« Ce que vivent ces pays va inéluctablement se passer en France, c’est juste une question de temps.
Les libéraux sont forts avec les faibles, à Chypre, ils piquent sur leurs comptes directement et on parle ici de milliards. C’est du vol devenu légal par le biais de lois passées en catimini à Bruxelles.
L’union Européenne est un piège fachiste qui nous conduit à la généralisation du malheur grecque et portugais … »
Et les médias mainstream continuent à nous bassiner avec cette pseudo reprise de l’économie mondiale alors que cela fait des années que le Titanic qu’est notre économie c’est fait percuter par l’iceberg de sa chute.
Ils sont des dizaines à nous alerter depuis des années mais qui s’en soucie tant que le gîte, le couvert et les jeux du cirque sont assurés ?
Ce message est lancé un peu comme une bouteille larguée à la mer afin de tenter de prévenir du funeste destin qu’est le notre.
Je n’ai plus beaucoup d’espoir quand à une réaction mais qui sait…
Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir n’est-ce pas ?
L’histoire pour autant que l’on veuille bien s’y pencher un peut nous apprend bien des choses sur notre passé, notre présent mais aussi et surtout sur notre avenir et à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’Europe et plus particulièrement de cette sacro-sainte Union Européenne.
Les Faits :
L’Union Européenne est un projet fasciste qui a été pensé par des Nazis comme Walter Hallstein qui a été le premier président de la commission Européenne. Walter Hallstein était un dignitaire Nazi qui avait rédigé à la demande de Hitler un plan pour une nouvelle Europe qui se trouve être l’Europe d’aujourd’hui.
Qui était Walter Hallstein ?
Hallstein était un juriste Allemand sous le régime Nazi qui d’ailleurs avait été professeur et doyen à l‘université de Rostock en 1936 alors âgé de 34 ans après avoir montré patte blanche aux autorités Nazies.
En 1938, lorsque Hitler c’était rendu en Italie, il était tombé d’accord avec Mussolini pour bâtir un projet de nouvelle Europe « Das Neue Europa ». Au mois de juin 1938, Adolph Hitler avait demandé à Walter Hallstein de préparer le projet de construction Européenne.
Walter Hallstein qui était officier Nazi a été arrêté en 1944 à la fin de la seconde guerre mondiale après la bataille de Cherbourg. Il a ensuite été recyclé par les autorités américaines.
En 1951 on retrouve Walter Hallstein dans l’entourage immédiat de Konrad Adenauer et devient le secrétaire d’état aux affaires étrangères du gouvernement Adenauer en Allemagne. C’est lui qui va préparer le projet de cette nouvelle Europe à partir des plans qu’il avait préparé pour Hitler et Mussolini et c’est ce qui va donner le traité de Rome qui sera signé le 25 mars 1957.
Il fut ensuite le premier président de la commission européenne de 1958 à 1967 (Commission Hallstein) et dans le cadre de cette commission, il présente en 1965, un plan qui prépare l’organisation d’une Europe fédérale.
Photo : Konrad Adenauer & Walter Hallstein lors de la signature du traité de Rome en 1957
Walter Hallstein a ensuite été le promoteur du « plan Hallstein » en 1965 qui prévoyait une Europe fédérale, la même Europe que l’on connait aujourd’hui et c’est justement ce plan Hallstein qui avait motivé le général Charles De Gaule à dire Stop et à ne plus envoyer aucun représentant à la commission Européenne à Bruxelles, pratiquant ainsi la politique de la chaise vide car il savait parfaitement à quoi s’en tenir concernant Walter Hallstein, un Nazi recyclé par les américains afin de détruire les nations d’Europe et les placer sous l’autorité d’un empire dictatorial.
Le document qui suit vous relate ce que vous venez de lire et j’ai pris soin d’y ajouter l’extrait d’une allocution du président Charles De Gaulle qui avait vu venir ce qui se passe aujourd’hui ainsi que du président Jacques Chirac aux élections Européennes de 1979 ou il dénonçait « cette Europe non européenne dominée par les intérêts germano-américains » sans être interdit de grands médias ni se faire traiter de « conspirationniste ».
Au cours des trois mois écoulés depuis que le monopole des moteurs de recherches sur Internet, Google, a annoncé qu’il fallait empêcher les utilisateurs d’accéder à de « fausses nouvelles » (fake news), le classement mondial du trafic d’une large gamme d’organisations de gauche, progressistes, anti-guerre et démocratiques a considérablement diminué.
Le 25 avril 2017, Google a annoncé qu’il avait mis en place des modifications de son service de recherche pour rendre plus difficile pour les usagers d’accéder à ce qu’il appelait des informations « de mauvaise qualité » telles que les « théories du complot » et les « fausses nouvelles ».
La société a déclaré dans un article de blogue que l’objectif central de la modification de son algorithme de recherche était de donner au géant des recherches un plus grand contrôle dans l’identification du contenu jugé répréhensible par ses directives. Il a déclaré qu’il avait « amélioré nos méthodes d’évaluation et effectué des mises à jour algorithmiques » afin de « contenir un contenu plus autorisé ».
Google a poursuivi : « Le mois dernier, nous avons mis à jour nos lignes directrices sur la qualité de la recherche (Search Quality Rater Guidelines) pour fournir des exemples plus détaillés de pages Web de mauvaise qualité pour que les évaluateurs puissent les signaler de manière appropriée ». Ces modérateurs sont invités à signaler « les expériences qui pourraient perturber des usagers », y compris les pages qui présentent de « théories du complot », sauf si « la requête indique clairement que l’usager recherche un autre point de vue ».
Google n’explique pas précisément ce qu’il entend par le terme « théorie du complot ». En utilisant la catégorie large et amorphe des « fausses nouvelles », l’objectif du changement dans le système de recherche de Google est de restreindre l’accès à des sites Web présentant des opinions différentes, dont la couverture et l’interprétation des événements s’opposent à celles des médias de l’establishment tels que le New York Times et le Washington Post.
En signalant le contenu de telle sorte qu’il n’apparaît pas dans les premières une ou deux pages d’un résultat de recherche, Google est capable de bloquer efficacement l’accès des usagers à celui-ci. Étant donné qu’une grande partie du trafic sur le Web est influencée par les résultats de recherche, Google peut dissimuler ou enterrer efficacement le contenu auquel il s’oppose, grâce à la manipulation des classements des recherches.
Le mois dernier, la Commission européenne a imposé une amende de 2,7 milliards de dollars à la société pour avoir manipulé les résultats des recherches pour orienter les usagers de manière inappropriée vers son propre service de comparaison, Google Shopping. Maintenant, il semble que Google utilise ces méthodes criminelles pour empêcher les utilisateurs d’accéder aux points de vue politiques que l’entreprise considère comme répréhensibles.
Le World Socialist Web Site fait partie des cibles des nouvelles « méthodes d’évaluation » de Google. En avril 2017, 422 460 visites au WSWS venaient de recherches Google, ce chiffre a chuté à environ 120 000 ce mois-ci, soit une baisse de plus de 70 pour cent.
Même si l’on utilise des termes de recherche tels que « socialiste » et « socialisme », les lecteurs nous ont informés qu’il leur était de plus en plus difficile de localiser le World Socialist Web Site dans les recherches de Google.
Les références des recherches de Google vers le WSWS ont diminué d’environ 70 pour cent
Selon le service d’outils pour les webmestres de Google, le nombre de recherches qui ont permis aux usagers de voir le contenu du World Socialist Web Site (c’est-à-dire un article WSWS apparu dans une recherche Google) est passé de 467 890 par jour à 138 275 au cours des trois derniers mois. La position moyenne des articles dans les recherches, entre-temps, est passée de 15,9 à 37,2 au cours de la même période.
David North, président du Conseil de rédaction international du WSWS, a déclaré que Google était engagé dans la censure politique.
« Le World Socialist Web Site existe depuis près de 20 ans », a-t-il déclaré, « et il a développé un large public international. Au cours du printemps dernier, le nombre de visites individuelles au WSWS par mois dépassait 900 000 ».
« Alors qu’un pourcentage significatif de nos lecteurs se rend directement sur le WSWS, de nombreux internautes accèdent au site via des moteurs de recherche, dont Google est le plus utilisé. Il n’y a pas d’explication innocente pour la chute extraordinairement forte du lectorat, pratiquement du jour au lendemain, en provenance des recherches Google ».
« L’affirmation de Google selon laquelle il protège ses lecteurs contre les « fausses nouvelles » est un mensonge politique. Google, un monopole massif, avec les liens les plus étroits avec les agences de l’état et du renseignement, bloque l’accès au WSWS et à d’autres sites Web progressistes et de gauche grâce à un système de recherches biaisé ».
Au cours des trois mois écoulés depuis que Google a mis en œuvre les modifications apportées à son moteur de recherche, moins de personnes ont eu accès aux sites d’information de gauche et anti-guerre. Sur la base des informations disponibles sur les analyses d’Alexa, d’autres sites qui ont subi des baisses dans le classement incluent WikiLeaks, Alternet, Counterpunch, Global Research, Consortium News et Truthout. Même les groupes de défense des droits démocratiques tels que l’Union américaine pour des libertés civiles et Amnesty International semblent avoir été touchés.
Un large éventail de sites de gauche, progressistes, et anti-guerre ont vu diminuer leur rang dans les palmarès du trafic au cours des derniers mois
Selon Google Trends, le terme « fausses nouvelles » a quadruplé en popularité au début de novembre, à l’époque des élections américaines, alors que les démocrates, les médias et les agences de renseignement cherchaient leur imputer la responsabilité de la victoire électorale de Donald Trump sur Hillary Clinton.
Le 14 novembre, le New York Times a proclamé que Google et Facebook « ont fait face à de nombreuses critiques sur les fausses nouvelles sur leurs sites qui ont influencé le résultat des élections présidentielles » et qu’ils prendraient des mesures pour lutter contre les « fausses nouvelles ».
Dix jours plus tard, le Washington Post a publié un article intitulé « L’effort de propagande russe a contribué à diffuser de “fausses nouvelles” lors des élections, disent les experts », qui ont cité un groupe anonyme appelé PropOrNot qui a compilé une liste de « fausses nouvelles » diffusant « la propagande russe ».
La liste comprenait plusieurs sites classés par le groupe comme « de gauche ». De manière significative, il a ciblé globalresearch.ca, qui reproduit souvent des articles du World Socialist Web Site.
Après des critiques très répandues sur ce qui n’était pratiquement rien d’autre qu’une liste noire de sites anti-guerre et anti-établissement, le Washington Post a été obligé de publier une rétractation, en déclarant : « Le Post, qui n’a nommé aucun de ces sites, n’apporte aucune garantie quant à la validité des résultats de PropOrNot. »
Le 7 avril, Bloomberg News a rapporté que Google travaillait directement avec le Washington Post et le New York Times pour « vérifier les articles » et éliminer les « fausses nouvelles ». Ceci a été suivi par la nouvelle méthodologie de recherche de Google.
Trois mois plus tard, sur les 17 sites déclarés « fausses nouvelles » par la liste noire discutée du Washington Post, 14 avaient leur classement mondial en baisse. Le déclin moyen de la portée mondiale de tous ces sites est de 25 pour cent, et certains sites ont vu leur portée mondiale descendre de près de 60 pour cent.
« Les actions de Google constituent de la censure politique et sont une attaque flagrante contre la liberté d’expression », a déclaré North. « À un moment où la méfiance du public envers les médias de l’establishment est répandue, cette entreprise géante exploite sa position de monopole pour restreindre l’accès du public à un large éventail de nouvelles et d’analyses critiques ».
Andre Damon et Niles Niemuth
EN COMPLEMENT : L’UNESCO et le « symposium international sur la liberté d’expression » : entre instrumentalisation et nouvelle croisade (il fallait le voir pour le croire) https://www.legrandsoir.info/l-unesco-et-le-symposium-international-su… (où un patron de Google s’exprime sur la liberté d’expression…)
Le cœur sur la main, l’ogre de Mountain View (États-Unis) jure ses grands dieux que cette collecte compulsive sert avant tout l’Internaute.
Le discours officiel: «Votre activité contribue à rendre votre expérience Google plus rapide, plus intelligente et plus utile.»
Oui, vous avez le droit de ricaner.
La publicité pour un expert de l’électroménager qui vous suit partout depuis que vous avez recherché sur Google des infos sur les lave-vaisselle n’est pas le fruit du hasard.
Google voit tout, entend tout. Et utilise tout, à votre profit (un peu), au sien (beaucoup).
Effort de transparence :
Petite éclaircie dans la grisaille, le colosse tente de vous amadouer en consentant un effort de transparence.
Vous souhaitez découvrir tout ce que Google sait de vous? Et éventuellement supprimer certaines données, voire limiter la collecte?
Le géant de la recherche vient d’inaugurer une nouvelle page, limpide et fonctionnelle, pour vous faciliter la vie.
Accéder à la page Google Mon activité
La nouvelle page Google Mon activité est désormais le point de rendez-vous par excellence à l’heure de décortiquer tout ce que Google archive à votre sujet.
Les yeux ébahis, vous découvrez minute par minute, heure par heure, jour par jour, l’enregistrement détaillé de vos activités au cœur des services Google.
Sont encodées vos activités et vos recherches sur: Android, Chrome, Google Maps, Recherche, Recherche d’images, Recherche de vidéos, Trajets Google Maps, YouTube.
Le 5 juillet, Google à l’affût a gardé la trace tangible de 358 activités sur notre compte Google, via le navigateur Chrome, la recherche, YouTube…
Consulter l’historique de vos trajets
En marge de cet archivage obsessionnel, Google se fait fort d’enregistrer vos déplacements via la puce GPS de votre smartphone et/ou de votre tablette.
«Redécouvrez les lieux que vous avez visités et les itinéraires que vous avez empruntés dans l’historique de vos trajets», positive le moteur de recherche.
Les points rouges sur la carte montrent tous les endroits où Google vous a identifié grâce à la puce GPS de votre appareil mobile.
La plate-forme pousse le vice jusqu’à présenter le classement des «lieux que vous fréquentez le plus souvent».
Effacer des données archivées
Vous souhaitez éclaircir, voire supprimer, cet archivage effréné de vos données personnelles?
Soulagement, la page Google Mon activité vous en laisse la possibilité, sans vous mettre des bâtons dans les roues.
À partir de la page Google Mon activité, cliquez sur Supprimer des activités par
La section Supprimer des activités par vous permettra d’effacer partiellement ou totalement les données personnelles archivées par Google.
Limiter la collecte des données
Une fois le nettoyage de printemps bouclé, libre à vous de limiter partiellement ou autant que possible la collecte des données personnelles.
Prenez à nouveau la direction de la page Google Mon activité.
Cliquez sur Commandes relatives à l’activité
Via la section Commandes relatives à l’activité, vous pourrez brider l’espionnage de Google.
6 interrupteurs vous autorisent à activer / désactiver 6 collectes: Activité sur le Web et les applications, Historique des positions, Informations provenant des appareils, Activité vocale et audio, Historique des recherches YouTube, Historique des vidéos regardées sur YouTube.
A l’approche de l’élection présidentielle de 2017, une réflexion du tandem Chouard, Zaki
Nous n’avons pas besoin de l’argent des riches pour financer nos activités.
En économie, on parle globalement des coûts du travail mais jamais des coûts du capital car sans avoir à creuser, en se penchant tout simplement sur les dividendes qui sont reversés aux actionnaires il est tout à fait légitime de se dire que les richesses qui sont produites par les salariés sont à des années lumières d’être réparties équitablement entre la classe moyenne et les riches ce qui rentre violemment en contradiction avec l’intérêt général et ce n’est plus tenable.
Le seul dont le Frexit fasse partie d’un des axes centraux de son programme est François Asselineau et c’est d’ailleurs pour cette simple raison qu’il est complètement ostracisé par les médias Mainstream.
Interviewé par Pierre Jovanovic, Etienne Chouard ne cache pas son animosité envers le système dont les élites corrompues par les banques n’obéissent qu’à une petite bande d’oligarques pour qui seul l’intérêt immédiat compte.
Ce sont les banques qui ont écrit la constitution, qui dictent ce qu’ils ont à faire aux politiques dont elles ont financé les campagnes. La politique est corrompue par les banques et les multinationales. les élections ne donnent le pouvoir qu’aux riches en se fichant éperdument des électeurs.
Etienne Chouard ne veut pas représenter un parti politique car pour lui, tous les partis sont infiltrables et selon lui, il finira par se faire discréditer. Il faut créer un mouvement qui soit bordélique, une sorte de chaos organisé. C’est le peuple qui doit écrire la constitution.
Etienne Chouard propose des ateliers Constituants permettant à celles et ceux qui y prennent part d’organiser à leur tour d’autres ateliers constituants. Une sorte d’éveil des peuples. L’idée fait son chemin et de plus en plus de gens y portent un vif intérêt.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas Etienne Chouard deux liens qui vous expliqueront de quoi il s’agit.