Sucre, colorants cancérigènes et toute une panoplie d’ingrédients mystères, les sodas sont la cause directe de milliers de morts chaque année à travers le monde.
Mais où le bât blesse c’est que très souvent, les personnes interrogées sur le sujet le savent ou s’en doutent, et une fois de plus le déni l’emporte sur la précaution, ils consomment quand-même, font consommer leurs enfants et très souvent plus que de raison, si tant est que l’on puisse ici parler de raison.
Le groupe « La vraie démocratie » nous offre une vidéo très instructive sur le sujet.
Des boulettes de viande de bœuf mélangée à de la volaille, des viandes lavées à l’ammoniac ou à l’acide ne permettant plus la traçabilité de ce que l’on mange.
C’est en Hollande, à Breda qu’une enquête a conduit des journalistes d’investigation ouvrant ainsi une brèche sur l’envers du décor de nos plats cuisinés.
C’est au cœur d’une entreprise qui vend sa production de viande dans le monde entier « Convenience food producers », une immense usine de transformation de viande qui ne veut pas recevoir les journalistes qu’une équipe d’enquêteurs a réussi à s’infiltrer en se faisant passer pour des fabricants de lasagnes bolognaise.
Pour diminuer les coûts de production de viande bolognaise, une cadre de l’entreprise propose une première solution, remplacer le bœuf par une viande de volaille, du poulet ou de la dinde mais sous une forme particulière. de la viande VSM séparée mécaniquement.
La VSM de dinde ressemble à la VSM de bœuf et est nettement moins cher. Cette viande est obtenue en jetant les carcasses de poulets dans une machine qui va séparer mécaniquement les derniers restes de viande en les rabotant des os. Il va en sortir une chair liquide rouge qui est ensuite compressée afin de former des blocs de viande prêts à être livrés aux fabricants de plats cuisinés. Ces ultimes morceaux de chair ainsi compactés sont très bon marché, environ deux fois moins cher que le bœuf.
C’est donc confirmé; certains fabricants de produits cuisinés, afin de réduire leurs coûts, ont eu l’idée de mélanger ces chutes de poulet avec du bœuf pour fabriquer une viande hybride.
Cette entreprise propose également un produit appelé pure bœuf, sans mélange, toujours à base de VSM. La machine gratte sur les os les derniers restes de chair et la viande ressort sous forme d’une pâte pour plats cuisinés mais le problème est qu’un tel grattage pourrait contaminer la viande en lui transmettant des virus, notamment celui de la vache folle. Voilà pourquoi la VSM de bœuf est interdite en France; mais cette société peut en trouver.
Au cours de sa fabrication, la viande AVSM subit une importante batterie d’épreuves :
La viande est chauffée à 36 degrés Celsius puis pour éviter tous risques de contamination est lavée à l’ammoniac aux Etats-Unis et à l’acide en Europe. Mais cette façon de procéder a pour résultat de détériorer l’ADN et de faire perdre une bonne partie de sa traçabilité à la viande.
La marque Essento va commercialiser des burgers aux insectes, riches en protéines et en vitamines selon les spécialistes.
Retardés à cause d’une directive fédérale, ces produits alternatifs à la viande débarquent sur les étals des supermarchés suisses.
Déguster des boulettes aux sauterelles pour le déjeuner ou un burger aux grillons, c’est désormais possible en Suisse. Avec quatre mois de retard, le pays va autoriser dès lundi la commercialisation de ces produits alimentaires à base d’insectes.
Selon une porte-parole de l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires, la Suisse est le premier pays en Europe à avoir autorisé la consommation d’insectes en tant que denrée alimentaire.
L’enseigne Coop, deuxième plus grande chaîne de magasins du pays, a fait savoir qu’il proposerait en premier lieu un burger et des boulettes à base de vers de farine sur une sélection restreinte de supermarchés et via internet, avant de l’élargir peu à peu.
Trois espèces autorisées
La loi suisse autorise depuis le 1er mai dernier la consommation humaine de trois espèces d’insectes, soit les grillons, les sauterelles ou criquets migrateurs et les vers de farine.
Selon la loi suisse, ces insectes, à l’origine destinés aux animaux, doivent être issus de la quatrième génération pour être considérés comme comestibles par l’homme, ce qui a retardé la mise en vente des produits.
En attendant, il a donc fallu passer par l’importation et celle-ci est soumise à deux conditions par l’Office fédéral de la sécurité alimentaire : les insectes doivent provenir d’une entreprise contrôlée par les autorités alimentaires du pays d’exportation et respecter la législation suisse sur les denrées alimentaires. Aucune indication n’a été donnée quant aux pays d’origine de ces insectes importés.
La nouvelle législation sur les denrées alimentaires en Suisse permet de vendre des vers de farine, des grillons et des criquets pour la consommation. Bon appétit! (Julie Hunt/SRF)
Dès le 1er mai, les Suisses peuvent aller manger des insectes au restaurant. En tout, 27 ordonnances ont été remaniées et corrigées afin d’accompagner la révision de la loi sur les denrées alimentaires adoptée par les Chambres fédérales en juin 2014. La perle de ce régime: la commercialisation de trois espèces d’insectes.
En 2013, les Nations unies ont publié un rapport sur l’utilisation d’insectes comme nourriture pour les êtres humains. Le document estimait que les insectes devaient à l’avenir être utilisés comme source de nourriture, ce qui a probablement influencé la décision helvétique.
Les insectes font partie du régime alimentaire d’environ deux milliards de personnes en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Des études montrent qu’ils contiennent moins de graisses saturées et plus de protéines que la viande. Leur élevage est aussi plus écologique.
Mode ou projet durable? Pour répondre à la question, swissinfo.ch a visité la start-up Essento, qui fournira des boulettes et des burgers d’insectes à l’une de plus importantes chaînes de magasins d’alimentation en Suisse.
Avec l’arrivée au Canada des premiers saumons génétiquement modifiés dans les assiettes des consommateurs, les écologistes ont dénoncé lundi l’absence d’un étiquetage obligatoire en demandant aux supermarchés de les retirer de la vente.
« Le premier animal génétiquement modifié arrive sur le marché et les consommateurs canadiens deviendront, à leur insu, les premiers cobayes », a souligné lundi Thibault Rehn de l’organisation Vigilance OGM.
Vendredi, la société américaine AquaBounty Technologies avait annoncé la vente « d’environ cinq tonnes de filets de saumon » transgénique sur le marché canadien, après avoir obtenu en mai le feu vert des autorités sanitaires.
L’expression perturbateur endocrinien (PE, ou aussi « leurre hormonal », « xénohormone », « disrupteur endocrinien[1] », etc.) a été créée en 1991 par Theo Colborn pour désigner toute molécule ou agent chimique composé, xénobiotique ayant des propriétés hormono-mimétiques et décrit comme cause d’anomalies physiologiques, et notamment reproductives.
Source : Wikipédia
Notre Ami Nicolas Hulot désormais rattaché à la cause des lobbies vient d’enterrer plus de dix ans de lutte majeure pour notre santé en se rangeant du côté des lobbies chimiques.
Les perturbateurs endocriniens sont des produits chimiques qui perturbent notre système hormonal en engendrant des problèmes de fertilité, des cancers de toutes sortes, des baisses significatives du QI chez les jeunes, des malformations chez les nourrissons etc …
Ces substances sont partout, dans les shampoings, dans les cosmétiques, dans la nourriture, dans les plastiques, dans les sofas afin d’éviter qu’ils prennent feu. Ils ne fonctionnent pas comme la généralité des autres produits toxiques comme c’est le cas par exemple pour l’alcool ou le tabac lorsque plus on consomme, plus on s’expose à des risques de maladies, mais attendent le moment propice ou l’organisme est confronté à une baisse de ses défenses naturelles pour attaquer. Femme enceinte et puberté par exemple.
L’Allemagne est le pays qui a le plus d’intérêts à défendre les lobbies chimiques car une grande partie de son économie tourne autour de cette industrie comme par exemple avec le groupe BASF qui est le plus grand groupe chimique au monde et dont le chiffre d’affaire représente à lui seul plus que celui de Monsanto et Bayer réunis qui tout le monde le sait ont réalisé une méga fusion afin d’empoisonner et soigner en même temps pour engendrer encore plus de bénéfices.
Hullot vient de faire un revirement à 180 degrés en se rangeant du côté des lobbies chimiques.
Aussi loin que mes souvenirs puissent me porter, je me rappelle d’un petit village en Grèce près de Corfou, nous nous étions arrêté dans une petite auberge isolée ou le maître des lieux nous proposa de déguster, accompagné d’un petit vin blanc local le Retsina, une assiette de son cru que la simplicité ne fit qu’aiguiser nos papilles gustatives et dont le paysage d’une magie inestimable fit de ce plat un repas divin.
Une simple assiette de tomates et mozzarella agrémentée d’une huile d’olives limpide et d’un basilic dont le parfum prisonnier d’une douce brize, virevoltait en stimulant notre appétit gourmand.
Je me souviens de la saveur de ces tomates, de cette chair ferme d’un rouge écarlate.
De ma vie, jamais je n’ai retrouvé une telle sensation et un tel plaisir à déguster ce fruit qui me semblait venir tout droit de l’Olympe tant il était succulent.
Aujourd’hui nous vivons dans un monde ou l’économie et le profit sont Rois.
Cela a un prix qui se répercute non seulement sur la qualité des aliments que nous mangeons mais malheureusement et c’est là le drame, sur notre santé.
Je vous propose une petite vidéo qui à défaut de vous le rappeler vous démontrera à quel point depuis seulement deux décennies, notre alimentation n’a fait que se dégrader.
La question est de savoir jusqu’ou nous pourrons sacrifier notre bien être et notre santé sans en payer les conséquences.
Alors que l’obésité aux U.S.A. devient un problème majeur avec 1 personne sur 3 souffrant d’obésité.
A Chicago, berceau de Mc Donald’s , une solution contre l’obésité permet de se faire plaisir sans perdre un seul kg émerge : la miraculine !
Une chaîne de fast food s’est emparée du concept. Son slogan « Enjoy your vices », qui signifie en français « succombez à la gourmandise ».
Ce fast food a été créé par un chef cuisiner reconnu Omaro Kantu. La chaîne propose donc donuts , cup cakes, soda avec 0 calorie ! Dans cette partie on peutapercevoir l’effet de surprise et d’amusement que peut avoir les effets de la miraculine que l’on découvre pour la 1èere fois.
Le reportage s’intéresse alors plus précisément à l’histoire de labaie du miracle.
Après un bref rappel sur sa découverte en 1750, par des botanistes européens en mission d’exploration en Afrique de l’Ouest dans un des
pays les plus dynamiques d’Afrique, le Ghana. Au Ghana, tout le monde connaît la baie du miracle … surtout les enfants.
Le reportage nous fait ensuite découvrir un entrepreneur ghanéen. Kodzo Benomio, ingénieur en biochimie de formation, et après avoir
exercé dans l’industrie pharmaceutique, est devenu le plus gros cultivateur du pays de baie du miracle.
Le reportage se poursuit sur la visite de ces plantations au Ghana.
Résumé de la deuxième partie :
On découvre dans ce début de 2ème. partie le fonctionnement des plantations de baies miracles au Ghana. Une des principales difficultés
est que la cueillette de ces centaines d’hectares de fruits miracles ne peut se faire à l’aide de machine… la cueillette doit donc se faire à la main.
On découvre ensuite le laboratoire un peu rudimentaire de cet entrepreneur et le déroulement de la transformation de la baie miracle
en miraculine.
Pour commencer, on broie les fruits pour obtenir un jus très concentré, il faut 3 kg de fruit pour obtenir 1 litre de jus. Ce jus est ensuite
congelé puis déshydraté . Au bout de quelques jours, le processus de déshydratation se termine, on obtient de la poudre qui permettra de
fabriquer les comprimés.
Le producteur indique alors à la caméra du journaliste que le seul moyen qu’il a trouvé pour vendre sa production est internet.
Complot, espionnage, homme de pouvoir et géant de l’agroalimentaire.
Dans cette partie, les journalistes s’intéressent à l’histoire moderne de la miraculine en occident.
On découvre alors un portrait et interview du scientifique américain Robert Harvey dans les années 1970 qui croit dur comme fer en la miraculine.
Les possibilités étant d’après lui énorme puisque « les obèses en surpoids pourraient enfin manger quelque chose de sucré, mais sans
sucre » il créa la société « Miralin » .
Les journalistes décident de creuser cette histoire, Robert Harvey étant décédé il décide de questionner Donald K Emery qui était associé dans cette affaire.
Aujourd’hui retraité, Donald indique que Miralin était pour eux un grand rêve, il voyait en la miraculine la possibilité de commercialiser
un des premiers édulcorants en concurrençant l’industrie du sucre. Donal et Robert trouvent des partenaires qui leur permettent d’investir plus
de 8 millions de $ (équivalent à 40 millions de $ d’aujourd’hui).
En 1974, la gamme qui comprend (boisson thé glacé assaisonnement pour salade, etc…) est enfin prête. Malheureusement, cet aboutissement n’est en réalité que le début de leurs ennuis.
S’en suit un épisode où Donald raconte que Robert lui avait confié être espionné. Il raconte également le cambriolage de leurs locaux ou
visiblement l’on recherché des documents. Pour achever leur rêve, la FDA, l’autorité toute puissante de l’Etat américain en matière d’alimentation leur interdira la commercialisation de miraculine sur le sol américain avec des prétextes fallacieux.
La FDA leur reproche de ne pas avoir études scientifiques qui permettent de déterminer que le fruit puisse être mis sur le marché et
puisse répondre à toutes les exigences de sécurité.
Résumé de la dernière partie :
Cette dernière partie va se concentrer essentiellement sur l’analyse des archives de la société Miralin par les journalistes de D8.
Tout les documents ont été légués par le fils de Robert Harvey (décédé en 2012) à l université Worcester région de Boston.
Le journaliste se rend donc dans ces locaux à la recherche de documents qui pourraient permettre de comprendre (ou pas) l’attitude de la FDA à l’encontre de la société Miralin.
Après plusieurs heures de recherches, le journaliste trouve au total 7 études indépendantes réalisées à la demande de la société Miralin
qui arrivent toute à la conclusion que la mircaline ne présente aucun danger pour la santé de l’homme.
Tous les scientifiques sont donc unanimes pas de toxicité !
* Mais pourquoi la FDA a-t-elle interdit la mise sur la marché de la miraculine ?*
Sont alors évoqué le lobby du sucre qui aurait eu la peau de la société Miralin, des intérêts personnels au sein de la FDA… ou tout simplementune histoire de corruption au sein de la FDA.
Ce qui est pour le moins troublant, c’est que la FDA à par contre au même autorisé la mise sur le marché de l’aspartame à la même époque dont on connaît le possible effet toxique et cancérigène sur le cerveau.
Après ces révélations, l’aspartame a d’ailleurs été rapidement interdit.
Le laboratoire SEARLE, propriétaire de la molécule, contre attaquera et embauchera un lobbyiste du nom de Donald Rumsfeld.
Donald Rumsfeld, ancien secrétaire général de la Maison-Blanche et futur ministre de la Défense du gouvernement GW Bush. Avec succès, le laboratoire SEARLE récupérera son autorisation en 1983.
Suite à ces incohérences, la polémique rebondit quelques années plus tard au plus haut niveau de l’état américain.
Lors de la Commission d’Enquête du sénat le 3/11/198, le docteur toxicologue de la FDA, Jacqueline Veret, indiquera que les études
concernant l’aspartame ont été truquées.
Le scandale ébranle la FDA, mais aucune sanction n’est prise contre la FDA ou l’aspartame.
Il est sans saveur, peu cher, et donc partout dans nos sauces et pizzas de supermarché : le concentré de tomate industriel, venu souvent de Chine, fait l’objet d’une passionnante enquête.
A moins de ne jamais mettre les pieds dans les grandes surfaces ou dans la plupart des restos, il y a de grandes chances que vous en ayez consommé. Et en grande quantité. Le concentré de tomate chinois est absolument omniprésent dans la world food, la nourriture mondialisée qu’on engloutit du nord au sud, quels que soient ses goûts et ses revenus.
Sauces, soupes, pizzas, surgelés… La pâte rougeâtre et visqueuse qui nimbe tous ces plats provient très souvent du Xinjiang, une province de Chine – pays qui, pourtant, consomme assez peu de tomate.
Comment en l’espace de 20 ans à peine, les cueilleurs et fabricants européens et américains de concentré ont-ils été supplantés par les Chinois, qui fournissent aujourd’hui les géants de l’agro-industrie comme Heinz, Kraft Foods ou Unilever ? C’est ce que décrypte « L’Empire de l’or rouge », une enquête de Jean-Baptiste Malet, qui sort en librairie ce mercredi 17 mai (Editions Fayard, 288 p., 19 euros).
Mondialisation dégueu
« Le point de départ de cette enquête, ce sont des barils de concentré de tomate que j’ai aperçus dans l’entreprise Le Cabanon, en Provence. J’ai vu qu’ils venaient de Chine, ça m’a interloqué. Pourquoi les faire venir de si loin ? », explique le journaliste de 30 ans, qui s’est fait connaître en 2013 pour son enquête saignante sur les conditions de travail chez Amazon.
Le Cabanon, racheté par un conglomérat chinois en 2004, a été littéralement dépecé et n’est plus aujourd’hui que le fantôme de lui-même. Il est arrivé la même chose chez les transformateurs de tomate de nos voisins européens et américains.
Ce terrifiant phénomène pourrait s’appeler la « sino-militarisation » de la tomate. C’est en effet au sein de conglomérats (Cofco Tunhe, Chalkis) – sortes d’Etats dans l’Etat tenus par des généraux de l’Armée populaire de Chine– que la grande gagnante de la mondialisation dégueu est produite. Cueillie et transportée par des ouvriers sous-payés, non syndiqués, parfois même par des enfants, gorgée jusqu’à la gueule de pesticides, cette tomate ne ressemble en rien au fruit rond et avenant que l’on se figure.
« Tomate de combat »
Jean-Baptiste Malet explique :
« La tomate destinée à être transformée en concentré n’est pas ronde, mais de forme oblongue. Elle est lourde, dense, très dure, car elle a été génétiquement fabriquée pour pouvoir être transportée par bennes sans s’abîmer. Quand on la croque, c’est très surprenant : sa peau croustille ! »
Ce caillou sans saveur, bidouillé par les savants des labos du géant Heinz contient 30% de matière sèche (contre 3 à 5% pour une tomate normale) pour être plus rentable à la tonne, et un pédoncule spécialement fragile pour être cueillie hyper facilement. Une véritable « tomate de combat » taillée pour évincer la concurrence. Et ça a marché !
Tout espoir n’est cependant pas perdu, insiste Jean-Baptiste Malet : le consommateur vigilant peut encore décider d’acheter du concentré de qualité, produit made in Europe plutôt que made in China. Mais c’est plus cher et plus difficile, forcément.
La réintroduction des farines animales dans l’alimentation des poissons.
Le gaz de schiste qui est en vigueur dans l’agenda Européen.
l’Union Européenne qui change la législation concernant les huiles alimentaires en rehaussant la limite de l’acceptance d’huile de vidange à l’intérieur des huiles alimentaires à 10%.
Un nouveau maïs OGM, le TC 1507 va être utilisé à la culture dans l’Union Européenne.
Bruxelles autorise suite à une promesse faite à Washington, l’introduction en Europe des poulets à la javel.
l’Union Européenne autorise un taux plus élevé de pesticides sur les fruits et légumes à l’étalage et ces niveaux seront désormais 10 à 40 fois plus élevés qu’auparavant.
Et pour partir dans des contrées exotiques comme par exemple la chine ou l’on engraisse des calamars à la gélatine…
Les amis, on est vraiment dans la merde. Nos enfants et petits enfants nous remercieront !
Une poussée d’ingéniosité et une volonté de s’en sortir, c’est durant l’embargo imposé par les États-Unis que Cuba a su faire la différence.
Les conflits et les guerres ont du bon finalement à condition que ces dernières servent d’exemple pour ne pas être répétées. Voyez comment Cuba a sut mettre cet embargo qui devait la mettre à genou à son profit en mettant au point un système d’auto survie monopolisant le moindre mètre carré de surface cultivable.