La Russie préfère «maman» : Poutine rejette l’emploi des termes «parent 1» et «parent 2»

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La Russie préfère «maman» : Poutine rejette l’emploi des termes «parent 1» et «parent 2» et c’est tant mieux !

Merci à RT pour le partage (G.S)

Vladimir Poutine a commenté le remplacement des termes «père» et «mère» par «parent 1 et 2», phénomène observé dans certains pays occidentaux, et a dit espérer que cela n’arriverait jamais dans son pays. Lors d’une discussion sur l’identité nationale russe, le président Vladimir Poutine a fermement rejeté l’idée de remplacer les rapports de filiation traditionnels par des catégories plus «progressistes», utilisées par certaines administrations en Occident, notamment en France. «Dans certains pays, ils [les mots « père » et « mère »] ont été remplacés par « parent numéro un » et « parent numéro deux ». J’espère que cela ne se produira jamais ici», a déclaré le 29 novembre le chef d’Etat russe lors d’une réunion du Conseil pour les relations interethniques, organe consultatif du Kremlin.

En France, une vive polémique avait éclaté en février quand les formulaires scolaires avaient été modifiés afin de mentionner les termes «parent 1» et «parent 2» dans le cadre du projet de loi sur «l’école de la confiance». «Cet amendement vise à ancrer dans la législation la diversité familiale des enfants dans les formulaires administratifs soumis à l’école», avait expliqué la député La République en marche (LREM) Valérie Petit, à l’origine du texte. Mais face à la controverse déclenchée par cette disposition, le co-rapporteur du projet de loi et député de La République en marche (LREM) Anne-Christine Lang avait proposé de réécrire la mesure, en ajoutant ainsi dans les documents administratifs les mots «père-mère-père-mère». En Italie, les mentions «père» et «mère», qui avaient disparu en 2015 au profit des intitulés «parent 1» et «parent 2» sur les formulaires pour les cartes d’identité, ont été rétablies début avril à la suite d’un décret signé par Matteo Salvini au mois de janvier 2019. Pour l’ancien vice-président du Conseil des ministres italien, ce retour relevait du «bon sens».

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