500 000 chômeurs de plus en cinq ans… Et alors ? Ça empêche d’être candidat ?

500 000 chômeurs de plus en cinq ans…
Et alors ? Ça empêche d’être candidat ?

Avec cette seule réponse de Valls à Bourdin, tout le mépris d’une certaine classe politique pour le peuple. Quoi 500 000 chômeurs ? C’est pas un problème ça, je m’en tape, ce n’est pas ça qui va m’empêcher d’être candidat quand même…

Game over !

Même au sein de la prairie, on commence à avoir pitié de lui tellement il s’enfonce chaque jour un peu plus…

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WTC : Les images non édités de l’explosion de la 2eme tour du world trade center montrent qu’il n’y a jamais eu d’avion

Les images non montées (post éditée) prouvent qu’il n’y a jamais eu d’avion dans les tours du world trade center.

A partager en masse, la vérité doit être faite sur le 911 car derrière c’est toute la Cabale qui va enfin tomber.

Plusieurs des 7 bombes sont en train d’exploser, c’est pas le moment de vous laisser bercer par les histoires de père noël les amis, la révolution est en marche.

Sur cette seconde vidéo on parle de technologie holographique.

Sur cette troisième vidéo encore une évidence concernant cette technologie et en fin de film, cette même technologie utilisée lors d’un concert. Compte Dailymotion associé

Sur ce troisième document les effets saisissants d’un hologramme dans une classe d’école.

Sur ce troisième document les effets saisissants d’un hologramme dans une classe d’école

(En fin d’articles, d’autres vidéos sur le sujet)

L’une des 7 bombes est en train d’exploser ! Préparez vous au choc, ceci n’est que le début !

Mais c’est magnifique!!! Le 11 Septembre a été le prétexte parfait pour lancer des attaques contre Saddam Hussein, ce n’était au final qu’une guerre du pétrole comme l’explique Le Monde. Cela a donné lieu à de multiples conflits, à un mensonge planétaire sur des armes de destruction massive, sur l’attaque de plusieurs pays et le renversement de plusieurs gouvernements, à chaque fois ils ont été prêts à sortir n’importe quel bobard pour attaquer ici ou là, et cette fois-ci, les accusations se dirigent vers l’Iran.

Depuis tout ce temps, la guerre contre le terrorisme a couté 1,3 million de vies humaines, et 1600 milliards de dollars, et on nous explique maintenant que c’est l’Iran derrière les attaques et qu’ils se sont trompé durant 15 ans??? Du coup, c’est la cash-machine qui doit s’enclencher, et plus de 10 milliards de dollars qui doivent être payés aux familles des victimes.

Oubliez tout ce que l’on vous a raconté sur le fameux 11 Septembre 2001, les attentats contre les Tours Jumelles de New York et contre le Pentagone. Quinze ans après, le tribunal de New York vient de statuer. C’est l’Iran le responsable. Cela ressemble à une blague ou un canular, mais ce n’en est pas.Selon Bloomberg, le juge George Daniels a conclu, le 10 mars 2016, que l’Iran était derrière les pirates de l’air qui ont perpétré les attentats de New York, de Washington D.C. et de Pennsylvanie, qui ont fait 2977 morts, et le condamne à payer la somme de 10, 5 milliards de dollars de dommage aux familles des victimes.

Ben Laden ? Il n’est mentionné nulle part. Le juge ne s’attarde pas sur le fait que si Ben Laden était innocent, son exécution par les Navy Seal, au nom de son implication supposée dans ces attaques, serait un meurtre pur et simple. Il ne s’attarde pas non plus sur la nationalité des supposés pirates de l’air. Si l’on se souvient bien, la version officielle avait établi qu’ils étaient Saoudiens pour la plupart. Le juge a dû l’oublier. Pour lui, c’était des agents iraniens.Pendant quinze ans, le 11 septembre, Al-Qaida, le terroriste arabe, puis par extension le terroriste musulman, ont servi de piliers à la conduite des politiques étrangères des pays occidentaux, et ont radicalement modifié les mentalités des populations occidentales vis-à-vis du monde musulman. Durant ces quinze années, il n’y a pas eu un seul jour où il n’y a pas eu de morts dans des régions arabo-musulmanes, à cause de ces fameux attentats.Aujourd’hui que la haine est bien installée et que la guerre des civilisations suit son cours, s’agit-il d’aller plus loin ? Sans aucune rationalité et sans la moindre parcelle de crédibilité, le récit du 11 Septembre a permis de changer le monde dans un sens dont nous savons maintenant qu’il répond, point par point, à un agenda programmé. Pourquoi ne pas réutiliser l’évènement des attentats du siècle, en en modifiant légèrement le récit?Le juge George Daniels, qui a bien compris comment ça fonctionne, ne s’embarrasse pas de détails. Son unique argumentation tient en ceci : L’Iran serait incapable de réfuter les accusations portées contre lui, donc l’Iran est coupable. Il ne cherche même pas à savoir si, effectivement, l’Iran n’est pas en mesure de se défendre, pour lui, c’est un fait acquis. A quoi bon aller plus loin ?Quelle que soit l’absurdité de la situation créée par le juge New Yorkais, son jugement aura des conséquences. Il reste à savoir ce qui a motivé ce jugement et l’exploitation qui en sera faite.
Source: Réseau International via Sott.net
Et l’Arabie Saoudite alors? Ils ne sont plus concernés? Rien? Vraiment? Pourtant, ce pays a bien commis des actes sur le sol américain:
États-Unis – Les avocats pour des familles des victimes des attaques terroristes du 11 septembre 2001 aux États-Unis ont réclamé, jeudi, devant un tribunal fédéral d’appels, le rétablissement de l’Arabie saoudite à titre de défendant dans une poursuite.L’appel demande à la cour de renverser la décision d’un tribunal inférieur, rendue en août.L’avocat Jerry Goldman a affirmé que l’appel avait été déposé au nom de près de 3000 familles ayant perdu des proches le 11 septembre 2001. Quinze des 19 pirates de l’air dans les attaques en 2001 étaient des citoyens de l’Arabie saoudite.Il a fait valoir que le juge de Manhattan avait fait erreur en concluant que l’Arabie saoudite était protégée par l’immunité souveraine. Me Goldman a dit croire que les plaignants avaient démontré que le royaume de l’Arabie saoudite avait commis des gestes en sol américain ayant été «déterminants dans la planification et l’exécution des attaques du 11 septembre».Des avocats pour l’Arabie saoudite n’avaient pas répondu aux appels à commenter dans l’immédiat.Les poursuites ont été lancées en 2002 et dans les années suivantes contre des pays, des entreprises et des organisations soupçonnés d’avoir aidé Al-Qaïda et d’autres groupes terroristes. Elles réclament des milliards de dollars en dommages.
Sources :
Journalmetro.com
lesmoutonsenrages.fr

World Trade Center quand une chaîne de télévision du service public brise l’omerta.

Source : Stop mensonges & Finalscape

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Remodelage du Grand Moyen-Orient, La vérité toute nue : Le qui, le pourquoi et le comment

Dans l’affaire du remaniement du Grand Moyen-Orient, trois dates essentielles à retenir :

  • Janvier 2003, George W Bush décide de remodeler le grand Moyen-Orient et ce qu’il faut savoir c’est que le Moyen-Orient va du Maroc au Pakistan. Il attaque l’Irak avec les arguments qui aujourd’hui on le sait étaient faux; il n’y avait pas d’armes de destruction massive dissimulées en Irak.
  • 19 décembre 2006, Time Magazine publie un  rapport secret sur la Syrie qui se trouve dans le viseur de Bush c’est à dire, 5 ans avant les printemps arabes et il y est expliqué comment et pourquoi le gouvernement des états unis va soutenir les opposants et renverser le gouvernement de Bachar el-Assad.
  • 2011, on continue à charcuter le Grand Moyen-Orient en faisant tomber cette fois-ci la Libye avec en première ligne la France et l’Angleterre et dans ce même laps de temps un nouveau programme est ouvert, à savoir l’armement des combattants contre le régime gouvernemental de Bachar el-Assad.

Les Américains ont un plan, celui de remodeler le Grand Moyen-Orient en faisant tomber tous les états souverains de cette région dans un but géopolitique et énergétique inavouable.

 

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Espagne : Rue de l’Utopie, un autre monde est possible « La révolution est en marche »

Une oasis coopérative dans un monde néolibéral : le village utopique de Marinaleda en Espagne.

(Vidéo en fin  d’article)

Des maisons autoconstruites à 15 euros par mois, un salaire unique pour tous les membres de la coopérative, des assemblées générales pour décider de la politique communale : Marinaleda, petit village andalou de 2 770 habitants, tente depuis 35 ans de maintenir un système politique, social et économique qui place l’intérêt de ses citoyens au cœur des décisions. La nouvelle génération saura-t-elle poursuivre l’utopie mise en œuvre par les anciens ?

Cet article a initialement été publié dans le magazine Lutopik.

Dans les années 1970, Marinaleda, dans la province de Séville, en Espagne, était un village en ruine, dont la population majoritairement au chômage devait vivre dans des conditions particulièrement difficiles. À la fin de la dictature de Franco en 1975, ses habitants commencent à se réunir pour débattre des conditions de vie dans le village et des injustices sociales auxquelles ils sont confrontés, comme l’ensemble des journaliers d’Andalousie. Afin de donner plus d’ampleur et de reconnaissance à leur regroupement social, ils créent alors le Syndicat des ouvriers agricoles (SOC). Leur première revendication cible un problème récurrent dans la région : la structure de la propriété privée agricole caractérisée par les latifundiums, de grandes exploitations.

En dépit de l’important apport économique qu’elles génèrent pour la Junta de Andalucía (le gouvernement andalou), leur mode de culture des terres, très mécanisé, ne permet pas de créer d’emplois dans le secteur agricole. Pour les Marinalediens, la terre doit appartenir à ceux qui la travaillent. Ils décident alors, dès le début des années 80, d’occuper une exploitation agricole de 1 200 hectares nommée el Humoso, appartenant au Duc de l’Infantado, grand propriétaire de 17 000 ha au total. Les Marinalediens occuperont el Humoso pendant presque dix années, au cours desquelles ils mènent en parallèle de nombreuses actions symboliques, telles qu’une grève de la faim contre la faim en 1980, à laquelle participeront sept cents villageois pendant treize jours, de nombreuses manifestations à Séville et à Madrid et diverses occupations, dont la Banque Espagnole, l’aéroport de Séville et l’Exposition universelle de 1991. Cette même année, le gouvernement andalou exproprie et rachète les 1 200 ha du domaine du Duc, pour les donner au village de Marinaleda, qui en fait une parcelle agricole collective.

En 1999, les Marinalediens développent leur économie, que l’on peut qualifier de sociale et solidaire, en créant une usine de conditionnement des produits agricoles, elle aussi gérée par le biais d’une coopérative. Cette usine offre à Marinaleda une nouvelle étape dans la chaîne de production et permet de créer plus de postes de travail. Tous ceux travaillant pour la coopérative touchent le même salaire de 47 € par jour (pour six heures quotidiennes aux champs ou huit heures à l’usine), qu’ils soient ouvriers, gérants ou administrateurs. Quant aux bénéfices générés, ils ne sont pas redistribués aux travailleurs, mais entièrement réinvestis dans la coopérative. Les Marinalediens tentent de gérer leurs activités selon un principe fondamental : essayer d’améliorer toujours plus les conditions de travail des ouvriers et offrir le plus d’emplois possible aux villageois.

Une démocratie participative

Mais la lutte pour la terre et l’organisation économique ne sont pas les seules particularités du village. L’organisation politique est elle aussi intéressante, car elle place la participation des habitants au cœur des débats politiques et des organes de décision. C’est en 1979 que les villageois décident de s’attaquer à la mairie. Estimant que le pouvoir politique ne les représente pas et ne répond pas à leurs attentes, ils décident de se présenter aux premières élections municipales libres depuis la fin de la dictature. Ils créent alors le Collectif unitaire des travailleurs (CUT), encore au pouvoir 35 ans après, et décident lors d’une assemblée générale du groupe de personnes qui les représentera. Le CUT, mené par Juan Manuel Sánchez Gordillo, gagne la mairie avec 77,31 % des voix contre l’Union du centre démocratique (UCD), et instaure une démocratie participative.

Toutes les décisions concernant le village, la politique, les budgets, les impôts, la coopérative, etc., sont discutées et votées lors d’assemblées générales, auxquelles tous les villageois peuvent participer. Les décisions ne sont pas adoptées à la stricte majorité, car pour le maire de Marinaleda, si elles ne sont pas soutenues par 80-90 % des votants, c’est qu’elles ne sont pas représentatives de l’ensemble de la population. C’est lors d’une de ces assemblées que les villageois ont adopté la proposition des maisons autoconstruites afin de lutter contre les problèmes de logement et contre la spéculation immobilière. La Junta de Andalucía finance le matériel, la mairie fournit le terrain et l’architecte, et les futurs propriétaires travaillent sur la construction ou embauchent eux-mêmes un professionnel pour le faire. Une fois les maisons construites, les occupants payent 15 € par mois pour rembourser l’investissement de l’Andalousie et du village. Toute personne ayant vécu au minimum un an dans le village peut demander à la mairie une maison autoconstruite.

Les élus politiques ne perçoivent pas de salaire pour leur « service rendu » au village et aux villageois. La plupart d’entre eux travaillent à l’Humoso ou à l’usine de conditionnement, en parallèle de leur charge politique, et touchent donc le même salaire que leurs camarades, entre 1 100 et 1 200 € par mois. Le maire, qui était professeur d’histoire, est maintenant député d’Andalousie, poste pour lequel il perçoit une rémunération de 3 020 € par mois. Une autre particularité du système politique de Marinaleda est que la mairie fonctionne en coopération avec le Syndicat des ouvriers agricoles créé en 1977, renommé depuis 2007 Syndicat andalou des travailleurs (SAT). C’est cette coopération entre le peuple, le syndicat et la mairie qui a permis au village d’avoir un poids important lors des mobilisations et de ses revendications.

Le futur du village

La question de la transmission du système à la jeune génération de Marinaleda est un sujet important pour ce village, et sera dans quelques années un enjeu majeur pour sa pérennité. En effet, le fonctionnement politique, économique et social de Marinaleda est né il y a 35 ans. Les personnes actuellement en charge du maintien de ce système font encore partie de celles qui ont vécu et participé aux diverses luttes du village ou, pour les plus jeunes, qui ont grandi dans cet environnement. Ce sont donc des individus conscients de la situation du village avant tous ces changements et qui ont connu d’autres formes d’organisation sociale, politique et économique.

Mais les jeunes de moins de 25 ans qui n’ont connu que ce système ont une perception différente de celle de leurs parents. Eux n’ont pas toujours conscience de la situation du village et de l’importance de la participation citoyenne dans son fonctionnement. Ils ont tendance à considérer le fonctionnement du village comme quelque chose de normal et perçoivent moins la difficulté qu’ont leurs aînés à le maintenir. Ils sont aussi plus ouverts au monde et aux technologies actuelles. Bien que beaucoup soient affiliés au SAT, comme leurs parents, ils ne s’impliquent plus au quotidien. Si les villageois et la mairie tentent de transmettre au mieux leur idéologie à la jeune génération, plusieurs problèmes persistent, notamment en ce qui concerne l’éducation scolaire.

« Il y a beaucoup de professeurs qui viennent enseigner dans nos écoles et qui ne sont pas partisans du modèle, des valeurs que nous avons à Marinaleda. C’est un problème pour nous que ces professeurs donnent des cours aux élèves et qu’ils nous critiquent. Cela crée comme un bouclier pour que les enfants ne participent pas. C’est le principal problème que nous avons ici. Ce que nous souhaitons c’est que les professeurs du collège et du lycée soient des professeurs d’ici, des natifs. Qu’ils sachent transmettre, qu’ils sachent enseigner ces valeurs », indique Sergio, conseiller du maire.

Toutefois le renouvellement générationnel n’est pas le seul problème que devra affronter le village. Le départ de Juan Manuel Sánchez Gordillo, son maire et leader depuis 1979, est aussi une question préoccupante, puisqu’il est devenu au fil du temps le moteur du village de Marinaleda. Beaucoup de personnes se demandent, à l’heure actuelle, si le village pourra faire face à la crise économique qui touche l’Espagne, à la transmission intergénérationnelle et à la disparition de Juan Manuel Sánchez Gordillo.

Anaël Kieber (texte et photos)
par Anaël Kieber (Lutopik) 24 octobre 2014

MARINALEDA – LES INSOUMIS

Légende de la vidéo :

Marinaleda. Une petite ville de 2.700 habitants, au cœur de l’Andalousie, dans le sud de l’Espagne. Ici, il n’y a pas de policiers. Pas de voleurs. Ici, il y a moins de chômage qu’ailleurs, et on partage le travail. Ici, on paie son loyer 15 euros par mois. Ici, le maire et ses adjoints ne sont pas rémunérés, et ce sont les habitants qui commandent. Vous n’y croyez pas ? Alors venez voir. On vous emmène là où les habitants ont osé l’impensable, là où les rêves deviennent réalité.

Un reportage à ne pas manquer et à surtout en prendre de la graine !

Réalisation : Yannick Bovy – Mars 2015 – 26 mn.

Une émission proposée par la FGTB wallonne & produite par le CEPAG

 

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2017 : Élections Pestilentielles Le coup d’état final de l’oligarchie

Le résumé de la politique française aux français en 10 mots :

« Voyons voir disait l’aveugle à son copain qui était sourd »

Braves gens, si vous commenciez à vous  rendre compte à quel point vous êtes enfumés par les élites qui inlassablement vous mentent et vous manipulent je vous propose cette vidéo qui je l’espère titillera votre curiosité.

Wake Up Neo !

Stéphane Guibert/Finalscape

 

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Quand la cupidité s’invite sur le dos des ouvriers. Citroën 1933 on copie et on colle en 2017 !

Citroën

À la porte des maisons closes
C’est une petite lueur qui luit…
Mais sur Paris endormi, une grande lumière s’étale :
Une grande lumière grimpe sur la tour,
Une lumière toute crue.
C’est la lanterne du bordel capitaliste,
Avec le nom du tôlier qui brille dans la nuit.

Citroën ! Citroën !

Le lampion du bordel capitaliste, 1933

Lanterne du bordel capitaliste, 1933

C’est le nom d’un petit homme,
Un petit homme avec des chiffres dans la tête,
Un petit homme avec un sale regard derrière son lorgnon,
Un petit homme qui ne connaît qu’une seule chanson,
Toujours la même.

Bénéfices nets…
Millions… Millions…

Une chanson avec des chiffres qui tournent en rond,
500 voitures, 600 voitures par jour.
Trottinettes, caravanes, expéditions, auto-chenilles, camions…

Bénéfices nets…
Millions… Millions…Citron… Citron

Et le voilà qui se promène à Deauville,
Le voilà à Cannes qui sort du Casino

Le voilà à Nice qui fait le beau
Sur la promenade des Anglais avec un petit veston clair,
Beau temps aujourd’hui ! le voilà qui se promène qui prend l’air.

Il prend l’air des ouvriers, il leur prend l’air, le temps, la vie
Et quand il y en a un qui crache ses poumons dans l’atelier,
Ses poumons abîmés par le sable et les acides, il lui refuse
Une bouteille de lait. Qu’est-ce que ça peut bien lui foutre,
Une bouteille de lait ?
Il n’est pas laitier… Il est Citroën.

Il a son nom sur la tour, il a des colonels sous ses ordres.
Des colonels gratte-papier, garde-chiourme, espions.
Des journalistes mangent dans sa main.
Le préfet de police rampe sous son paillasson.

Citron ?… Citron ?… Millions… Millions…

Et si le chiffre d’affaires vient à baisser, pour que malgré tout
Les bénéfices ne diminuent pas, il suffit d’augmenter la cadence et de
Baisser les salaires des ouvriers

Baisser les salaires

Mais ceux qu’on a trop longtemps tondus en caniches,
Ceux-là gardent encore une mâchoire de loup
Pour mordre, pour se défendre, pour attaquer,
Pour faire la grève…
La grève…

Vive la grève !

Jacques Prévert

Ce poème a été composé pour le groupe Octobre en avril 1933 et joué en saynète devant les grévistes de l’usine Citroën du Quai de Javel  auxquels leur patron André Citroën, « Henry Ford » français et joyeux drille réputé pour sa générosité envers les croupiers, venait d’annoncer une baisse de leurs salaires d’environ 20 %. C’est Jacques Prévert qui dit son texte en voix off. 

 

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Alep :Témoignage exclusif de Lizzie Phelan correspondante RT après la reprise de la ville par les forces gouvernementales

Témoignage de Lizzie Phelan correspondante RT

Massaken Hanano, un  des nombreux quartiers repris récemment par les forces gouvernementales. Le gouvernement invite les civils à retourner dans leur quartier mais il n’est pas encore entièrement sécurisé.

Des bombes non-explosées, des mines et d’autres objets dangereux peuvent à tous moments causer d’autres morts inutiles.

Ces images sont tournées pour montrer le travail courageux que mènent ces hommes afin de sécuriser à nouveau ces quartiers, pour que les civils puissent reprendre possession de leurs biens.

Stéphane Guibert/Finalscape

Images exclusives

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Comment comprendre et interpréter les mensonges de nos responsables politiques, comment interpréter les mensonges répétés inlassablement depuis plus de 5 ans ?

Comment comprendre et interpréter les mensonges de nos responsables politiques, comment interpréter les mensonges répétés inlassablement depuis plus de 5 ans ?

Pourquoi tous les jours ces « informations » sont diffusées par nos médias, dans quel but ?

Comment interpréter que la RTBF, ou TF1, des télévisions de services publics sensées nous donner une information impartiale, des chaines de TV sensées nous donner une information véritable et vérifiée ?

Dans quel but nous mentent-ils tous ainsi ?

Comment en sommes-nous là ?

L’indépendance de la presse est remise en question et nous place face à notre réalité, face à nos peurs. Un monde fait de manipulations médiatiques qui nous formatent à la demande.

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