Gardez en tout temps de l’argent liquide sur vous!
Une ruée bancaire, panique bancaire ou course aux guichets est un phénomène, souvent auto-réalisateur, dans lequel un grand nombre de clients d’une banque craignent qu’elle ne devienne insolvable et en retirent leurs dépôts le plus vite possible.
Aujourd’hui, les banques n’ont jamais été autant exposées à des risques de faillite et si cela devait se produire, la crise des subprimes de 2008 n’aurait été qu’un avant goût.
Cette vidéo: « Le Jour où la Banque se Bloque (Et Vous Découvrez que Vous Êtes Seul) » vous explique très bien de cause à effet ce qu’un Bank Run aurait comme impact sur le citoyen Lambda.
Frontaliers Genève-France, un Eldorado à bout de souffle
En suisse, dans les villes bordant les départements limitrophes, l’afflux de travailleurs frontaliers devient récurent et augmente d’année en année. Et c’est sans compter le ballet incessant de voitures qui traversent les petites communes comme c’est le cas dans le canton de Genève.
IL faut également tenir compte de l’aspect du chômage qui augmente en Suisse et parallèlement le manque de personnel qualifié de l’autre côté de la frontière.
Bien qu’une loi ait été mise en œuvre à Genève, favorisant tout d’abord les travailleurs locaux lors du recrutement à l’Office cantonal de l’emploi, les accords cadres signés avec l’UE permet à la cour de justice européenne de l’abroger.
Vidéo:
Ils sont toujours plus nombreux dans le canton le plus riche de Suisse, c’est-à-dire Genève. De plus en plus nombreux mais toujours plus indispensables, ce sont bien sûr les frontaliers. Sans eux, c’est bien simple, les hôpitaux et de nombreux secteurs économiques ne tourneraient tout simplement pas. Ils sont 115 000 à traverser chaque jour la frontière, attirés par des salaires bien plus attractifs qu’en France. C’est deux fois plus qu’il y a 20 ans. Mais ce modèle a ses effets pervers, et ce, des deux côtés de la frontière. Côté Suisse, il y a bien sûr les fameux bouchons dans certaines localités et une concurrence accrue pour les travailleurs genevois. Mais côté France voisine, on commence aussi à réaliser qu’il n’y a pas que des avantages, bien au contraire. L’augmentation du niveau de vie des frontaliers ne fait qu’accroître les inégalités entre celles et ceux qui ne franchissent pas la frontière. Le système a-t-il atteint ses limites ? Enquête sur le côté sombre de l’eldorado suisse.
Emission complète:
Frontaliers Genève-France : les défis d’un modèle économique à bout de souffle
Auchan va disparaître et sera remplacé par Intermarché et Netto.
300 supermarchés vont ainsi se fondre dans l’oubli.
C’est tout le parc de supermarchés exploités par Auchan en France. D’ici peu… ils changeront tous d’enseigne.
Ces magasins vont passer sous les couleurs Intermarché ou Netto. Mais attention, il ne s’agit pas d’une vente; C’est encore plus surprenant.
Auchan va continuer à exploiter ses propres magasins…Mais sous le nom de ses concurrents.
Un montage inédit, jamais vu à cette échelle dans la grande distribution. Derrière cette manœuvre, un enjeu colossal: plus de 3,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 11 400 salariés concernés et une seule mission : sauver un format supermarché devenu trop faible face à la concurrence.
Car Intermarché et Netto, eux, explosent sur le terrain du prix et Auchan l’a compris : pour survivre, il doit changer de maillot.
Pour la première fois, un géant historique joue la carte de la franchise…
Face à des enseignes qui grignotent ses parts de marché depuis des années. Si tout est validé par l’Autorité de la concurrence, la transformation pourrait être achevée d’ici fin 2026.
La grande distribution française n’a jamais vécu un retournement aussi radical.
Suisse: Le « Cashless » va-t-il être banni des restaurants?
L’argent liquide fait partie intégrante de la constitution Helvétique
La fronde s’organise partout en Suisse contre le «cashless» dans les restos.
«Cashless only!» De plus en plus de restaurants n’acceptent plus que le paiement digital. Une vaste coalition politique se mobilise contre cette pratique. Dans plusieurs cantons, des projets de loi veulent contraindre les établissements à accepter l’argent liquide.
Assiste-t-on à la fin des paiements en liquide? Dans le secteur de la restauration, la transition a beau s’opérer discrètement, elle est incontestable. En effet, de plus en plus de clients paient par carte ou via leur téléphone.
Certains restaurants ont, eux, carrément proscrits le paiement en cash, une mesure parfaitement légale dès lors que l’établissement annonce clairement que seuls les moyens de paiement électroniques sont acceptés.
Mais cette évolution ne plaît pourtant pas à tout le monde. De nombreux élus s’alarment du recul des paiements en espèces, en particulier dans les restaurants. Plusieurs cantons examinent aujourd’hui des initiatives visant à obliger les établissements à accepter l’argent liquide.
Fait suffisamment rare pour être souligné: ces démarches sont soutenues par élus de tout le spectre politique, parfois à travers des alliances surprenantes. Un signe que ces projets ont de réelles chances d’aboutir – et que les établissements «cashless» pourraient bientôt se retrouver sous pression.
Ce petit sketch vous ouvrira les yeux sur le business juteux des banques:
Lorsqu’une banque vous accorde un crédit en ajoutant sur votre compte le montant désiré, il s’agit simplement d’un jeu d’écriture. En réalité, l’argent n’existe pas et c’est lors de vos remboursements mensuels qu’il se crée. La banque au passage se sucre largement sur les intérêts issus de la transaction.
Essayez de faire la même chose et vous finirez en prison.
« A situation exceptionnelle mesures exceptionnelles »
Tous les ingrédients sont réunis pour un gel préventif des comptes courants afin d’éviter un « Bank Run » (Ruée sur votre argent) et rappelons qu’ en cas de difficultés majeures, une loi européenne autorise l’établissement en difficulté à bloquer puis se servir sur votre compte.
Voilà 10 à 15 ans que l’on vous prévient.
En 2026, l’UE et tout particulièrement la France se trouveront en situation économique d’avant-Guerre mondiale.
Genève, Suisse: Un pain bio livré à vélo et fabriqué sans nuits blanches
Une boulangerie en rythme durable aux Eaux-Vives.
Note de la rédaction:
Tout a une fin dans la vie et la vie elle-même. L’humanité est tout simplement en train d’accélérer la cadence. Les scénarios catastrophes se suivent inlassablement sur les réseaux sociaux et dans les médias. La stratégie des ONG qui se penchent sur ce sujet, est de nous culpabiliser : « C’est à cause de nos choix nous les consommateurs que nous en sommes arrivés là ! » Mais nos choix ne nous ont-ils pas été imposés.
C’est sur un plan local que nous pouvons et devons agir. Consommer local en boycottant au tant que possible les grandes surfaces.
La mondialisation, les traités de libre-échange vont diamétralement à l’opposé des intérêts de l’environnement. Alors qui sont les vrais coupables ?