Société : On dit que l’enfer est vide car tous les démons se trouvent sur terre

On dit que l’enfer est vide car tous les démons sont sur terre

Pédophilie, Église de Satan, destruction globale, franc maçonnerie, Jésuites … tous les signes d’une apocalypse sont palpables, tous se dessinent et tout se met en place.

Le document qui suit est un résumé explicite d’une vérité qui jour après jour éclate au grand jour. La question qui demeure : « Avons-nous les yeux assez ouverts pour prendre conscience de l’ampleur de ce qui est en train de se produire et sommes-nous arrivés en bout de course ? »

Certains rétorqueront en parlant de complosphère mais de nombreux faits sont pourtant avérés. Je vous invite à visionner le document qui illustre ce billet et à en débattre après sur les réseaux sociaux.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Société : K2, la drogue de synthèse qui inquiète les USA

Les autorités sanitaires américaines ont lancé l’alerte devant le nombre croissant et préoccupant d’overdoses ces derniers mois. Le « K2 » ou « Spice », un cannabis de synthèse 85 fois plus concentré que la marijuana, fait des ravages aux États-Unis. Pour le moment, la France est encore épargnée par le phénomène.

Un cannabis de synthèse environ 100 fois plus puissant que la marijuana inquiète les autorités sanitaires américaines. Car cette drogue fait des ravages aux États-Unis où, à la mi-août, une soixantaine d’étudiants de la prestigieuse université de Yale ont été victimes d’overdose liée à ce produit. Et les cas se multiplient de plus en plus chez les jeunes Américains.

À la mi-juillet déjà, la Food and Drug Administration avait averti les consommateurs que du cannabis synthétique, coupé avec de la mort-aux-rats, avait provoqué l’hospitalisation de centaines de personnes victimes de graves hémorragies et entraîné au moins quatre décès.

Un effet très nocif et parfois fatal

Appelé « K2 », « Spice », ou encore « Black Mama » par les initiés, le cannabis de synthèse contient des substances psychotropes qui reproduisent les effets du cannabis naturel. « Mais ces molécules, les cannabinoïdes synthétiques, sont nombreuses et diffèrent selon les produits. Elles sont surtout beaucoup plus puissantes que le THC, le composant actif du cannabis », explique le Dr Agnès Cadet-Taïrou, responsable du pôle Tendances récentes et nouvelles drogues à l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).

Comparé au principe actif du cannabis traditionnel, la version synthétique dite « K2 » contient des molécules beaucoup plus nombreuses et plus puissantes. (Photo : d’illustration : EPA)

« Ces produits peuvent être vendus sur internet sous forme de poudre ou de liquide, mais ils sont surtout mélangés à des feuilles broyées ressemblant au cannabis standard, poursuit la spécialiste. Il s’en vend également sous forme dite « e-liquide », utilisée avec des cigarettes électroniques. Et comme il existe une multitude de molécules, il est à la fois difficile de savoir précisément ce qu’il y a dedans et il n’existe pas d’effets standards : pour certains, le produit aurait un effet relaxant, sédatif ; pour d’autres, c’est un euphorisant. Mais les effets secondaires sont nombreux. »

Accidents cardiaques, problèmes de rein et de foie, confusions, malaises, tensions artérielles, états psychiatriques délirants et paranoïaques… Et donc de récents cas de décès aux États-Unis.

Drogue apparue au début des années 2000

C’est là-bas que cette drogue est apparue au début des années 2000. 11 % des adolescents américains avaient déjà testé au moins une fois cette substance en 2012, selon le National Institute on Drug Abuse.

La famille des cannabinoïdes de synthèse comprend une centaine de substances différentes, interdites en France depuis 2009. La plus connue, présente dans la variété dite « Spice », est composée de l’AMB-Fubicana, un dérivé de l’AB-Fubicana, qui n’est autre qu’un antidouleur.

Mais si les effets varient, c’est que les trafiquants modifient la formule pour élaborer ce cannabis ultra-puissant. Ainsi, ils compliquent le travail des autorités qui établissent la liste des substances illicites aux États-Unis.

Pas encore répandue en France

En France, cette drogue de synthèse n’est pas encore très répandue même si l’on sait que les adolescents consomment beaucoup de cannabis. En 2017, l’étude ESCAPAD de l’OFDT évaluait que 4 % des jeunes de 17 ans déclaraient « avoir déjà consommé un produit imitant les effets d’une drogue », en majorité un cannabinoïde de synthèse.

« À Mayotte, il y a eu une vague de surdoses avec un produit similaire appelé « la chimique » en 2015, précise le Dr Agnès Cadet-Taïrou. Mais en métropole, la situation n’est pas dramatique. En tout cas, pas comparable à celle des États-Unis. Mais cela ne veut pas dire que la menace n’existe pas », prévient la spécialiste française, qui reste très mesurée.

Déjà évoqué sur ces pages, cette drogue qui s’attaque notamment au système nerveux transforme les gens qui en consomment en zombies.

G.S / Finalscape

Et pour rappel :

Dans un parc du centre ville de New Haven, en quelques heures des dizaines de personnes ont été prises de violents malaises.

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Société : Enfant du latin « Infans » ou, celui « qui ne parle pas »

L’imposture des « droits sexuels » Introduction à la notion perverse de « l’enfant sexualisé »

  • La propagande de masse introduit la notion perverse de « l’enfant sexualisé », potentiellement « consentant » à avoir des rapports sexuels avec un adulte.
  • L’enfant n’est pas en maturité psychologique, biologique et émotionnelle d’avoir un rapport sexuel, il est sous l’influence et la domination d’un adulte.
  • Un enfant n’a pas de libre-arbitre, il n’est pas responsable mais vulnérable, il ne peut donc pas donner son consentement.
  • Soit l’adulte protège l’enfant, soit il en abuse. Protéger veut dire protéger son innocence. Innocence signifie, étymologiquement,  « à qui l’on ne doit pas nuire ».
  • L’adulte qui projette que l’enfant serait « consentant » ce qui par définition, le transgresse, est pervers.
  • Les droits sexuels « pour tous » (enfants compris) et l’éducation sexuelle pour les très jeunes enfants sont une transgression de leur innocence.
  • L’éducation sexuelle pour les jeunes enfants et les droits sexuels « pour tous » sont portés par de grandes organisations internationales et nationales.

Vidéo : Analyse cinglante de Ariane Bilheran 

Vidéo complète, préambule :

Courte présentation par Ariane Bilheran de son livre « L’imposture des droits sexuels.

Ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial », en vente sur amazon. Les « droits sexuels » sont une nouvelle idéologie à la mode, portée par différentes instances internationales en matière de santé, et en particulier, en matière de santé des mineurs. Dans cet essai radical, Ariane Bilheran propose, sans exhaustivité, une analyse des dérives déjà existantes en France, sous couvert de « l’éducation à la sexualité », ainsi qu’une étude littérale de nombreux passages de la « déclaration des droits sexuels » qui soutient une telle idéologie pédophile, sous couvert de lutter pour les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé. La philosophe et psychologue démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’adjuvante de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme.

Elle décrypte ici les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « nouvel ordre mondial » au travers de la transgression sexuelle des enfants et adolescents.

Lorsque les fous sont au pouvoir, ils imposent leur délire, sur la base d’une contagion délirante qu’il s’agit d’identifier pour s’en prémunir. Ils détruisent les enfants et persécutent les sains d’esprit.

Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, spécialisée dans la psychologie du pouvoir déviant (harcèlement, manipulation, tyrannie, totalitarisme et ses pathologies : paranoïa, perversion…) et du pouvoir juste (autorité, reprise de son pouvoir personnel etc…).

L’action de professionnels de santé en France

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Société : Une centaine d’overdoses en quelques heures dans un parc d’une ville du Connecticut

Dans un parc du centre ville de New Haven, en quelques heures des dizaines de personnes ont été prises de violents malaises.

les victimes ont consommé de la marijuana de synthèse appelée « K2 » qui le cas présent avait été coupé avec un autre produit ultra toxique.

Hypertension, hallucinations, perte de conscience et vomissements sont les symptômes. Ce jour là, un total de 100 overdoses avaient été signalées. Certaines victimes ont affirmé que la drogue leur avait été donnée. 3 personnes ont été interpellées.

La ville de New Haven a déjà été le théâtre de 2 autres séries d’overdoses en 2018.

G.S / Finalscape

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L’OMS plébiscite l’enseignement de la masturbation aux enfants de 4 ans

Dernière mise à jour : samedi 1er. septembre 2018 – 18:00

Planning des cours en maternelle à la rentrée :

Contrairement aux idées reçues, tous les documents mentionnés lors des débats n’émanent pas du Ministère de l’Éducation Nationale. En effet, la publication du bureau régional pour l’Europe de l’Organisation Mondiale de la Santé (2010), Standards pour l’éducation sexuelle en Europe est peut-être l’une des plus explicites.

Le document est qualifié par ses auteurs de « Cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé et les spécialistes ». À partir de la page 38, un tableau spécifie l’information à donner aux enfants selon leur âge, ainsi que les compétences et attitudes à travailler.

Le document prévoit ainsi d’informer :

  • L’enfant de 0 à 4 ans sur “le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce”, “la tendresse et le contact physique comme une expression de l’amour et de l’affection”, “le droit de refuser si l’expérience ou le ressenti n’est pas plaisant”, “le droit d’explorer les identités sexuelles”.
  • L’enfant de 4 à 6 ans sur “les sensations liées à la sexualité (proximité, plaisir, excitation) comme faisant partie de la gamme des sensations humaines”, “les différences liées aux genres”.
  • L’enfant de 6 à 9 ans sur “les choix possibles en matière de parentalité, grossesse, infertilité, adoption”.

La liste se poursuit ainsi pour les enfants de 9-12 ans, 12-15 ans, 15 ans et plus.

Plus récemment en France, la « Stratégie nationale de santé sexuelle » fixant un agenda 2017-2030, a été publié sur le site du Ministère des Solidarités et de la Santé. On y apprend que le premier objectif du premier axe sera « d’éduquer les jeunes à la sexualité, à la santé sexuelle et aux relations entre les personnes ». La « vision » de l’axe I est « d’agir précocement auprès des jeunes pour permettre à chacun de prendre des décisions éclairées et responsables quant à leur santé sexuelle ».

Dans un document annexe fixant la feuille de route 2018-2020, on apprend que la première des 26 actions mises en oeuvre sera de « produire un plaidoyer interministériel pour promouvoir l’éducation à la sexualité ». « Elaborer, à l’attention des professionnels, des relais et des parents, un plaidoyer partagé au niveau interministériel en faveur de cette démarche, qui explique le contenu de l’éducation à la sexualité aux différents âges de la vie ».

Le document n’indique pas si le document de l’OMS mentionné plus haut fera référence pour la rédaction du futur plaidoyer.

Le document de l’UNESCO, Principes directeurs internationaux sur l’éducation sexuelle, voit quant à lui un grand intérêt à confier l’éducation sexuelle aux enseignants. Il stipule que « les enfants âgés de 5 à 13 ans, en particulier, passent un temps relativement long à l’école. Par conséquent, les écoles ont, concrètement, les moyens d’être en contact répété et durable avec un grand nombre de jeunes de différents milieux ».

Aujourd’hui, plusieurs textes font référence pour les enseignants français :

  • L’article L312-16 du Code de l’Éducation (2001) qui prévoit qu’«une information et une éducation à la sexualité soient dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupes d’âge homogène».
  • La circulaire « L’éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées » (2003), qui prévoit que « trois séances d’information et d’éducation à la sexualité doivent, au minimum, être organisées dans le courant de chaque année scolaire ».
  • Le site Éduscol, du Ministère de l’Éducation Nationale, qui propose d’éduquer à la sexualité selon 3 axes, biologique, social et psychoaffectif (abordant les questions d’orientation sexuelle et d’identité).
  • Le site Canopé, placé sous tutelle du ministère de l’Éducation nationale,  édite « des ressources pédagogiques répondant aux besoins de la communauté éducative ». Le site annonce que les Standards pour l’éducation sexuelle de l’OMS répondent « à la demande des adultes intervenants » qui « expriment régulièrement leur besoin de disposer d’un référentiel sur les connaissances ». Le site considère que le texte de l’OMS « propose un cahier des charges pour une éducation à la sexualité, avec un cadre et des exigences de base ».

Des ressources à disposition des professionnels et des particuliers existent également :

Face à l’ensemble de ces faits, des professionnels de l’enfance ont déjà fait entendre leurs voix et tirent la sonnette d’alarme.

Pour le collectif de psychologues et pédopsychiatres fondé par le Dr Maurice Berger, « les adultes n’ont pas à initier les enfants à la sexualité et au plaisir sexuel ».

« Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de ‘l’éducation sexuelle’ et des ‘droits sexuels’ mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de ‘prévention’ et ‘d’égalité’. »

Pour Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, docteur en psycho-pathologie, spécialiste de l’analyse de la psychologie du pouvoir et des pouvoirs déviants, le projet de la “Déclaration des Droits sexuels » “d’éduquer sexuellement les mineurs” est une grave dérive qui ouvre la porte à la perversion de la pédophilie.

“Il existe de dérives graves en France au travers de la prétention des adultes à éduquer sexuellement des mineurs sexuels. »

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Environnement : Trois rendez-vous atypiques en Suisse Romande dont les protagonistes militent pour une économie équitable et respectueuse pour les hommes et l’environnement

A bord de leur bus qui fonctionne à l’énergie solaire, Jonas Schneiter et l’écologiste Marc Muller vont montrer à un grand-papa et son petit-fils tout ce qui permet de tuer l’obsolescence programmée en Suisse. L’informatique, les baskets, les objets du quotidien, tout peut désormais être réparé. Avec les solutions découvertes, il devient évident que toutes les générations peuvent aujourd’hui trouver des alternatives durables et enthousiasmantes en Suisse. (Source : RTS)

Trois rencontres dans cet épisode :

  • François qui après avoir été conseiller d’état a créé Why ! open computing, une petite start-up qui redonne une seconde vie aux ordinateurs et aux smartphones. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du recyclage ainsi que du respect et de la protection de notre environnement.
  • Trois jeunes patrons âgés de 20 à 24 ans ont créé la cordonnerie « Dr. Sneakers & Shoes« . Les Suisses achètent en moyenne une paire de baskets tous les 2,5 mois. Des chaussures de toutes marques qui normalement passeraient à la poubelle et qui sont confiées entre les mains de ces orfèvres de la « godasse » ressortent de leur atelier comme neuves et ce, pour le quart du prix d’une paire que l’on se procure dans un grand magasin.
  • Le grand atelier est un espace de bricolage autonome et auto géré où tout un chacun peut venir y travailler le bois et le métal. Le grand atelier met en confiance les personnes n’ayant jamais bricolé tout en les encadrant. Du simple réveil jusqu’à sa bicyclette, tout ressort réparé de cet atelier.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

 

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

 

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Société : Travail, le règne de la peur !

Travail, le règne de la peur !

«La qualité qu’il faut avoir dans tous les grands groupes, c’est être conformiste… La meilleure personne pour surveiller les salariés, c’est le salarié lui-même…»

Didier Bille (Ancien DRH)

Nombreux sont les témoignages de cet ancien DRH et auteur du livre : « DRH, la machine à broyer » qui dénonce au fil des plateaux télé, l’implacable machine sociale.

À la question qui lui est posée : « Comment définit-on un bon salarié, un salarié qui est assuré de garder sa place au sein d’une entreprise ? »

Didier Brille répond : « Il y a une qualité qu’il faut avoir dans tous les grands groupes, c’est celle d’être conformiste, être bien dans le moule. Cela augmente vos chances de survie et de progression. Ensuite, il n’y a pas de profil parce que cela peut changer en fonction des besoins de l’entreprise, j’ai vu des personnes en recherche et développement être considérées comme des cadors un mois et puis, l’entreprise décide de ne plus s’intéresser à leur domaine d’expertise, ces gens là avaient, aux yeux de l’entreprise, plus aucune valeur quelques semaines plus tard. »

Puis il s’adresse aux auditeurs : « Tout ce que j’ai fait, je n’aurais pas pu le faire s’il y avait eu plus de liens entre les salariés,  si les salariés soutenaient beaucoup plus leurs représentants syndicaux. Est-ce que vous, salariés, regrettez quand c’est votre collègue qui c’est fait gicler, est-ce que vous regrettez de na pas être descendus dans la rue pour défendre le droit du travail qui est attaqué depuis 30 ans par tous les gouvernements qu’ils soient de gauche ou de droite ? »

Stéphane Guibert

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Réflexion : Les appareils connectés sont-ils nos amis ?

La publication d’un de mes contacts a attiré mon attention. Elle disait :

QUESTION / SONDAGE :

« A quel age, votre/vos enfant(s) a eu son premier smartphone connecté à internet ?? »
Réponse en Commentaire Svp p;-) Merci.

Voici ma réponse :

La société nous pousse à connecter nos enfants aussi tôt que possible.

Un grand nombre d’applications leurs sont d’ailleurs dédiées.

Pour moi, cela fait partie d’un plan savamment orchestré par les « élites » de ce monde, à savoir : faire de nos enfants, les vassaux d’un système qui a su corrompre la classe politique jusqu’à la bassesse de jeter en pâture nos propres enfants entre les griffes de vautours assoiffés de chair fraîche, d’argent et de pouvoir.
Personnellement, aucun de ces appareils ne sera mis entre les mains de mes enfants avant qu’ils ne soient en mesure de comprendre ce que j’explique ci-dessus.

A bon entendeur !

Si vous voulez faire de vos enfants des lobotomisés, cela vous regarde. En ce qui me concerne, la nature demeurera la seule interconnexion entre moi et mes enfants. La technologie doit être faite pour nous servir et non nous asservir.

Pour celles et ceux qui comprennent, bienvenue, pour les autres, je prie pour vous.

Stéphane Guibert

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Réseaux sociaux et l’incroyable désamour de leurs créateurs

« Le web a desservi l’humanité au lieu de la servir (…) Et a échoué sur de nombreux points ». Tim Berners-Lee

Les créateurs des réseaux sociaux ne « likent » plus ce qu’ils ont eux-même créé.

Tim Cook, patron d’Apple, déclarait dans le journal « The Guardian » :

« Je ne veux pas que mon neveu utilise les réseaux sociaux ».

Jaron Lanier, pionnier de la réalité virtuelle et qui a récemment publié 10 arguments pour quitter les réseaux sociaux tout de suite :

« On ne peut plus appeler ça des réseaux sociaux, cela s’appelle des empires de modification du comportement ».

Désormais, on assume ouvertement d’avoir manipulé les cerveaux.

Tristan Harris, ancien ingénieur chez Google :

« Dans les années 70, quand vous parliez au téléphone, il n’y avait pas des centaines d’ingénieurs de l’autre côté de l’écran qui savaient parfaitement comment fonctionne votre psychologie ».

Sean Parker, co-fondateur de Napster et possédant des parts chez Facebook :

« Notre réflexion était : comment capturer un maximum de votre temps et de votre attention. Pour ça, nous devions vous fournir des pics de dopamine. Par exemple, on a créé des « likes » sur vos posts afin de vous pousser à continuer ».

Le but des vidéos dites « autoplay », qui démarrent sans que l’on ait besoin de cliquer, est de créer une addiction.

Chamath Palihapitiya, ancien vice-président chez Facebook déclarait :

« Nous avons créé une machine qui déchire le tissu social en fabriquant des outils qui sécrètent de la dopamine à répétition et du plaisir immédiat, nous avons détruit le fonctionnement de la société. Ce que je peux contrôler, c’est ma décision de ne pas utiliser cette merde et de ne pas laisser mes enfants utiliser cette merde ».

Les gestes pour éviter les addictions sont pourtant simples et cela commence par désinstaller de son portables toutes les applications concernées. Il est également conseillé de ne pas employer son téléphone comme réveil matin, ceci afin que cet objet ne soit plus ni le dernier, ni le premier que l’on utilise dans notre journée.

Stéphane Guibert

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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