
Et la fête est finie
On formait un groupe, Nicolas avait la gueule de l’emploi, beau gosse il incarnait celui qui se révolte, celui qui n’a rien à perdre.
D’année en année, cette chanson vieilli sans prendre la moindre ride.
Une belle histoire d’amitié et un monde que nous devinions.
Nicolas ne se souvient peut-être pas de moi mai l’entail laissé et le souffle court c’est à perte de vue que l’on voyait ce monde.
A vous que la vie n’a plus rien à apporter.

Stéphane Guibert (Facebook) / Sur (VK) / CrowdBunker/ X
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