France : Une belle démonstration de dictature en ces belles années 2000

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Si vous voulez avoir une démonstration de dictature, l’Europe telle qu’on la connait aujourd’hui en est un parfait exemple.

Voyez plutôt : 22 janvier 2017

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3 réflexions sur “France : Une belle démonstration de dictature en ces belles années 2000

  1. Thierry Theller dit :

    RETOUR SUR BEURK ! BEURK ! BEURK ! POUAH !

    M. Valls, après le premier tour des primaires de gauche, déclarait : c’est moi ou « la défaite assurée.

    Ah, au fait, n’était-ce pas le même homme qui a déclaré avec cynisme : « Il faut s’habituer à vivre avec la menace terroriste ».

    Si la réponse est affirmative, et elle l’est, on comprend mieux pourquoi, sur France Inter, ce prototype bilderbergien a avoué, en demi-teinte, le vrai motif de sa si vilaine détestation atrabilaire envers le nouveau président Donald Trump qui, lui, au contraire de notre matamore socialiste déjà cité, a fait état de sa totale détermination en prononçant ces quelques mots : « Nous allons complètement éradiquer le terrorisme de la face de la terre ».
    Forcément, des idées pareilles, ça déplaît.

    Comme quoi, quand le ciel se fâche, tout finit par se savoir et… arriver. Toujours !

  2. Thierry Theller dit :

    Mille excuses. Il faut lire, à propos du bâton moïsien : Oui ! d’accord… hier c’était une matraque !… Mais, bon, c’était hier…

  3. Thierry Theller dit :

    BEURK ! BEURK ! BEURK ! POUAH !

    M. Valls, après le premier tour des primaires de gauche, déclarait : c’est moi ou « la défaite assurée.

    Oh la la la ! Voyez-vous ça ! Quel aplomb ! Faut dire que, tous crocs ploutico/oligarco rentrés, kss kss… le serpent à sonnettes, a bien mué.

    Hey ! M. Hamon ?… Vous êtes toujours là ?… Oui ?… Ah, ça vaut mieux… Peut-être !…

    D’autant qu’au deuxième tour, votre outsider babylonien, lui, ne risque pas de venir les mains dans les poches. Attendez-vous plutôt à le voir se représenter sur les tréteaux TV de ses ambitions personnelles avec, dans une main, un plateau super garni de flamboyantes promesses et, dans l’autre, propre à faire pâlir tous les Moïses du paradis socialiste, un superbe bâton moïsien de type pèlerin menteur.
    Oui ! d’accord… c’était une matraque !… Mais, bon, c’était hier…

    Aujourd’hui, qu’on se le dise, toute violence giflante contre son auguste personne n’est ni de mise ni à l’ordre du jour. L’avenir démocratural de messire Valls est maintenant ailleurs. Un avenir tout entier construit sur les trous de mémoire de ses ouailles qui, yop la boum, tout à leur nouveau bonheur amnésique, s’obligeront à oublier, le temps d’un scrutin, que le veau d’or mondialiste de leur trépignant Commandeur, existe toujours bel et bien : prudemment dissimulé là, derrière le dos de ses postures aussi gesticulantes que ridicules.

    Et surtout, qu’il est mesquin de rappeler urbi et orbi que, ratatatata, sa machine à rafaler des 49.3 est toujours en excellent état de marche.
    Ou, que, boum ! les explosions des grenades lacrymogènes à tire larigot, ont toujours été une spécialité de son mode despotique de gouvernement. Un despotisme qui, « démocrassie » oblige, n’a jamais épargné quiconque.
    Ni femmes, ni enfants, ni vieillards… Personne, quoi ! Craché, juré ! Kif-kif, bien sûr, aussi, pour les tirs groupés de ses lois liberticides…

    Que dire de plus, sinon que, beurk ! beurk ! beurk ! Pouah !

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