Médias Indépendants : L’affaire Ibtissem Mennel

Bonjour à tous.

Je tourne cette petite vidéo pour parler d’un fait d’actualité qui pourrait sembler être un détail mais qui n’en est pas un du tout. Le départ de Ibtissem Mennel d’une émission de télé-crochet sur TF1 car elle a publié, par le passé des messages qualifiés de complotistes.

Alors le complotisme, c’est la tarte à la crème. Tout comme le mot « Fake News », qui est le nouveau mot que les médias ont inventé pour disqualifier tout propos non conforme qui égratigne un tant soit peu le pouvoir. Mais moi j’ai envie de dire à nos dirigeants et aux médias : S’il n’y a pas de complots, à quoi servent donc les services secrets ? et comment sont fomentés les attentats ? Comment sont préparées les guerres ? Tout ça tomberait du ciel comme par enchantement. Non.

Il faut bien qu’à un moment donné des gens se mettent d’accord et suivent un plan. Et cela ne s’appellerait-il pas un, complot par hasard ? Le complot ce n’est pas une théorie, c’est la condition sine qua non pour qu’un attentat ou une guerre survienne.

Maintenant , ce dont on peu discuter effectivement, c’est des commanditaires des attentats. Et dire que les gouvernements pourraient vouloir créer des situations de tension, pour faire passer des lois liberticides, excusez-moi, mais c’est vieux comme le monde. C’est le fameux adage : « Diviser pour régner ».

Ce qu’a dit Ibtissem en réalité, c’est simplement l’expression du bon sens populaire. Et quand bien même ce serait faux dans tel ou tel cas particulier, bon sang, en France, en 2018, on devrait avoir le droit de dire ce qu’on veut, de réfléchir, de formuler des hypothèses, sans avoir peur que la foudre nous tombe sur la tête. C’est la base de la démocratie.

Alors voilà, ce qui se passe avec cette jeune chanteuse est un tournant, car maintenant on va fouiller dans votre passé et dès que vous aurez publier publiquement une pensée qui ne suit pas le discours officiel, pensée que d’ailleurs bien souvent, l’immense majorité des gens partagent, dès que vous aurez réfléchi en dehors du parcours fléché et bien on va vous refuser un poste, un boulot, un concours, vous licencier et peut-être même, vous tuer socialement.

C’est extrêmement grave ce qui se passe et cela nous concerne tous !

Derrière la guerre contre les « Fake News » et les soit-disant théories du complot, ce qu’ils font c’est instaurer le Ministère de la Vérité du roman de George Oewell. Ils mènent une véritable guerre contre la pensée critique, par le terrorisme intellectuel et le chantage à la déchéance sociale. L’affaire Ibtissem en est la preuve.

Ils ont rétabli le délit d’opinion et même le crime d’arrière-pensée.

La dictature n’est pas en marche, nous y sommes.

 

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Quand les élites font de leurs mensonges, notre vérité !

Ceux qui ne pensent pas comme nous ou n’écrivent pas comme nous seront réduits au silence !

Après les coupes budgétaires sur France télévision, après la censure des journalistes dans le cadre de la loi sur le secret des affaires, maintenant, Macron veut mettre en place une loi censurant les médias dissidents durant la période électorale

Elle est pas belle la démocratie ?

G.S

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Dictature en marche : Images impressionnantes de violences policières contre les Catalans se rendant aux urnes

Grosse démonstration des catalans n’ayant pour arme : Qu’une urne !

A terme, une guerre civile est à prévoir en Europe, l’Espagne sera-t-il le pays d’où tout partira ?

La violence avec laquelle les forces de l’ordre Espagnol interviennent démontre la détermination d’un pays, l’Espagne, à ne pas céder de terrain aux indépendantistes Catalans.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Plusieurs centaines de personnes ont été blessées dimanche dans des heurts quand la police a voulu empêcher la tenue d’un référendum d’autodétermination en Catalogne.

Les nuages se faisaient plus lourds sur Barcelone et les hélicoptères dans le ciel plus nombreux, quand les policiers anti-émeutes ont saisi des urnes et chargé des manifestants qui voulaient voter lors d’un référendum interdit sur l’indépendance de la Catalogne. Vers 10H00 du matin (08H00 GMT) des tirs de sommation puis des tirs de balles de caoutchouc ont claqué dans la ville, marquant un changement de climat brutal.

La journée avait commencé par d’importants rassemblements de militants qui voulaient «défendre» ce référendum. Des centaines de Barcelonais se rassemblaient devant les bureaux de vote, croisant des fêtards tardifs en talons aiguilles ou une canette à la main. L’exécutif régional avait préparé en secret pendant presque quatre semaines ce scrutin interdit par la Cour constitutionnelle, ignorant les avertissements du gouvernement de Mariano Rajoy.

A l’aube, de Gérone à Barcelone, et de Manresa à Figueras, des milliers de Catalans lançaient ainsi un défi sans précédent à l’Etat espagnol. «Votarem», (nous voterons) : c’était leur cri de ralliement.

Face à la passivité de la police catalane, les Mossos d’Esquadra, déchirée entre l’obéissance à l’Etat central et ses liens avec la population, la police nationale et la Garde civile sont passées à l’action. A Barcelone et, symbole oblige, à Gérone, le bastion du président indépendantiste Carles Puigdemont, à une centaine de kilomètres au nord. La Garde civile a encerclé le centre sportif où il devait voter, repoussant la foule non sans bousculades, puis elle a forcé les portes pour saisir les urnes, devant des militants qui entonnaient un hymne de la résistance antifranquiste, l’Estaca, le poing levé, selon des images de l’AFP.

Hymne catalan

Au même moment à Barcelone, Marc Carrasco, 52 ans, en charge du bureau de vote Ramon Llull, racontait nerveusement la scène qu’il venait de vivre. «Ils ont emporté six ou sept urnes… Ils sont entrés en défonçant la porte… Nous étions à l’intérieur en chantant l’hymne catalan et nous entendions des coups très violents sur la porte». Des images tournées par des amateurs montrent également des pompiers être frappés par des policiers alors qu’ils tentaient de protéger les manifestants (voir viédo ci-dessus).

«Ils ont pris les urnes par la force… et ils les arrachaient littéralement pendant que nous continuions à chanter «Els Segadors», l’hymne catalan, et à crier Vive la Démocratie», a-t-il ajouté. En sortant, les policiers se sont trouvés face à plusieurs centaines de militants assis qui leur ont coupé la route, et ils ont chargé, selon des témoins.

«Ce n’est pas normal dans une démocratie»

Ils ont tenté de les disperser par des tirs de sommation «mais comme ils ont vu que cela ne faisait rien, ils ont utilisé ça», a déclaré à l’AFP Jon Marauri, un secouriste de 22 ans, en montrant des balles en caoutchouc. Selon lui la rue, aux abords du centre, était pleine de gens, environ 500 personnes.

Un témoin, David Pujol, 37 ans, a montré une blessure à la jambe reçue au cours de cet affrontement et une journaliste de l’AFP a vu un deuxième blessé dans une ambulance.

«Nous étions en train d’aider un gars qui était blessé ici et à ce moment la police a de nouveau tiré des balles de caoutchouc et j’ai été blessé à la jambe», a-t-il raconté. «Je me sens très fâché, ce n’est pas normal dans une démocratie», a déclaré David Pujol, venu de l’île de Majorque.

 

 

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Espagne : «La première guerre sur internet du monde a commencé en Catalogne», s’alarme Julian Assange

Les tentatives de Madrid de blocage des applications facilitant la tenue du référendum en Catalogne constituent une véritable «guerre sur internet» selon Julian Assange, qui a lancé un appel appuyé afin de lutter contre ces mesures.

Julian Assange, le célèbre fondateur du site Wikileaks, s’est invité à sa manière dans la campagne du référendum sur l’indépendance de la Catalogne, qui doit se tenir le 1er octobre malgré son interdiction par la justice espagnole. Impitoyable défenseur de la liberté d’expression, le lanceur d’alerte s’est insurgé contre les mesures prises par Madrid pour tenter d’empêcher la tenue du scrutin, ciblant particulièrement les mesures de censure dans le domaines des télécommunications.

«La première guerre sur internet du monde a commencé en Catalogne», a écrit Julian Assange sur Twitter, le 30 septembre. «Les habitants et le gouvernement [de la région de Catalogne] utilisent internet pour organiser le référendum d’indépendance de dimanche [1er octobre], tandis que les services espagnols de renseignement gèlent les télécommunications et se livrent à la censure de centaines de sites, de protocoles, etc…», a détaillé le célèbre lanceur d’alerte.

S’appuyant notamment sur des informations relayées par le journal catalan El Nacional le 29 septembre, Julian Assange a dénoncé l’intrusion de la garde civile espagnole dans un bâtiment de télécommunications de Barcelone, qui visait à bloquer 29 applications que le gouvernement catalan comptait utiliser pour organiser le vote et compter les voix.

J’appelle tous nos soutiens et les informaticiens à révéler les méthodes de censure de la garde civile et des services de renseignement espagnols

Une mesure qui a révolté le lanceur d’alerte et contre laquelle il souhaite faire naître une mobilisation internationale : «J’appelle tous nos soutiens et les informaticiens où qu’ils soient, à nous aider à révéler, puis à contourner les méthodes de censure de la garde civile et des services de renseignement espagnols.»

Madrid, qui n’a pas autorisé le scrutin, cherche par tous les moyens à empêcher son organisation. La justice espagnole a notamment demandé au géant américain Google de désactiver une application expliquant comment et où se rendre pour voter.

Source : RT

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Europe, la dictature en marche : 38 blessés lors d’affrontements avec la police en Catalogne

Charges de la police, électeurs traînés au sol : premières images du vote en Catalogne.

Malgré l’interdiction du scrutin décrétées par Madrid, les Catalans ont gagné les bureaux de vote pour s’exprimer sur l’indépendance de leur région. La police a été déployée en masse pour tenter de déloger des électeurs qui restent déterminés.Sur Twitter, les premières images du référendum pour l’indépendance de la Catalogne, interdit par les autorités espagnoles, attestent de la tension qui règne autour de ce scrutin.

Le 1er octobre, des électeurs catalans se sont en effet massés en bloc devant les portes d’un bureau de vote, la police tentant difficilement de les en déloger.

Comme en attestent les images, les forces de l’ordre, vêtues de tenues anti-émeutes, ont été déployées en nombre dans la région.

Plusieurs charges ont eu lieu afin d’écarter les électeurs des bureaux de vote, malgré les protestations de ces derniers.

Dès 9h, le ministère espagnol de l’Intérieur a publié les photos d’urnes qui avaient été saisies, laissant présager de sa détermination à empêcher la tenue du référendum.

 

Les autorités catalanes ont de leur côté réitéré leur appel à voter sur l’indépendance de la région, assurant aux électeurs qu’ils pourraient se rendre dans n’importe quel bureau de vote ouvert en Catalogne.

Source : RT

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