Gilets jaunes : La liberté d’expression matraquée

Ce n’est plus un secret en France ; la liberté d’expression n’a plus droit au chapitre et à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un média Russe.

Un journaliste de RT France, Frédéric Aigouy victime d’une intervention de la police lors de l’acte 46 à Toulouse.

Vidéo :

Frédéric Aigouy, journaliste du site web de RT France, a été pris pour cible par deux policiers alors qu’il filmait une opération de dispersion lors de la manifestation des Gilets jaunes.

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Gilets Jaunes : « Je veux être libre de dire que j’ai faim »

Acte 45, les Gilets Jaunes sont de retour.

Les Gilets Jaunes battaient le pavé samedi 21 septembre 2019 à l’occasion du 45eme acte du mouvement. Black bloc, casseurs, factieux, le gouvernement annonçait un déferlement de violence sur la capitale, mobilisant pour l’occasion un impressionnant dispositif de sécurité.

Vincent Lapierre et l’équipe du Média Pour Tous étaient sur place, de retour dans les nuages de lacrymogène, pour couvrir l’événement.

Reportage complet sur Youtube

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Gilets Jaunes : Manifestation pacifiste devant le siège des Nations Unies à Genève

« C’est un peu comme un rêve, quand on est habitué aux manifestations de gilets jaunes en France. La Suisse nous a prouvé (leçon pour Macron) qu’une manifestation se passe très bien sans mutiler la population. »

Et pour rappel :

GILETS JAUNES : À L’ASSAUT DE L’ONU

Gilet Jaunes Acte 42 en France ; acte 2 à Genève. Samedi les gilets jaunes étaient de retour sur la Place des Nations. Ils étaient environ 1000 manifestants venus de toutes la France avec une revendication: dénoncer les violences policières et déposer un dossier dans ce sens auprès des instances onusiennes.

Au programme: une tentative de chaîne humaine entre la frontière de Ferney-Voltaire et l’ONU. Malgré quelques maillons manquants, les manifestants sont arrivés vers 14h30 aux Nations. Sous une chaleur de plomb, l’ambiance était bon enfant.

La manifestation s’est déroulée sans heurts selon la police.

Texte de Delphine Palma

Crédit vidéo : Léman Bleu

Voir aussi :

Gilets jaunes : Un député suisse veut interdire la livraison de LBD vers la France

LBD 40, l’arme suisse qui blesse les gilets jaunes

C’est l’arme qui a fait des dizaines de blessés graves dans les manifestations françaises, et elle est fabriquée dans le canton de Berne. En Suisse pourtant, l’arme qui lance des balles en caoutchouc n’est utilisée qu’avec parcimonie, reportage.

Retour sur l’article >>>

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GILETS JAUNES : À L’ASSAUT DE L’ONU

GILETS JAUNES : À L’ASSAUT DE L’ONU

Gilet Jaunes Acte 42 en France ; acte 2 à Genève. Samedi les gilets jaunes étaient de retour sur la Place des Nations. Ils étaient environ 1000 manifestants venus de toutes la France avec une revendication: dénoncer les violences policières et déposer un dossier dans ce sens auprès des instances onusiennes.

Au programme: une tentative de chaîne humaine entre la frontière de Ferney-Voltaire et l’ONU. Malgré quelques maillons manquants, les manifestants sont arrivés vers 14h30 aux Nations. Sous une chaleur de plomb, l’ambiance était bon enfant.

La manifestation s’est déroulée sans heurts selon la police.

Delphine Palma

Crédit vidéo : Léman Bleu

Mise en ligne : G.S /FINALSCAPE

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Gilets jaunes : Sans prise de position aucune. Une vidéo qui mérite d’être commentée !

Lanceurs d’alerte !

Laxisme volontaire, propagande, tous les moyens ne seraient-ils pas bons afin de noyer le poisson dans le bocal ?

Plus ça va de l’avant et plus les médias semblent se mêler les pinceaux sans savoir à quel saint se vouer.

Gilets Jaunes versus capitalisme, une autre vision de la réalité.

Stéphanie Gibaud se bat corps et âme pour que la vérité émerge. Lanceuse d’alerte, elle permis au gouvernement français de récupérer quelques milliards d’euros face à l’évasion fiscale en mettant en cause la banque Suisse « UBS « pour laquelle elle était employée en France.

Son dévouement et sa loyauté envers son propre pays n’ont pas été reconnus à leur juste valeur puisque cette infortunée diseuse de vérité c’est vu retirer ses droits civiques les plus élémentaires: Une mise à mort sans autre forme de procès. Un système totalitaire qui ne craint que la vérité n’a d’autre choix que de se prémunir du débat et c’est exactement dans quoi nous baignons en ce moment.

Se battre pour la justice n’est pas une mince affaire car les requins qui se nourrissent du sang de l’innocence ne sont jamais rassasiés !

Merci à Stéphanie Gibaud pour ce partage.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Gilets jaunes : La mamie dont le cœur est Français.

« Cette vidéo a été partagée des dizaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux »

C’est au micro du chroniqueur et journaliste indépendant Vincent Lapierre que cette petite mamie nous dévoile ce qu’elle a sur le cœur.

« Je n’ai qu’un regret, c’est de faire un mètre 57 et d’être gringalette. Je rêve de gagner à l' »Euro Millions » et de tout mettre au service de la cause. »

Témoignage pris sur le vif mais d’une incroyable sincérité et une conviction fondée sur une spontanéité qu’il est impossible de remettre en question.

Vidéo à voir ou à revoir mais à ne manquer sous aucun prétexte.

L’histoire bouge et à l’heure de l’Internet, rien ne peut échapper à l’œil averti. Il y a des coupables, des victimes et l’heure viendra où les responsables des maux de la planète et de l’humanité devront répondre de leurs actes et ce, toutes disciplines confondues. Ce n’est qu’une question de temps et ce temps se rétrécit comme peau de chagrin.

Lobbyistes, banquiers véreux, actionnaires dépourvus de cœur, destructeurs de notre environnement, cupides ainsi que tous les employés de l’enfer sur terre, je n’ai qu’au mot à vous adresser :

« Tremblez ! »

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Gilets jaunes : L’homme qui aurait été étranglé par un agent de la BAC à Nantes livre sa version des faits

L’individu dont l’interpellation violente à Nantes avait suscité l’indignation, a été retrouvé. Bruno Kaïk, 51 ans, témoigne de son hospitalisation après avoir été retrouvé inconscient sur la voie publique. Sa version contredit celle de la police.

On peut désormais mettre un nom sur le visage de cet homme, maintenu au sol par un agent de la BAC qui le tient par le cou sur un cliché pris le 3 août, en marge d’une manifestation contre les violences policières organisée à Nantes, après la mort de Steve Maia Caniço le soir de la fête de la musique. Bruno Kaïk, 51 ans, traducteur de langue anglaise et habitant de La Rochelle a en effet livré son témoignage au site CheckNews de Libération, qui a pu le retrouver.

Contacté par la cellule du quotidien, le Service d’information et de communication de la police (Sicop) avait affirmé, le 5 août, que Bruno Kaïk avait «jeté une bouteille en verre contre un policier». Un acte que reconnait le principal intéressé. «J’ai jeté cette bouteille en verre vide, alors que j’étais à une trentaine de mètres des policiers, dans leur direction. Effectivement, elle a éclaté devant les policiers, à quelques mètres d’eux, mais c’était plus symbolique qu’autre chose. Il n’y avait aucune intention de blesser. Dans tous les cas, leur réaction a été complètement disproportionnée», explique-t-il à CheckNews.

Lire aussi : Nantes : manifestation en hommage à Steve et contre les violences policières

Bruno Kaïk «violemment strangulé jusqu’à l’étouffement» ?

Mais surtout, il conteste la version du Sicop selon laquelle son hospitalisation après l’interpellation serait due au fait «qu’il était incommodé par les gaz lacrymogènes». «A l’abri des camions, où j’ai été traîné ensuite, j’ai reçu d’autres coups. J’ai été violemment strangulé jusqu’à l’étouffement par un membre de la BAC. Avant de m’évanouir et de rester inconscient pendant plusieurs minutes», réplique Bruno Kaïk, toujours auprès de Libération. C’est d’après lui la violence des agents de la brigade qui aurait conduit à sa prise en charge par les pompiers.

Après son interpellation filmée dans un contexte tendu, une autre vidéo montre Bruno Kaïk suffoquer, menotté, au pied d’un agent.

Hospitalisé au CHU de Nantes pendant plusieurs heures, le quinquagénaire a transmis au site du quotidien son rapport d’observation médical dans lequel il est fait état que celui-ci a été retrouvé «inconscient sur la voie publique», ce qui l’a conduit à être «amené par les pompiers en urgence». Autre point de divergence, donc, puisque les forces de l’ordre affirmaient l’avoir amené elles-mêmes à l’hôpital.

Le document précise par ailleurs l’absence de «prise de toxiques» pouvant être à l’origine de sa perte de connaissance. Bruno Kaïk confirme : «Ce qui a conduit à mon inconscience, ce sont bel et bien les maltraitances policières».

Bruno Kaïk rapporte à CheckNews vouloir porter plainte contre «toute la chaîne de commandement, de l’officier de la BAC jusqu’au président de la République, qui est le chef des armées et a autorisé ces dérives».

Si l’AFP, de son côté, avait noté, citant le Sicop, que le certificat médical produit mentionnait «0 jour d’ITT», l’interpellé explique au quotidien : «Je ne suis pas salarié, je n’ai donc pas demandé d’arrêt de travail.» Ce père de famille se définit comme «fervent adepte de la non-technologie», assurant qu’il n’avait pris part à aucune manifestation des Gilets Jaunes. «Je suis en train de devenir une figure de la contestation, mais ce n’était pas du tout l’objectif», conclut-il, toujours auprès de CheckNews.

Après plusieurs heures d’hospitalisation, Bruno Kaïk a ensuite été placé en garde à vue durant 24 heures, puis relâché. Une enquête préliminaire se poursuit.

Source & Crédit vidéo : RT France

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Manifestations en France : Les Gilets jaunes ne ciblent pas les bonnes personnes

Image : Ce sondage représentatif remonte à 2015. Il est clair qu’aujourd’hui le camp du « Non » a nettement progressé. (G.S)

UNION EUROPÉENNE

Une vidéo qui explique clairement d’où vient le problème en France

La vidéo est très claire et explicite. Elle explique à celles et ceux qui ne l’auraient pas encore compris que manifester contre les pantins qui sont au pouvoir ne sert strictement à rien car ils ne font qu’appliquer les directives de Bruxelles.

Ce qu’il faut aussi et surtout rappeler c’est que lors du référendum de 2005 où les français votèrent à plus de 54% contre l’adhésion du pays à l’EEE, deux ans plus tard, en 2007, Sarkozy ratifia le traité de Lisbonne ce qui par forfaiture fit intégrer  ou si vous préférer, avaler la France par l’Union européenne.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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