France : Vivons-nous vraiment en démocratie?

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Dans «Principe du gouvernement représentatif», initialement publié en 1993 et réédité le 10 octobre, Bernard Manin remet en cause l’élection au suffrage universel comme quintessence de la démocratie. Il explique pourquoi nos démocraties modernes n’en sont pas vraiment et pourquoi les révolutionnaires des XVIIe et XVIIIe siècles ont préféré mettre en place un système aristocratique plutôt qu’un gouvernement du peuple par le peuple.

Bun Hay Mean sur l’impuissance politique du peuple, l’élection n’est pas la démocratie !

Je me fais un plaisir de publier cet article en diffusant la vidéo d’un citoyen d’origine Asiatique qui parfaitement éveillé et réaliste de tout ce qui se passe dans le paysage politique, balance à toute une équipe de journalistes et d’élites des paroles cinglantes de vérité dont notamment, sur la forfaiture de 2005.

En dessous de la vidéo, quelques liens très utiles.

Stéphane Guibert/Finalscape

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5 réflexions sur “France : Vivons-nous vraiment en démocratie?

  1. Thierry Theller dit :

    ARYTHMÉTIQUE ÉLECTORALE ET LIBERTÉ

    Ce que les merdias ne nous dirons jamais, c’est qu’une seule petite voix électorale multipliée par X millions d’autres = une soustraction du marteau pilon Mondialiste et ses débordements liberticides.
    La liberté du vote, comme le choix d’un candidat, n’a nul besoin de laissez-passer ni la permission de quiconque.
    Pour s’arracher de l’emprise oppressive de l’oligarchie américaine, les électeurs, particulièrement ceux des réseaux sociaux, ont choisi D. Trump. Et ils l’ont choisi contre l’avis formel de tous leurs suborneurs médiatiques.
    Du coup, la stupéfaction et la débandade du petit monde des affairistes apatrides, ainsi que celle des esclavagistes sociaux, ont été totales.

    En France, bien que les petits malins et autres spécialistes du « Demain, on rase gratis », pullulent, il n’est pas du tout exclu, contre toute attente et en vertu du principe arithmétique cité plus haut, que les Français se laissent harponner une fois de plus.

    Traduction : Stop TV Caniche ! Stop le susucre ! Stop la niniche !

  2. Thierry Theller dit :

    COMPTAGE DE VOTES BLANCS
    @KASTLER Ralph-Arnaud dit : (…) « à condition de lui conférer, »…

    Précisément, c’est à ce conditionnel que se heurte la volonté du peuple souverain.
    Albert Einstein disait déjà en son temps : « Triste époque que celle où il est plus difficile de briser un préjugé qu’un atome ».
    En l’occurrence, aujourd’hui et singulièrement, le préjugé politique. Celui qui donne bonne conscience et qui justifie une à une toutes les malversations morales opérées par les apostats de la démocratie : quasiment tous responsables de l’actuelle dégradation citoyenne en cours.
    L’ennui, c’est que ce préjugé, qui relève de la castration de la volonté et du droit souverain de la nation, prétend, de facto, que le peuple, présumé ignare, ne saurait juger par lui-même de ce qui convient le mieux à ses aspirations. C’est pourquoi, les « guides » autoproclamés, toutes tendances politiques confondues, s’arrogent-ils le droit de se l’approprier pour leur seul et exclusif usage.

    De ce point de vue, l’enjeu présumé du recours aux urnes, à l’instar des dés pipés, n’étant là qu’un prétexte à valider un choix politique préétabli dans son mode d’application démocratique. Ce qui favorise, au premier chef, l’incrustation encore plus profonde d’un système oligarchique corrompu de longue date. Ou, alors, aux fins de tenter de retarder l’effondrement du mondialisme, l’apparition, ex nihilo, de candidats qui, tels des Macron d’opérette, surgissent opportunément des fonts baptismaux de la jungle rotschilienne.

    C’est d’ailleurs, probablement la raison qui explique pourquoi, en fait de « présidentielles » et d’équité médiatique des candidatures, les chaudrons des diables euro atlantistes sont toujours aussi pleins de duplicité, de faux-semblants et de poudre de perlimpinpin sédative.

    Dès lors, tant que ce type de parti pris contre le peuple prévaudra dans le champ politique français (le peuple c’est fait pour voter… etc.), les ornières boueuses de la fumisterie électoraliste ne sont pas prêtes d’être comblées.
    En tout cas, s’agissant du comptage de votes blancs, autant demander à un chasseur amateur de civet de lièvre, de se faire végétarien.

    Dans ces conditions, reste, donc, l’abstention ou… F. Asselineau. Et, dans cette perspective, on ne se le répétera jamais assez, les merdias n’ont pas à nous dire de faire là où ils nous disent de faire.
    Encore une fois, les urnes ne sont pas des pots de chambre !

    • Admin dit :

      Bonjour Thierry;

      Je vous rappelle que vous avez un espace contributeur et que vous avez la possibilité de poster sur Finalscape vos propres articles bien que vos commentaires soient toujours pertinents et très intéressants.

      N’hésitez donc pas à vous exprimer.

      Meilleures salutations.

      Stéphane Guibert

  3. KASTLER Ralph-Arnaud dit :

    Participation électorale: Est-il démocratique de ne pas permettre aux électeurs français d’exprimer leur refus de l’offre politique et donc de les inciter, sans le dire ouvertement, à s’abstenir ou à voter « contre » plutôt que « pour »?
    Plutôt que de rendre le vote obligatoire sans pouvoir sanctionner les abstentionnistes, il me paraît plus réaliste et motivant pour l’électeur de reconnaître le « vote blanc » et donc de le compter dans le calcul des votes « exprimés  » à condition de lui conférer, en cas de majorité absolue, le pouvoir d’annuler le scrutin par exemple,
    J’aimerais que vous me précisez votre avis car je défends cette idée depuis deux décennies auprès d’élus locaux mais en vain.

  4. Thierry Theller dit :

    Lu quelque part sur le web.
    En substance : La démocratie vous permet de dire ce que vous voulez, mais vous oblige à faire ce qu’elle vous dit.

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