La statue de Vladimir Poutine retirée du musée Grévin
Fasse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la statue du président Russe, Vladimir Poutine, a été retirée du musée Grévin. C’est la première fois de son histoire que le musée Parisien retire un personnage en lien avec des événements historiques.
Statuia lui Vladimir Putin scoasă din muzeul Grévin
Din cauza invaziei Ucrainei de către Rusia, statuia președintelui rus Vladimir Putin a fost scoasă din Muzeul Grévin. Este pentru prima dată în istoria sa când muzeul parizian a eliminat un personaj legat de evenimente istorice.
The statue of Vladimir Putin removed from the Grévin museum
Due to Russia’s invasion of Ukraine, the statue of Russian President Vladimir Putin has been removed from the Grévin Museum. This is the first time in its history that the Parisian museum has removed a character linked to historical events.
Pour sa traditionnelle conférence de presse de fin d’année, le président russe Vladimir Poutine a affirmé que personne ne peut dire avec certitude à quoi est dû le changement climatique, remettant en question le quasi-consensus scientifique sur la responsabilité humaine.
Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse
Personne ne peut dire avec certitude à quoi est dû le changement climatique, a affirmé jeudi le président russe Vladimir Poutine, remettant en question le quasi-consensus scientifique sur la responsabilité humaine.
« Personne ne connaît les causes du changement du climat mondial. Nous savons que notre Terre a connu des périodes de réchauffement et de refroidissement et cela peut dépendre de processus dans l’univers », a-t-il dit lors de sa conférence de presse annuelle.
« Un petit changement d’angle de rotation de la Terre autour du Soleil peut conduire – et a déjà mené dans le passé – la planète à des changements sérieux, colossaux de climat avec des conséquences dramatiques », a ajouté le chef de l’Etat russe.
M. Poutine a jugé qu' »évaluer l’influence que peut avoir l’humanité contemporaine » sur le climat est « très difficile, voire même pas possible ».
Il a cependant réaffirmé l’engagement de réduction des émissions de gaz à effet de serre de son pays et le respect de l’accord de Paris sur le climat.
« Ne rien faire n’est pas non plus une solution, et sur ce point je suis d’accord avec mes collègues (chefs d’Etat). Nous devons faire le maximum d’efforts pour que le climat ne change pas de manière dramatique », a-t-il dit.
Il a néanmoins relevé que la Russie était particulièrement exposée à un réchauffement. « C’est un processus très sérieux pour nous (…) Des villes entières sont bâties sur le permafrost, imaginez les conséquences » en cas de fonte massive, a-t-il souligné.
Ce n’est pas la première fois que le président russe fait des remarques laissant entendre que l’activité humaine n’est pas la principale cause du changement climatique.
Chef d’un Etat grand producteur d’hydrocarbures, il a aussi mis en garde en novembre contre les appels, en Europe en particulier, à renoncer aux énergies fossiles.
« En défendant ce genre de propositions, il me semble que l’humanité peut retourner vivre dans des grottes parce qu’elle ne consommera plus rien », avait-il dit.
Lundi 19 août en soirée, Vladimir Poutine rencontrait Emmanuel Macron au fort de Brégançon. Alors que le président français espérait faire un coup d’éclat, il n’a pu s’empêcher de vouloir jouer au donneur de leçons…
Il ose tout et on serait tenté de dire que c’est à cela qu’on le reconnait. Lors de la rencontre au fort de Brégançon dans le Var, Emmanuel Macron n’a pas hésité de faire la leçon à Vladimir Poutine sur sa gestion des manifestations à Moscou.
Alors que la police russe a procédé à de nombreuses arrestations parmi les milliers de manifestants afin de réclamer des élections dites libres, la France c’était prononcé cet été pour leur libération ; une position reprise par Emmanuel Macron en préambule de la conférence de presse organisée dans la maison de vacances présidentielle aux côtés de Vladimir Poutine.
Selon le président Vladimir Poutine, son alliance avec l’OTAN et les États Unis a fait perdre à la France sa souveraineté.
C’est lors d’une interview avec le journaliste de la RTS (Radio télévision Suisse) Darius Rochebin que Vladimir Poutine déclarait notamment qu’il trouvait étrange que pour discuter de ses affaire avec ses partenaires européens, la Russie doive se rendre à Washington.
À l’instar de la France ou règne le chaos et dont le président est au plus bas dans les sondages, Vladimir Poutine démontre l’homme de cœur qu’il est :
Vladimir Poutine a réalisé le rêve d’un garçon gravement malade qui voulait voir Saint-Pétersbourg depuis le ciel.
En août 2008, Vladimir Poutine participe à un programme national de préservation du tigre de Sibérie. Sur cette photo, il passe un collier muni d’un GPS à un individu âgé de cinq ans, dans la réserve de l’Académie des Sciences de Russie du Grand Est.
Un internaute a fait part de son indignation sur les réseaux sociaux au sujet d’un exemple de manipulation par l’image pratiquée par la rédaction de France 2 durant le JT de 20h du vendredi 10 août 2018.
Voici le message posté :
« Un beau flagrant délit de fake news en direct. Hier soir, 20h23, journal de France 2, Valerie Astruc présente un petit reportage sur les vacances des chefs d’état étrangers et commence par Vladimir Poutine. Elle parle explicitement de « chasse au tigre », ce qui ne manquerait pas de révolter tous les amoureux de la nature. On voit M. Poutine poser à côté d’un tigre couché. Le problème c’est que c’est faux. Il s’agit d’images de 2008 quand le président russe avait participé à la réintroduction d’un tigre de Sibérie, une espèce protégée, dans son milieu naturel. Sur l’extrait que j’ai repris de France 2, on notera d’ailleurs, sur le tigre, le collier… Nullement question de « chasse », Mme Valerie Astruc.
Un bel exemple de mensonge en direct en plein 20 heures. Soit c’est de l’incompétence suite à un travail de documentation minable, soit c’est fait exprès étant donné la russophobie ambiante entretenue par les médias. Dans les deux cas c’est grave et d’un manque de professionnalisme sérieux.
Je saisis le médiateur de France 2 ainsi que le CSA ».
Poutine chasseur de tigre ? France 2 s’excuse après un sujet sur les vacances du président russe.
La chaîne publique a fait son mea culpa ce lundi après la diffusion d’une photographie de Vladimir Poutine sortie de son contexte. Erreur repérée par RT France.
Le président russe se tient accroupi, en habit de chasse, une main sur la tête d’un tigre qui semble mort à ses pieds. Commentaire de la journaliste : « C’est de loin Vladimir Poutine qui épate le plus la galerie : chasse au tigre en Sibérie, plongée dans les eaux glacées du lac Baïkal. Avec le maître du Kremlin, la propagande ne prend jamais de congés. »
France 2 épinglée par RT France
L’erreur a été repérée ce lundi par le site RT France, branche du média russe controversé RT. Car sur cette image, le maître du Kremlin ne chasse pas un tigre, il fait tout l’inverse. Selon RT, le cliché date de 2008 : Vladimir Poutine participait à une expédition dans le cadre d’un programme national de protection des tigres de Sibérie.
Vladimir Poutine prêtait serment le lundi 7 mai 2018 à Moscou. Le président russe débute son 4ème. mandat à la tête du pays.
Une investiture filmée par un incroyable plan séquence de plus de 3 minutes. Une mise en scène qui montre Vladimir Poutine marcher dans les couloirs du Kremlin. Poutine a été réélu avec 76,7% des voix en mars et continuera à diriger la Russie (au moins) jusqu’en 2024.