Covid: Science fiction ou réalité?
7ème art, le complotisme derrière la camée
Cette vidéo se passe de tous commentaires.
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
Cette vidéo se passe de tous commentaires.
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
La Forêt d’émeraude (The Emerald Forest) est un film britannique réalisé par John Boorman, sorti en 1985.
Synopsis:
Bill Markham est un ingénieur américain venu construire un barrage hydraulique en bordure de la forêt amazonienne. Il s’installe avec son épouse Jean et leurs enfants Heather et Tommy. Ce dernier, âgé de 7 ans, est un jour enlevé tout près du chantier par une tribu d’indigènes locaux, les Invisibles. Dix ans plus tard, la construction du barrage est achevée. Bill et son épouse n’ont pas cessé de chercher leur fils, en vain.
Sous le nom de « Tomme », Tommy a été élevé par la tribu selon leur culture. Devenu un jeune homme, il doit passer un rite de passage pour devenir un adulte. Pour cela, il doit partir seul dans la forêt afin d’y chercher des pierres dont la boue extraite permet à son clan d’être invisible. Les Invisibles sont par ailleurs menacés par une tribu ennemie, les Féroces, ainsi que par la déforestation favorisée par le barrage.
Note de la rédaction:
Le film de Hervé Palud « Un indien dans la ville » pourrait avoir été inspiré de ce splendide long métrage « La forêt d’émeraude. » Il s’agit là d’un avis personnel qui n’engage que moi.
The Emerald Forest is a 1985 British film directed by John Boorman.
Synopsis:
Bill Markham is an American engineer who came to build a hydraulic dam on the edge of the Amazon rainforest. He settled with his wife Jean and their children Heather and Tommy. Tommy, aged 7, was one day kidnapped near the construction site by a tribe of local indigenous people, the Invisibles. Ten years later, the dam was completed. Bill and his wife have searched endlessly for their son, in vain.
Under the name « Tomme, » Tommy was raised by the tribe according to their culture. As a young man, he must undergo a rite of passage to become an adult. To do this, he must go alone into the forest to search for stones whose mud extracts allow his clan to be invisible. The Invisibles are also threatened by an enemy tribe, the Ferocious, as well as by deforestation caused by the dam.
Editor’s note:
Hervé Palud’s film « An Indian in the City » may have been inspired by the splendid feature film « The Emerald Forest. » This is a personal opinion that only commits me.
The Emerald Forest este un film britanic din 1985 regizat de John Boorman.
Rezumat:
Bill Markham este un inginer american care a venit să construiască un baraj hidraulic la marginea pădurii tropicale amazoniene. S-a mutat cu soția sa Jean și cu copiii lor Heather și Tommy. Acesta din urmă, în vârstă de 7 ani, a fost răpit într-o zi lângă șantier de un trib de localnici, invizibilii. Zece ani mai târziu, construcția barajului a fost finalizată. Bill și soția lui au continuat să-și caute fiul, dar fără rezultat.
Sub numele „Tomme”, Tommy a fost crescut de trib în conformitate cu cultura lor. De tânăr, trebuie să treacă un ritual de trecere pentru a deveni adult. Pentru a face acest lucru, el trebuie să meargă singur în pădure pentru a căuta pietre din care noroiul extras permite clanului său să fie invizibil. Invizibilii sunt amenințați și de un trib inamic, Feroceii, precum și de defrișările cauzate de baraj.
Nota editorului:
Filmul lui Hervé Palud „Un indian în oraș” ar fi putut fi inspirat din splendidul lungmetraj „Pădurea de smarald”. Aceasta este o părere personală care doar mă angajează.
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
Les années fastes de la musique :
En une décennie et demi, la musique fit un pas de géant en créativité et c’est à partir du début des années 80 que cette créativité se fit le plus ressentir avec notamment l’arrivée du groupe : “Lime”
Quelques notes, une boîte à rythme, un peu d’imagination deux ou trois synthétiseurs, un studio d’enregistrement, une bonne maison d’édition et le tour était joué.
La maison Polydor avait flairé le bon poisson avec ce duo : Denis et Denise Lepage qui incarnaient le groupe : “Lime” car ce furent des millions de disques vendus dans le monde. Ils furent incontournable dans toutes les discothèques branchées des années 80 et aujourd’hui encore, beaucoup d’artistes s’inspirent de leur musique en espérant reproduire le même succès.
Merci au label Polydor pour son aimable autorisation.
Ce groupe, originaire de Montréal au Québec, actif dans les années 1980, a produit des chansons disco (Your love, Unexpected lovers, Babe We’re Gonna Love Tonight, Angel Eyes…). Le son utilisé est de style électronique », créé à partir de boites à rythmes (Roland TR-808) et de synthétiseurs analogiques (Roland TB-303, Roland Jupiter 8, Roland juno 60).
The boom years of music :
In a decade and a half, the music made a giant leap in creativity and it was from the early 80s that this creativity was felt most with the arrival of the group: « Lime »
A few notes, a rhythm machine, a little imagination two or three synthesizers, a recording studio, a good publishing house and voila.
Sophie B. Hawkins (née Sophie Ballantine Hawkins le 1er novembre 1964 dans le quartier de Manhattan à New York) est une auteure-compositrice-interprète, musicienne et peintre américaine.
Sophie B. Hawkins est née et a grandi à New York. Après avoir fréquenté la Manhattan School of Music, elle commence sa carrière musicale comme percussionniste. Elle accompagne ainsi brièvement Bryan Ferry, mais comme son jeu ne convient pas au chanteur, elle est virée. Dans la foulée, elle écrit et compose chez elle la chanson « Damn I Wish I Was Your Lover. » Sophie B. Hawkins considère cet épisode comme une étape importante, puisque c’est avec cette chanson qu’elle commence sa carrière de chanteuse.
Sophie B. Hawkins (born Sophie Ballantine Hawkins on November 1, 1964 in the Manhattan borough of New York City) is an American singer-songwriter, musician, and painter.
Sophie B. Hawkins was born and raised in New York City. After attending the Manhattan School of Music, she began her musical career as a percussionist. She briefly accompanied Bryan Ferry, but was fired when her playing did not suit the singer. She then wrote and composed the song « Damn I Wish I Was Your Lover » at home. Sophie B. Hawkins considers this episode to be a milestone, as it was with this song that she began her singing career.
Sophie B. Hawkins (născută Sophie Ballantine Hawkins; 1 noiembrie 1964 în Manhattan, New York) este o cântăreață, compozitoare, muziciană și pictoră americană.
Sophie B. Hawkins sa născut și a crescut în New York City. După ce a urmat Școala de Muzică din Manhattan, această artistă și-a început cariera muzicală ca percuționist. Ea l-a însoțit pentru scurt timp pe Bryan Ferry, dar, întrucât cântăreața nu i se potrivea, a fost concediată. În timpul acestui proces, ea a scris și compus piesa „Damn I Wish I Was Your Lover” acasă. Sophie B. Hawkins consideră acest episod ca o piatră de hotar importantă, deoarece tocmai cu această melodie și-a început cariera de cântăreață.
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
Le hasard fait souvent bien les choses. Tout d’abord destiné à une chorégraphie locale mais repéré par un producteur, ce titre : « Funky town » du groupe Lips INC devait connaitre un succès mondial foudroyant.
Issu des années fastes, les années 80, ce titre raisonne toujours dans les oreilles de toutes générations confondues.
Chance often does things well. First intended for a local choreography but spotted by a producer, this title: « Funky town » by the group Lips INC was to experience a stunning worldwide success.
From the boom years, the 80s, this title still resonates in the ears of all generations.
Many thanks to Casablanca Records for the permission.
Șansa face adesea lucrurile bine. Destinat inițial unei coregrafii locale, dar depistat de un producător, acest titlu: „Funky town” al grupului Lips INC avea să experimenteze un succes uimitor la nivel mondial.
Din anii de boom, anii 80, acest titlu încă răsună în urechile tuturor generațiilor.
Lips INC « Funkytown » (12″ Extended version)
Lips INC « How long » (hese thes been going on)
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
Le prénom Nadir est d’origine arabe et signifie « rare », « unique » ou « précieux »
En français, ce mot est également l’opposé du zénith. Lorsque le soleil est à son Nadir, c’est qu’il est à l’opposé de son Zenith.
Que les incultes apprennent à défaut de savoir.
« Always the Sun » est une chanson du groupe The Stranglers qui lors de sa sortie valut au groupe un triple disque de platine.
Always the sun Label Epic © 1985
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
« Streets of Philadelphia » est une chanson écrite et interprétée par le musicien de rock américain Bruce Springsteen pour le film Philadelphia (1993) avec Tom Hanks , un des premiers films grand public traitant du VIH / SIDA. Sorti en single en 1994, la chanson a été un succès dans de nombreux pays, notamment en Autriche, au Canada, en France, en Allemagne, en Islande, en Irlande, en Italie et en Norvège, où elle a dominé les charts des singles. Aux États-Unis, le single culmine à la neuvième place du Billboard Hot 100.
La chanson a été acclamée et a remporté l’Oscar de la meilleure chanson originale et quatre Grammy Awards : chanson de l’année, meilleure chanson rock, meilleure performance vocale rock, solo et meilleure chanson écrite spécifiquement pour un film ou une télévision. En 2004, il a terminé à la 68ème place 68 de l’ AFI 100 Years … 100 Songs sur les meilleurs morceaux du cinéma américain.
La chanson est répertoriée parmi les 500 chansons du Rock and Roll Hall of Fame qui ont façonné le rock and roll.
Les dés étaient pipés, La nouvelle Orléans, je me m’y sentais bien. Pourquoi suis-je rentré?
« Streets of Philadelphia » is a song written and performed by American rock musician Bruce Springsteen for the film Philadelphia (1993) starring Tom Hanks, an early mainstream film dealing with HIV/AIDS. Released as a single in 1994, the song was a hit in many countries, particularly in Austria, Canada, France, Germany, Iceland, Ireland, Italy, and Norway, where it topped the singles charts. In the United States, the single peaked at number nine on the Billboard Hot 100.
The song received acclaim and went on to win the Academy Award for Best Original Song and four Grammy Awards: Song of the Year, Best Rock Song, Best Rock Vocal Performance, Solo, and Best Song Written Specifically for a Motion Picture or Television. In 2004, it finished at number 68 on AFI’s 100 Years…100 Songs survey of top tunes in American cinema.
The song is listed among the Rock and Roll Hall of Fame’s 500 Songs that Shaped Rock and Roll.
The dice were loaded, New Orleans, I felt good there. Why did I come back?
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
Si j’efface mes messages, c’est parce que tu passes à côté de moi sans me voir. A quoi cela rime-t-il en me disant une jour « Je t’aime » si c’est pour le lendemain faire comme si je n’existais pas?
Expliques moi ta logique.
Je pourrais te donner. Faut-il simplement que tu sois en mesure de l’accepter.
La tristesse réside dans le fait que l’amour ne se vend pas et le plus drôle, c’est que tu l’achète.
Te dire que je t’aime ne sert à rien si tu ne l’entends pas.
Stéphane
If I delete my messages, it’s because you walk by without noticing me. What’s the point of telling me « I love you » one day if you’re going to pretend I don’t exist the next day?
Explain your logic to me.
I could give it to you. You just have to be able to accept it.
The sad thing is that love can’t be sold, and the funny thing is that you buy it.
Telling you I love you is pointless if you don’t hear it.
Stéphane
Dacă îmi șterg mesajele, e pentru că treci pe lângă mine fără să mă observi. Care e rostul să-mi spui „Te iubesc” într-o zi dacă a doua zi te vei preface că nu exist?
Explică-mi logica ta.
Ți-aș putea da. Trebuie doar să știi cum să accepți.
Cel mai trist lucru este că dragostea nu poate fi vândută, iar lucrul amuzant este că plătești pentru această dragoste.
A-ți spune că te iubesc nu are rost dacă nu mă auzi.
Stéphane
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker
Sur une terrasse au bord du lac Léman, une oreille indiscrète …Voilà comment avec une glace Vanille Framboise j’ai connu Rose Laurens. Il y a eu ensuite une promenade, un repas et une nuit…. Si tu savais Rose le jour ou j’ai appris ta disparition à quel point j’ai été effondré.
Elle nous chantait : “Quand tu pars” Nous partons tous un jour et ce qu’il faut réaliser, c’est que chaque seconde vécue ne se revivra jamais, que chacune de ces secondes est un départ.
Vidéo: “Quand tu pars (Pour vivre dans ta lumière)” Cette chanson que nous devons à Francis Cabrel et Jean-Pierre Goussaud m’a fait pleurer plus d’une fois.
« Ma petite princesse, l’étincelle que tu as laissé dans le firmament ne s’éteindra jamais. »
On a terrace on the shores of Lake Geneva, an indiscreet ear…That’s how I met Rose Laurens with a Vanilla Raspberry ice cream. Then there was a walk, a meal and a night…. If you knew Rose the day I learned of your disappearance, how devastated I was.
She sang to us: “When you leave” We all leave one day and what we must realize is that every second lived will never be experienced again and that each of these seconds is a departure.
Video: “When you leave (To live in your light)” This song we owe to Francis Cabrel and Jean-Pierre Goussaud made me cry more than once.
« My little princess, the spark you left from the firmament will never be extinguished. »
Pe o terasă de pe malul lacului Geneva, o persoană cu urechea… Așa l-am cunoscut pe Rose Laurens cu o înghețată Vanilla Raspberry. Apoi a fost o plimbare, o masă și o noapte… Dacă ai ști cât de supărat am fost în ziua în care ai plecat.
Ea ne-a cântat: „când pleci”. Mergem cu toții acolo într-o zi și ceea ce trebuie să înțelegem este că fiecare secundă trăită nu va mai fi trăită niciodată și că fiecare secundă este o plecare.
Videoclip: „Când pleci (Pentru a trăi în lumina ta)” Această melodie pe care o datorăm lui Francis Cabrel și Jean-Pierre Goussaud m-a făcut să plâng de mai multe ori.
« Micuța mea prințesă, scânteia pe care ai lăsat-o de pe firmament nu se va stinge niciodată. »
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK) / CrowdBunker