Fly Rider « Cavalier volant » alias Maxime Nicolle » sur le plateau de RT France
Maxime Nicolle qui s’est imposé comme l’un des messagers des Gilets jaunes depuis son apparition dans l’émission de Cyril Hanouna le 20 novembre dernier où il demandait la destitution du président Macron est on ne peut plus décrié par les médias mainstream. Ces derniers lui reprochent de propager des fake news qu’il diffuse lors de ses nombreux lives qui sont suivis et partagés par des dizaines de milliers d’internautes via le groupe qu’il a créé sur Facebook et qui rassemble pas loin de 180’000 membres.
Retrouvons le dans l’extrait d’une émission de RT France qui l’avait invité sur le plateau de l’émission « Interdit d’interdire » animée par Frédéric Taddeï, entretien où il dénonce la pédophilie chez les élites et le deux poids deux mesures de la justice en France.
François de Siebenthal lors du rassemblement des Gilets jaunes devant le siège européen des Nations Unie à Genève, le 20 février 2019.
Présenté sur les réseaux sociaux comme étant un ex banquier Suisse, François de Siebenthal est une personnalité qui connait bien le monde de la finance.
Ancien secrétaire général du Crédit Suisse dans le canton de Vaud, à l’origine de l’initiative « Monnaie pleine » et fervent défenseur du « RBI » (Revenu de base inconditionnel), il manage entre autres une chaîne Youtube dont les vidéos sont visionnées des milliers de fois. Il soutient inconditionnellement le mouvement des Gilets jaunes et dénonce un système néolibéral qui se nourrit de la rareté et de la pauvreté afin de maintenir sous son joug le 99% de l’humanité.
Selon lui, en créant une micro-taxe sur les transactions financières, le système serait en mesure de supprimer toutes formes d’impôts et de taxes.
Alors que l’international sionisme s’est mis en branle contre le peuple français en révolte, un quinzième samedi de défi à l’encontre du régime au pouvoir se profile à l’horizon : Toute la semaine, les annonces se sont succédé pour traiter les Français de peuple anti-sémite.
Le ministre israélien de l’Immigration est même sorti de ses limbes pour appeler les juifs de France à quitter la France raciste et antisémite pour « rentrer au bercail », ce bercail que Tel-Aviv entretient du sang palestinien.
Ce samedi, la presse française s’intéresse aussi aux confidences du président Macron, publié le 21 février, dans un ouvrage intitulé « Le Peuple et le président ». M. Macron dit :«Qui m’a soutenu pendant la crise des Gilets Jaunes ? Personne».
Cet aveu est significatif à bien des égards. Trois mois après le début du mouvement, le régime macronien se trouve dans un totale impasse.
La partition « antisémitisme » jouée à l’aide des lobbyistes pro Israël de France, combinée aux appels menaçant du CRIF, puis aux cris de « rage anti- antisionisme » du président a prouvé à quel point la Macronie est prise de court.
Dès sa nomination, l’actuel président a provoqué et quasiment affiché son mépris à l’égard de l’état-major de l’armée française, ce qui a même poussé l’ex-chef d’état-major le général De Villiers à démissionner.
« Certaines informations renvoient même à une demande de la ministre française de la Défense, Mme Parly qui au début du mouvement des Gilets Jaunes en novembre 2018 voulait disposer de la troupe pour protéger Paris. Or, la réponse aura été négative.
L’état-major a refusé d’engager des troupes contre le peuple français lequel ne représente à ses yeux aucun danger de sédition et apparaît totalement pacifiste ».
Bref l’armée française semble refuser de jouer le jeu de la Macronie et à mesure que le mouvement de protestation s’amplifie, ce refus s’élargit : En effet, le pouvoir français utilise les BAC pour réprimer. Un rapport cité par les sources de sécurité a même fait état que seuls 10% des LBD étaient tirés par la police contre 90% utilisées par les BAC et les CRS. La Gendarmerie se démarque des violences policières et des « primes à la matraque » !
Dans certains lieux de blocage les gendarmes soutiennent discrètement les manifestants, par exemple à Saint Calais, dans la Sarthe, un gendarme sort son arme de service pour arrêter un chauffeur de poids lourd qui voulait passer de force.
Interrogé par PressTV l’expert ajoute :
« Quand le président dit que personne ne l’a aidé réellement depuis le début du mouvement ou quand il va jusqu’à prévoir sa mort par balle, cela pourrait bien envoyer à ce désaveu que manifeste l’armée française à l’égard du président.
D’ailleurs la thématique du putsch et de coup d’État vient de faire son apparition dans le discours des officiels ».
Suite à la suppression de la chaîne YouTube « Le Média pour Tous » sur signalement de l’association Égalité et Réconciliation, nous faisons le point sur la position de toute l’équipe du Média pour Tous, résolument tournée vers l’apaisement et l’avenir.
GILETS JAUNES SUR RTL « LES AUDITEURS ONT LA PAROLE »
Pascal Praud est réputé pour ne pas porter les gilets jaunes ni sur ses épaules, ni dans son cœur ! Un auditeur Montluçonnais régulièrement présent sur le terrain à Paris témoigne des violences policières durant les manifestations.
Émission diffusée sur RTL, le lundi 18 février 2019 dans : « Les auditeurs ont la parole », animée par Pascal Praud qui est également présentateur et producteur de : « L’heure des pros » & « 20h. foot » sur CNEWS.
Il répond à Franck, Gilet Jaune Montluçonnais, témoin des méthodes des forces de l’ordre lors des différents actes à Paris.
Un direct dans lequel s’accusent mutuellement l’auditeur et le journaliste de conspirationnisme et de propagandisme. (ndlr.)
Des « gilets jaunes » ont manifesté ce mercredi matin sur la place des Nations à Genève. Ils étaient 1000 selon les organisateurs, 600 selon la police.
Plusieurs centaines de gilets jaunes ont entamé mercredi matin un rassemblement sur la Place des Nations à Genève pour crier dans le calme leur désarroi face au gouvernement français et à l’attitude des forces de sécurité. « On est pacifistes », ont-ils assuré.
Ils étaient attendus par milliers, mais seuls quelques centaines avaient convergé au début de la manifestation. « C’est dur en semaine. Des gens travaillent », a glissé l’un des gilets jaunes.
Non loin de lui, un homme donne le ton de la frustration que sont venus relayer ces personnes qui ont afflué de plusieurs départements français. « Ce que j’ai obtenu, c’est en me battant », dit-il en exhortant ses camarades à ne pas baisser la garde dans leurs revendications.
La photo, relayée sur les réseaux sociaux et qui dit montrer des policiers en train de casser une vitrine lors de manifestations de gilets jaunes, date en fait de 2015.
Cette photo date de 2015, elle a été prise à Toulouse lors d’une manifestation Zadiste. C’est le service AFP factuel qui a trouvé l’original.
Patrick D’hondt de META TV soulève lors d’un débat en présence du Premier ministre Edouard Philippe deux points essentiels liés à la crise sociale que traverse la France et qui sont marqués par le début du mouvement des Gilets jaunes :
Préambule de la vidéo :
Il parle d’une crise de représentativité au sein des institutions et d’une crise de citoyenneté :
Les Gilets jaunes revendiquent de passer du statut de simples citoyens au statut d’électeurs. Ils revendiquent le fait de redevenir les acteurs de leur propre destin avec notamment le R.I.C .
Selon lui, il faut aller vers la création monétaire et rendre à la banque de France la prérogative de battre monnaie (ce qui fait partie de la souveraineté d’un pays (ndlr.)), car la dette française est constituée par des intérêts qui ont été produits par des banques privées et qui sont remboursés sans exception par l’ensemble des français.
Pour que le mot démocratie trouve un sens, le mot souveraineté doit lui être indissociable.
Les élites assènent sans arrêt les valeurs de la République mais il faut être conscient que ces valeurs font partie de la volonté du peuple français. Or, en 2005, la volonté du peuple qui s’était prononcé dans les urnes à plus de 54% contre la constitution européenne a été bafouée en 2007 avec la ratification (par l’ancien Président de la République, Nicolas Sarcozi avec le soutient du président du PS de l’époque, François Hollande) du mortifère traité de Lisbonne.
Pour que la démocratie trouve un sens en France, il faut relancer un référendum sur l’Union européenne.
« On nous fait travailler 16 heures, sans pause, sans manger et sans boire ! »
« On s’est retrouvé, on était peut-être 200 sur les Champs, les ordres qu’on nous a donné c’était « Allez-y ! » En gros, on fait ce qu’on veut ? Franchement je n’ai pas compris. »
À la question : « C’est votre hiérarchie qui vous disait ça ? »
« C’était sur les ondes, c’était la hiérarchie, c’était un peu tout le monde, on devait protéger les institutions, mais en même temps voilà, on est juste de la chair à canon, on en voyait au début puis on a dit : « Faites ce que vous avez à faire », et ça s’arrête là.
On a compris que dans les hautes instances, ils avaient peur, ils avaient peur pour eux, pour l’État, pour le gouvernement. Ils se sont dit : « On envoie les bleus, on envoie tout le monde, on envoie la chair à canon et après on verra. »
Acte 13 : Ils étaient environ 51.400 à travers la France selon le ministère de l’Intérieur, 118’000 selon les Gilets jaunes (plus du double.)
La démocratie Macronienne est mise à rude épreuve en ces temps où le doute fait désormais place à la certitude, certitude de la part du peuple que les élites de la cinquième république jusqu’à peu érigées sur le piédestal de l’honneur et de la confiance se moquent effrontément. Cette confiance se réduit comme peau de chagrin au fil des révélations et des violences infligées tout en en dévoilant le véritable visage des élites tous clivages confondus.
Les Gilets Jaunes qui font partie du peuple Français, le tissu social, la chair même de la France patrie sont oubliés, négligés et snobés par des représentants qui eux, vivent dans un autre univers.