Alerte Infos Gilets jaunes : Montpellier, deux décès et un comma

Il y aurait hélas confirmation 2 décès et 1 coma à Montpellier. (Street Medic) Info sous toutes  réserves.

Parmi les victimes, un ados de 15 ans qui sortait d’un magasin.

Plus d’infos dès que possible.

Mise à jour : dimanche 9 juin 2019 -17:24 –

Il s’agit d’un fake ! (Voir le lien sous la vidéo.)

G.S / Finalscape

Intox ou info ? Voir aussi >>>

Loading

Se rebeller contre un gouvernement qui dépend d’une autorité supranationale, quelle perte de temps et d’énergie !

Les Français représentés par le mouvement des Gilets jaunes ne cessent de scander au fil de leurs actes des slogans « anti Macron » mais est-il nécessaire de rappeler que depuis la forfaiture de 2007 ou fut ratifié par Nicolas Sarkozy avec la complicité du PS. alors dirigé par François Hollande le mortifère traité de Lisbonne, le gouvernement doit se plier aux ordres de l’empire ?

Le slogan « Macron dégage » doit en faire rire plus d’un dans l’enceinte des hémicycles bruxelloises. Pendant qu’en France la police casse du manifestant se goupillent dans les couloirs obscures du parlement européen des lois liberticides et permissives qui ne profitent qu’à celles et ceux qui ont conçu ce système mortifère.

Les Français ont la mémoire courte ; alors pour rappel, quelques vidéos qui remettront les pendules à l’heure :

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Jacques Chirac qui en 1979 dénonçait une construction Européenne de l’impuissance, une Europe ouverte à toutes les crises du monde, une Europe non Européenne et dominée par des intérêts Germano-américains, une Europe du chômage importé, une Europe mollusque, sans corps et sans dessein véritable, une Europe ou les multinationales dictent leurs lois aux états et qui retourna sa chemise comme une crêpe avant le référendum de 2005.

Mise en ligne : Stéphane Guibert pour Finalscape

Loading

Gilets jaunes : Acte 28 à Toulouse : un journaliste RT France pris pour cible par un commissaire de police

Acte 28 à Toulouse : un journaliste RT France pris pour cible par un commissaire de police

Présent à la manifestation toulousaine lors de l’acte 28 des Gilets jaunes, un journaliste RT France n’a pas échappé, en fin de journée, aux coups de matraque d’un commissaire à l’occasion d’une opération de dispersion pour le moins violente.

25 mai, Toulouse. Il est bientôt 19 h quand, au terme d’une journée qui s’est globalement déroulée dans le calme, un journaliste du site web de RT France assiste à une interpellation sur le boulevard Lazare Carnot, devant la société d’assurances Axa banque. Positionné sur le trottoir, notre reporter est alors en train de filmer la scène quand il est pris pour cible par ce qui semble être un commissaire divisionnaire (reconnaissable grâce au grade présent sur son uniforme) qui lui assène des coups de matraque au niveau des jambes.

Une première vidéo montre notre journaliste, identifiable en tant que tel par le brassard «presse» qu’il porte au bras gauche, répétant au haut gradé : «Presse ! Presse !»

Une deuxième vidéo montre un autre angle de la scène. Les images montrent un policier visiblement très nerveux lorsqu’il arrive au niveau de notre journaliste. Le fonctionnaire de police bouscule plusieurs personnes sur son passage, renversant notamment une femme au sol et faisant usage de sa matraque sur un autre individu.

Contacté par RT France, l’auteur de la vidéo se présente comme un observateur de la manifestation de ce 25 mai. «C’est un commissaire bien connu pour aller au contact», explique-t-il, avant de préciser qu’il l’avait vu «plusieurs fois, porter une écharpe tricolore avant de procéder à des sommations».

Nous avons par ailleurs eu le contact de Julien, également sur place au moment des faits. Présent en tant que syndicaliste, il explique pour sa part avoir reçu plusieurs coups au visage et dans les jambes après avoir refusé de partir quand un policier le lui a demandé. «J’avais un collègue au sol, je ne pouvais pas partir et le laisser seul», affirme-t-il, précisant qu’il avait été touché au niveau de la paupière supérieure.

Après plusieurs tentatives, RT France n’a pour l’heure pas réussi à joindre ni la préfecture de police, ni la mairie de Toulouse. Par ailleurs, le commissariat de police du secteur centre de Toulouse a expliqué ne pas être en mesure, pour le moment, d’apporter des commentaires sur cette scène.

L’acte 28 des Gilets jaunes a donné lieu à des manifestations dans plusieurs villes de France, à la veille des élections européennes. Quelque 12 500 manifestants ont été recensés par le ministère de l’Intérieur, un comptage revu à la hausse par Le Nombre jaune qui a pour sa part estimé que 40 241 manifestants avaient participé à 248 actions sur le territoire. A Toulouse, où Le Nombre jaune a recensé la présence de près de 7 000 manifestants, la mobilisation s’est globalement déroulée dans le calme avant que n’apparaissent les premières tensions en fin d’après-midi.

Loading

Gilets jaunes : Un député suisse veut interdire la livraison de LBD vers la France

Source de l’image

Guy Mettan, député au parlement genevois, a déposé le 27 mai un projet de résolution visant à proscrire la vente de LBD à la France. L’arme de fabrication suisse a été souvent accusée d’avoir infligé de graves blessures chez les manifestants.

La polémique autour de l’utilisation par les forces de l’ordre françaises de lanceur de balle de défense s’invite dans le débat suisse. Le 27 mai, un projet de résolution visant à interdire l’exportation de cette arme fabriquée par l’entreprise bernoise Brügger & Thomet, a été déposé par Guy Mettan, député de centre droit au Parlement genevois. «Des Gilets jaunes sont venus se plaindre au Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU à cause de l’usage du LBD», explique le député suisse cité par Le Point. «Je me suis dit que ce n’était pas logique qu’une entreprise suisse contribue à ces dérives.»

La même source rapporte que Guy Mettan s’est appuyé sur l’article 5 de «l’ordonnance sur le matériel de guerre adoptée en 1998» pour faire aboutir à une interdiction. L’article en question stipule que le matériel de guerre ne peut être exporté «s’il y a de forts risques que, dans le pays de destination, le matériel de guerre à exporter soit utilisé contre la population civile». Pour l’heure, le LBD est considéré comme une arme non-létale, c’est-à-dire, conçue de manière à ce que la cible ne soit pas tuée ou gravement blessée.

Alors que l’arme est responsable de cas de blessures graves, voire de mutilations, depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, son usage dans le cadre du maintien de l’ordre a fait pourtant l’objet de vives critiques jusqu’au sein même des forces de l’ordre.

Le 28 janvier, le Collectif autonome des policiers d’Ile-de-France avait déjà alerté sur l’usage intensif de la force et des armes non-létales dans les manifestations des Gilets jaunes et avait prévenu : «Les collègues qui font n’importe quoi, il faudra qu’ils assument, mais ce ne sont pas forcément ceux qui auront le plus mal agi qui seront les plus sanctionnés.»

De son côté, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner continue à défendre l’usage de cette arme controversée par les forces de l’ordre. Le 5 avril, il avait réitéré que le LBD était, selon lui, «une arme de défense nécessaire».

Vidéo :

LBD 40, l’arme suisse qui blesse les gilets jaunes

C’est l’arme qui a fait des dizaines de blessés graves dans les manifestations françaises, et elle est fabriquée dans le canton de Berne. En Suisse pourtant, l’arme qui lance des balles en caoutchouc n’est utilisée qu’avec parcimonie, reportage.

Loading

Gilets jaunes : L’affaire Schiappa, des gilets jaunes en furie

Des gilets jaunes en « furie » devant le domicile de Marlène Schiappa.

Selon la secrétaire d’État, c’est aux alentours de une heure du matin que toute sa famille aurait été tirée de son sommeil par une quarantaine de gilets jaunes en furie, ces derniers auraient jeté des pétards sur la maison en proférant des menaces de mort à l’encontre de ses occupants.

Elle souligne que les enfants ont été tirés de leur lit en pleurs, effrayés par cette violence inouïe.

La seconde partie de la vidéo pourrait laisser entendre que les déclarations faites par Marlène Schiappa devant les caméras auraient été quelque peu exagérées.

G.S / FINALSCAPE

 

Voir aussi >>>

Loading

Gilets jaunes : Le patron de Sud Radio balance tout sur la répression policière en manifestation

«Ce qui se passe en manifestation est inadmissible dans le pays des droits de l’homme» Didier Maïsto (Journaliste et patron de Sud Radio)

Didier Maïsto dont le compte Twitter a été bannis dénonce l’instrumentalisation de la violence perpétrée soit disant par les Gilets jaunes, la manipulation par la terreur : yeux crevés, mains arrachées, blessés etc…  Il y souligne l’instrumentalisation des images qui avaient été faites lors de l’épisode de l’hôpital Pitié-Salpêtrière.  Tout cela est selon lui inadmissible dans un État de droit.

G.S / FINALSCAPE

Loading

Le Média Russe « RT FRANCE » accusé par les médias français de propager des fake news remet tout le monde d’accord

Accusé de Fake news RT France donne une leçon aux journalistes des médias français.

C’est lors de l’acte du 1er. décembre 2018 que la chaîne de télévision RT France avait mis en émoi de nombreux journalistes français. Un Gilet jaune interviewé par un journaliste de la chaîne déclarait que certains policiers s’habillaient avec un gilet jaune et qu’il n’était dès lors plus possible de savoir qui était qui et qui faisait quoi ; on parle notamment des casseurs.

Aussi tôt, de nombreux journalistes se sont exprimés sur Tweter dénonçant la fake news lâchée par RT.

RT démonte preuve à l’appuis son intégrité en matière d’informations contrairement à de nombreux médias français.

Stéphane Guibert / Finalscape

Loading

Gilets jaunes : Coup de gueule qui s’adresse aux petits commerçants qui se plaignent du mouvement

« Nous sommes en insurrection pour vous et vous continuez à donner la papatte à Bercy qui vous saignent comme des lapins ! »

Un mouvement inédit dans la cinquième république qui s’autoproclame : « la résistance » et qui est considéré par certaines élites au pouvoir comme étant un mouvement terroriste ; quelle similitude et ce bien que le contexte soit différent avec les résistants de la secondes guerre mondiale qui aux yeux du régime de Vichy était qualifiés de terroristes et qui aujourd’hui sont élevés au rang de héros de la nation.

L’histoire est en marche.

Stéphane Guibert / Finalscape

Loading

Gilets jaunes : Pitié-Salpêtrière. Une vidéo de la scène tournée par des soignants contredit la version officielle

Source de l’image

Sur Facebook une vidéo tournée par des soignants montre l’ensemble de la prétendue « intrusion », elle contredit entièrement la version de Castaner et de Martin Hirsch relayée par les médias.

Dans la vidéo publiée sur Facebook, filmée par un personnel du service de réanimation, on peut assister à l’ensemble de la scène instrumentalisée par les médias.

Sur VK :

Sur Youtube :

On y voit des soignants entrain d’observer les manifestants qui tentent d’échapper à la police. Sous le coup de la panique, les manifestants cherchent une issue en montant les escaliers qui mènent au service de réanimation où se trouvent les travailleurs de l’hôpital qui s’empressent de fermer la porte.

Après avoir essayé d’entrer pour échapper à la répression, les manifestants cessent toute tentative de passer la porte que les soignants maintiennent fermée, expliquant aux manifestants que des patients se trouvent dans ce service de réanimation, particulièrement sensible.

Un soignant commente la scène : « les CRS sont venus là, ils les ont pris en tenaille, la seule issue c’était ici ». Un autre ajoute alors « ils ont juste pris peur ».

Finalement, « pris en tenaille » par la police qui monte les escaliers, selon les commentaires des hospitaliers, un manifestant tente à nouveau de passer la porte sous le coup de la peur, il est emmené par un policier. Les soignants tentent de rassurer à travers la porte les manifestants qui leur disent que les policiers les « gazent ».

La vidéo démontre ainsi l’inanité de l’idée d’une tentative d’intrusion violente propagée par le gouvernement, par Martin Hirsch ou encore par de nombreux médias. Ce que l’on voit sur ces vidéos ce sont donc des manifestants très divers, totalement paniqués essayant tout simplement de s’échapper par la mauvaise porte. Très loin des annonces du gouvernement, à l’image de ce tweet de Christophe Castaner :

Loading