tenderness and compassion to the Palestinian people whose hearts have been bleeding for too long.

It is not the Israeli people that is targeted in this article, God knows how many friends I have among them. I even lived in the Jewish community in Brooklyn (USA) for 6 months. It is the Zionists to whom we owe most of the misery, injustices and crimes against humanity on this earth.

I dedicate this article to all oppressed people, be it in Palestine, Syria, Yemen and elsewhere. The ink of my heart will serve their cause to the last drop.

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Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK)


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Terrorisme et sionisme: Israel – Palestine / Terorism și sionism: Israel – Palestina / Terrorism and Zionism: Israel – Palestine

Terrorisme et sionisme:

Israel – Palestine

(Reminder)

Plaidoyer fort et émouvant de l’ancien député belge et fondateur de Debout Les Belges contre le sionisme. Laurent LOUIS dénonce les crimes de l’Etat terroriste d’Israël et du sionisme.

Il dénonce les attentats sous faux drapeaux de ces dernières années et ridiculise au passage l’Ambassadeur d’Israël en Belgique. Pour Laurent LOUIS, il n’y a pas de terrorisme musulman, le seul terrorisme qu’il constate, c’est le terrorisme sioniste !

Dans ce plaidoyer fort et émouvant Laurent LOUIS dénonce les attentats sous faux drapeaux de ces vingt dernières années et ridiculise au passage l’Ambassadeur d’Israël en Belgique, Jacques Révah, venu récemment défendre sa patrie dans le JT de la RTBF suite à la polémique de la destruction par l’armée israélienne d’un réseau de transport d’électricité mis sur pied dans un village de Cisjordanie grâce à l’aide financière de la Coopération technique belge (CTB).

“Tout est fait pour donner aux israéliens la posture de pauvre petite victime”, a-t-il déclaré.

Les terroristes sont sionistes, c’est le seul terrorisme !

Laurent LOUIS revient également sur la décapitation du journaliste James Foley, mise en scène ou pas le député ne se prononce pas par contre il affirme qu’il s’agit là d’un complot mis en place par le sionisme international. “Le terrorisme c’est d’abord faire peur”, “il n’y a pas de terrorisme musulman, le seul terrorisme, c’est le terrorisme sioniste”, a-t-il souligné.

Les terroristes sont sionistes !

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Terorism și sionism:

Israel – Palestina

(Reminder)

Pledoarie puternică și emoționantă a fostului parlamentar belgian și fondator al Debout Les Belges împotriva sionismului. Laurent LOUIS denunță crimele statului terorist Israel și sionismul.

El denunță atacurile cu steag fals din ultimii ani și îl ridiculizează pe ambasadorul Israelului în Belgia. Pentru Laurent LOUIS, nu există terorism musulman, singurul terorism pe care îl vede este terorismul sionist!

În această pledoarie puternică și emoționantă, Laurent LOUIS denunță atacurile cu steag fals din ultimii douăzeci de ani și îl ridiculizează pe ambasadorul Israelului în Belgia, Jacques Révah, care a venit recent să-și apere patria în știrile RTBF în urma controversei distrugerii de către armata israeliană. a unei rețele de transport de energie electrică înființată într-un sat din Cisiordania cu asistența financiară a Cooperării Tehnice Belgiene (BTC).

„Totul este făcut pentru a le oferi israelienilor postura unei sărace victime”, a spus el.

Teroriştii sunt sionişti, este singurul terorism!

Laurent LOUIS revine și la decapitarea jurnalistului James Foley, înscenată sau nu, deputatul nu comentează, însă susține că este un complot pus la cale de sionismul internațional. „Terorismul este primul care sperie”, „nu există terorism musulman, singurul terorism este terorismul sionist”, a subliniat el.

Teroriştii sunt sionişti!

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Terrorism and Zionism:

Israel – Palestine

(Reminder)

Strong and moving plea by the former Belgian MP and founder of Debout Les Belges against Zionism. Laurent LOUIS denounces the crimes of the terrorist State of Israel and Zionism.

He denounces the false flag attacks of recent years and ridicules the Israeli Ambassador to Belgium. For Laurent LOUIS, there is no Muslim terrorism, the only terrorism he sees is Zionist terrorism!

In this strong and moving plea Laurent LOUIS denounces the false flag attacks of the past twenty years and ridicules the Israeli Ambassador to Belgium, Jacques Révah, who recently came to defend his homeland in the RTBF news following the controversy of the destruction by the Israeli army of an electricity transmission network set up in a village in the West Bank with the financial assistance of the Belgian Technical Cooperation (BTC).

« Everything is done to give the Israelis the posture of a poor little victim, » he said.

The terrorists are Zionists, it is the only terrorism!

Laurent LOUIS also returns to the beheading of journalist James Foley, whether staged or not, the deputy does not comment, however he affirms that this is a plot set up by international Zionism. « Terrorism is first to scare », « there is no Muslim terrorism, the only terrorism is Zionist terrorism », he stressed.

Terrorists are Zionists!

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Les terribles expérimentations du jeune Etat israélien / Teribilele experimente ale tânărului stat israelian / The terrible experiences of the young Israeli state

L’«énigme des enfants disparus», qui taraude la société israélienne depuis plus de soixante ans, commence seulement à livrer ses secrets. Ils sont encore plus effrayants que ce que l’on imaginait. D’abord, les archives confirment que des milliers d’enfants yéménites ont bien été enlevés. Mais elles démontrent aussi que certains disparus ont succombé durant des expériences médicales pour lesquelles ils ont servi de cobaye humain.

Echanges de lettres entre hôpitaux rendus publics

Au cours d’une séance spéciale de la Commission ad hoc de la Knesset, le parlement israélien, organisée le 14 juin dernier ont ainsi été dévoilées des lettres échangées au début des années 1950 par plusieurs directeurs de grands hôpitaux du jeune Etat d’Israël. Ceux-ci se félicitaient confidentiellement de «disposer d’un matériel si abondant à Rosh Hayin», le petit village où étaient alors parqués de nombreux Yéménites.

«J’ai retrouvé le témoignage d’une infirmière racontant comment des médecins avaient tenté de savoir pourquoi le cœur des Yéménites est aussi résistant», raconte le député Amir Ohana, (Likoud). «Je n’imaginais pas que des choses pareilles aient pu se passer dans ce pays, j’en suis retourné.»

D’autres documents datant de 1949 et de 1950 prouvent que les hommes en blanc ont cherché à savoir si les Yéménites avaient «du sang nègre». Ils confirment par ailleurs qu’au moins quatre enfants ayant reçu «un traitement expérimental actif» de nature indéterminée en sont morts. Les parents n’ont pas été prévenus et les corps ont été enterrés à la sauvette dans un lieu que plus personne ne peut situer soixante ans plus tard.

Les Yéménites croyaient réaliser un rêve biblique

Peu après la création de l’Etat hébreu en 1948, des centaines de milliers de Juifs originaires des pays arabes et du bassin méditerranéen se sont installés en «Terre promise». Leur intégration n’a pas été facile car la plupart d’entre eux étaient considérés avec mépris par l’establishment «ashkénaze», ces Juifs d’Europe qui constituaient l’ossature du nouvel Etat juif.

Parqués dans des camps de tentes ou dans des «maabarot», des villages de cabanes rudimentaires, les nouveaux émigrants orientaux ont beaucoup souffert. Mais les plus mal traités étaient sans conteste les 48 000 Yéménites emmenés en Israël entre 1948 et 1949 dans le cadre de l’opération «Tapis volant», un pont aérien secret lancé avec le soutien des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne.

Profondément religieux, pétris de traditions ancestrales et souvent analphabètes, les «Teymanim» («Yéménites», en hébreu) croyaient réaliser un rêve biblique et s’installer au «Gan Eden» (le paradis). En réalité, beaucoup y ont découvert l’enfer. Surtout les parents des trois à cinq mille enfants enlevés par des infirmières à des fins de «vaccination» avant d’être déclarés «morts» ou «disparus».

«C’était forcément vrai»

Selon leurs proches qui se battent depuis plus de soixante ans pour obtenir une réponse, la plupart ces bambins auraient été vendus à des familles occidentales désireuses d’adopter. «Les médecins ont prétendu que mon petit frère Yohanan (9 mois) n’avait pas supporté un vaccin pour le déclarer mort mais nous n’avons jamais su où il avait été enterré», raconte Yossi Gamliel, fils de parents yéménites. «Mon père et ma mère étaient des gens simples, à leurs yeux, lorsqu’un médecin en tablier blanc leur affirmait quelque chose, c’était forcément vrai. Ils ont accusé le choc et considéré la disparition de ce fils comme un coup du destin.»

A l’instar de Yossi Gamliel, nombre de descendants de familles traumatisées par l’étrange disparition de leurs proches maintiennent la pression sur les autorités afin d’obtenir la vérité. Et ce n’est pas facile. Certes, depuis les années 1960, trois commissions d’enquête ont été créées pour élucider le mystère mais en réalité, elles ont tout mis en œuvre pour empêcher la vérité d’éclater au grand jour. Il a donc fallu attendre l’été 2016 pour que, poussé par les médias et par les familles dont certains membres avaient entre-temps été élus à la Knesset, le gouvernement de Benyamin Netanyahou autorise la publication de 200 000 documents confidentiels.

«Vider l’abcès quoiqu’il en coûte»

«Nous devons vider l’abcès quoiqu’il en coûte», proclame Ygal Yossef, descendant d’une famille marquée par la disparition d’un proche. Après enquête, ce dernier a d’ailleurs fourni aux députés des copies de certificats de décès en blanc et signés anticipativement. Ce qui signifie d’après lui que l’enlèvement des enfants était programmé et la mort de certains d’entre eux, anticipée.

«Bien sûr, la situation d’Israël au début des années 1950 n’était évidemment pas celle que nous connaissons aujourd’hui. C’était le foutoir», lâche notre interlocuteur. «Mais quand même, cela n’excuse rien! Nos parents étaient des gens faibles ne comprenant pas bien l’hébreu et ne connaissant pas leurs droits. Ils ont été abusés par un establishment médical qui considérait leurs enfants comme des sujets d’expérience. En leur nom et en celui des disparus, je ne réclame pas la vengeance. Seulement la justice.»

Yemeniții credeau că își împlinesc un vis biblic

La scurt timp după crearea statului evreiesc în 1948, în „Țara Făgăduinței” s-au stabilit sute de mii de evrei din țările arabe și din bazinul Mediteranei. Integrarea lor nu a fost ușoară, deoarece cei mai mulți dintre ei au fost priviți cu dispreț de către instituția „Ashkenazi”, acei evrei europeni care au format coloana vertebrală a noului stat evreiesc.

Parcați în tabere de corturi sau în „maabarot”, sate de colibe rudimentare, noii emigranți orientali au suferit mult. Dar cei mai prost tratați au fost, probabil, cei 48.000 de yemeniți duși în Israel între 1948 și 1949 în cadrul Operațiunii „Magic Carpet”, un pont aerian secret lansat cu sprijinul Statelor Unite și al Marii Britanii.

Adânc religioși, pătrunși în tradiții ancestrale și adesea analfabeți, „Teymanim” (“yemeniții”, în ebraică) credeau că își împlinesc un vis biblic și se stabilesc în „Gan Eden” (paradis). În realitate, mulți au descoperit iadul acolo. Mai ales părinții celor trei până la cinci mii de copii răpiți de asistente în scopul „vaccinării” înainte de a fi declarați „morți” sau „dispăruți”.

„Trebuia să fie adevărat”

Potrivit rudelor lor, care se luptă de mai bine de șaizeci de ani pentru un răspuns, cei mai mulți dintre acești copii mici au fost vânduți familiilor occidentale în căutarea adopției. „Medicii au spus că fratele meu mai mic Yohanan (9 luni) a murit după ce i s-a injectat un vaccin și l-au declarat mort, dar nu am aflat niciodată unde a fost îngropat”, a spus Yossi Gamliel, fiul părinților yemeniți. „Tatăl meu și mama erau oameni simpli, în ochii lor, când un doctor în halat alb le spunea ceva, trebuia să fie adevărat. Aceștia dau vina pe șocul și consideră dispariția acestui fiu ca pe o întorsătură a sorții.

La fel ca Yossi Gamliel, mulți descendenți ai familiilor traumatizate de dispariția ciudată a celor dragi mențin presiuni asupra autorităților pentru a obține adevărul. Și nu este ușor. Desigur, încă din anii 1960 au fost create trei comisii de anchetă pentru a elucida misterul, dar, în realitate, au făcut tot posibilul pentru a împiedica adevărul să iasă la lumină. Prin urmare, abia în vara anului 2016, împins de mass-media și de familii, ai căror membri între timp au fost aleși în Knesset, guvernul lui Binyamin Netanyahu a autorizat publicarea a 200.000 de documente confidențiale.

„Golește abcesul indiferent de ce”

„Trebuie să golim abcesul, orice costă”, proclamă Ygal Yossef, descendentul unei familii marcate de dispariția unei persoane dragi. În urma cercetărilor, acesta din urmă a pus la dispoziție și deputaților copii ale certificatelor de deces în alb semnate în prealabil. Aceasta înseamnă, potrivit acestuia, că răpirea copiilor a fost planificată și moartea unora dintre ei, anticipată.

„Desigur, situația din Israel la începutul anilor 1950 nu era în mod evident ceea ce știm astăzi. A fost o mizerie”, spune interlocutorul nostru. „Dar, totuși, asta nu scuză nimic! Părinții noștri erau oameni slabi care nu înțelegeau bine ebraica și nu le cunoșteau drepturile. Ei au fost abuzați de o instituție medicală care își privea copiii drept subiecți de testare. În numele lor și în cel al celor dispăruți, nu pretind răzbunare. Doar dreptate.”

The terrible experiences of the young Israeli state

When history reveals the corpses to us
hidden in his cupboards

Serge Dumont, Tel-Aviv
First publication, Sunday, July 16, 2017 at 9:46 p.m.
Edited Monday, July 17, 2017 at 7:18 AM
Reposted Wednesday 1st. February 2023 at 10:40 am

The « riddle of missing children, » which has plagued Israeli society for more than sixty years, is only beginning to reveal its secrets. They are even scarier than you imagined. First, records confirm that thousands of Yemeni children were indeed abducted. But they also show that some of the disappeared died during medical experiments for which they served as human guinea pigs.

Exchanges of letters between hospitals are made public

During a special session of the Ad Hoc Committee of the Knesset, the Israeli parliament, organized on June 14, letters exchanged in the early 1950s by several directors of major hospitals in the young State of Israel were thus revealed. They confidentially congratulated themselves on “having such abundant equipment in Rosh Hayin”, the small village where many Yemenis were then parked.

“I found the testimony of a nurse telling how doctors had tried to find out why the hearts of Yemenis were so resistant,” said MK Amir Ohana (Likud). « I never imagined that such things could have happened in this country, I am devastated »

Other documents from 1949 and 1950 prove that the men in white sought to find out if the Yemenis had « negro blood ». They also confirm that at least four children who received “active experimental treatment” of an undetermined nature have died. The parents were not notified and the bodies were buried on the sly in a place that no one can locate sixty years later.

Yemenis believed they were fulfilling a biblical dream

Shortly after the creation of the Jewish state in 1948, hundreds of thousands of Jews from Arab countries and the Mediterranean basin settled in the « Promised Land ». Their integration was not easy because most of them were looked down upon by the “Ashkenazi” establishment, those European Jews who formed the backbone of the new Jewish state.

Parked in tent camps or in “maabarot”, villages of rudimentary huts, the new oriental emigrants suffered a lot. But the worst treated were arguably the 48,000 Yemenis taken to Israel between 1948 and 1949 as part of Operation « Magic Carpet », a secret airlift launched with the support of the United States and Great Britain.

Deeply religious, steeped in ancestral traditions and often illiterate, the “Teymanim” (“Yemenites”, in Hebrew) believed they were fulfilling a biblical dream and settling in “Gan Eden” (paradise). In reality, many have discovered hell there. Especially the parents of the three to five thousand children abducted by nurses for “vaccination” purposes before being declared “dead” or “missing”.

“It had to be true”

According to their relatives, who have been fighting for more than sixty years to obtain an answer, most of these toddlers have been sold to Western families wishing to adopt. “The doctors claimed that my little brother Yohanan (9 months) had not tolerated a vaccine to declare him dead but we never knew where he was buried”, says Yossi Gamliel, son of Yemeni parents. “My father and my mother were simple people, in their eyes, when a doctor in a white apron told them something, it was necessarily true. They accused the shock and considered the disappearance of this son as a blow of fate.

Like Yossi Gamliel, many descendants of families traumatized by the strange disappearance of their loved ones maintain pressure on the authorities in order to obtain the truth. And it’s not easy. Admittedly, since the 1960s, three commissions of inquiry have been created to elucidate the mystery, but in reality, they have done everything possible to prevent the truth from coming to light. It was therefore not until the summer of 2016 that, pushed by the media and by the families, some of whose members had in the meantime been elected to the Knesset, the government of Binyamin Netanyahu authorized the publication of 200,000 confidential documents.

“Empty the abscess no matter what”

“We have to empty the abscess whatever it costs,” proclaims Ygal Yossef, descendant of a family marked by the disappearance of a loved one. After investigation, the latter also provided the deputies with copies of blank death certificates signed in advance. This means, according to him, that the abduction of the children was planned and the death of some of them, anticipated.

“Of course, the situation in Israel in the early 1950s was obviously not what we know today. It was a mess, ”says our interlocutor. « But still, that doesn’t excuse anything! » Our parents were weak people who didn’t understand Hebrew well and didn’t know their rights. They were abused by a medical establishment that viewed their children as test subjects. In their name and in that of the disappeared, I do not claim revenge, I want truth and justice.

  • Traduit du français au roumain et du français à l’anglais: Stéphane Guibert.
  • Tradus din franceză în română și din franceză în engleză: Stéphane Guibert.
  • Translated from French to Romanian and from French to English: Stéphane Guibert.

Stéphane Guibert / Rares Mihai Florescu

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Science & vie: Norman Finkelstein, l’industrie de l’holocauste / Știință și viață: Norman Finkelstein, industria holocaustului / Science & life: Norman Finkelstein, the holocaust industry

  • Vidéo en anglais, sous-titrée en français.
  • Videoclip în engleză, subtitrat în franceză.
  • Video in English, subtitled in French.

Science & vie: Norman Finkelstein, l’industrie de l’holocauste

Norman Finkelstein, né le 8 décembre 1953 à Brooklyn, anti sioniste, est un politologue américain. il a été successivement enseignant au Brooklyn college, au Hunter college, à l’université de New  York puis à l’université DePaul jusqu’en septembre 2007.

Dans son ouvrage « L’industrie de l’Holocauste », il accuse les industries juives américaines et l’administration Clinton d’avoir exploité les souffrances des victimes de l’Holocauste pour extorquer des fonds, à la Suisse notamment mais aussi et surtout la propagande faite par Israël pour justifier le massacre des Palestiniens.

Le voici lors de l’une de ses conférences.

Știință și viață: Norman Finkelstein, industria holocaustului

Norman Finkelstein, născut la 8 decembrie 1953 în Brooklyn, antisionist, este un politolog american. a fost succesiv profesor la Brooklyn College, Hunter College, New York University și apoi la Universitatea DePaul până în septembrie 2007.

În cartea sa „The Holocaust Industry”, el acuză industriile evreiești americane și administrația Clinton că au exploatat suferința victimelor Holocaustului pentru a stoarce fonduri, în special din Elveția dar şi şi mai presus de toate propaganda făcută de Israel pentru a justifica masacrul palestinienilor.

Iată-l la una dintre prelegerile sale.

Science & life: Norman Finkelstein, the holocaust industry

Norman Finkelstein, born December 8, 1953 in Brooklyn, anti-Zionist, is an American political scientist. he was successively a teacher at Brooklyn College, Hunter College, New York University and then DePaul University until September 2007.

In his book « The Holocaust Industry », he accuses American Jewish industries and the Clinton administration of having exploited the suffering of Holocaust victims to extort funds, notably from Switzerland but also and above all the propaganda made by Israel to justify the massacre of the Palestinians.

Here he is at one of his lectures.

Crédit vidéo Radio Télévision Suisse

Stéphane Guibert / Rares Mihai Florescu

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« L’UNRWA est un rappel perpétuel de ce point douloureux du passé d’Israël, un passé que les millions de réfugiés palestiniens incarnent aujourd’hui. »

« L’UNRWA est un rappel perpétuel de ce point douloureux du passé d’Israël, un passé que les millions de réfugiés palestiniens incarnent aujourd’hui. »

Temps Présent

Temps Présent (RTS) rétablit les faits sur Pierre Krähenbühl. Le commissaire général de l’UNRWA, l’Office des réfugiés palestiniens au Proche-Orient, a été ciblé par une campagne infâmante et injustement calomnié afin d’être contraint de démissionner, dans le but manifeste de miner cette organisation. Révélé aussi, le rôle plus que douteux joué par le conseiller fédéral Ignazio Cassis, qui s’est tu, même après avoir lu le rapport qui blanchit Krähenbühl.

Merci à Myret Zaki pour le partage >>>

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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No comment : Une image, un espoir, Palestine !

Et si une pour fois les Palestiniens étaient considérés comme des êtres humains ?

Peuple meurtri et abandonné par la communauté internationale, je pense à vous et je vous aime !

Juif ne signifie pas Sioniste. Respect aux juifs dont j’ai dans mon entourage de nombreux amis. Merci pour cette vidéo qui démontre bien le partage en dénonçant l’immoralité.

Amis Juifs et Palestiniens, donnez-vous la main. Il est encore temps !

Paix et Amour sur vos deux peuples.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Cessez-le-feu entre le Hamas et Israël, des manifestations en protestation contre l’accord d’un cessez-le-feu avec le Hamas.

Le mouvement islamiste Hamas et les groupes armés palestiniens ont annoncé hier soir un cessez-le-feu avec Israël conclu indirectement sur intercession égyptienne. Cet appel intervient après la plus sévère confrontation entre les deux camps depuis la guerre de 2014.

«Les efforts de l’Egypte ont permis d’aboutir à un cessez-le-feu entre la résistance et l’ennemi sioniste, et la résistance le respectera aussi longtemps que l’ennemi sioniste le respectera», ont communiqué les groupes.

Aucune confirmation n’a été obtenue de la part d’Israël, qui se garde généralement de corroborer directement des accords de trêve avec ses ennemis palestiniens. Seul le ministre de la Défense, Avigdor Lieberman, a publié un communiqué pour démentir avoir soutenu un arrêt des opérations israéliennes.

Vidéo :

« Avec dix bombes on finit Gaza »
« On a pas besoin de [faire] rentrer des soldats et les faire tuer »

Propos tenus lors des manifestations en protestation contre l’accord d’un cessez-le-feu avec le Hamas.

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Histoire : Le mur des lamentations serait le reste d’un vestige romain

Coup de tonnerre en Israël

Le mur des lamentations vestige le plus sacré des israélites serait en réalité … un théâtre construit par les Romains .

Énorme déception pour le peuple hébreu venant du monde entier pour prier devant le monument construit selon la tradition par Hérode le Grand l’un des personnages les plus importants de l’histoire de l’époque du Second Temple.

Aujourd’hui ce sont les vestiges d’un bâtiment public romain qui ont été dégrafés dans la vieille ville de Jérusalem. Joe Uziel, qui a mené ces fouilles pour l’Autorité des antiquités d’Israël, a déclaré qu’il s’attendait à trouver une rue à la place de ce bâtiment qui s’apparente à un théâtre romain.

«Mais, au fur et à mesure que nous creusions, nous nous sommes rendu compte que nous n’arrivions pas à trouver la rue. À la place, nous avons découvert un bâtiment circulaire (…) Nous avons compris en fait que nous mettions au jour une structure de type théâtre», a-t-il raconté.

On ignore en revanche si le bâtiment était utilisé pour des réunions de l’administration romaine ou comme un lieu de spectacles. Les archéologues estiment cependant qu’avec sa taille relativement petite et en raison de son emplacement, il s’agirait d’une structure connue de l’époque romaine sous le nom d’odéon.

Site web >>>

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