Culture & Cinéma : Ces jeunes talents qui ne cessent de nous éblouir, Talid Ariss

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C’est par hasard que je fis la connaissance de Talid Ariss, jeune comédien Français qui n’en est pas à son coup d’essai. C’est au sein de L’O’13’TO à Genève  que je fis la connaissance du jeune Talid et de sa maman qui étaient venu saluer un membre de leur famille, Imane qui gère d’une main de fer dans un gant de velours une association qui se voue à l’alimentation végane, aux énergies renouvelables et à l’écologie.

Le jeune comédien c’est fait remarqué à de nombreuses occasions, lors de films pour le cinéma, de séries TV ou encore en tant que figurant pour des annonces publicitaires.

Gangs-terdam – Romain Levy – Jonas (2016)

R.I.FFranck Mancuso (2011)

– Télévision

Les Chamois – Philippe Lefebvre – Kevin (2017)
Pas de vidéo disponible.

Mon Cher Petit Village – Gabriel Le Bomin – Alexis (2014)

Louis La Brocante « Louis et les bruits de couloir » – Veronique Langlois – Baptiste (2013)
Pas de vidéo disponible.

– Théâtre

La Femme GauchèreChristophe Perton (2013)

– Publicité

Ski Horizon (2014)
Pas de vidéo disponible.

Eurodisney Noël (2013)
Pas de vidéo disponible.

Le Petit Marseillais Miel de Lavande (2013)
Pas de vidéo disponible.

Société Générale (2012)
Pas de vidéo disponible.

Paprec 2011
Pas de vidéo disponible.

– Films Institutionnels

La Cité de la Musique (Bouygues) (2012)
Pas de vidéo disponible.

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Docu-fiction

Une nuit au Grévin – Patrice Leconte – Thomas(2015)

Découvrir l’un des musées les plus populaires de Paris et ses coulisses à travers le regard émerveillé d’un enfant, c’est ce que propose le cinéaste Patrice Leconte. Un documentaire raconté à la première personne par le comédien Charles Berling.

« J’ai 10 ans, je sais que c’est pas vrai, mais j’ai 10 ans… » A l’instar d’Alain Souchon, Thomas, le narrateur de ce documentaire, aujourd’hui adulte, se souvient de l’époque bénie de son enfance provinciale.

Passionné de voitures, son père ne manquait jamais de venir à Paris lors du Salon de l’auto et de l’emmener avec lui, pour un peu que ses bulletins scolaires justifient la récompense. Thomas appréciait cette visite annuelle, mais attendait surtout avec impatience d’être conduit dans un autre lieu infiniment plus mystérieux et captivant à ses yeux : le musée Grévin. Et justement, le voilà à nouveau dans la peau d’un jeune garçon de 10 ans devant la porte du palais de l’illusion.Cette fois, il a bien l’intention de se cacher à l’intérieur pour attendre la fermeture et pouvoir déambuler dans les salles à sa guise.

Le soir, un vieux monsieur assis sur un banc (Albert Delpy) reprend vie et lui raconte comment est né, en 1882, ce musée si particulier, nommé d’après le sculpteur Alfred Grévin. C’est cet artiste très éclectique qui, contacté par le journaliste Arthur Meyer, initiateur du projet, fabrique les premières figures de cire, les « people » de l’époque. Fort de son succès, le musée va rapidement s’enrichir d’un petit théâtre, classé monument historique en 1964 par André Malraux.
Au cours de sa visite, Thomas croise de vraies célébrités, telles que Mimie Mathy ou Stéphane Bern.

Toujours guidé par Albert Delpy, il découvre ensuite comment et par qui sont déterminées les personnalités qui auront l’honneur d’intégrer le musée. Puis, transporté comme par magie dans ses ateliers, il assiste, éberlué, au travail extraordinaire qu’effectuent chaque jour une quinzaine d’artisans pour reproduire les traits d’un chanteur, d’un acteur, d’un sportif… De la première séance de pose au résultat final, six mois sont nécessaires pour réaliser le sosie d’Omar Sy, Mika ou Monica Bellucci.
Le temps passe vite. Dans ce musée qui ouvre ses portes sept jours sur sept, habilleuses, coiffeuses et maquilleuses arrivent dès 7 heures du matin pour sillonner les 2 500 mètres carrés du lieu et vérifier le bon état des 250 personnages exposés. Thomas s’éclipse, rêvant de devenir réalisateur et de faire, un jour, un film sur cet endroit magique de son enfance.

 

Âgé aujourd’hui de 14 ans Talid m’a confié qu’il n’était pas évident d’associer scolarité et travail et que chaque tournage impliquait d’innombrables démarches administratives. Ce jeune garçon qui a toute sa tête sur les épaules sans pour autant que le succès ne la lui fasse gonfler voit l’avenir sereinement sans vraiment s’interroger sur le futur de sa carrière et il a bien raison.

Souhaitons-lui le meilleur pour la suite.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

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