Il a neigé dans le Sahara, c’est la faute du réchauffement climatique! / A nins în Sahara, e vina încălzirii globale! / It snowed in the Sahara, it’s the fault of global warming!

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Il a neigé dans le Sahara, c’est la faute du réchauffement climatique!

« On ne voit ça qu’une fois par siècle » disaient-ils en 2016. Mais quand la neige est retombée plus drue, et sur de plus vastes territoires en 2018 et 2021, ils ont préféré parler d’autre chose. De Waterworld par exemple.

Puisque le covid fait moins peur, et que la trouille est l’outil idéal de manipulation des foules, retour aux prévisions d’Henri Sannier star du JT qui annonçait il y a 31 ans déjà, la submersion de la plupart des côtes et îles basses avant l’an 2000.

Aujourd’hui c’est BFM TV qui remet ça. Le Groenland fond et va tous vous noyer !

Alors que les glaciers du Groenland ont grossi en 2017, une info que les médias main stream ont préféré minimiser ou ignorer.

Réseau International, un des rares sites où des climatologues s’expriment librement, mesures et courbes à l’appui, évoque : « Le phénomène actuel d’augmentation de l’épaisseur et de la surface des glaciers du Groenland, curieusement ignoré par les fauteurs de bruit médiatique au service de la psychose caniculaire ».

Les variations climatiques dépendent à 99 % du soleil.

Les éruptions solaires et les éjections de masse coronale (CME) émettent des rayonnements qui couvrent tout le spectre des ondes électromagnétiques (EM), des ondes radio aux rayons gamma.

Pendant le minimum de Maunder (1645-1715) observé et décrit par les astronomes, le Soleil était 0,25 % moins brillant que pendant le mini-minimum de 1996 qui a marqué une stase dans le « terrifiant » réchauffement cataclysmique.

Idem lors de celui de 2017-2018 annonçant un prochain refroidissement cyclique avec l’extension de la banquise arctique.

Il a suffi que l’irradiation solaire soit 0,24 % inférieure à celle d’aujourd’hui pour réduire la température globale de 0,2°C .

Dis Greta, c’est quoi les isotopes ?

Les taches solaires sont cycliques sur des échelles de temps variables de 11 ans à des millénaires. Lesquelles correspondent, comme par hasard, aux cycles et ères climatiques de notre planète.

Si on creuse un peu, on observe que lorsque une forte éruption solaire augmente la TSI (total irradiance) de 0,1 %, elle amplifie notablement les émissions de longueurs d’onde UV, radio et rayons X. Et cela a pour effet la production d’isotopes cosmogéniques 14C (carbone 14) et 10Be (béryllium 10) dans l’atmosphère terrestre.

Ces isotopes d’origine galactique et solaire se forment dans la haute atmosphère à partir des fluctuations du flux de rayons cosmiques causés par le vent solaire.

L’incidence des 14C est relativement faible car la Terre est protégée des rayons cosmiques par son champ magnétique. Néanmoins, une augmentation soudaine de la concentration des 14C provoque un climat plus froid et/ou plus humide.

Lorsque se croisent et interfèrent 14C et 10Be (conséquence des réactions nucléaires induites par les rayons cosmiques dans la stratosphère et la troposphère) on observe des corrélations avec les courbes de la paléoclimatologie.

Les carottes extraites des glaciers montrent que, dans les phases chaudes, comme celle commençant il y a 11 500 ans, accompagnant le saut néolithique, on trouve de faibles valeurs en 10Be.

Alors qu’à l’inverse, il y a 30 000 ans lors de la dernière avancée de la glaciation de Würm IV, quand des glaciers de 2 km d’épaisseur descendaient jusqu’en latitude de Nantes, on avait un pic de concentration en 10Be.

Quand le soleil a froid, la terre a chaud. Et inversement.

Avant l’ère spatiale, les scientifiques croyaient que l’irradiation solaire totale était constante. À partir de 1978, on a pu la mesurer par les satellites. Leurs données combinées ont prouvé que la TSI (total solar irradiance) varie d’environ 0,1 % du minimum au maximum du cycle solaire. Ça paraît peu. En astronomie c’est énorme.

L’intensité de la radiation de notre étoile varie en fonction des taches solaires qui sont plus sombres et plus froides que la surface du Soleil.

Mais ces taches s’accompagnent de points lumineux qui augmentent l’intensité des radiations solaires qui régulent nos climats. Dès lors une période avec peu de taches n’annonce pas un réchauffement mais un refroidissement !

Ainsi, le petit âge glaciaire entre 1550-1860 a correspondu à un très faible nombre de taches solaires. Et même à une disparition complète de celles-ci entre 1665 et 1700.

Aujourd’hui alors que l’Europe subirait une canicule « jamais vue » selon les médias-menteurs, moindre toutefois que celle dévastatrice de 1911l’Institut météorologique danois affirme que « L’Arctique connaît son été le plus froid depuis 64 ans. »

Milankovitch avait vu juste !

Sa théorie née dans les années 1930 liait les variations cycliques des climats à l’activité solaire corrélée à l’excentricité de l’ellipse terrestre autour du soleil, l’obliquité de la Terre qui correspond à ses variations d’inclinaison, et la précession des équinoxes due au fait que notre planète tourne comme une toupie sur elle même.

Cette approche a été documentée par la science expérimentale dans les années 1970 et maintes fois confirmée depuis grâce à 3 disciplines majeures :

L’analyse des isotopes de l’oxygène retenus dans les glaciers, la cyclostratigraphie qui a relevé dans des cycles sédimentaires des dépôts carbonés stratifiés lors des changements climatiques passés, et la dendrochronologie sur des périodes plus courtes de l’ordre de 10 000 ans qui trouve dans les cernes des arbres, y compris fossilisés, des preuves que la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée, liées aux variations astronomiques.

Aujourd’hui on fait des mesures pointues grâce à Lucifer.

Cet acronyme désigne le Large Binocular Telescope Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research. En français : « Grand télescope binoculaire spectroscopique proche de l’infrarouge avec caméra et unité de terrain intégrée pour la recherche extragalactique. »

Cet outil d’étude du cosmos fonctionne à l’Observatoire du Mont Graham dans le sud-est de l’Arizona. Il n’a pas encore réussi à trouver des extraterrestres, mais il a permis de démontrer que les ondes électromagnétiques globales des phénomènes d’éruptions solaires et d’éjections de la masse coronale ont un impact déterminant sur les changements climatiques.

Au départ une étude circonstanciée sur la période 1860-1990.

1860 correspond à la fin du petit âge glaciaire. Après ce minimum, la température moyenne de la Terre va terriblement augmenter de 1,2° C en 130 ans.

Parce qu’il faut absolument désigner un coupable, et qu’on n’a pas encore inventé le thermostat permettant de réguler le soleil, le CO2 va être accusé. L’époque s’y prête, elle correspond à la deuxième révolution industrielle avec la mécanisation, le développement des sources d’énergie et les progrès technologiques.

Or le dioxyde de carbone n’est pas un poison. Il est indispensable à la vie.

Il représente 0,04 % de l’air, niveau stable depuis 50 ans. Tandis que sa part d’origine anthropique représente 4 % du total soit 0,0016 % de l’air ! C’est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et les rayonnements solaires. Sans CO2 il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus.

Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm conduirait inexorablement à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent. Avec à l’horizon la famine pour la plupart des humains. Les végans ne trouveraient même plus pour la manger l’herbe qu’ils fument.

Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau.

H2O représente 2 % de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 et possède des bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.

C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90 % des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !

En outre, les « savants » du GIEC oublient l’effet du gradient thermique vertical : l’air chaud monte et perd 2°C/1000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

Mais les réchauffards se croient encore au siècle de Dickens et de Zola. Et ils ne voient pas l’incompatibilité entre leurs lubies anticapitalistes de décroissance et leur adhésion au GIEC, officine de l’ultra-capitalisme mondialisé.

Quand les piliers institutionnels du NWO, gouvernements et banksters font des milliards de dollars avec « du vent » i.e la vente et l’échange de crédits carbone virtuels, constituant une des escroqueries les plus abouties de notre époque !

On peut ajouter à leur panurgisme une pratique du déni qui s’apparente à de la dissonance cognitive. Ainsi, selon l’Institut australien des sciences de la mer, la grande barrière de corail dont la disparition était annoncée à cause du réchauffement a atteint en 2021 des niveaux de couverture inégalés depuis 36 ans. Bonne nouvelle pour les zékolos ? Que nenni ! Entre chantages et copinages, ils ont exigé que les magazines et émissions axées sur l’environnement n’en parlent surtout pas !

Les vrais dangers contre lesquels peu de parades sont efficaces.

Les éruptions solaires à haute énergie perturbent nos réseaux électriques, nos communications, le signal du système de positionnement GPS et couvrent la haute atmosphère de rayonnements dangereux qui endommagent les satellites de télécoms.

Les particules énergétiques du Soleil créent aussi des oxydes d’azote qui, émis en masse durant les pics d’activité, réduisent notre taux d’ozone.

Mais ce ne sont pas les spray CFC & autres qui creusent les « trous » (qui se rebouchent tout seuls) contrairement aux âneries rabâchées mécaniquement par les perruches lustrées et les perroquets calamistrés des merdias.

Christian Navis

Interdit de séjour sur YouTube, Twitter et Facebook. Les peuples doivent rester dans l’ignorance !

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

A nins în Sahara, e vina încălzirii globale!

„Vedem asta doar o dată pe secol”, au spus ei în 2016. Dar când zăpada a căzut mai tare și pe zone mai mari în 2018 și 2021, au preferat să vorbească despre altceva. De la Waterworld, de exemplu.

Din moment ce covidul este mai puțin înfricoșător, iar frica este instrumentul ideal pentru manipularea mulțimilor, revenim la previziunile starului Henri Sannier de la JT, care a anunțat în urmă cu 31 de ani deja, scufundarea majorității coastelor și insulelor joase înainte de anul 2000.

Astăzi, BFM TV o face din nou. Groenlanda se topește și vă va îneca pe toți!

Pe măsură ce ghețarii din Groenlanda au crescut în dimensiune în 2017, știrile mass-media de masă au preferat să minimizeze sau să ignore.

Réseau International, unul dintre rarele situri în care climatologii se exprimă liber, cu măsurători și curbe de sprijin, evocă: „Fenomenul actual de creștere a grosimii și suprafeței ghețarilor din Groenlanda, ignorat în mod curios de zgomotul media din serviciul psihozei caniculare”.

Variațiile climatice depind în proporție de 99% de soare.

Erupțiile solare și ejecțiile de masă coronală (CME) emit radiații care acoperă întregul spectru de unde electromagnetice (EM), de la unde radio la raze gamma.

În timpul minimului Maunder (1645-1715) observat și descris de astronomi, Soarele a fost cu 0,25% mai slab decât în ​​timpul mini-minimului din 1996, care a marcat o stază în încălzirea cataclismică „terifiantă”.

La fel și în perioada 2017-2018, anunțând o viitoare răcire ciclică cu extinderea gheții marine arctice.

A fost suficient ca iradierea solară să fie cu 0,24% mai mică decât în ​​prezent pentru a reduce temperatura globală cu 0,2°C.

Spune Greta, ce sunt izotopii?

Petele solare sunt ciclice pe scări de timp variate de la 11 ani la milenii. Care corespund, întâmplător, ciclurilor și erelor climatice ale planetei noastre.

Dacă săpăm puțin mai adânc, observăm că atunci când o erupție solară puternică crește TSI (iradința totală) cu 0,1%, amplifică semnificativ emisiile de lungimi de undă UV, radio și de raze X. Și acest lucru are ca efect producerea de radiații cosmogenice. izotopii 14C (carbon 14) și 10Be (beriliu 10) din atmosfera Pământului.

Acești izotopi de origine galactică și solară se formează în atmosfera superioară din fluctuațiile fluxului de raze cosmice cauzate de vântul solar.

Incidența 14C este relativ slabă deoarece Pământul este protejat de razele cosmice prin câmpul său magnetic. Cu toate acestea, o creștere bruscă a concentrației de 14C provoacă un climat mai rece și/sau mai umed.

Când 14C și 10Be se intersectează și interferează (o consecință a reacțiilor nucleare induse de razele cosmice în stratosferă și troposferă) se observă corelații cu curbele paleoclimatologice.

Miezurile prelevate de pe ghețari arată că în fazele calde, precum cea începută cu 11.500 de ani în urmă, care însoțește saltul neolitic, se găsesc valori scăzute ale lui 10Be.

În timp ce, invers, acum 30.000 de ani, în timpul ultimului avans al glaciației Würm IV, când ghețarii cu o grosime de 2 km au coborât până la latitudinea Nantes, a existat un vârf de concentrare în 10Be.

Când soarele este rece, pământul este fierbinte. Si invers.

Înainte de epoca spațială, oamenii de știință credeau că iradierea solară totală era constantă. Din 1978, s-a putut măsura prin sateliți. Datele lor combinate au demonstrat că TSI (radianța solară totală) variază cu aproximativ 0,1% de la minim la maxim al ciclului solar. Pare puțin. În astronomie este enorm.

Intensitatea radiației stelei noastre variază în funcție de petele solare, care sunt mai întunecate și mai reci decât suprafața Soarelui.

Dar aceste pete sunt însoțite de puncte luminoase care măresc intensitatea radiației solare care reglează climatul nostru. Prin urmare o perioadă cu puține pete nu anunță o încălzire ci o răcire!

Astfel, Mica Eră glaciară între 1550-1860 a corespuns unui număr foarte scăzut de pete solare. Și chiar la o dispariție completă a acestora între 1665 și 1700.

Astăzi, în vreme ce Europa suferă un val de căldură „ieșit din comun”, potrivit presei false, dar mai puțin grav decât devastatorul din 1911, Institutul de Meteorologie Daneză declară că „Arctica se confruntă cu cea mai rece vară de la 64 de ani. . »

Milankovici a avut dreptate!

Teoria sa născută în anii 1930 a legat variațiile ciclice ale climei de activitatea solară corelată cu excentricitatea elipsei terestre în jurul Soarelui, oblicitatea Pământului care corespunde variațiilor sale de înclinare și echinocțiul de precesie datorită faptului că planeta se învârte ca un vârf pe ea însăși.

Această abordare a fost documentată de știința experimentală în anii 1970 și confirmată de multe ori de atunci datorită a 3 discipline majore:

Analiza izotopilor de oxigen reținuți în ghețari, ciclostratigrafia care a evidențiat depozite carbonice stratificate în ciclurile sedimentare în timpul schimbărilor climatice trecute și dendrocronologia pe perioade mai scurte de ordinul a 10.000 de ani decât cele găsite în inelele copacilor, inclusiv în cele fosilizate, demonstrează că succesiunea de cald, perioadele reci, uscate și umede și durata lor este legată de variațiile astronomice.

Astăzi facem măsurători precise datorită lui Lucifer.

Acest acronim înseamnă Telescopul binocular mare Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research. În engleză: „Telescop binocular spectroscopic în infraroșu apropiat cu cameră și unitate de câmp integrată pentru cercetare extragalactică. »

Acest instrument pentru studierea cosmosului funcționează la Observatorul Mount Graham din sud-estul Arizona. Încă nu a reușit să găsească extratereștri, dar a demonstrat că undele electromagnetice globale de la fenomenele erupțiilor solare și ejecțiilor de masă coronală au un impact decisiv asupra schimbărilor climatice.

Inițial un studiu detaliat al perioadei 1860-1990.

1860 corespunde sfârșitului Micii Epoci de Gheață. După acest minim, temperatura medie a Pământului va crește dramatic cu 1,2° C în 130 de ani.

Pentru că este absolut necesar să desemnăm un vinovat și pentru că nu am inventat încă termostatul pentru reglarea soarelui, CO2 va fi acuzat. Timpul i se preteaza, corespunde celei de-a doua revolutii industriale cu mecanizare, dezvoltarea surselor de energie si progresul tehnologic.

Dar dioxidul de carbon nu este o otravă. Este esențial pentru viață.

Reprezintă 0,04% din aer, nivel care este stabil de 50 de ani. În timp ce ponderea sa de origine antropică reprezintă 4% din total sau 0,0016% din aer! Este hrana de bază a plantelor. Cu apă și radiații solare. Fără CO2 nu ar exista plante și o mare parte din atmosfera pe care o respirăm nu ar mai fi reînnoită.

Pierderea a jumătate din concentrația actuală, în jur de 400 ppm, ar duce inexorabil la dispariția unei mari părți a vegetației și deci a animalelor care se hrănesc cu ea. Cu foametea la orizont pentru majoritatea oamenilor. Veganii nici nu ar găsi iarba pe care o fumează.

Principalul gaz cu efect de seră este vaporii de apă.

H2O reprezintă 2% din atmosferă, adică de 50 de ori mai mult decât CO2, și are benzi de absorbție care se suprapun în intensitate și frecvență cu cele ale CO2 cu un raport de 50 la 1.

Este vaporii de apă care absoarbe aproape toată căldura prin saturație, adică 90% din infraroșu, restul fiind atribuit altor gaze precum ozonul sau metanul. Dar căldura nu se acumulează prin adăugiri succesive!

De asemenea, „savanții” IPCC trec cu vederea efectul gradientului termic vertical: aerul cald se ridică și pierde 2°C/1000ft. Când sunt 25°C la sol, sunt doar 12°C la 2000 m.

În cele din urmă, IPCC nu ține cont de accelerarea ciclului apei care rezultă odată cu căldura într-o îngroșare a straturilor de nor, cu efect de creștere a albedo-ului pământului și deci reflectarea mai multor raze solare în spațiu, reducând astfel efectul de seră și temuta încălzire globală.

Dar acești oameni încă cred că sunt în secolul lui Dickens și Zola. Și nu văd nicio incompatibilitate între capriciile lor de decreștere anticapitalistă și apartenența la IPCC în centrul ultra-capitalismului globalizat.

Când adepții instituționali ai NWO (Nouă ordine mondială), guvernele și bancherii câștigă miliarde de dolari din „vânt”, adică vânzarea și schimbul de credite virtuale de carbon, constituind una dintre cele mai de succes escrocherii ale timpului nostru!

Putem adăuga panurgismului lor o practică de negare care este similară cu disonanța cognitivă. Astfel, potrivit Institutului Australian de Științe Marine, Marea Barieră de Corali, despre care se prevedea că va dispărea din cauza încălzirii globale, a atins în 2021 niveluri de acoperire nemaivăzute în 36 de ani. Vești bune pentru zekolos? Ba nu! Între șantaj și amiguism, au cerut ca revistele și programele axate pe mediu să nu vorbească despre asta!

Pericolele reale împotriva cărora puține parade sunt eficiente.

Erupțiile solare de înaltă energie ne perturbă rețelele electrice, comunicațiile, semnalul sistemului de poziționare GPS și acoperă atmosfera superioară cu radiații periculoase care dăunează sateliților de telecomunicații.

Particulele energetice ale Soarelui creează, de asemenea, oxizi de azot care, emiși în masă în timpul vârfurilor de activitate, reduc nivelul nostru de ozon.

Dar nu sunt spray-urile cu CFC și altele asemenea cele care sapă „găuri” (umple), spre deosebire de caca pe care Shiny Parakeets și Calamitus Parakeets le adună mecanic.

Christian Navis

Interzis de pe YouTube, Twitter și Facebook. Popoarele trebuie să rămână ignorante!

Climate Under Influence (climatorealist.blogspot.com)

It snowed in the Sahara, it’s the fault of global warming!

“We only see this once a century,” they said in 2016. But when the snow fell harder, and over larger areas in 2018 and 2021, they preferred to talk about something else. From Waterworld for example.

Since covid is less scary, and fear is the ideal tool for manipulating crowds, back to the forecasts of Henri Sannier star of the JT who announced 31 years ago already, the submersion of most coasts and low islands before the year 2000.

Today, BFM TV is doing it again. Greenland is melting and will drown you all!

As Greenland’s glaciers grew in size in 2017, news the mainstream media preferred to downplay or ignore.

Réseau International, one of the rare sites where climatologists express themselves freely, with supporting measurements and curves, evokes: « The current phenomenon of an increase in the thickness and surface area of ​​Greenland’s glaciers, curiously ignored by the of media noise in the service of heat wave psychosis ».

Climatic variations are 99% dependent on the sun.

Solar flares and coronal mass ejections (CMEs) emit radiation that spans the full spectrum of electromagnetic (EM) waves, from radio waves to gamma rays.

During the Maunder Minimum (1645-1715) observed and described by astronomers, the Sun was 0.25% dimmer than during the 1996 mini-minimum which marked a stasis in the « terrifying » cataclysmic warming.

Ditto during that of 2017-2018 announcing an upcoming cyclical cooling with the extension of the Arctic sea ice.

It’s enough for solar irradiation to be 0.24% lower than today to reduce the global temperature by 0.2°C.

Say Greta, what are isotopes?

Sunspots are cyclical on varying time scales from 11 years to millennia. Which correspond, coincidentally, to the climatic cycles and eras of our planet.

If we dig a little deeper, we observe that when a strong solar flare increases the TSI (total irradiance) by 0.1%, it significantly amplifies the emissions of UV, radio and X-ray wavelengths. And this has the effect of production of cosmogenic isotopes 14C (carbon 14) and 10Be (beryllium 10) in the Earth’s atmosphere.

These isotopes of galactic and solar origin are formed in the upper atmosphere from fluctuations in the flux of cosmic rays caused by the solar wind.

The incidence of 14C is relatively weak because the Earth is protected from cosmic rays by its magnetic field. However, a sudden increase in the concentration of 14C causes a colder and/or more humid climate.

When 14C and 10Be intersect and interfere (a consequence of nuclear reactions induced by cosmic rays in the stratosphere and troposphere) correlations are observed with paleoclimatology curves.

Cores taken from glaciers show that in warm phases, such as the one beginning 11,500 years ago, accompanying the Neolithic leap, low values ​​of 10Be are found.

While conversely, 30,000 years ago during the last advance of the Würm IV glaciation, when glaciers 2 km thick descended to the latitude of Nantes, there was a peak in concentration in 10Be.

When the sun is cold, the earth is hot. And vice versa.

Before the space age, scientists believed that total solar irradiance was constant. From 1978, it was possible to measure it by satellites. Their combined data proved that the TSI (total solar irradiance) varies by about 0.1% from the minimum to the maximum of the solar cycle. It seems little. In astronomy it is huge.

The intensity of our star’s radiation varies with sunspots, which are darker and cooler than the surface of the Sun.

But these spots are accompanied by luminous points which increase the intensity of the solar radiation which regulates our climates. Therefore a period with few spots does not announce a warming but a cooling!

Thus, the Little Ice Age between 1550-1860 corresponded to a very low number of sunspots. And even to a complete disappearance of these between 1665 and 1700.

Today, as Europe suffers a heat wave « never seen » according to the lying media, although less than the devastating one of 1911, the Danish Meteorological Institute says that « the Arctic is experiencing its coldest summer since 64 year. »

Milankovitch was right!

His theory born in the 1930s linked the cyclical variations of climates to solar activity correlated to the eccentricity of the terrestrial ellipse around the sun, the obliquity of the Earth which corresponds to its variations in inclination, and the precession equinoxes due to the fact that our planet spins like a top on itself.

This approach was documented by experimental science in the 1970s and confirmed many times since thanks to 3 major disciplines:

Analysis of oxygen isotopes retained in glaciers, cyclostratigraphy which revealed stratified carbonaceous deposits in sedimentary cycles during past climatic changes, and dendrochronology over shorter periods of the order of 10,000 years which has been found in tree rings, including fossilized ones, prove that the succession of hot, cold, dry, wet periods and their duration are linked to astronomical variations.

Today we make sharp measurements thanks to Lucifer.

This acronym stands for the Large Binocular Telescope Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research. In English: “Large near-infrared spectroscopic binocular telescope with camera and integrated field unit for extragalactic research. »

This tool for studying the cosmos operates at the Mount Graham Observatory in southeastern Arizona. It has not yet succeeded in finding extraterrestrials, but it has demonstrated that global electromagnetic waves from solar flares and coronal mass ejection phenomena have a decisive impact on climate change.

Initially a detailed study of the period 1860-1990.

1860 corresponds to the end of the Little Ice Age. After this minimum, the average temperature of the Earth will increase dramatically by 1.2° C in 130 years.

Because it is absolutely necessary to designate a culprit, and because we have not yet invented the thermostat to regulate the sun, CO2 will be accused. The time lends itself to it, it corresponds to the second industrial revolution with mechanization, the development of energy sources and technological progress.

But carbon dioxide is not a poison. It is essential for life.

It represents 0.04% of the air, a level that has been stable for 50 years. While its share of anthropogenic origin represents 4% of the total or 0.0016% of the air! It is the basic food of plants. With water and solar radiation. Without CO2 there would be no plants and a large part of the atmosphere we breathe would no longer be renewed.

Losing half of the current concentration, around 400 ppm, would inexorably lead to the extinction of a large part of the vegetation and therefore of the animals that feed on it. With famine on the horizon for most humans. Vegans wouldn’t even find the weed they smoke to eat anymore.

The main greenhouse gas is water vapour.

H2O represents 2% of the atmosphere, i.e. 50 times more than CO2, and has absorption bands that overlap in intensity and frequency with those of CO2 with a ratio of 50 to 1.

It is the water vapor which absorbs almost all the heat by saturation, i.e. 90% of the infrared, the rest being attributable to other gases such as ozone or methane. But heat does not accumulate by successive additions!

Also, the IPCC « scholars » overlook the effect of the vertical thermal gradient: warm air rises and loses 2°C/1000ft. When it is 25°C on the ground, it is only 12°C at 2000 m.

Finally, the IPCC does not take into account the acceleration of the water cycle which results with the heat in a thickening of the cloud layers, with the effect of increasing the albedo of the earth and therefore reflecting more solar rays. into space, thus reducing the greenhouse effect and the dreaded global warming.

But warmongers still believe they are in the century of Dickens and Zola. And they do not see the incompatibility between their anti-capitalist whims of degrowth and their membership of the IPCC, the pharmacy of globalized ultra-capitalism.

When the institutional pillars of the NWO, governments and bankers make billions of dollars with the « wind », i.e. the sale and exchange of virtual carbon credits, it constitutes to one of the scams the most most successful of our time!

One can add to their panurgism a practice of denial which is similar to cognitive dissonance. Thus, according to the Australian Institute of Marine Sciences, the Great Barrier Reef, which was to disappear due to global warming, reached in 2021 levels of coverage not seen for 36 years. Good news for environmentalists? Between blackmail and dubious friendships, they demanded that magazines and programs focusing on the environment do not talk about it!

The real dangers against which few parries are effective.

High-energy solar flares disrupt our power grids, communications, GPS positioning system signal, and blanket the upper atmosphere in dangerous radiation that damages telecom satellites.

The Sun’s energetic particles also create nitrogen oxides which, emitted en masse during peaks of activity, reduce our ozone levels.

But it’s not the CFC & consort sprays that dig the « holes » (which fill up on their own) unlike the nonsense mechanically harped on by the glossy parakeets and calamitous parrots of the media.

Christian Navis

Banned from YouTube, Twitter and Facebook. The peoples must remain ignorant!

Climate Under Influence (climatorealist.blogspot.com)

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