Médias : Audrey Crespo-Mara se paye François Asselineau

Depuis le début de la campagne présidentielle (et en particulier, depuis qu’il a accès aux médias), les journalistes harcèlent constamment le candidat Asselineau sur les même sujets lors des ses entrevues: Les complots.

Pour certains, c’est devenu quasi obsessionnel. Voici un petit montage perso de la dernière entrevue qui fera date de la journaliste Audrey Crespo-Mara qui indique en fin d’entrevue, que François Asselineau « voit des complots partout ». Vraiment? (Pour la musique angoissante, c’est le petit plus pour se mettre dans le bain 😉

Pour ceux qui voudraient voir l’entrevue dans son intégralité, la voici, mais je préviens tout de suite les lecteurs que François Asselineau a répondu 100 fois à ces questions. Il n’y a strictement rien de nouveau. Globalement, la journaliste s’est contentée de reparler des mêmes sujets au point d’en devenir monomaniaque (10 références à un complot en 14 minutes, il fallait le faire).

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Palestine : Apartheid, l’histoire et les injustices se répètent inlassablement ! Ceci est à dénoncer !

Malheureusement l’Histoire se répète ! A dénoncer et à partager !

  • Un système de contrôle en Cisjordanie occupée par Israël
  • Le système d’identification
  • Les routes séparées pour les citoyens israéliens et palestiniens
  • Les postes de contrôle militaire
  • La loi discriminatoire sur le mariage
  • La barrière de séparation
  • L’utilisation de travailleurs palestiniens à bon marché
  • L’enclavement de la Cisjordanie
  • Les inégalités face aux infrastructures, aux droits juridiques, ainsi qu’à l’accès à la terre et aux ressources entre Palestiniens et résidents israéliens dans les territoires occupés par Israël

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Gaza : Quand les enfants tombent sous les bombes

Un homme portant le corps de l’un des quatre enfants tués mercredi sur une plage de Gaza. REUTERS/Mohammed Talatene

Cela remonte à 2014 mais en 2017, rien a changé dans cette région martyre du monde.

Alors qu’ils jouaient sur une plage, 4 enfants palestiniens ont été touché par un obus israélien tiré depuis le large. Les palestiniens qualifiés de terroristes par la communauté internationale ne cessent de payer un très lourd tribut et lorsque des enfants sont sacrifiés, les langues se délient et les gens se révoltent. Mais c’est tous les jours que des exactions sont commises à l’encontre de ce peuple et c’est tous les jours que l’on doit se révolter contre ces injustices.

Cessons d’être hypocrites et serrons les rangs de la résistance.

En hommage à ce peuple sacrifié.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

On n’oubliera jamais !

A PARTAGER Devoir de mémoire

 

 

 

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RE OPEN 911 : Jean-Marie Bigard s’exprime sur le 11 septembre 2001

Jean-Marie Bigard n’y croit pas. La version officielle, pour lui, c’est du pipeau.

Toutes théories conspirationnistes confondues, une chose est cependant indéniable aujourd’hui, la version officielle a de plus en plus de plomb dans l’aile tant les incohérences dévoilées au grand jour se multiplient.

Sans vouloir en rajouter une couche je vous invite à écouter le point de vue de Bigard dans deux documents. Le premier ou il s’exprime tout à fait sérieusement lors d’une émission de radio, le second sur une série de sketchs qu’il avait consacré à ces évènements et enfin, une vidéo qui dévoile le 11 septembre sous l’œil averti de l’ONG « Re open 911 » incluant un document vidéo décrypté et édifiant et pour finir, l’omerta brisée par la chaîne du service public France 3.

>>>Voir aussi l’article publié le 26 janvier 2017<<<

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

Opération vérité sur le 11 septembre : Le FBI reconnaît qu’il n’y a jamais eu d’avion sur le Pentagone !

La raison exacte de cette révélation de l’agence de renseignement n’est pas encore établie, mais difficile de ne pas faire le lien avec l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche. En publiant des photos inédites de l’attentat du 11 septembre, le FBI vient en tout cas de lever le voile sur l’un des plus gros mensonges de la version officielle : Il n’y a jamais eu de crash d’un Boeing contre le Pentagone !

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Finances : Les profits « ahurissants » des banques dans les paradis fiscaux

Aux îles Caïmans, les quatre plus grandes banques françaises, BNP, BPCE, Crédit Agricole et Société Générale, « réalisent 174 millions d’euros de bénéfices bien qu’elles n’y emploient personne » relève Oxfam dans son rapport. (Crédits : Oxfam)

Les 20 plus grandes banques européennes génèrent un quart de leurs bénéfices dans des pays où l’imposition est faible, voire inexistante, parfois sans aucun employé sur place, selon une nouvelle étude du réseau d’ONG Oxfam. Les plus mauvais élèves seraient Barclays et Deutsche Bank mais les quatre plus grandes banques françaises y sont aussi présentes, notamment au Luxembourg et aux îles Caïmans.

C’est une performance digne du livre Guinness des records : « la palme de l’employé de l’année est décernée à l’employé de Barclays au Luxembourg, qui, avec 13 millions d’euros de bénéfice réalisés détient une productivité 348 fois supérieure à ses homologues dans les autres pays » ironise le réseau d’ONG Oxfam. Ce sont quelques-uns des chiffres « ahurissants » que relève Oxfam dans son nouveau rapport « Banques en exil : comment les grandes banques européennes profitent des paradis fiscaux.»

Non seulement les banques sont un rouage essentiel de l’évasion fiscale des individus et des entreprises mais elles sont aussi elles mêmes consommatrices de paradis fiscaux. L’organisation a épluché toutes les données publiées pays par pays au titre de 2015 par ces 20 grands établissements, pour la première fois depuis l’entrée en vigueur d’une directive européenne. (seules les banques sont concernées, pas les autres multinationales). Un panorama édifiant et plus complet que la précédente étude de l’an dernier, qui ne portait que sur les banques françaises, les premières à se plier à cet effort de transparence requis par la loi nationale.

Premier constat qui ne manque pas d’étonner l’association, qui se bat depuis des années contre l’évasion fiscale qui appauvrit les Etats et transfère la charge des impôts sur les citoyens ordinaires : un quart des bénéfices déclarés par les banques européennes sont générés dans des paradis fiscaux, soit 25 milliards d’euros pour l’année 2015, alors qu’elles y réalisent seulement 12% de leur chiffre d’affaires avec 7% de leurs effectifs.

« Un montant en déconnexion complète avec la réalité économique de ces territoires qui ne représentent que 5% du PIB mondial et 1% de la population » note Oxfam. Elle  donne l’exemple de la Société Générale qui réalise 22% de ses profits dans les paradis fiscaux mais n’y emploient que 4% de ses salariés pour réaliser 10% de son chiffre d’affaires.

« Les résultats de ce rapport, qui dépassent parfois l’entendement, montrent l’étendue du problème et l’impunité totale qui entoure les pratiques des plus grandes banques européennes dans les paradis fiscaux. Les scandales ne cessent de se multiplier et les banques ne semblent toujours pas changer leurs pratiques. Ces pratiques concourent directement au nivellement par le bas du système fiscal mondial et à la concentration extrême des richesses au détriment du plus grand nombre » déclare Manon Aubry, co-auteure du rapport.

Taux d’impôt de 2% en Irlande

Les plus « mauvais élèves de la responsabilité fiscale » sont Barclays et Deutsche Bank d’après le rapport d’Oxfam : la banque britannique réalise 900 millions d’euros de bénéfices, sur un total de 5 milliards dans le monde, dans trois paradis fiscaux européens, Irlande, Suisse et Luxembourg. En particulier dans le Grand-Duché, elle a généré 557 millions d’euros de bénéfice et payé seulement un million d’impôts, grâce à ses 42 employés à la « productivité » totalement hors norme. De son coté, la banque allemande a dégagé 1,2 milliard d’euros de profits au Luxembourg, alors qu’elle était déficitaire dans tous les autres pays sauf à Hong Kong.

Il y a tout de même quelques bons élèves, notamment la néerlandaise Rabobank, qui est présente en Irlande et à Singapour mais ses bénéfices n’y sont « pas anormalement élevés » et elle a cessé ses activités aux îles Curaçao.

Les paradis fiscaux préférés des banques européennes ne sont cependant pas les plus exotiques : ce sont le Luxembourg, l’Irlande, et Hong Kong, qui représentent à eux trois 72% des bénéfices générés par les banques dans ces pays à la fiscalité très avantageuse. Au Luxembourg, les 20 banques y ont dégagé 4,9 milliards de profits. En Irlande, c’est deux fois moins mais la rentabilité y est impressionnante : cinq banques y ont réalisé plus de bénéfices que de chiffre d’affaires (quatre fois plus pour la Société Générale !) et trois banques, dont le Crédit Agricole, n’ont payé que 2% d’impôts.

[Oxfam a organisé ce lundi un événement à la station de RER Luxembourg à Paris pour mettre en scène l’usage excessif des paradis fiscaux par les banques européennes. Crédit: Nastasia Froloff/Oxfam]

Aux îles Caïmans (territoire d’outre-mer du Royaume-Uni), un de ces pays où la fiscalité est nulle, les montants de bénéfices sont comparativement modestes mais les quatre plus grandes banques françaises, BNP, BPCE, Crédit Agricole et Société Générale, y sont présentes.

«  Elles y réalisent 174 millions d’euros de bénéfices bien qu’elles n’y emploient personne » relève Oxfam qui ajoute « la palme de la meilleure performance revenant à BNP Paribas qui n’a payé aucun impôt sur les 134 millions d’euros de bénéfices enregistrés aux îles Caïmans.»

« Les bénéfices réalisés par le groupe aux Iles Caïmans sont fiscalisés aux Etats-Unis », a objecté BNP Paribas auprès de l’agence Reuters, ajoutant que sa présence « n’a donc ni pour objet, ni pour effet de lui permettre d’optimiser sa situation fiscale ».

Les employés les plus rentables du monde

Malgré l’absence de détail sur la nature des activités dans chaque pays, l’ONG a tenté d’estimer la « productivité » ou plutôt la rentabilité par employé : le salarié type travaillant à temps plein pour l’une des 20 banques européennes étudiées génère en moyenne 45.000 euros de bénéfice par an (et même 29.000 euros dans leur pays d’origine), contre 171.000 en moyenne pour celui travaillant dans les paradis fiscaux, soit quatre fois plus ! Pour les banques françaises, c’est moitié moins mais tout de même deux fois plus que leur moyenne : elles y dégagent d’ailleurs un taux de rentabilité nette de 37% – plus courant dans le secteur du logiciel ou du luxe que dans la banque – à comparer avec un taux de 27% en moyenne pour leurs activités hors paradis fiscaux.

L’exemple extrême de Barclays au Luxembourg n’est pas isolé. Oxfam rapporte ainsi qu’un employé d’Intesa Sanpaolo dans un paradis fiscal est 20 fois plus « productif » que l’employé moyen de la banque italienne. Finalement, ce ne sont pas les traders et leurs prises de risque qui rapportent le plus aux banques mais ces salariés perdus sur un confetti des Caraïbes :  c’est aux îles Caïmans que les employés de banque fournissent les plus juteux profits (quand les établissements ont du personnel), soit 6,3 millions d’euros de profits par an ! Des niveaux « révélateurs de l’anormalité des bénéfices déclarés dans ces territoires » analyse Oxfam :

« De telles différences de productivité semblent confirmer l’hypothèse d’un transfert artificiel des bénéfices, à des fins fiscales, vers un pays à fiscalité avantageuse, voire nulle. »

S’il a le mérite de frapper les esprits en montrant l’aspect aberrant des montants, le calcul de cette productivité moyenne est discutable. A l’évidence, un établissement ne saurait réaliser la même rentabilité, en particulier rapportée au nombre d’employés, dans la banque de détail, la banque privée et les activités de marché. Mais les banques ont tendance à noyer leurs chiffres dans des pôles d’activité dont il est impossible d’isoler précisément la rentabilité d’un métier. La transparence a encore de grand progrès à faire dans ce secteur.
Près d’un an après le scandale des Panama Papers, cette mise à nu des pratiques des plus grandes banques européennes devrait accentuer la pression de l’opinion publique sur ces entreprises qui se présentent comme citoyennes mais n’agissent pas toujours conformément à ce principe dans toutes leurs implantations. Ces activités dans des paradis fiscaux patentés se justifient-elles ? Elles posent en tous cas un risque d’ordre « réputationnel » pour ces établissements, auprès de leur clientèle mais aussi des investisseurs de plus en plus sensibles aux comportements des grands groupes en matière de responsabilité sociale.

OXFAM : “20 banques européennes déclarent 1 euros sur 4 de leurs bénéfices dans des paradis fiscaux”

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Présidentielles 2017 : Dernière ligne droite

N’étant pas ma tasse de thé, le bourbier politico-économique dans lequel se trouvent la France et l’Europe dans son ensemble en ce moment méritent néanmoins une attention toute particulière sur un évènement majeur à venir, je veux évidement parler de la présidentielle française.

Sur les 11 candidats en lice lequel fera la différence le jour fatidique ?

Sur le plan médiatique (médias mainstream) les dés sont pour ainsi dire pipés car ce n’est plus un secret pour personne aujourd’hui, seuls les candidats auxquels on accorde la parole sur les grands plateaux de télévision ont une chance d’accéder au pouvoir toutefois, les médias alternatifs qui sont loin de rester à la traine proposent un grand nombre de plateformes sur lesquelles des ignorés du système tels que François Asselineau, Jacques Cheminade ou encore Jean Lassalle pour ne citer qu’eux occupent une place prépondérante. Pour avoir accès à l’information il suffit d’ouvrir son navigateur préféré, aller sur un moteur de recherches et taper leurs noms.

Seuls les « matrixés » ne faisant confiance qu’à une seule source d’informations, celle des médias mainstream n’auront que 6 candidats à choix lors du jugement dernier le 6 mai 2017. Pour les autres, les éclairés, les altruistes, ces élections seront le point de départ d’une insurrection globale, une résistance à un système mafieux mis en place depuis des décennies.

Devant faire un choix politique, François Asselineau me semble le candidat idéal pour contrecarrer un système moribond qui, ayant fait les preuves de son inefficacité tant dans des domaines sociaux-écologiques que moraux n’est plus crédible aujourd’hui.

Voici le programme UPR mais je vous invite également à retrouver des hommes qui ont en commun l’aversion au capitalisme canibal.

Le front National « Blacklisterait » les médias qui le dérange. Censure quand tu nous tiens
Jean Lassalle : Un député français pas comme les autres

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Politique : Asselineau se lâche en off et balance toute la vérité

François Asselineau se lâche et fait des révélations fracassantes. Les américains, les intérêts euro-atlantistes ont acheté les élites du monde occidental. L’actuel premier ministre britannique John Major celui là même qui a fait avaler le traité de Maastricht alors que 90% de la population anglaise n’en voulait pas, ce cher homme se trouve en ce moment aux fonds Carlyle en Californie, fond qui gère des fortunes comme celle de la famille Bush, Ben Laden, le fond qui est dirrigé par Monsieur Frank Carlucci, ancien directeur adjoint de la C.I.A, le fond qui engage le demi frère de Sarkozy, fond qui a comme représentant en France et en Europe, Monsieur Yves de Chaisemartin qui possède 25% du magazine Mariane qui fait la promotion de marine…

L’ensemble des élites françaises a été acheté et gangrené par ce système.

Une vidéo à écouter et a partager afin d’ouvrir les yeux au plus grand nombre.

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

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Environnement : Gestion du rayonnement solaire, géo-ingénierie et chemtrails

Le cinquième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC ) prévient que, malgré leurs effets secondaires dans le monde entier et leurs conséquences à long terme, les techniques de géo-ingénierie impliquant la gestion du rayonnement solaire (SRM) doivent être maintenues :

«Si les programmes de gestion du rayonnement solaire sont interrompus, pour une raison quelconque, il est fort probable que les températures de surface sur tout le globe augmenteraient très rapidement vers des valeurs correspondants au forçage des gaz à effet serre ». [Souligné dans l’original]

« Changement climatique 2013: base physique de la science » (dénommée « AR5 ») remplace l’ancien rapport publié en 2007. [1] Le premier rapport d’évaluation du GIEC a été publié en 1990.

La discussion dans le résumé pour les décideurs et dans le corps de l’AR5 conseille la gestion du rayonnement solaire plutôt que les méthodes d’élimination du dioxyde de carbone, qui sont limitées dans leur efficacité à l’échelle de la planète, mais admet qu’elle n’est pas idéale, et que les deux types de techniques de géo-ingénierie auront des conséquences à long terme.

« Bien que l’ensemble de la communauté des universitaires prétend toujours ne pas connaître la réalité en cours de la géo-ingénierie globale », commente Dane Wigington sur son site geoengineeringwatch.org , « le simple fait qu’ils discutent de géo-ingénierie dans le dernier rapport du GIEC indique que le voile commence à être levé ».[2]

La gestion du rayonnement solaire comprend diverses techniques visant à refléter ou renvoyer le rayonnement solaire vers l’espace, ce qui augmente surtout l’albédo de la planète (réflectivité). Beaucoup de géo-ingénieurs, et aussi le GIEC, préfèrent les méthodes de gestion du rayonnement solaire à l’élimination du dioxyde de carbone comme solution au changement climatique, compte tenu des boucles de rétroaction complexes du carbone de la planète, et c’est bon marché et plus rapide de pulvériser des particules dopant l’albédo, dans le ciel.

« Bloquer le soleil, mais continuer à déverser des milliards de tonnes de dioxyde de carbone dans l’atmosphère », c’est ainsi qu’Eli Kintisch caractérise la gestion du rayonnement solaire dans son livre de 2010 : « Massacrer la planète ».[3] Dans un monde guidé par la raison, nous renoncerions aux combustibles fossiles pour l’énergie solaire gratuite et abondante , couplée à l’électricité libre telle que l’a développée Tesla, afin de répondre aux besoins énergétiques de la planète, sans détruire notre nid par l’extraction et la combustion d’énergies fossiles.

La gestion du rayonnement solaire a « trois caractéristiques essentielles », remarque le Conseil International de Gouvernance du Risque (IRGC). « C’est bon marché, rapide et imparfait » [4] citant un promoteur de la géo-ingénierie, David Keith, le IRGC explique que l’injection de 13.000 tonnes d’aérosols sulfatés dans la stratosphère chaque jour, pourrait compenser les effets radiatifs du doublement des concentrations de CO2 dans l’atmosphère. Cela équivaut à enlever « 225 millions de tonnes par jour de CO2 de l’atmosphère pendant 25 ans ».

Si la raison devait l’emporter, nous capturerions l’énergie solaire, nous ne la bloquerions pas ; nous fuirions les énergies fossiles, et nous ne provoquerions pas des guerres écocides pour nous emparer des stocks restants. Pourtant, dans le monde d’aujourd’hui, les responsables politiques ont détourné des milliards de dollars pour bloquer le soleil. Le coût de ces systèmes efficaces est d’environ 10 milliards de dollars par an, « abordable pour les budgets de la plupart des pays », remarque l’IRGC.

Non seulement le GIEC dans son résumé pour les décideurs, les avertit-il que les chemtrails doivent se poursuivre, mais aussi, il nie l’existence de ces programmes. Dans le chapitre 7, le GIEC indique simplement : « Les méthodes de gestion du rayonnement solaire ne sont ni appliquées ni testées. »

Il s’agit d’une déclaration étrange, après avoir averti qu’arrêter la gestion du rayonnement solaire aggraverait le réchauffement de la planète. En plus, le GIEC admet dans AR5 :

«  Des ensembles de données, nouveaux et améliorés, pour l’observation des aérosols ont été mis en place depuis AR4. Un certain nombre d’expériences sur le terrain ont eu lieu ». L’un des programmes cités, l’Expérience de Transport Chimique Intercontinental, a couvert l’hémisphère Nord, et a mesuré les aérosols en provenance d’Asie et traversant le Pacifique et l’Amérique du Nord, puis continuant à travers le continent, à travers l’océan Atlantique et l’Europe. Dirigés par le Projet International sur ​​la Chimie Atmosphérique Mondiale, ces vols programmés en 2004 et 2006, n’auraient pas dépassé le nombre de 48.

Un autre « expérience», le climat européen sous l’effet des aérosols et le projet Interactions qualité de l’air, a commencé en janvier 2007 et a pris fin en décembre 2010 – déployée pendant quatre années, notamment en Afrique.

En plus des projets régionaux communs, plusieurs nations effectuent également des essais analogues, sur le terrain, à l’intérieur de leurs propres frontières. L’Inde admet mener des programmes de gestion du rayonnement solaire depuis plus de dix ans.

Mesures d’aérosols au niveau de la mer par des instruments embarqués sur un navire indien

Certes, les essais sur le terrain se déplacent bien au-delà du cadre des « expériences » quand ils couvrent les continents, traversent les océans et sont menés pendant des années.

Une autre incohérence dans AR5 est sa discussion sur les traînées persistantes. Malgré le terrible avertissement dans le résumé pour les décideurs exhortant les responsables politiques à poursuivre leurs programmes de gestion du rayonnement solaire de peur que la surface de la planète ne se réchauffe encore, l’AR5 ne considère les traînées d’avions persistantes que responsables d’une très légère augmentation du forçage radiatif (où l’énergie solaire est réfléchie dans l’espace.)

Globalement, le GIEC a « une confiance moyenne » dans le fait que les traînées d’avions persistantes et les ​​cirrus qu’elles créent ne changent pas les températures de surface de la planète. Cela contredit ce que les scientifiques ont constaté lors de l’arrêt du trafic aérien au-dessus du sol américain pendant 3 jours après le 11 septembre 2001 (sauf pour les vols laissant se sauver des saoudiens à l’étranger). Les températures au sol ont augmenté de 2 à 3 º Celsius pendant l’absence des traînées d’avion, persistantes ou non.

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