Renoncer à l’avion, rouler en voiture électrique, réduire les déchets…
Voici quelques-unes des solutions envisagées par ces écoliers de 1972 pour lutter contre la pollution !
Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
Situé à une altitude de 1810 mètres, ce tapis de 36 flotteurs équipés de 2240 mètres carrés de panneaux solaires bifaciaux produira 800’000 kilowattheures par an, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 220 ménages, a annoncé lundi Romande Energie.
Les flotteurs sont arrimés au fond du lac à l’aide de poids. Ils s’élèveront et s’abaisseront en même temps que le niveau d’eau de ce lac de barrage.
L’installation permet de tester la faisabilité technique et financière d’un projet de plus grande d’envergure. Romande Energie vise la production de 22 millions de kilowattheures sur le lac, soit la consommation moyenne de 6100 ménages. Des études sont en cours pour déterminer la viabilité de ce type d’installation à grande échelle, son rendement énergétique, ainsi que l’impact possible du solaire sur le phytoplancton de ce lac artificiel.
Source & Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
C’est déjà le cas en Australie. Vous aurez les riches qui pourront remplir leur piscine et utiliser autant d’eau qu’ils voudront et les pauvres qui crèveront.
Jérôme Fritel a enquêté sur la transformation de l’eau en marchandise.
Merci François pour ce partage.
On le savait mais « un tiens » vaut mieux que « deux tu l’auras ».
Stéphane Guibert / Finalscape
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Vidéo : Le mot de la fin est on ne peut plus évocateur !
C’est toujours la même chose, et par appât du gain, l’homme finira par disparaître !
10 espèces d’animaux que l’homme a disséminé pour se remplir les poches.
Stéphane Guibert / Finalscape
Des fruits et légumes calibrés comme des produits industriels, des semences paysannes interdites à la vente, un monopole qui met en péril la biodiversité dans nos potagers … Des jardiniers entrent en résistance.
Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape
Utopistes et rêveurs ne rougissez pas ! C’est grâce à vous que notre monde avance dans la bonne direction !
En sachant que pour produire un Jean 100% coton il faut autant d’eau qu’un être humain en consomme en 10 ans de sa vie, des alternatives existent et en voici une :
Julien, ancien ingénieur et amoureux des Cévennes a eu une idée …
Crédit vidéo : France Télévision
Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape
Après la Deuxième Guerre mondiale, déverser des munitions dans des lacs suisses était une pratique sinon courante, du moins autorisée. A Genève, dans le Léman, c’est une entreprise privée qui l’avait fait.
Or, en septembre dernier, l’organisation environnementale Odysseus 3.1 a voulu en savoir plus. Elle a envoyé des plongeurs pour scruter le fond du Léman. Les résultats ont été présentés aux médias ce vendredi: quatre caisses de munitions ont été découvertes, posées au fond du lac, et non enfouies sous les sédiments, et ce à une cinquantaine de mètres de profondeur.
Ces découvertes n’ont pas vraiment surpris Lionel Rard, plongeur et président d’Odysseus 3.1, qui appelle les autorités à agir: « Plonger pour faire du sensationnel, ça n’est pas le but », assure-t-il.
« Ce que nous souhaitons, c’est que des actions soient mises en place par les autorités tout simplement pour nettoyer le lac. On n’est pas là pour juger ce qui a été fait par le passé, il y a cinquante ou soixante ans. En revanche, ceux qui ont maintenant la connaissance de ce qui se passe et qui ont les moyens d’intervenir, seront jugés par les générations futures et par nous-mêmes », estime le président de l’association.
Pour Stéphanie Girardclos, spécialiste des sédiments interrogée dans le 19h30, le fait que ces caisses ne soient pas dans du sédiment « change énormément leur dangerosité. Dans les munitions il peut y avoir arsenic, cyanure, produits cancérigènes associé à des explosifs. Et on n’a pas envie d’avoir ça dans l’eau potable ou pour la faune aquatique. »
Source & Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse
La géo-ingénierie est un programme censé luter contre le réchauffement climatique et dont les grands médias commencent à parler sur la pointe des pieds. Mais ce programme de modification du climat était déjà utilisé dans le plus grand secret depuis la seconde guerre mondiale à des fins expérimentales par l’armée américaine.
Stéphane Guibert / Stéphane Guibert