Kadhafi accusant l’occident de crime contre l’humanité, un excellent moment de vérité

Libyan leader Muammar Gaddafi salutes the press on his arrival on the second day of the EU-Africa summit in Lisbon December 9, 2007. REUTERS/Hugo Correia (PORTUGAL)

« Ce monde occidental qui vous trompe et vous vante sa civilisation est un monde sauvage, primitif et décadent. C’est lui qui a causé des catastrophes à l’humanité, c’est lui qui a déclenché la première et la seconde guerre mondiale, les croisades, les guerres puniques et il va encore mener de nouvelles guerres pour détruire l’humanité.

Qui a donc tué des millions de personnes dans les guerres passées ? C’est bien ce monde qui prétend être civilisé. C’est un monde sauvage. Ce monde n’est pas gouverné par les peuples mais dominé par des groupes de racketteurs, de profiteurs, de racistes et de haineux. Les peuples européens ne veulent pas faire la guerre ni aux Palestiniens ni aux Libyens. Le peuple français ne veut pas faire la guerre ni aux Algériens ni aux Tunisiens, mais les réseaux qui contrôlent ces peuples en permanence à travers la théorie gouvernementale : La théorie de la tyrannie et de l’exploitation. Ces réseaux fielleux mènent une guerre haineuse contre vous. Ils n’hésiteront pas de vous détruire s’ils vous trouvent faibles ou vulnérables. Ils n’ont ni foi ni loi. »

Un excellent moment de vérité.

G.S

Le reste dans la vidéo

Reconnaissez-vous avoir tué ou fait tuer Khadafi ?

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Migrants : Lettre ouverte de Mouammar Kadhafi

Mouammar Kadhafi, dans une lettre ouverte qu’il a publiée dans le quotidien russe Zavtra en mai 2011 :

« Arrêtez, peuple de l’OTAN !

Vous bombardez un mur, qui barre le chemin de la migration africaine vers l’Europe et le chemin aux terroristes d’Al-Quaïda. Ce mur, c’était la Libye. Imbéciles que vous êtes, vous le détruisez et vous brûlerez en enfer pour les milliers de migrants d’Afrique et pour avoir soutenu Al-Quaïda. C’est ainsi que ce sera, et je ne mens jamais. Et je ne mens pas maintenant non plus. »

Testament politique de Mouammar Kadhafi :

  • Paru comme un poème dans un journal libyen le 8 avril 2011.
  • Traduit en anglais par le professeur Sam Hamod, docteur d’état.

Mémoire de ma vie :

Colonel Mouammar Kadhafi, chef de la révolution, 5 avril 2011.

(Vidéo)

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Quand la France abattait un avion italien pensant qu’il transportait Kadhafi

Cette affaire démontre à quel point les Occidentaux voyous sont stupides, tellement arrogants qu’ils pensent qu’un tel crime ne sera jamais découvert. Il est vrai qu’ils prendront des précautions : assassiner tous les témoins un à un. Après les 82 passagers, une demi douzaine d’autres cadavres n’empêcheront pas de dormir les politiciens au pouvoir et certainement pas le commandement de l’OTAN. Sans oublier les dissimulations, censures, mensonges, tromperies des autorités concernant les faits et le déroulé de l’enquête, totalement dirigée par les criminels commanditaires de l’assassinat de Kadhafi.

Malgré toutes ces preuves et ces affaires gravissimes, il y aura toujours des naïfs et des imbéciles pour continuer à croire aux versions officielles comme si ces massacres n’avaient jamais eu lieu ! Comme si ces expériences historiques capitales n’avaient servi absolument à rien…

Tragédie d’Ustica : la revanche posthume de Kadhafi 


La sombre histoire du vol Itavia 870, 82 passagers, abattus en plein vol en 1980 par des chasseurs français qui l’ont confondu avec l’avion de Kadhafi…
Dans la nuit du 27 juin 1980, le vol Itavia 870 (un DC 9 immatriculé I-TIGI) a décollé de Bologne en Italie à destination de Palerme en Sicile. Il transportait 77 passagers, 2 pilotes et 2 membres de personnel de cabine. Les passagers comprenaient 64 adultes, 11 enfants âgés de 2 à 11 ans, et deux enfants de moins de deux ans.
Comme à son habitude, le vol Itavia 870 a mis le cap sur la côte sud de l’Italie. À 20h59, il a brutalement disparu des écrans-radar des contrôleurs aériens italiens. L’équipage n’avait signalé aucun problème technique ou une quelconque situation d’urgence.
À un moment donné l’avion était là, la seconde d’après il avait disparu. les 81 passagers sont morts et les débris de l’appareil ont sombré en mer.
De prime abord, les circonstances de sa disparition semblaient inexplicables.

Le vol s’est parfaitement déroulé jusqu’à ce que l’avion explose sans faire aucun survivant. Interrogées par les médias, les autorités italiennes ont d’abord laissé entendre que le vol 870 aurait pu être victime d’un attentat terroriste. Plausible dans un premier temps, cette thèse a vite été abandonnée en l’absence de toute revendication d’un possible attentat.

Les médias sont donc retournés aux nouvelles. Comme s’ils avaient reçu des consignes du sommet de l’État, les autorités se sont tues et aucune information complémentaire officielle n’a pu être obtenue sur l’affaire. Bien entendu, cela a aiguisé la curiosité de la presse et alimenté ses soupçons selon lesquels, la réalité devait être tenue secrète. Des soupçons qui n’ont pas tardé à se confirmer lorsque toutes les portes se sont refermées les unes après les autres, plus personne ne souhaitant évoquer la question.
Plus troublant encore, les enregistrements des données radar ont disparu ou ont été détruits.
D’autres informations techniques manquaient également ou étaient devenues soudainement inaccessibles. Plus effrayant encore, des témoins-clé ont commencé à décéder dans d’étranges circonstances : d’accidents de circulation, de suicides ou encore de crises cardiaques. Il s’en est suivi une décennie de dissimulation de la part des instances supérieures d’au moins 3 gouvernements. Une dissimulation qui perdure aujourd’hui… Bref, tous les ingrédients d’un scénario hollywoodien à ceci près qu’il ne s’agit pas d’une fiction mais de la réalité.
De l’obscurité à la lumière
L’histoire du vol Itavia 870 est une longue succession de maladresses, d’erreurs, de dissimulations ayant impliqué, d’une part, 3 gouvernements, et d’autre part, un gouvernement qui leur était hostile, celui du dictateur libyen Muammar Kadhafi. Dans une large mesure, les détails de ce qui s’est passé cette nuit là demeurent mystérieux. Toutefois, des éléments de preuve sont apparus récemment qui apportent des éclaircissements sur ce secret longuement gardé. La chute du gouvernement Kadhafi en 2011 a permis d’entre-ouvrir les archives secrètes de l’Etat libyen. Là, parmi les innombrables projets terroristes, les accords internationaux et les terribles malentendus diplomatiques, on a retrouvé des informations détaillées sur la nuit du 27 juin 1980.
Les raisons de l’attaque
En 1980, la communauté internationale était mobilisée contre un gouvernement qui devenait de plus en plus agressif, sous la direction du colonel Muammar Kadhafi. Aux USA, l’administration Carter était engagée dans la course présidentielle contre Ronald Reagan, ex-acteur et ancien gouverneur de Californie. En Europe, l’OTAN était largement absorbée par la guerre froide. L’Union Soviétique venait d’envahir l’Afghanistan. Le monde semblait sur le point d’entrer en conflit.
Pour toutes ces nations, la Libye devenait un problème de plus en plus inquiétant en Méditerranée. Les forces de Kadhafi s’employaient de plus en plus activement à déstabiliser les gouvernements de la région, y compris certaines anciennes colonies françaises en Afrique du Nord. Aux yeux du gouvernement français, il était temps d’éliminer le problème Kadhafi.
Un assassinat de portée internationale
Si l’on en croit les documents découverts en Libye, l’opportunité d’assassiner Kadhafi s’est présentée dans la nuit du 27 juin 1980 alors qu’il traversait la Méditerranée en provenance d’Europe pour regagner son pays à bord de son Tupolev. Une paire de Mirages français avait été mobilisée pour une mission spéciale : intercepter et détruire en vol l’avion de Kadhafi, offrant à toutes les parties concernées, la possibilité de nier ensuite toute responsabilité dans l’affaire. Si tout allait bien, l’épave s’abîmerait en mer et le problème libyen, serait résolu une fois pour toutes.

Dès le départ, les choses ne se sont pas déroulées selon les plans. Ce qui devait être une simple interception, s’est transformé en un engagement aérien confus, impliquant des chasseurs de 4 pays. Les avions français, libyen, italiens et américains ont convergé vers un point précis au sud des côtes italiennes. C’est dans cette mêlée que s’est retrouvé le vol Itavia 870, ignorant tout du drame qui allait se jouer.

Ce que les Français ignoraient depuis le départ c’est que leur tentative d’assassinat était vouée à l’échec. D’après les documents libyens récemment découverts, Kadhafi avait été informé du complot à la dernière minute par une source des services secrets italiens, le SISMI. C’est pour cette raison qu’il a demandé à son équipage de détourner son vol vers Malte. Il était notoire qu’à l’époque, le SISMI était très influent grâce à ses contacts de haut niveau en Libye. L’Italie a conservé des relations étroites avec Kadhafi pendant de nombreuses années. C’est par exemple Bettino Craxi qui a téléphoné à Kadhafi en 1986 pour l’informer du raid imminent de F111 américains. Ce fut une nouvelle fois grâce à l’aide italienne qu’il pu quitter sa résidence quelques minutes avant l’attaque.
Au cours de cette nuit de 1980, au moment précis ou Kadhafi décida de dérouter son avion vers Malte, un MiG23 de l’armée de l’air libyenne faisait route au Nord à sa rencontre afin de l’escorter jusqu’en Libye. Dans la confusion, Ezedine Koal le pilote du MIG n’a pas reçu l’ordre de faire demi-tour et de rentrer à sa base. Au lieu de cela, il a poursuivi son vol vers le Nord au dessus de la Méditerranée, à la recherche du Tupolev de Kadhafi et a été rapidement repéré par les radars de l’OTAN. Selon les plans prévus dans cette éventualité, l’armée de l’air italienne et la Navy américaine ont immédiatement dépêché des intercepteurs alors qu’il s’approchait de l’espace aérien italien.
Soudain, un combat aérien dans la confusion
Quelques minutes plus tard, le MIG-23 libyen était en vue des côtes de Sicile. Ensemble, 3 chasseurs F-104 italiens et au moins un Corsair A-7 II (probablement un vol de deux avions) sont apparus séparément venant de l’Est. Les deux chasseurs français Mirage fonçaient en provenance du Nord avec l’intention de remplir leur mission meurtrière de telle sorte que 7 voire 9 chasseurs de l’OTAN convergeaient vers un même point dans le ciel sombre au dessus de la Méditerranée. Ignorant tout de cette concentration, le vol Itavia 870 poursuivait sa route.
C’est apparemment le MIG-23 libyen qui a aperçu le premier le DC-9 civil sur son radar. Il volait cap au Sud comme prévu. Pour le pilote libyen, il était exactement au lieu prévu du rendez-vous. Il a donc manœuvré son MIG-23 pour se placer à proximité de l’avion de ligne qu’il a vraisemblablement confondu avec le Tupolev de Kadhafi dans l’obscurité. Pour les pilotes des chasseurs français, la paire d’avions qui venait de se former correspondait à ce que prévoyait leur ordre de mission : une cible de la taille d’un avion de ligne, clairement, le Tupolev de Kadhafi, escorté par un seul chasseur libyen qui l’avait rejoint en provenance du Sud. Les deux appareils volant maintenant cap au Sud en direction de la Libye.
Aucun tir de semonce n’a été tiré. C’était supposé être un assassinat pur et simple. L’un des 2 pilotes français à lancer un missile air-air en direction de la plus grosse des cibles. Il a fait mouche et touché l’avant du vol Itavia 870 d’un tir parfait. L’avion de ligne n’avait aucune chance de s’en tirer. Il a littéralement explosé en vol. Alors qu’ils surveillaient la boule de feu qui apparaissait par intermittente dans le lointain, les deux pilotes des Mirage français ont réalisé sur leur radar embarqué que le MIG-23 libyen manœuvrait pour se placer en position de contre-attaque.
Il n’y avait donc qu’une seule chose à faire, le descendre également.
Finir le travail en descendant le MIG-23
À la vue de l’impact du missile sur l’avion de ligne tout proche, Ezedine Koal, le pilote du MIG-23 libyen s’est écarté, à la recherche d’un avion ennemi. Où qu’il pointe le nez de son appareil, son radar révélait la présence de toujours plus de chasseurs ennemis. 3 F-104S Starfighters étaient visibles d’un côté pendant qu’un ou deux Corsair A-7 de l’US Navy arrivaient d’une autre direction. 2 chasseurs français Mirage fonçaient du Nord, leurs radars déclenchant le système de réception d’alerte précoce à l’intérieur du MIG indiquant qu’ils s’apprêtaient à ouvrir le feu. Ezedine Koal était seul et en grand danger. Peu d’options s’offraient à lui en dehors d’engager le combat et de tenter de fuir plein Sud. Ses chances de survie étaient minces. Les intentions hostiles des avions ennemis ne faisaient aucun doute ; après tout ils venaient juste de descendre et dans son esprit d’assassiner le Colonel Kadhafi lui-même, l’homme qu’il était supposé escorter et protéger.
La suite fut une série confuse de manœuvres et de contre manœuvres à grande vitesse dans le ciel nocturne italien. Les chasseurs français et le libyen se sont affrontés au dessus de l’eau pendant que les appareils italiens et de l’US Navy tournaient autour. Le combat s’est déplacé vers l’Est au dessus de la terre ferme jusqu’à ce que le MIG-23 finisse par être touché où qu’il percute les montagnes invisibles plus bas. Il s’est écrasé en percutant les montagnes de Calabre à Castelsilano et Ezedine Koal n’a pas survécu.
Leur mission accomplie, les chasseurs français Mirage ont remis cap au Nord pour rentrer en France. La destruction du MIG leur garantissait qu’il n’existait aucun témoin de leur assassinat de Muammar Kadhafi.
Ce qui s’est passé ensuite et la dissimulation de l’interception
Kadhafi a survécu à la tentative aérienne d’assassinat. Il vivra jusqu’au « printemps Arabe » libyen de 2011. La France n’évoquera jamais publiquement les événements de cette nuit là. Tout comme l’Italie qui optera pour une politique de silence et de dissimulation. Observateurs extérieurs non-européens, les USA garderont également le silence. Face au silence assourdissant des autorités, les médias désigneront la disparition du Vol 870 par le Massacre d’Ustica (« Strage di Ustica » du nom d’un île proche de la mer Tyrrhénienne).
Le 18 juillet 1980 soit 21 jours après l’opération, l’épave du MIG-23 libyen a été localisée dans les montages de Sila. Le corps du pilote Ezedine Koal  encore attaché au siège éjectable, fut identifié grâce à son nom inscrit sur son casque. Les autorités italiennes se sont opposées à ce que deux reporters puissent prendre des photos de la scène. Ils furent appréhendés et relâchés en échange de la confiscation de leurs pellicules.
En dépit de ces ultimes efforts de dissimulation, la presse ne tarda pas à découvrir que le corps du pilote libyen était décomposé, confirmant que son décès remontait à 3 semaines, date de la disparition du vol 870. La concomitance des 2 évènements ne tarda pas à attiser la curiosité de la presse. Le corps du pilote fut rapatrié en Libye après avoir été enterré un moment en Italie.
D’étranges coïncidences et quelques décès inexpliqués  
La dissimulation a duré jusqu’à ce que les enregistrements radars des événements de cette nuit là disparaissent. Il aurait pu s’agir d’une coïncidence. De même les obstacles de toutes sortes et les dissimulations ont retardé l’examen des débris du DC-9 et la rédaction d’un rapport d’enquête pendant 9 ans. Un délai exceptionnellement long en matière d’accident aérien. Le rapport a conclu que « toutes les preuves examinées confirment que l’accident du DC-9 a été causé par l’explosion d’un missile près du nez de l’appareil. En l’état actuel des connaissances, il n’a pas été possible de déterminer le type, l’origine et l’identité du missile ».
La revue Aviation Week and Space Technology compléta le rapport en indiquant que les dommages causés au fuselage de l’appareil étaient compatibles avec ceux provoqués par un missile air-air. Les doutes quant à une implication militaire dans les évènements s’évanouissaient peu à peu. Mais de quelle armée pouvait-il s’agir ? Les libyens pouvaient-ils s’être rendus coupables d’un acte de terrorisme aérien air-air ? S’agissait-il de quelqu’un d’autre ? Très vite les partis politiques de gauche se mirent à affirmer que la US Navy avait abattu l’appareil accidentellement.
Des témoins-clé décèdent de manière inopinée
Plus inquiétant encore quoi qu’il pu s’agir là encore d’une coïncidence, bon nombre de ceux qui étaient de service cette nuit là et qui auraient été des témoins clé des événements, sont décédés dans d’étranges circonstances.
Pierangelo Teoldi le commandant de la base dont ont décollé les intercepteurs italiens F-104S est mort soudainement dans un accident de circulation.
Mario Alberto Dettori et Franco Parisi, deux contrôleurs
aériens ayant assisté à la scène sur leur écran-radar se sont suicidés par pendaison (choix personnel discutable compte tenu de la douleur qu’elle provoque).
L’un de leurs collègues, Maurizio Gari est décédé d’une attaque cardiaque. Il avait 37 ans.
Un 4ème contrôleur aérien, Antonio Muzio, ayant eu connaissance des faits intervenus cette nuit là a été retrouvé assassiné.
Finalement,  Mario Naldini et Ivo Nutarelli, 2 des 3 pilotes italiens ayant participé à l’interception du MIG-23, sont décédés au cours d’une collision lors d’une fête aérienne sur la base de Ramstein en Allemagne. Pour de nombreux conspirationnistes, ces morts en série ne peuvent être le fait du hasard.
Le mot de la fin sur le vol 870 ?
Une enquête formelle a finalement été lancée par un juge italien Rosario Priore qui s’est rapidement heurté aux obstacles mis en travers de son chemin par des personnalités politiques italiennes et des membres de l’OTAN. Ses conclusions ont fait état de la dissimulation mise en œuvre, et 4 généraux italiens se sont retrouvés accusés de haute trahison pour s’être opposés à l’enquête. L’accusation a finalement été abandonnée.
En juillet 2006, les fragments de l’appareil du vol 870 ont été rassemblés et livrés à Bologne depuis la base aérienne Pratica di Mare située près de Rome. Un an plus tard, en juin 2007, le fuselage reconstitué à été exposé dans le tout nouveau Musée de la Mémoire d’Ustica à Bologne. Il constitue le témoignage silencieux de ce qui a probablement été une tentative d’assassinat qui a échoué – terriblement – et provoqué la mort de 81 innocents civils et d’un pilote libyen de MIG.
C’est en 2008 que l’ancien président italien Francisco Cossiga a pris l’initiative de confirmer que le vol Itavia 870 a été descendu par des chasseurs français.
Un aveu qui a fait l’effet d’une bombe bien que les détails de l’opération n’aient pas encore été rendus publics. Peu de temps après, des réparations ont été demandées à la France. Moins de deux ans plus tard, le président Cossiga décédait d’insuffisances respiratoires.
En 2011, les tribunaux italiens ont exigé du gouvernement italien qu’il paye 127 millions de dollars de réparation aux familles des victimes. La lumière se fait peu à peu sur la véritable histoire de ce qui s’est déroulé dans le ciel au dessus de la mer Tyrrhénienne. A la suite de la publication des derniers éléments des archives gouvernementales libyennes, la seule question qui subsiste est de savoir à quel moment les autorités publiques accepteront de reconnaître leur responsabilité dans ce qui s’est passé et de confirmer ou d’infirmer la séquence des événements décrites dans les documents libyens.
32 ans constituent peut être un délai suffisant pour que la vérité soit enfin révélée.

Menadefense.net 
Traduit de l’article : « An assassination of international proportions – 27 juin 1980 and a cover-up by NATO : Civilian jet with 81 civilians shot by french Mirage instead of Qaddafi plane over Sicily » par Thomas Van Hare dans FlyHistoricWings de juin 2012. 

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Un de mes premiers articles, c’était en 2016 / Unul dintre primele mele articole a fost în 2016 /

Un de mes premiers articles, c’était en 2016

Depuis, l’eau a coulé sous les ponts. Je vous invite au fil de mon actualité à voir ce qui c’est passé et peut-être deviner ce qui se passera.

Il faut que la vérité sorte  comme un venin venant d’un Boa constrictor !!!!

Ils viennent de nous annoncer la mort de Mouammar Kadhafi. Je n’y croyais pas trop, car ce ramassis de renégats du CNT a essayé de nous berner tant de fois en annonçant que certaines villes étaient prises et reprises, que les fils de Kadhafi étaient prisonniers ou morts. Ils sont les rois du mensonge, ils sont aussi menteurs que les médias.

Mais un coup de fil de Libye nous a annoncé cette mort du Guide de la Jamahiriya à Syrte. Entre les bombardements de l’OTAN et les interventions du CNT encadré au sol par des agents étrangers, la bataille pour la conquête de Syrte était très violente. Elle n’est certainement pas terminée.

Le peuple libyen continuera à se battre pour la libération de son pays et le droit de gérer ses propres ressources. Son guide lui a montré la route et ses fils sont toujours là.
Mouammar Kadhafi est mort en héros. Il n’a pas fait comme tant de dirigeants qui s’enfuient. Il est resté à côté de son peuple. Il est mort en combattant.

Il sera un exemple pour tous les opprimés, colonisés et plus largement pour tous les peuples du Sud. Tous les anticolonialistes et résistants à l’Ordre mondial capitaliste pourront se reconnaître dans son combat.

Ils nous auront menti pour pouvoir le traquer, ils l’ont fait passer pour un sanguinaire, un tyran assassinant son peuple… ce qui était faux. Le dossier de la « Commission d’Enquête internationale indépendante pour connaître la vérité sur le conflit en Libye » crée le 28 mars à Tripoli par plusieurs personnalités de France, de Grande-Bretagne et d’Italie nous l’a bien prouvé. Nous l’avons publié sur plusieurs sites et diffusé sur le net.

Sarkozy et BHL, à l’origine de tous ces mensonges, la télé prostituée du Qatar, El Jazeera, tous nos médias mensonges ont participé à la campagne de dénigrement de Kadhafi afin de mieux dépouiller son pays et de se débarrasser de celui qui voulait libérer l’Afrique et rendre leur dignité aux Africains.

Nous pouvons honorer sa mémoire car il est mort debout, il n’a pas plié. Il restera le symbole de la résistance pour nous tous. Il restera également le héros de cette terre d’Afrique qu’il aimait tant.

Unul dintre primele mele articole a fost în 2016

De atunci, apa a trecut pe sub poduri. Vă invit să vedeți știrile mele să vedeți ce s-a întâmplat și poate să ghiciți ce se va întâmpla.

Adevarul trebuie sa iasa ca veninul de la o boa constrictor!!!!

Tocmai ne-au anunțat moartea lui Muammar Kadhafi. Nu prea credeam, pentru că această grămadă de renegați CNT a încercat să ne păcălească de atâtea ori anunțând că anumite orașe au fost luate și reluate, că fiii lui Gaddafi sunt prizonieri sau morți. Ei sunt regii minciunii, sunt la fel de mincinoși ca mass-media.

Dar un telefon din Libia ne-a informat despre moartea Ghidului Jamahiriya la Sirte. Între bombardamentele NATO și intervențiile CNT supravegheate la sol de agenți străini, bătălia pentru cucerirea Sirtei a fost foarte violentă. Cu siguranță nu s-a terminat.

Poporul libian va continua să lupte pentru eliberarea țării sale și dreptul de a-și gestiona propriile resurse. Ghidul lui i-a arătat drumul și fiii lui sunt încă acolo. Muammar Gaddafi a murit ca erou. Nu a făcut ca atâția lideri care fug. A rămas cu oamenii lui. A murit luptând.

El va fi un exemplu pentru toți cei asupriți, colonizați și mai larg pentru toate popoarele din Sud. Toți anticolonialistii și rezistenții la ordinea mondială capitalistă se vor putea recunoaște în lupta lui.

Ne vor fi mințit ca să-l putem vâna, l-au făcut să treacă drept un însetat de sânge, un tiran care își ucide poporul… ceea ce era fals. Ne-a dovedit dosarul „Comisiei Internaționale Independente de Anchetă pentru a afla adevărul despre conflictul din Libia” creat pe 28 martie la Tripoli de mai multe personalități din Franța, Marea Britanie și Italia. L-am publicat pe mai multe site-uri și l-am distribuit pe net.

Sarkozy și BHL, sursa tuturor acestor minciuni, televiziunea prostituată din Qatar, El Jazeera, toată presa noastră mincinoasă a participat la campania de defăimare pe Gaddafi pentru a-și dezbrăca mai bine țara și a scăpa de cel care dorea să elibereze Africa și să restabilească. demnitatea lor pentru africani.

Îi putem onora memoria pentru că a murit în picioare, nu s-a aplecat. El va rămâne simbolul rezistenței pentru noi toți. De asemenea, va rămâne eroul acestui pământ al Africii pe care l-a iubit atât de mult.

One of my first articles was in 2016

Since then, water has flowed under the bridges. I invite you over my news to see what happened and maybe guess what will happen.

The truth needs to come out like venom from a Boa constrictor!!!!

They have just announced to us the death of Muammar Kadhafi. I didn’t really believe it, because this bunch of CNT renegades tried to fool us so many times by announcing that certain cities were taken and retaken, that Gaddafi’s sons were prisoners or dead. They are the kings of lies, they are as liars as the media.

But a phone call from Libya informed us of the death of the Guide of the Jamahiriya in Sirte. Between the NATO bombings and the interventions of the CNT supervised on the ground by foreign agents, the battle for the conquest of Sirte was very violent. It is certainly not over.

The Libyan people will continue to fight for the liberation of their country and the right to manage their own resources. His guide showed him the way and his sons are still there. Muammar Gaddafi died a hero. He did not do like so many leaders who run away. He stayed with his people. He died fighting.

He will be an example for all the oppressed, colonized and more broadly for all the peoples of the South. All anti-colonialists and resisters to the capitalist world order will be able to recognize themselves in his fight.

They will have lied to us to be able to track him down, they made him pass for a bloodthirsty, a tyrant murdering his people… which was false. The file of the “Independent International Commission of Inquiry to find out the truth about the conflict in Libya” created on March 28 in Tripoli by several personalities from France, Great Britain and Italy has proven this to us. We published it on several sites and distributed it on the net.

Sarkozy and BHL, the source of all these lies, prostitute TV in Qatar, El Jazeera, all our lying media participated in the campaign to smear Gaddafi in order to better strip his country and get rid of the one who wanted to liberate Africa and restore their dignity to Africans.

We can honor his memory because he died standing, he did not bend. He will remain the symbol of resistance for all of us. He will also remain the hero of this land of Africa that he loved so much.

source

 

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