On se trouve à mi-chemin entre la science et la théorie du complot qui met en avant les chemtrails
Jeremy Clarkson se dirige vers le Mississippi où la NASA met au point les propulseurs de navettes spatiales. Consommant plus de 18’92’705 litres carburant, ils génèrent la poussée nécessaire pour propulser les astronautes dans l’espace.
Ce qui sort de ce propulseur étonne le journaliste qui démontre que le phénomène génère un immense nuage provoquant des précipitations.
Les cirrus homogenitus sont ces trainées que laissent les avions dans le ciel derrière leur passage. Il faut toutes fois que certaines conditions météo soient remplies pour que ce phénomène se produise :
« Les traînées se produisent généralement à partir de 8 000 m d’altitude si le taux d’humidité est de plus de 68 %, et la température inférieure à −39 °C, sur des noyaux de congélations fournis en grande partie par les gaz de combustion. Elles s’estompent en général rapidement par sublimation mais peuvent se transformer, dans certaines conditions d’hygrométrie et de température, en nuages artificiels analogues à des cirrus allongés. Ces nuages artificiels peuvent alors couvrir de vastes surfaces de ciel, notamment dans l’hémisphère nord. Ils peuvent persister durant plusieurs heures à dizaines d’heures. » (Source Wikipédia)
L’explication technique étant dite, les images qui suivent et qui ont été prises le 16 mars démontrent un bien étrange ballet dans le ciel de Augsburg en Allemagne.
Le cirrus ou homogenitus initialement appelé contrail fait partie des 12 nouveaux nuages recensés dans l’Atlas de l’OMM, Organisation météorologique mondiale. Selon l’OMM, ce nuage se forme après le passage des avions dans l’atmosphère. Des conditions sont toutefois nécessaires pour que ce phénomène se produise :
Les traînées se produisent généralement à partir de 8 000 m d’altitude si le taux d’humidité est de plus de 68 %, et la température inférieure à −39 °C, sur des noyaux de congélations fournis en grande partie par les gaz de combustion. Elles s’estompent en général rapidement par sublimation mais peuvent se transformer, dans certaines conditions d’hygrométrie et de température, en nuages artificiels analogues à des cirrus allongés. Ces nuages artificiels peuvent alors couvrir de vastes surfaces de ciel, notamment dans l’hémisphère nord. Ils peuvent persister durant plusieurs heures à dizaines d’heures. (Source : Wikipédia)
D’autres théories qui sont en partie reconnues aujourd’hui parlent de chemtrails, (chemical trails) épandage de produits chimiques contenant des métaux lourds comme l’aluminium par exemple. Il a en effet été reconnu que l’épandage de ces produit devrait luter contre le réchauffement climatique en réfléchissant les rayons du soleil les empêchant d’atteindre le sol. Cette pratique a d’ailleurs été utilisée avec succès en Chine afin de provoquer des chutes de neige.
Pendant que la plupart des hommes, des femmes et de leurs enfants ont les yeux rivés sur leurs tablettes ou leurs smartphones, le ciel devient le théâtre d’un étrange spectacle, un ballet d’avions et de nuages récemment répertoriés dans la science météorologique. Mais qu’importe, ce soir, à la télé, il y a les anges de la débilité. En même temps et en l’espace d’un demi siècle, la nature a perdu 85% de sa biodiversité.
Si l’on prend le chiffre 100 comme base et la minute comme unité de mesure afin d’illustrer l’histoire de l’homme, il ne nous reste plus que 15 minutes à vivre… ! Faites donc votre calcul si cela est encore possible dans votre cerveau lobotomisé de ce que représente 15% de 50 ans !
Mais qu’à cela ne tienne n’est-ce pas ? Il suffit d’utiliser le mot magique qui nous dédouane de toutes responsabilités, le Déni, cela nous va si bien.
Pour les indécrottables moutons de Panurge, une vidéo provenant de TF1 démontrant un épandage de produits chimiques dans le ciel de Pékin pour faire tomber de la neige afin de pallier à des problèmes de sécheresse. La chaîne TF1 serait-elle devenue complotiste ?
L’expérience faite dans cette vidéo nous révèle une pomme disons-le carrément, maquillée. quant à savoir ce qui donne à ce fruit une telle brillance ? A soumettre à un laboratoire compétent et indépendant surtout.
J’ai moi-même tenté cette expérience et sans passer le fruit sous l’eau chaude, en le grattant tout simplement, une sorte de cire c’est accumulée sous mes ongles.
Pour rappel, cet article que j’ai posté il y a quelques jours concernant une pomme que j’ai acheté il y a environ 6 mois et qui n’a pas bougé d’un iota.
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Au fur et à mesure que les années passent, les masques tombent. La Géo-ingénierie n’est plus une théorie complotiste au grand dam de ceux qui s’y accrochent comme à un débris de bateau après naufrage. Les langues se délient, les témoignages se multiplient et jour après jour, le mur du mensonge s’effrite et les consciences s’éveillent.
Quel monde allons-nous laisser aux générations futures si toutefois, à force de mépriser notre maison, la terre, nous ne nous dirigeons pas vers une extinction massive.
Un phénomène que tout le monde peut voir, mais feint d’ignorer ou ne réalise pas. Il faut dire que tout est fait pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Pourtant, les témoignages sont multiples. On trouve ici sur la réalité de ces témoignages accablants, pertinents et inquiétants…
Sur VK
Sur Youtube
Vidéo 2 :
TF1 diffuse une vidéo qui démontre l’utilisation de géo-ingénierie en Chine pour faire neiger
Les Chemtrails ont été officiellement reconnus par les nations Unies comme étant un moyen pour luter contre le réchauffement climatique.
Il n’y a a pas si longtemps, ces théories étaient liées aux complotistes, ceux-là même qui croyaient aux extra terrestres, qui pensaient que Nikola Tesla était un génie intertemporel et dément et qui n’ont jamais cru aux attentats du 11 septembre.
D’année en année, jour après jour, le temps semble donner raison à ces fous qui sonnent le Toxin.
Les épandages existent, ils ont été reconnus, faut-il encore savoir ce qui se cache vraiment derrière…
Les images qui suivent démontrent clairement que les contrails n’ont rien à voir avec les chemtrails.
Le ciel de Genève (Suisse) Quai Gustave-Ador, le 17 octobre 2017 à 07:30 (Photo Stéphane Guibert – Finalscape)
De plus en plus régulièrement et de plus en plus souvent, si vous prenez le temps de regarder le ciel dans votre région, vous pourrez constater qu’il se zèbre de longues trainées blanchâtres qui persistent parfois des heures durant. Ces trainées sont laissée après le passages d’avion à réaction.
Ce qui est étonnant c’est de constater la persistance de ces trainées que certains appellent « Chemtrails » et plus étonnant encore, ces trainées s’étalent dans le ciel et par temps clair, finissent par voiler la clarté du soleil.
La photo ci-dessus a été prise tôt ce matin mais déjà bien avant le lever du soleil, on pouvait distinguer ces étranges nuages laissés par les avions qui quadrillaient le ciel du nord au sud et d’est en ouest..
La vidéo qui suit peut laisser songeur : Un slideshow de Genève date de l’article et de troublantes images de Baltimore dans l’état du Maryland aux États-Unis.
Le doute n’étant plus permis, à défaut d’appeler cela « Chemtrails », la géo-ingénierie est utilisée afin de luter contre le réchauffement climatique en envoyant dans l’atmosphère toutes sortes de produits soit disant inoffensifs pour l’homme et son environnement.
Préambule de la vidéo :
« Notre ciel soumis à une évolution contrôlée, vers un climat artificiel ? »
Journaliste et photographe professionnelle, j’ai beaucoup d’années de repérage du ciel dans mon travail sur l’image. Mon but au départ était juste de comprendre comment un tel phénomène pouvait-il se produire sans aucun débat citoyen et sans nous alarmer. Dutout ! Un état de fait, une lumière qui s’amenuise, des trainées persistantes qui grossissent, de nouvelles technologies de modifications climatiques, une politique mondiale sur le changement du climat…
Je constate que la luminosité a diminué de façon extraordinaire, moins trois diafs en quelques années.
Plusieurs scientifiques répartis dans divers points de la planète, avec des démarches et des méthodes différentes arrivent tous à la même conclusion : On perd de la lumière.
La géo-ingénierie serait-elle partie prenante de notre passé, de notre présent et de notre futur ?
Il y a des militaires et des industries qui font des expériences volontaires sur l’adjonction de composés chimiques au carburant afin de créer ces effets « Albédo » car le carburant normal comporte déjà les molécules qui créent l’effet chemtrails.
Le nouvel observateur du 18 juillet 2013 publie :
Le projet de la CIA pour contrôler le climat.
Les Échos du 2 octobre 2013 publie :
Monsanto s’offre un leader des données climatiques. Le numéro un mondial des semences de maïs, de soja et d’autres cultures génétiquement modifiées a annoncé qu’il achetait « The climate corporation » pour quelques 930 millions de dollars. Puis, le 24 novembre 2013, Monsanto sort un nouveau gène résistant à l’aluminium.
Le 22 décembre 2013, Monsanto investi dans les prévisions météorologiques et le 2 janvier 2014, Météo France disparait des chaînes publiques nationales au profit d’une société britannique. Dès ce mois de janvier, les prévisions météo nationales sur les chaînes télé du service publique ne seront plus assurées par l’indétrônable Météo France, mais par la filiale française du groupe anglais, « Météo Groupe«
Voici l’extrait d’un reportage qui va nous éclairer sur ce procédé de géo-ingénierie qui n’a rien d’anodin.
Manif anti-chemtrails au JT de France3 Rhône-Alpes (25 janvier 2014)
La géo-ingénierie pour lutter contre le rayonnement solaire va s’accentuer d’ici 2025.
Le cinquième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC ) prévient que, malgré leurs effets secondaires dans le monde entier et leurs conséquences à long terme, les techniques de géo-ingénierie impliquant la gestion du rayonnement solaire (SRM) doivent être maintenues :
«Si les programmes de gestion du rayonnement solaire sont interrompus, pour une raison quelconque, il est fort probable que les températures de surface sur tout le globe augmenteraient très rapidement vers des valeurs correspondants au forçage des gaz à effet serre ». [Souligné dans l’original]
« Changement climatique 2013: base physique de la science » (dénommée « AR5 ») remplace l’ancien rapport publié en 2007. [1] Le premier rapport d’évaluation du GIEC a été publié en 1990.
La discussion dans le résumé pour les décideurs et dans le corps de l’AR5 conseille la gestion du rayonnement solaire plutôt que les méthodes d’élimination du dioxyde de carbone, qui sont limitées dans leur efficacité à l’échelle de la planète, mais admet qu’elle n’est pas idéale, et que les deux types de techniques de géo-ingénierie auront des conséquences à long terme.
« Bien que l’ensemble de la communauté des universitaires prétend toujours ne pas connaître la réalité en cours de la géo-ingénierie globale », commente Dane Wigington sur son site geoengineeringwatch.org , « le simple fait qu’ils discutent de géo-ingénierie dans le dernier rapport du GIEC indique que le voile commence à être levé ».[2]
La gestion du rayonnement solaire comprend diverses techniques visant à refléter ou renvoyer le rayonnement solaire vers l’espace, ce qui augmente surtout l’albédo de la planète (réflectivité). Beaucoup de géo-ingénieurs, et aussi le GIEC, préfèrent les méthodes de gestion du rayonnement solaire à l’élimination du dioxyde de carbone comme solution au changement climatique, compte tenu des boucles de rétroaction complexes du carbone de la planète, et c’est bon marché et plus rapide de pulvériser des particules dopant l’albédo, dans le ciel.
« Bloquer le soleil, mais continuer à déverser des milliards de tonnes de dioxyde de carbone dans l’atmosphère », c’est ainsi qu’Eli Kintisch caractérise la gestion du rayonnement solaire dans son livre de 2010 : « Massacrer la planète ».[3] Dans un monde guidé par la raison, nous renoncerions aux combustibles fossiles pour l’énergie solaire gratuite et abondante , couplée à l’électricité libre telle que l’a développée Tesla, afin de répondre aux besoins énergétiques de la planète, sans détruire notre nid par l’extraction et la combustion d’énergies fossiles.
La gestion du rayonnement solaire a « trois caractéristiques essentielles », remarque le Conseil International de Gouvernance du Risque (IRGC). « C’est bon marché, rapide et imparfait » [4] citant un promoteur de la géo-ingénierie, David Keith, le IRGC explique que l’injection de 13.000 tonnes d’aérosols sulfatés dans la stratosphère chaque jour, pourrait compenser les effets radiatifs du doublement des concentrations de CO2 dans l’atmosphère. Cela équivaut à enlever « 225 millions de tonnes par jour de CO2 de l’atmosphère pendant 25 ans ».
Si la raison devait l’emporter, nous capturerions l’énergie solaire, nous ne la bloquerions pas ; nous fuirions les énergies fossiles, et nous ne provoquerions pas des guerres écocides pour nous emparer des stocks restants. Pourtant, dans le monde d’aujourd’hui, les responsables politiques ont détourné des milliards de dollars pour bloquer le soleil. Le coût de ces systèmes efficaces est d’environ 10 milliards de dollars par an, « abordable pour les budgets de la plupart des pays », remarque l’IRGC.
Non seulement le GIEC dans son résumé pour les décideurs, les avertit-il que les chemtrails doivent se poursuivre, mais aussi, il nie l’existence de ces programmes. Dans le chapitre 7, le GIEC indique simplement : « Les méthodes de gestion du rayonnement solaire ne sont ni appliquées ni testées. »
Il s’agit d’une déclaration étrange, après avoir averti qu’arrêter la gestion du rayonnement solaire aggraverait le réchauffement de la planète. En plus, le GIEC admet dans AR5 :
« Des ensembles de données, nouveaux et améliorés, pour l’observation des aérosols ont été mis en place depuis AR4. Un certain nombre d’expériences sur le terrain ont eu lieu ». L’un des programmes cités, l’Expérience de Transport Chimique Intercontinental, a couvert l’hémisphère Nord, et a mesuré les aérosols en provenance d’Asie et traversant le Pacifique et l’Amérique du Nord, puis continuant à travers le continent, à travers l’océan Atlantique et l’Europe. Dirigés par le Projet International sur la Chimie Atmosphérique Mondiale, ces vols programmés en 2004 et 2006, n’auraient pas dépassé le nombre de 48.
En plus des projets régionaux communs, plusieurs nations effectuent également des essais analogues, sur le terrain, à l’intérieur de leurs propres frontières. L’Inde admet mener des programmes de gestion du rayonnement solaire depuis plus de dix ans.
Mesures d’aérosols au niveau de la mer par des instruments embarqués sur un navire indien
Certes, les essais sur le terrain se déplacent bien au-delà du cadre des « expériences » quand ils couvrent les continents, traversent les océans et sont menés pendant des années.
Une autre incohérence dans AR5 est sa discussion sur les traînées persistantes. Malgré le terrible avertissement dans le résumé pour les décideurs exhortant les responsables politiques à poursuivre leurs programmes de gestion du rayonnement solaire de peur que la surface de la planète ne se réchauffe encore, l’AR5 ne considère les traînées d’avions persistantes que responsables d’une très légère augmentation du forçage radiatif (où l’énergie solaire est réfléchie dans l’espace.)
Globalement, le GIEC a « une confiance moyenne » dans le fait que les traînées d’avions persistantes et les cirrus qu’elles créent ne changent pas les températures de surface de la planète. Cela contredit ce que les scientifiques ont constaté lors de l’arrêt du trafic aérien au-dessus du sol américain pendant 3 jours après le 11 septembre 2001 (sauf pour les vols laissant se sauver des saoudiens à l’étranger). Les températures au sol ont augmenté de 2 à 3 º Celsius pendant l’absence des traînées d’avion, persistantes ou non.