Covid – 19 : Le passeport santé, une dictature absolue !

EMA KRUSI (Une jeune compatriote lanceuse d’alerte)

Covid – 19 le passeport santé, une dictature absolue !

Début mai, je vous disais en vidéo que je refusais les tests COVID car ils pouvaient être liés à une identité numérique qui était déjà en cours. J’ai été traitée de complotiste dans la presse et les médias mainstream.

Je vous disais aussi que ces tests n’étaient pas fiables. J’ai été traitée de complotiste dans la presse et les médias mainstream.

Quelques mois plus tard, nous nous retrouvons dans un monde qui marche sur la tête: alors qu’il existe des traitements pour guérir du COVID, les autorités font la sourde oreille et misent tout sur le vaccin COVID à venir. Les discours anxiogènes des médias dominants sont plus que jamais des rengaines d’absurdités: le nombre de cas est relevé quotidiennement et ne reflète pas la situation dans les hôpitaux. Les gros titres continuent d’affoler les masses, et pendant ce temps, la technologie s’installe sournoisement dans nos quotidiens avec des Applications liberticides que nous n’aurions jamais acceptées si nous avions dû voter.

La démocratie est entrain de s’envoler comme une ancienne utopie au profit de la fascination technologique. Quant à la presse et aux médias mainstream, ils continuent d’être les caisses de résonance des autorités alors que leur rôle premier est de vous informer. Au lieu de cela, ils se sont rangés du côté du manche. Mais le plus grave, ce n’est même plus leur abandon du peuple mais la réalité qui se dessine sans que personne n’en parle.

Alors ? C’est vraiment ça, votre héritage pour vos enfants ?

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Canada : 6 MEDECINS IMMOBILISENT UNE FEMME DE 31 ANS POUR LUI PASSER LE TEST DE LA COVID DE FORCE À L’HÔPITAL PAPINEAU SECTEUR BUCKINGHAM

Canada :

6 MEDECINS IMMOBILISENT UNE FEMME DE 31 ANS POUR LUI PASSER LE TEST DE LA COVID DE FORCE À L’HÔPITAL PAPINEAU SECTEUR BUCKINGHAM

Ils n’auraient pas fait mieux dans les camps Nazis lors de la seconde guerre mondiale. Cette vidéo est accablante pour les médecins !

Ce qui est choquant n’est pas le test en lui-même car chacun est libre, ce qui choque dans cette vidéo c’est la manière dont le test est imposé à cette patiente qui était là pour un simple contrôle dentaire.

Ça fait peur, ça fait vraiment très peur et pour moi, la médecine déraille complètement.

Stéphane Guibert / Finalscape

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France : Un employé placé en garde à vue parce que il avait son masque 2 centimètres trop bas !

France : Un employé placé en garde à vue parce que il avait son masque 2 centimètres trop bas !

Il y a eu la dictature Nazi et le fascisme avant et durant la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui, nous sommes en pleine dictature sanitaire et je pense qu’elle sera pire que toutes les autres.

Le covid-19 ne fait pour ainsi dire plus de morts et seuls d’infimes cas isolés sont à déplorer de plus, il s’agit pour la plus part des cas, de personnes âgées soufrant d’autres patrologies. La pandémie est derrière et l’étau sanitaire se resserre de plus en plus. À quoi jouent-ils ?

Saviez-vous que des puces RFID ont été retrouvées dans certains masques et l’info vient de BFM >>>

Stéphane Guibert / Finalscape

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CHINE : « La personne que vous essayez de joindre a été mal notée »

Source de l’image

Mise à jour : mercredi 22 avril 2020 – 14:48 –

« La personne que vous essayez de joindre a été mal notée »

Ce message ne sort hélas pas d’un épisode de Black Mirror mais de Chine, pays dans lequel les citoyen(ne)s sont constamment notés et surveillés.

Tous surveillés – 7 milliards de suspects.

Des caméras de Nice à la répression chinoise des Ouïghours, cette enquête dresse le panorama mondial de l’obsession sécuritaire, avec un constat glaçant : le totalitarisme numérique est pour demain.

Aujourd’hui, plus de 500 millions de caméras sur la planète offrent aux autorités la capacité de nous surveiller, à peu près partout et à chaque instant. Sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Dorénavant, l’incroyable perfectionnement de l’intelligence artificielle valide l’idée d’un regard total. Aux États-Unis, les forces de police utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les suspects. En Chine, les caméras peuvent repérer les criminels de dos, à leur simple démarche. En France, la police utilise des caméras intelligentes qui analysent les émotions et les comportements des passants. Marquée par l’attentat au camion du 14 juillet 2016, qui a fait 86 morts, et s’est produit en dépit des 2 000 caméras scrutant la ville, Nice se situe désormais à l’avant-garde de l’expérimentation. Le centre de supervision et les zones dédiées à la reconnaissance faciale sont les chevaux de bataille du maire Christian Estrosi, qui veut faire de sa ville une safe city. Comme un virus, l’idéologie du tout sécuritaire se répand à la mesure d’une révolution numérique à la puissance exponentielle. Va-t-elle transformer notre monde en une planète habitée par 7 milliards de suspects ? Quel niveau de surveillance nos libertés individuelles peuvent-elles endurer ?

Dictature 3.0 
On le surnomme le « marché de la peur », estimé à 40 milliards de dollars par an. Colossaux, les enjeux de la surveillance intelligente aiguisent les appétits de sociétés prêtes à promouvoir le « modèle Big Brother » pour engranger les plus grands bénéfices. L’enquête internationale de Sylvain Louvet démonte les rouages de cette machine aux innombrables facettes et dévoile la relation incestueuse qui se noue entre les industriels et les pouvoirs publics. En Israël, elle souligne les liens entre l’armée, le Mossad et les start-up technologiques, soupçonnées de tester la reconnaissance faciale aux checkpoints. En France, elle met en lumière l’influence du secteur privé, dans les orientations choisies par le maire de Nice, Christian Estrosi. Aux États-Unis, l’enquête donne la parole à ceux qui dénoncent la faillibilité du logiciel de reconnaissance faciale d’Amazon couplé à un fichage biométrique généralisé. Le documentariste a également réussi à enquêter en Chine, pays où l’obsession sécuritaire est en passe de donner naissance à une nouvelle forme de régime  : la dictature 3.0. Arrestations « préventives » arbitraires, mise en place d’un système de notation des citoyens, fichage ADN et persécution systématisée (allant jusqu’à l’apposition d’un QR code sur la porte des appartements) de la minorité musulmane des Ouïghours… L’arsenal de la répression connaît un degré de raffinement inédit dans l’histoire de l’humanité. Un camp du Goulag numérique : telle est la vision du futur dessinée par ce documentaire aussi percutant que glaçant.

Source et Crédit Vidéo : Arte (Voir la vidéo sur Arte TV)

Ou sur Youtube

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Démocratie Versus Etat policier : La liberté c’est bien, la sécurité c’est mieux

La liberté c’est bien, la sécurité c’est mieux

Quand la police encadre des manifestations pacifistes avec des armes de guerre

Le monde s’embrase avec des mobilisations de plus en plus importantes et une répression qui ressemble à celle de la seconde guerre mondiale.

Un Nouvel Ordre Mondial qui se met en place.

Plus il y a rébellion plus cela nourrit le système qui impose une sécurité implacable et un état d’urgence privant finalement le citoyen lambda de toutes ses libertés. (Ils finiront par tirer dans le tas !)

Manifestations et insurrections, le carburant d’un monde néolibéral qui petit à petit impose une dictature à l’échelle mondiale.

(Voir en fin d’article la législation européenne sur la peine de mort.)

Vidéo:

François Sureau, avocat au conseil d’Etat à la Cour de cassation dénonce la disparition de l’Etat de droit dans l’indifférence.

 

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

«La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire:

a)  pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;
b)  pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue;
c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.

«Un État peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions …».

Cette surprenante autorisation , faite en violation totale de la plupart des lois des pays Européens, n’aurait-elle pas été inspirée directement de la législation américaine qui autorise encore la peine de mort dans certains Etats ,  et qui autorise une détention totalement arbitraire et illimitée en vertu du NDAA décidé en catimini , le 31 Décembre 2012 Par le Président OBAMA lui même .

Effectivement depuis 2007 , l’influence américaine s’est considérablement accrue sur les résolutions Européennes, en particulier une certaine résolution du 25 Avril 2007 , antérieure donc à la parution des modifications ci-dessus rétablissant la peine capitale.

Journal officiel de l’Union européenne: Texte officiel >>>

Témoignage choc !!

« Ils ont jetés une grenade sur une medic qui était au sol…quel sera votre limite morale, quand Castaner vous demandera d’utiliser des balles réelles…c’est les smicards en bleu qui tapent les smicards en jaune »

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«Cette dictature génère ses morts à bas bruit» Michel Onfray chez Natacha Polony

Une dictature qui génère ses morts à bas bruit ?

Michel Onfray qui était invité chez Natacha Polony ne mâche pas ses mots lorsqu’il dresse le bilan du quinquennat de l’actuel locataire de l’Elysée.

Qu’a fait Macron de ses pleins pouvoirs ? C’est un personnage qui attaque les journalistes sur la question des sources, il s’en prend aux médecins en leur demandant, concernant les Gilets jaunes, de faire des fiches pour la police, les fake news qui sont élargies du fait que l’on ne pense pas comme lui etc … La France, pays des droits de l’homme serait-elle devenue une dictature ?

G.S / FINALSCAPE

Crédit vidéo : Polony TV

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Gilets jaunes : La France et l’Union européenne en résumé

Au fur et à mesure que le mouvement des Gilets jaunes progresse, les consciences se réveillent et les infos, (les vraies) font surface et circulent.

Pourquoi tant d’impunité vis à vis de la répression et des violences commises par les forces de l’ordre ?

Parce que depuis le 1er janvier 2017, le pouvoir judiciaire, l’un des trois pouvoirs est passé sous le contrôle du pouvoir exécutif, ce qui donne à ce dernier une totale impunité. Ce décret porte le numéro : 2016-1675.

Pourquoi les forces de l’ordre tuant des manifestants ne sont-elles pas inquiétées, jugés et condamnés par un tribunal ?

Parce que la peine de mort a été réinstaurée partout en Europe en cas d’émeutes ou d’insurrections.

Texte du journal européen disponible ici >>>

Téléchargeable ici >>>

La France est-elle une démocratie ?

Non ! Parce selon l’article 16 de la charte des droits de l’homme, un pays qui n’assure pas la séparation des trois pouvoirs n’a point de constitution et par définition, un pays n’ayant pas de constitution n’est pas une démocratie.

En France, nous parlons de monarchie ou de dictature « molle » mais pas de démocratie.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Gilets jaunes : Union européenne, la dictature en marche !

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

“Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.”

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs soient séparés :

Le pouvoir exécutif
Le pouvoir législatif
Le pouvoir judiciaire

En plaçant le pouvoir judiciaire sous le contrôle du pouvoir exécutif, ce dernier jouit d’une totale impunité ; sans constitution, aucune élection ne peut être légitimée ni reconnue par la charte des droits de l’homme.

Par définition :

Un pays ne possédant pas de constitution n’a point le statut de démocratie.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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