« Kamikazes » du Stade de France : le témoin-clé avait été pistonné par le pouvoir socialiste
Exclusif. Panamza s’est procuré un courrier de 2014 adressé par le député PS Olivier Faure à Christian Eckert, secrétaire d’État au Budget, en faveur de Bley Mokono, premier «témoin miraculé» des attentats du 13 novembre.
Souvenez-vous : le 3 mars, Panamza publiait une enquête consacrée aux protecteurs haut-placés (François Hollande, Manuel Valls, Claude Bartolone, entre autres) du premier « témoin miraculé » des évènements survenus le 13 novembre dans l’agglomération parisienne : Bilal Bley Mokono, 39 ans, « conseiller technique » au ministère de l’Intérieur depuis janvier 2016.
Deux jours plus tard, il était de nouveau invité par la chaîne BFM TV, au micro de Nathalie Lévy, pour dénoncer les « lourdeurs administratives » endurées par les familles de victimes.
Le 23 mars, il affirma au Parisien -premier média à l’avoir complaisamment exposé, dès le 14 novembre- un propos inédit : il aurait non seulement été le seul témoin à avoir vu -avant les explosions- deux des trois « kamikazes » présumés mais, nouvelle allégation, leur chauffeur Salah Abdeslam.
« J’ai raconté ça aux policiers quand j’ai été entendu.
L’un d’eux m’a dit :ferme les yeux et balaie la scène dans ta tête.
J’ai revu cette voiture noire et le regard de l’homme maghrébin qui était dedans.
Pour moi, c’était Salah Abdeslam »
Depuis le retour médiatique de Mokono, Panamza a obtenu auprès d’une source de nouveaux éléments d’information au sujet de ce personnage influent et redouté dans le Val-d’Oise, à la fois proche des barons socialistes et de l’opposition iranienne adoubée par l’axe Washington-Tel Aviv.
Le 26 juin 2014, le député PS Olivier Faure (proche de François Hollande) a adressé une lettre à Christian Eckert, secrétaire d’État au Budget. La requête singulière du parlementaire en une phrase manuscrite : « Merci de regarder ou faire regarder ce que tu peux faire pour aller vers la mise en place d’un échéancier ».
Nous avons vu, dans notre article C’est la CIA qui a causé la chute catastrophique de l’avion russe en Mer Noire, que cette chute est due à une attaque radio-électronique commanditée par la CIA. Selon l’expert russe Alexandre Artamonov, les exécutants pourraient être des navires français qui étaient présents en Mer Noire.
Un avion de la Défense russe se dirigeant à Khmeimim, base aérienne russe en Syrie, est tombé après le décollage dans les eaux territoriales russes. Les musiciens et les journalistes se trouvant à bord ont tous péri dans cet accident. Aucun rescapé, comme toujours lorsqu’il s’agit d’une catastrophe aérienne… Ces lignes qui ont fait le tour du monde ne reflètent pas vraiment tout le dramatisme de ce qui est en train de se jouer dans le bassin de la mer Noire.
Il se trouve que l’avion en question a été en « grande visite », comme disent les avionneurs, en septembre dernier ce qui veut dire que tous les systèmes – avionique, propulseurs, hydraulique – ont été mis en révision. Qui plus est, cet avion desservait une commande spéciale : les musiciens de l’ensemble de musiciens Alexandrov (Chœur de l’Armée Rouge), les ballerines qui s’y sont associées et les journalistes de la grande chaîne de télévision devant participer aux festivités du Nouvel An organisées par la Défense russe pour le corps expéditionnaire russe en Syrie. Vous pouvez bien imaginer que l’appareil aurait dû être bichonné jusqu’au dernier boulon. Mais voilà qu’il tombe sans raison apparente, un peu comme si c’était dans le Triangle de Bermudes.
Il est à dire que le désastre est arrivé juste après le décollage les 3 moteurs s’étant arrêtés simultanément parce que le Tupolev est tombé dans un total silence – tel que les observateurs de passage se trouvant sur la berge, à une distance d’1,5 km, ont entendu le bruit de l’eau qui se refermait sur la coque engloutie. L’épave gît à une profondeur de 50-70 mètres avec les débris qui se sont dispersés à une très grande distance à cause du courant qui est particulièrement fort dans cet endroit et une mer hivernale démontée. Tout ça pour dire qu’il serait difficile de retrouver les boîtes noires qui, dans ce type d’avion, ne sont pas encore pourvus de balises électroniques. Difficile, mais possible puisqu’une équipe de plongée faisant plus d’un millier de personnes est déjà sur place pour travailler dans les conditions particulièrement éprouvantes.
Les avions tombent, hélas, et assez régulièrement, mais la bizarrerie de ce dernier crash a été remarquée par plus d’un observateur. Non seulement l’avion était dans un état excellent et le vol étroitement surveillé, mais, qui plus est, l’équipage n’a donné aucune alerte par radio. La tour de contrôle a pu juste constater la disparition du Tupolev. Point, à la ligne.
Ayant passé plus de 15 ans dans l’aviation civile et militaire, je suis en droit de dire qu’il s’agit d’un cas rarissime – beaucoup plus rare que la disparition de l’avion de ligne Malaysian Airlines dont l’épave n’a jamais été découverte ni aucune hypothèse viable sur le crash avancé. Quoi qu’il en soit, un grand nombre de professionnels militaires russes estiment qu’aucune raison logique n’aurait pu mener à un tel dénouement tragique. D’aucuns avancent l’hypothèse d’un missile de croisière ou d’un missile antiaérien portable de type « Stinger ». Il est cependant sûr que si ça avait eu lieu, on aurait dû enregistrer l’impact et l’éclair au moment de la déflagration sans parler du suivi du tracé du missile qui eût pu être réalisé par les moyens de surveillance de la mer Noire. Donc une telle éventualité de tir terroriste est fort peu probable.
Reste la dernière version des faits qui, à bien y réfléchir, n’est pas si futuriste que ça. Depuis très longtemps, les Russes parlent de leurs armes ultra-sophistiquées dans le domaine de la défense anti-aérienne et du brouillage électronique. Les moyens de la guerre électronique seraient tellement sophistiqués que le passage d’un seul avion russe au-dessus d’un croiseur américain qui était d’ailleurs en mer Noire à ce moment-là, a provoqué le blocage de tous les systèmes électroniques y compris la liaison avec le satellite et les systèmes d’armements embarqués [1].
Le croiseur a dû même rebrousser chemin pour revenir à Istanbul.
Cette information prouve, de façon éloquente, que l’on peut très bien bloquer l’avionique de bord avec les moyens de guerre radio-électronique qui peuvent servir d’arme offensive.
Si les Russes l’ont fait, il serait logique de supposer que l’OTAN a à sa disposition les armements de même type. Un groupe aéronaval américain est actuellement localisé en mer Noire et a été même renforcé de plusieurs bâtiments. Deux bâtiments de guerre français « Dupuy- De-Lôme », le meilleur d’ailleurs dans le domaine de la lutte radio-électronique et « Le Chevalier Paul » croiseraient également dans le même périmètre.
Il est extrêmement difficile de repérer un faisceau radio-électronique dirigé[2].
Et quand bien même les Russes réussissent à démêler l’écheveau, auraient-ils le courage de faire porter le chapeau à l’OTAN ?
Il est également vrai que s’il s’agit d’une acte ennemi (l’usage d’un bâtiment de guerre n’a rien d’un acte terroriste mais équivaut à des hostilités ouvertes entre les États), le moment a été très bien choisi. Non seulement la date est symbolique : c’était Noël hier (c’est vrai que les Russes orthodoxes le fêtent selon le calendrier julien plutôt le 7 janvier, mais une partie d’Églises orthodoxes le fait bien le 25). En plus, l’avion appartenait à la Défense russe et le Chœur de l’Armée Rouge est le symbole même de l’armée russe. Enfin, dernière chose à dire, la catastrophe s’est passée au moment du départ d’Obama qui crache le feu à propos de l’avènement de Donald Trump et de l’éventuelle amélioration des relations avec la Russie.
Le symbolisme a forcément un rôle a joué. On n’a pas oublié la tempête diplomatique qu’avait déchaînée le concert donné par l’orchestre russe dirigé par le très célèbre Guerguiyev dans le théâtre antique de Palmyre, juste après la libération de la cité antique. De tout temps les symboles ont leur force et leur mysticisme : faire tomber un avion militaire avec le Chœur de l’Armée Rouge qui s’est envolée pour célébrer le Nouvel An après la libération d’une grande partie de la Syrie est plus que symbolique.
Quant aux moyens mis à exécution, je considère que la piste mentionnée serait à prendre en considération.
Et si la France en sait quelque chose, on ne serait pas étonné par le laquais de l’Élysée qui, à la différence de la majorité des chefs de l’État (y compris les Américains), s’est bien gardé d’exprimer ses condoléances au Kremlin se limitant juste à un bref message de la part de l’ambassadeur à Moscou. S’agit-il juste d’un acte cynique ou y a-t-il là matière à réflexion ?
On se souviendra du Crash du vol MH 17 de la compagnie Malaysia Airlines, un vol international régulier reliant Amsterdam à Kuala Lumpur et qui avait été abattu en vol le dans la région de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine où un conflit armé était en cours mais le survol n’était pas interdit aux avions civils. Aucun survivant n’avait été retrouvé parmi les 283 passagers et 15 membres de l’équipage. Le parquet néerlandais avait annoncé le 28 septembre 2016 que l’enquête pénale internationale qu’il coordonnait avec des enquêteurs venus de Belgique, d’Australie, de Malaisie et d’Ukraine, avait confirmé que le missile avait été tiré depuis un territoire alors contrôlé par les séparatistes prorusses, après avoir été acheminé depuis la Russie.
Cet attentat avait d’ailleurs contribué à la mise en place de la résolution 758 votée en toute hâte par le congrès US le 4 décembre 2014 avant que la dite enquête ne fusse terminée.
Je rappelle que la résolution 758 permet au président Obama et au commandant des armées de déclarer la guerre à la Russie sans passer par le congrès. A toutes fins utiles je remet en ligne en fin d’article, la vidéo qui l’atteste.
Voici à présent une vidéo qui semble démontrer très clairement que le crash du vol MH17 ait été un coup monté pour une fois de plus accabler la Russie et faire monter de quelques crans encore les tentions entre l’OTAN et ses alliés avec la Russie.
Cette vidéo remonte au mois de juillet 2016 et fait suite au terrible attentat qui s’était déroulé à Nice.
Ce citoyen n’a pas peur de la froideur et même de la violence des mots qu’il emploi. Ce citoyen éveillé est tout simplement en colère et la magie du net lui permet de partager son émotion.
Et pour commencer, le document qui m’a donné l’idée de mettre ce site en ligne.
Je ne reviendrai plus là dessus tant la chose en preuves abondent. Je mets donc cet article en ligne une bonne fois pour toutes.
Les images ont été truquées, elles ont servi à manipuler les gens pour justifier le remaniement du Moyen Orient. C’est clair, net et limpide aujourd’hui.
Voyez à présent comment une chaîne du service public brise l’omerta
Le world Trade Center 7 c’est effondré alors qu’aucun avion ne l’a percuté et les immeubles entre cet édifice et les tours jumelles ne se sont pas effondrées pourtant bien plus endommagées.
Pour la troisième fois dans l’histoire de l’architecture une tour s’effondre suite à un incendie, les deux cas précédents étant les tours jumelles.