Lanceurs d’alerte en danger – Loi secret des affaires, on y est !

Élites et multinationales main dans la main contre le droit d’informer, contre la démocratie !

Lanceurs d’alerte sous pression, dépouillés de leurs droits sociaux, menacés et parfois même assassinés, loi sur le secret des affaires, tout se goupille et tout est désormais en place pour nous enlever un des droits les plus fondamentaux en démocratie, celui d’être informé.

Les témoignages sont édifiants et accablants. Cette Europe ultralibérale qui a été imposée à la France et ce, malgré le référendum de 2005 dévoile au fil des lois qui se votent en catimini, son véritable visage.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

 

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Consommation : La loi secret des affaires en Suisse aussi ?

Illustration : Esther mamarbachiSource

Consommation : La loi secret des affaires en Suisse aussi ?

Courriel adressé à la rédaction du magazine de la Radio Télévision Suisse « A bon entendeur »

Bonjour;

Vos émissions sont comme toujours très intéressantes mais chaque fois que le sujet touche à sa fin, il est impossible pour vous sous couvert de la loi, de citer les marques.

Je me souviens d’une émission ou vous aviez testé des huiles d’olives et où en fin de sujet, analyses faites, vous disiez que la loi vous interdisait de citer les marques.

De cause à effet, votre émission ne sert strictement à rien hormis le fait d’inviter le téléspectateur consommateur à se détourner complètement du produit et ce, qu’il soit conforme aux normes ou non.

En France, la loi secret des affaires qui est une loi liberticide et anti démocratique a été actée par l’assemblée nationale et ce, malgré les multiples pétitions réfractaires qui ont été initiées, notamment par la génialissime Elise Lucet de France télévision.

Maintenant, pourquoi en Suisse n’est-il plus possible de citer les marques qui se conduisent comme des bandits ? Les accords bilatéraux auraient-ils englobés la suisse, en catimini, dans cette loi qui n’arrange que les multinationales ?

La loi attendrait-elle un scandale sanitaire sans précédent pour revoir sa copie ?

On a vraiment l’impression en regardant votre émission que le consommateur a le droit de savoir qu’on l’empoisonne sans qu’il ait le droit de savoir qui l’empoisonne.

A bon entendeur…

Stéphane Guibert

Pour rappel :

C’est sur la chaîne Suisse, RTS qu’était diffusée l’émission “A Bon Entendeur” et qui publiait une enquête sur les huiles d’olives, titre du sujet : “Huile d’olive extra vierge : une appellation qui se mérite !

Compte rendu de l’émission :

C’est normalement la meilleure, la plus saine des huiles d’olive. Régulièrement, des prélèvements et des contrôles sont effectués pour vérifier si cette appellation n’est pas usurpée, car une huile d’olive doit remplir plusieurs conditions pour s’intituler “extra vierge”. Or ce n’est pas toujours le cas ! Les chimistes cantonaux viennent d’en déclasser plusieurs. Le point sur ces toutes nouvelles analyses avec Patrick Edder, chimiste cantonal genevois.

Sujet très intéressant jusqu’à la fin ou des huiles qui avaient été analysées et reconnues non conformes pour cette appellation d’huile d’olives extra vierge pressée à froid et ce pour différents motifs n’avaient pu être mentionnées à l’antenne pour des raisons de loi.

En France, cette loi, “Secret des affaires” qui a été adoptée par l’Assemblée tout récemment a fait polémique car elle met gravement en danger la démocratie, privant ainsi les consommateurs de l’accès à l’information en donnant  carte blanche aux industriels pour toutes les magouilles et les dérives.

Ce sont des émissions comme “Cash investigation”, “Envoyé spécial” etc … qui ne pourront tout simplement plus être produites.

Cette loi qui à l’origine était appliquée afin de protéger les industriels contre l’espionnage a été élargie aux journalisme d’investigation et aux lanceurs d’alerte.

Pour ce qui est de la Suisse, je me suis donc intéressé à ce texte de loi qui stipule :

Il existe un intérêt objectif au maintien du secret. Cet intérêt est examiné au cas par
cas par l’autorité. Un intérêt objectif à la confidentialité existe lorsque :

  • le fait en question a une valeur économique pour l’entreprise, donc est important pour
    le succès économique de cette entreprise, et
  • le fait ne concerne qu’une seule entreprise (c.-à-d. pas un groupe d’entreprises) et
    permet de ne tirer de conclusions que sur cette entreprise.

On est donc en plein dedans, la loi protège en priorité les intérêts économiques des entreprises au détriment des consommateurs.

Faudra-t-il un empoisonnement massif et des morts par centaines pour que les élites revoient leur copie ?

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Loi secret des affaires : Les consommateurs désormais sous le joug des industriels

Ça y est, c’est fait ! Depuis le 21 juin 2018, date historique pour l’industrie dans sa globalité, une victoire cinglante sur la démocratie car désormais, plus rien ne pourra arrêter les industriels dans leur volonté de gonfler leurs bénéfices grâce à la loi secret des affaires !

VOTRE AVENIR EST DERRIÈRE VOUS

Et vous l’aurez bien cherché !

Journalistes d’investigation et lanceurs d’alerte, tous seront soumis à cette loi tant attendue par les lobbies en tous genres, les actionnaires tous confondus, les multinationales, la pharmacom etc …

En résumé, le scandale des huiles contaminées à l’hydrocarbure, scandale dévoilé en 2007, le scandale sur le vaccin Gardasil, le scandale sur le Glyphosate et tout ce qui fait de ce monde notre pire cauchemar ainsi que celui de notre environnement, toutes ces informations pourtant vitales pour nous, consommateurs et défenseurs de la nature sont désormais soumises à cette loi liberticide dite :  « Loi sur le secret des affaires« .

Pour que tout le monde comprenne, je vais me mettre dans la peau d’un industriel peu scrupuleux :

« Je possède une usine qui fabrique de la sauce à salade et ai été  informé que depuis 2008, suite à un scandale sur des huiles d’hydrocarbure, l’union Européenne avait rehaussé l’acceptance d’huiles impropres à la consommation dans les huiles comestibles à raison de 10% (ce n’est pas un fake) et veux en profiter. Jusqu’à cette date fatidique du 21 juin 2018, je n’aurais pas été à l’abri d’un journaliste d’investigation ou d’un lanceur d’alerte qui aurait eu l’indélicatesse de faire un reportage sur mon activité.

Mais Dieu merci, voila que cette loi qu’aucun citoyen européen n’a voté est tombée et il m’est à présent possible de mettre ce que je veux dans ma sauce sans qu’un seul journaliste ne puisse me reprocher quoi que ce soit car si il osait s’aventurer sur ce terrain, la loi secret des affaires qui est désormais de mon côté le bâillonnerait, pouvant le condamner à de très fortes amendes voir même à de la prison. Eh oui, la loi place aujourd’hui mes intérêts financiers avant les intérêts de celles et ceux qui consomment ma sauce, vive la démocratie ».

A présent, je sens les commentaire du style : « Il faut se réveiller, on ne va pas les laisser faire, quelle bande de pourris, mon dieu quelle horreur, que pouvons-nous faire etc… »

Ces commentaires sont dorénavant stérile et même hypocrites car trop tardifs, en effet :

C’était avant qu’il fallait se mobiliser et se lever comme un seul homme pour dire STOP !

Mais voilà, derrière cette révolte qui n’émerge pas, il y a les séries télévisées, les « anges de la réalité », l’émission qu’il ne faut à aucun prix manquer sur C8 ou C7 que sais-je, le mondial (mon dieu j’allais l’oublier celui-là), le souci d’avoir la plus belle voiture, le dernier Smartphone, épater la galerie, les selfies, les Pokemon etc… La société quoi !

J’ai 56 aujourd’hui, sans enfant et en suis très heureux car le monde que nous laissons aux générations futures n’a rien à voir avec un monde parfait. Il laisse à nos enfants qui auront raison de nous juger et de nous condamner ne serais-ce que pour notre passivité et notre déni, un monde terne, sans couleur et sans saveur, un monde sans vie, sans envie et sans avenir.

A la question : « Est-ce le monde que nous voulons pour eux en parlant de nos enfants ? » La réponse est malheureusement et inéluctablement : « Il n’y a plus d’autre alternative » car il est trop tard.

A présent, voici le lien d’un billet que j’avais publié et qui pourrait voir même devrait être une solution à tout ce gâchis en étant parfaitement conscient qu’il va probablement soulever des boucliers.

« Tout fou le camp et pourtant nous continuons à y croire ! »

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK / MondiAspora

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Suisse : Loi sur le secret des affaires, l’émission ABE nous le sort en pleine figure

Document PDF téléchargeable en cliquant sur ce lien

C’est sur la chaîne Suisse, RTS qu’était diffusée l’émission « A Bon Entendeur » et qui publiait une enquête sur les huiles d’olives, titre du sujet : « Huile d’olive extra vierge : une appellation qui se mérite ! »

Compte rendu de l’émission :

C’est normalement la meilleure, la plus saine des huiles d’olive. Régulièrement, des prélèvements et des contrôles sont effectués pour vérifier si cette appellation n’est pas usurpée, car une huile d’olive doit remplir plusieurs conditions pour s’intituler « extra vierge ». Or ce n’est pas toujours le cas ! Les chimistes cantonaux viennent d’en déclasser plusieurs. Le point sur ces toutes nouvelles analyses avec Patrick Edder, chimiste cantonal genevois.

Sujet très intéressant jusqu’à la fin ou des huiles qui avaient été analysées et reconnues non conformes pour cette appellation d’huile d’olives extra vierge pressée à froid et ce pour différents motifs n’avaient pu être mentionnées à l’antenne pour des raisons de loi.

En France, cette loi, « Secret des affaires » qui a été adoptée par l’Assemblée tout récemment a fait polémique car elle met gravement en danger la démocratie, privant ainsi les consommateurs de l’accès à l’information en donnant  carte blanche aux industriels pour toutes les magouilles et les dérives.

Ce sont des émissions comme « Cash investigation », « Envoyé spécial » etc … qui ne pourront tout simplement plus être produites.

Cette loi qui à l’origine était appliquée afin de protéger les industriels contre l’espionnage a été élargie aux journalisme d’investigation et aux lanceurs d’alerte.

Pour ce qui est de la Suisse, je me suis donc intéressé à ce texte de loi qui stipule :

Il existe un intérêt objectif au maintien du secret. Cet intérêt est examiné au cas par
cas par l’autorité. Un intérêt objectif à la confidentialité existe lorsque :

  • le fait en question a une valeur économique pour l’entreprise, donc est important pour
    le succès économique de cette entreprise, et
  • le fait ne concerne qu’une seule entreprise (c.-à-d. pas un groupe d’entreprises) et
    permet de ne tirer de conclusions que sur cette entreprise.

On est donc en plein dedans, la loi protège en priorité les intérêts économiques des entreprises au détriment des consommateurs.

Faudra-t-il un empoisonnement massif et des morts par centaines pour que les élites revoient leur copie ?

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK / MondiAspora

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

 

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Élise Lucet en live avec brut : Le loi « secret des affaires », un réel danger pour la démocratie

Élise Lucet était en « live » ce matin sur le média « Brut« .

Une entrevue d’une cinquantaine de minutes où elle revient notamment sur le projet de loi « Secret des affaires » qui selon elle met en danger les consommateurs. Si cette loi devait être adoptée, elle les priverait  d’une information de qualité et fiable ce qui est primordial pour la pérennité de notre démocratie.

La mise en place d’une telle mesure signifie aussi que tous les magazines d’investigation dont les enquêtes iraient à l’encontre des intérêts financiers des entreprises pourraient, avant-même leur diffusion, être tués dans l’œuf.

Élise Lucet en appelle à une mobilisation massive afin que ce projet liberticide  soit abrogé.

Élise Lucet revient également sur sa brillante carrière, plus de 20 ans de JT , cet un incroyable palmarès de magazines d’investigations, ses conseils aux journalistes en herbe etc…

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK / MondiAspora

REPLAY – Elise Lucet répond à vos questions et à Rémy Buisine.

Affaire Affaire Libye-Sarkozy, #CashInvestigation, journalisme d’investigation, etc…

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Loi secret des affaires : Pour préserver la démocratie, signez la pétition

Loi Secret des affaires : plus de 535 000 citoyens ont déjà dit NON à cette loi qui met en danger la liberté d’informer. Avant la rédaction du texte final le 17 mai prochain, signez la pétition que nous avons remise au gouvernement.

Ce dont il faut bien être conscient c’est que l’UE a fait paraitre une directive contraignant les pays membres de faire passer une loi dite “secret des affaires“, que cette loi va être appliquée non seulement pour luter contre l’espionnage industriel mais aussi et surtout et c’est ce qui est nouveau, interdisant les enquêtes de journalistes d’investigation, en effet :

Si les firmes suspectées de fraudes considèrent que les enquêtes menées vont à l’encontre de leurs intérêts financiers elles auront le droit d’attaquer juridiquement les journalistes “indélicats” et de les faire condamner à de très lourdes sanctions pouvant mener à l’emprisonnement.

Ce qui revient à dire que le reportage que vous allez visionner ci-dessous (si vous le désirez) ainsi que ceux à venir peuvent tout simplement être interdits voir même stoppés durant le tournage.

Il en va de même pour tout ce qui implique les paradis fiscaux, LuxLeaks, SwissLeaks, Panama papers etc…

Les associations de consommateurs (50 mio. de consommateurs) sont également mises sous la sellette et ne pourront plus dénoncer les dérives quelles qu’elles soient.

>>>LIEN SUR LA PÉTITION<<<

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Secret des Affaires : Deuxième épisode (On va vous empoisonner au nom du secret des affaires)

Secret des affaires : Informer l’opinion publique va devenir un délit !

Alors que la loi sur le secret des affaire ne devrait s’appliquer qu’à la concurrence, ce qui est déjà le cas lors d’espionnage industriel, elle va s’étendre et s’appliquer aux lanceurs d’alerte ainsi qu’ journalistes d’investigation.

Cette loi qui va s’appliquer à l’Union Européenne va faire en sorte de donner carte blanche à des entreprises comme Monsanto, Philip Morris, l’industrie pharmaceutique, l’industrie agroalimentaire etc… pour agir selon le calendrier de leurs intérêts financiers tout en muselant le travail des journalistes et lanceurs d’alerte qui enquêtent sur le terrain pour dénoncer des pratiques qui mettent en danger notre santé, notre environnement ainsi que l’avenir de nos enfants.

Le Néolibéralisme montre son vrai visage et pour celles et ceux qui douteraient encore que nous sommes gouvernés par les banques et les multinationales, si cette loi permissive ne leur ouvre pas les yeux c’est qu’il y a vraiment un gros problème au niveau des neurones.

Je mets à nouveau en lien, sous la vidéo, la pétition contre cette loi qu’il faut absolument signer !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

 

>>>LIEN SUR LA PÉTITION<<<

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Le secret des affaires : Une loi permissive qui se met en place. En France l’étau se resserre de jour en jour

LA DÉMOCRATIE RÉGRESSE ENCORE D’UN POINT AVEC LE SECRET DES AFFAIRES !

Vous aimez être informé de ce qui se trouve dans vos assiettes, vous appréciez le travail de ces journalistes qui vous informent sur les dérives de l’industrie du tabacs, sur les manigances de ceux qui planquent leur argent dans les paradis fiscaux, de la nuisance des pesticides sur l’environnement et la santé ?

Tout cela risque de disparaitre au nom du secret des affaires !

Élise Lucet nous invite à nous mobiliser pour amender ce texte de loi afin qu’il ne passe pas car dans le cas contraire, informer les citoyens pourra être passible de très lourdes sanctions.

Comment un gouvernement déjà très impopulaire auprès des citoyens qui en ont élu le président peut-il encore en rajouter une couche en votant des lois permissives qui ne vont que dans le sens des lobbies et des multinationales ?

Sous la vidéo vous trouverez le lien de la pétition et je me joins à cette journaliste de talent pour vous inciter vivement à suivre son exemple.

Ce qu’il faut savoir dans le cas où cette loi serait adoptée et dans le cas ou il y aurait un jugement opposant journalistes et multinationale(s), c’est que les juges mandatés pour régler le problème feront partie intégrantes du personnel des plaignants ou autrement dit, des multinationales. On doit pour cela remercier les accords mortifères de libre échange signés sans l’approbation voir même en le cachant habilement à  la volonté populaire, entre lobbies et gouvernements corrompus.

Tout cela est difficile à comprendre et les inepties qui vous sont servies dans vos médias de tous les jours vous invitent à ne même pas vous poser la question.

La lobotomisation des consciences est en marche !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

>>>LIEN SUR LA PÉTITION<<<

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L’image du jour : Le secret des affaires

Solidaires avec « Challenge » pour la liberté d’informer

La société des journalistes (SDJ) du quotidien « Les Echos » s’indigne de la récente condamnation de « Challenges » par le Tribunal de commerce de Paris, au motif que notre confrère aurait enfreint le secret des affaires.

L’hebdomadaire économique a été sévèrement sanctionné – Retrait d’un article paru sur Internet ; interdiction de traiter l’affaire en question sous peine d’amende ; règlement des frais de justice – pour avoir informer ses lecteurs d’une procédure de « mandat ad hoc » sous le coup de laquelle était un grand distributeur français.

Le code du commerce qui impose un caractère confidentiel à une telle procédure a prévalu sur la liberté d’informer, l’un des principes fondamentaux de la république française et l’une de ses conditions de sa vitalité. Des juges issus du monde de l’entreprise ont de facto prononcé une décision transformant la liberté d’informer en délit.

La SDJ du quotidien « Les Échos » dénonce ce jugement qui menace l’exercice de la profession de journaliste, en particulier de journaliste économique. Elle demande aux pouvoirs publics de garantir pleinement la liberté d’informer de manière indépendante et rigoureuse. Et ce sans tarder.

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Vidéo secrète : un membre du Sommet mondial de la santé admet que les confinements mondiaux ne sont « pas fondés sur la science » / Video sub acoperire: Un membru al Summit-ului Mondial pentru Sănătate recunoaște că blocările globale „nu se bazează pe știință” / Undercover Video: World Health Summit Member Admits Global Lockdowns ‘Not Based on Science’

Vidéo secrète : un membre du Sommet mondial de la santé admet que les confinements mondiaux ne sont « pas fondés sur la science »

Le Sommet mondial de la santé, en partenariat avec l’Organisation mondiale de la santé, a organisé une conférence de trois jours en octobre avec 300 conférenciers et 3000 participants pour discuter de la réponse mondiale au COVID-19 et des futures réponses à la pandémie.

Un membre du Centre germano-ouest-africain pour la prévention des pandémies (G-WAC), financé par le ministère fédéral allemand des Affaires étrangères, a expliqué à un journaliste infiltré de Rebel News que la plupart des décisions politiques recommandées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pendant la pandémie de COVID n’étaient pas scientifiquement fondées.

« Au plus fort de la pandémie, la plupart des décisions n’étaient pas fondées sur la science comme je l’ai dit. Ils étaient juste réactionnaires, a déclaré le membre du G-WAC.

« Beaucoup de choses qui se sont produites pendant le COVID ne se seraient pas produites, d’après ce que nous savons maintenant. Les gens sont beaucoup mieux préparés qu’ils ne l’étaient auparavant », a-t-il ajouté.

Il a également admis que « certains processus scientifiques ont peut-être été contournés ou négligés » par les sociétés pharmaceutiques « afin que nous puissions avoir des vaccins ».

Malgré les nombreux orateurs et sujets, les conséquences négatives ou les implications éthiques de l’imposition de confinements mondiaux n’ont pas été discutées lors du sommet.

Ces remarques, bien qu’exaspérantes, ne sont pas surprenantes étant donné que les objectifs déclarés de l’OMS et du Forum économique mondial pour que le monde sorte de la pandémie de COVID ne sont pas basés sur la science, mais sur le contrôle : passeports vaccinaux et monnaies numériques de la banque centrale dans le cadre d’un crédit social système de pointage.

Aceste observații, deși enervante, nu sunt surprinzătoare, având în vedere că obiectivele declarate ale OMS și ale Forumului Economic Mondial pentru ca lumea să iasă din pandemia de COVID nu se bazează pe știință, ci pe control: pașapoartele de vaccin și monedele digitale ale băncii centrale ca parte a unui sistem de notare a creditelor sociale.

Video sub acoperire: Un membru al Summit-ului Mondial pentru Sănătate recunoaște că blocările globale „nu se bazează pe știință”

Summitul Mondial al Sănătății, în parteneriat cu Organizația Mondială a Sănătății, a găzduit în octombrie o conferință de trei zile cu 300 de vorbitori și 3.000 de participanți pentru a discuta răspunsul global la COVID-19 și răspunsurile viitoare la pandemie.

Un membru al Centrului German-Vest-African pentru Prevenirea Pandemiei (G-WAC), finanțat de Ministerul Federal de Externe german, a explicat unui jurnalist sub acoperire de la Rebel News că majoritatea deciziilor politice recomandate de Organizația Organizației Mondiale a Sănătății (OMS) în timpul pandemiei de COVID nu erau bazate științific.

„În apogeul pandemiei, majoritatea deciziilor nu s-au bazat pe știință, așa cum am spus. Erau doar reacționare”, a spus membrul G-WAC.

« Multe lucruri care s-au întâmplat în timpul COVID nu s-ar fi întâmplat, din câte știm acum. Oamenii sunt mult mai pregătiți decât erau înainte », a adăugat el.

El a recunoscut, de asemenea, că „s-ar putea ca anumite procese științifice să fi fost ocolite sau trecute cu vederea” de companiile farmaceutice „astfel încât să putem avea vaccinuri”.

În ciuda numeroșilor vorbitori și subiecte, consecințele negative sau implicațiile etice ale impunerii blocajelor globale nu au fost discutate la summit.

Undercover Video: World Health Summit Member Admits Global Lockdowns ‘Not Based on Science’

The World Health Summit, in partnership with the World Health Organization, held a three-day conference in October featuring 300 speakers and 3000 participants to discuss the global response to COVID-19 and future pandemic responses.

A member the German-West Africa Center for Pandemic Prevention (G-WAC), funded by Germany’s Federal Foreign Office, explained to an undercover Rebel News reporter that most of the policy decisions recommended by the World Health Organization (WHO) during the COVID pandemic were not scientifically sound.

“In the heat of the pandemic, most of the decisions were not based on science like I said. They were just reactionary. Anything that would help,” the G-WAC member said.

“A lot of things that happened during COVID wouldn’t have happened, from what we know now. People are much more prepared than they were before,” he added.

He also admitted that “some scientific processes may have been sidestepped or overlooked” by the pharmaceutical companies “so we could have vaccines.”

Despite the many speakers and topics, the negative consequences or ethical implications of imposing global lockdowns were not discussed at the summit.

These remarks, though maddening, are not surprising given the WHO and World Economic Forum’s stated goals for the world coming out of the COVID pandemic are not based on science, but control: vaccine passports, and central bank digital currencies as part of a social credit score system.

Stéphane Guibert / Rares Mihai Florescu

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