La France en Marche : Selon Jacques Myard (Député LR), le peuple n’a pas à avoir accès aux informations concernant les dépenses des députés

Dans le cadre de « La France en Marche à reculons », le député LR Jacques Myard déclare à une journaliste que le peuple n’a pas à avoir accès aux dépenses des députés.

>>> Conseillé : Pilleurs d’Etat <<<

Dans la vidéo qui suit, un des passages qui m’a fait bondir :

« A Rambouillet, un élu a été condamné à 20 millions d’Euros parce qu’il avait détourné, mal géré etc … il a été condamné à 20 mille Euros d’amande avec sursis et comme la mairie c’était son petit pote, ils ne se sont pas porté partie civile et les 20 millions d’Euros ont été payés par les habitants et en plus, c’est là que les habitants ont été deux fois cocus, comme il y a la protection fonctionnelle, les habitants ont payé l’avocat et en plus ils ont remboursé les dettes.  »

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500 000 chômeurs de plus en cinq ans… Et alors ? Ça empêche d’être candidat ?

500 000 chômeurs de plus en cinq ans…
Et alors ? Ça empêche d’être candidat ?

Avec cette seule réponse de Valls à Bourdin, tout le mépris d’une certaine classe politique pour le peuple. Quoi 500 000 chômeurs ? C’est pas un problème ça, je m’en tape, ce n’est pas ça qui va m’empêcher d’être candidat quand même…

Game over !

Même au sein de la prairie, on commence à avoir pitié de lui tellement il s’enfonce chaque jour un peu plus…

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Pour Rappel et remise en ligne après le crash volontaire du site : Le CSA tacle Bourdin sur l’affaire Roland Dumas

  • Par Caroline Sallé
  • Mis à jour
  • Publié

VIDÉO – L’ancien ministre des affaires étrangères avait déclenché le 16 février dernier une vive polémique en déclarant que Manuel Valls était sous «influence juive». BFMTV et RMC écopent d’une mise en demeure du CSA.

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel a décidé de taper fort. Le régulateur vient de prononcer une mise en demeure à l’égard de BFMTV et RMC qui diffusent simultanément l’émission «Bourdin direct». Mi-février, au micro de Jean-Jacques Bourdin, l’ancien ministre des affaires étrangères avait suscité une très vive polémique en suggérant que Manuel Valls, le premier ministre, était sous «influence juive».

vk

Le gendarme de l’audiovisuel estime que «dans le cadre de l’interview d’un ancien ministre et ancien président du Conseil constitutionnel venu assurer la promotion de son dernier livre, le journaliste qui animait l’émission, à la suite d’un échange de propos relatif aux prises de position et à l’entourage familial de M. Manuel Valls, a posé à son interlocuteur, à propos du premier ministre, la question suivante: «Il est sous influence juive?». Le Conseil a considéré que la réponse d’une telle question tendait à provoquer, dans le contexte de cet échange, et la formulation même de cette question, relative au premier ministre, étaient de nature à banaliser et à propager des comportements discriminatoires contraires aux principes dont la garantie lui est confiée» .

Le CSA a tenu à rappeler également fermement BFMTV et RMC, deux chaînes du groupe d’Alain Weill NextRadio TV, à ses obligations: «L’éditeur veille dans son programme: (…) à ne pas encourager des comportements discriminatoires en raison de la race, du sexe, de la religion ou de la nationalité ; à promouvoir les valeurs d’intégration et de solidarité qui sont celles de la République».

Cette sanction résonne en tout cas comme un avertissement très clair à l’adresse de Jean-Jacques Bourdin, dont les méthodes de travail sont parfois décriées. A l’époque des faits, le journaliste avait d’ailleurs répondu aux critiques soulevées par l’interview de Roland Dumas. Il avait écrit sur son compte Twitter: «J’aime mon métier: faire dire à mes interlocuteurs ce qu’ils pensent vraiment. Recherche de la vérité contre toutes les langues de bois.» L’argument n’a pas convaincu le CSA.

Dans un communiqué, BFMTV et RMC ont dit «regretter» la décision du CSA. Le groupe d’Alain Weill a souhaité également alerter sur «les risques que ces sanctions font peser sur la liberté d’informer en France. En effet, elles pourraient conduire, demain, les seuls médias régulés par le CSA, et leurs journalistes, à systématiquement s’autocensurer dans leur mission d’information, notamment lorsqu’ils exercent leur «droit de suite» pour obtenir d’un invité une clarification de ses propos».

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