La France, aujourd’hui championne du monde d’un sport faussement viril et demain, championne du monde du ridicule. Quel contraste !
Chapeau tout de même à ces deux équipes en finale comme d’ailleurs à toutes celles qui ont participé à ce mondial car elles ont toutes été jusqu’au bout de leur rêve même si celui-ci n’a pas été exaucé.
Une liesse nationale dans tout l’hexagone, une exultation à la patrie alors que les mot « Mondial », « Mondialisme » ou « Mondialisation » signifient justement le renoncement de l’État-nation.
Cherchez l’erreur…
L’hypocrisie bat son plein.
Chers Français, laissez-moi vous dire que vous proclamez une victoire à laquelle vous avez d’ores et déjà renoncé puisque la France est « OUT » depuis belle lurette.
Enfin… Je vous laisse à vos illusions étant donné que c’est tout ce qu’il vous reste.
Retour à l’esclavage et on ne discute pas ! Lors de la cérémonie mortuaire, le cimetière devrait être pris d' »Assault ».
Bien facile à dire pour un homme qui a fait sa fortune notamment en exploitant à outrance des dizaines de milliers de salariés et on en rajoute une couche alors qu’il citait en exemple les chinois qui travaillent, mangent et dorment sur place tout en fabriquant des produits de bonne qualité et peu cher.
Ces gens là, pourris par l’argent et le pouvoir dont ils ce sont emparés représentent une minorité on le sait. Cette minorité nourrit un système mafieux, mortifère et satanique nommé le capitalisme dont il faudra bien se débarrasser un jour ou l’autre pour le bien fait de la planète et de tous les êtres qui la peuplent.
Si il y a une justice divine, le défunt doit se sentir bien seul aujourd’hui.
Sur le plateau de l’émission de France 2 « On est pas couché« , une déléguée syndicale de l’enseigne Carrefour s’exprime sur un raz le bol qui se généralise en France
Elle déclare en direct que les salaires des caissières qui sont en moyenne de 1’300 euros par mois ne permettent pas de tourner sans devoir drastiquement se serrer la ceinture, que les salariés en ont marre, que les conditions de travail dans la grande distribution sont de pire en pire et si l’on regarde les dividendes qui sont reversés aux actionnaires, 356 millions d’euros, il faut savoir que la participation qui était reversée aux employés avant pouvait atteindre entre 800 et 900 euros par année. Aujourd’hui, cette participation n’excède pas 57 euros.
Les employés se sentent lésés. Avant, ils devaient travailler pour vivre alors qu’aujourd’hui ils doivent vivre pour travailler dans le sens qu’ils doivent passer leur journée au travail du matin au soir ce qui impact gravement sur la vie privée.
Elle fini par dire : « Nous passons notre vie à donner de l’argent à des actionnaires qui ne nous respectent même plus, qui n’ont même pas le respect de nous reverser au moins ce que nous produisons parce que ce sont nous, les salariés, les producteurs de richesse, c’est nous qui faisons en sorte que Carrefour gagne de l’argent et aujourd’hui on ne peu pas nous le reverser ou au moins avoir une équité dans le reversement des richesses, ce n’est plus possible et nous en avons raz le bol. »
Et pour rappel :
Alors que de réforme en réforme les Français sont priés de se serrer chaque fois plus la ceinture, Carrefour gave ses actionnaires avec les deniers publics. Scandaleux !
Alors que carrefour prévoit un plan social mettant à la trappe 10’000 emplois, depuis 2013 les Français ont versé à la firme 744 millions d’euros sous forme d’aide publique. Dans le même temps, Carrefour versait 2,4 milliards sous forme de dividendes à ses actionnaires.
Cela signifie que chaque foyer imposable à donné 44 euros aux actionnaires de Carrefour, cela signifie que la direction de Carrefour a versé l’équivalent de toutes les aides publiques reçues à ses actionnaires.
C’est au début de l’année, en janvier que le petit Gabriel à peine âgé de 8 ans met fin à ses jours en se pendant dans sa chambre.
Originaire de la ville de Cincinnati (USA) ce petit garçon qui était plein de vie et que son entourage adorait était victime de harcèlement continus par les élèves de son école. Lors des faits, personne n’a compris pourquoi le garçonnet avait commis l’irréparable mais c’est suite au visionnage des vidéos de surveillance fournies à la police par l’établissement scolaire et où l’on voit l’enfant se faire bousculer qu’une enquête a été ouverte toutefois, la mauvaise qualité des images empêchaient de voir clairement ce qui c’était passé.
Le jour ou ses images ont été enregistrées, le petit Gabriel avait été retrouvé inconscient dans les toilettes de l’établissement. Selon un enquêteur, après la chute de Gabriel, des élèves auraient continuer à se moquer de lui en lui infligeant des coups de pieds. Après avoir été transporté à l’infirmerie, sa mère était venu le chercher. Durant la nuit, il se plaignait de douleurs au ventre et après un examen, l’hôpital qui l’avait ausculté en a conclu à une gastroentérite. C’est deux jours plus tard que l’enfant mettait fin à sa vie en se pendant dans sa chambre.
La maman du garçon n’a appris que son fils se faisait harceler que le jour où la police a reçu les images de vidéo surveillance. Le jour des faits, quand la maman était venu récupérer son enfant, l’établissement lui a expliqué que son fils avait été victime d’un malaise en se gardant de préciser que ce dernier était dû aux coups que lui avaient infligé ses camarades.
Un enfant de 8 ans confronté à une telle situation est inimaginable et pourtant cela arrive la preuve en est.
Bien que la vidéo présentée dans ce billet me semble être un canular, rien n’empêche que la surprotection des enfant dans le contexte familial fini très souvent à faire de ces enfants des adultes fragilisés et peu préparés aux difficultés auxquelles ils seront confrontés tout au long de leur vie.
Cela se répercute aussi et souvent lors de l’adolescence et même de l’enfance où l’on assiste comme dans cette vidéo à des scènes surréalistes où c’est l’enfant roi qui dicte la marche à suivre au sein du foyer et où très souvent un médiateur ne suffit même pas pour rééquilibrer la situation.
Des années 1970 ou il n’était pas rare de voir des enseignants rosser les élèves et aujourd’hui où la fessée est interdite, n’y a-t-il pas là deux extrêmes qu’il faudrait mixer afin de trouver un juste milieu ?
Pourquoi ais-je choisi le logo de la défunte chaîne de télévision Suisse par abonnement Télé Ciné Romandie ?
Parce que cela reflète la difficulté à laquelle le privé serait confronté dans un pays aussi petit que la Suisse qui en plus parle 4 langues différentes. Comment financer la diversité, la neutralité et surtout la qualité du service public dans ce contexte, comment en tirer des profits ce que ne fait pas le service public qui est là pour le citoyen et non pour le consommateur potentiel ?
La chaîne Télé Ciné Romandie fut la première chaîne de télévision cryptée à prépaiement, elle fut créée en 1983 et disparut en 1993 faute de na pas avoir atteint ses objectifs. Sa faillite coûta 40 millions de Francs à ses actionnaires.
En France, les coupes budgétaires dans l’audiovisuel ont coûté de nombreux emplois chez les journalistes et il en découla une diffusion restreinte d’émissions comme Cash Investigation ou Envoyé Spécial pour ne citer que ces deux émissions pourtant primordiales dans le domaine de l’information.
« Payer pour ce que je consomme » (l’un des slogans des initiants à « No Billag) voilà un bon slogan mais cela est discriminatoire pour les minorités qui n’auront pas les moyens de s’offrir les programmes auxquels elles aspirent, je veux parler de nos aînés, des plus jeunes, des cantons où l’on parle le Romanche etc …
Les initiants du « No Billag » nous projettent vers un « No man’s Land » qui risque de coûter très cher à notre démocratie car si l’initiative devait passer elle laisserait le champs libre à un marché libéral qui n’a comme premier but que celui de faire toujours plus d’argent et qui ne diffuse une information qui ne va que dans ses intérêts, une information à sens unique.
Alors que les peuples se réveillent partout en Europe en prenant conscience des problèmes de corruption, de pollution, d’empoisonnement que représente le Néolibéralisme, voter oui à « No Billag » serait dérouler encore plus le tapis rouge à ce régime.
Je voterai NONà cette initiative mortifère pour notre démocratie.
Qui ne connait pas la controverse liée au nouveau compteur électrique imposés par ERDF, le compteur Linky ?
Voici une grosse prise de position entre un citoyen exacerbé bien qu’un peu abrupte et un installateur qui assure que la fiabilité et la sécurité dudit compteur sont garantis par l’état tout en taxant les opposants au compteur linky de théoriciens du complot.
Pas si sûr que ce que dit l’installateur suffise pour rassurer les opposants à ce nouveau système car bien des analyses qui vont dans le sens des opposants pourraient convaincre et mener vers l’aboutissement d’un nouveau scandale sanitaire.
Linky fait désormais partie de nos prérogatives, une rubrique est ouverte et une enquête démarre.