Une parodie animée du film Star Wars de Georges Lucas
L’agriculture bio lutte contre l’agriculture intensive… Une rébellion amusante contre le côté obscur de la ferme.
Que la permaculture soit avec vous !
Merci à Stéphanie Gibaud pour le partage.
Que la permaculture soit avec vous !
Merci à Stéphanie Gibaud pour le partage.
Entourée de montagnes et de nature, cette vallée offre une paysage exceptionnel. Pourtant, la pollution aux particules fines y fait des ravages.
De par sa situation et son industrialisation, la région a un air d’une qualité médiocre souvent pire que dans les grandes villes.
12 habitants ont décidé de porter plainte contre l’Etat pour mise en danger.
Une vraie réussite du collectif IKLIL et des habitants de la cité. Nous allons continuer à planter des arbres fruitiers, des plantes pollinisatrices, médicinales et des plantes à graines pour le retour des oiseaux et des abeilles dans la ville, puis nous continuerons les projets artistiques de fresques murales et autres.
Et pour rappel :
De Tipaza à Mostaganem, sur les plages, dans les quartiers, les bois et les rivières, Amar Adjili ramasse sans relâche les déchets. En un an, l’action de ce don Quichotte de la dépollution a mobilisé des centaines de volontaires et réveillé les consciences.
Quand il s’est attaqué au nettoyage de Chenoua-Plage, à Tipaza, à 70 km à l’ouest d’Alger, personne ne faisait attention à Amar Adjili. Pour le commun des mortels, il était, au mieux, un excentrique qui trouvait du plaisir à ramasser les ordures, au pire, un malade mental qui devait être interné dans l’asile psychiatrique le plus proche. Ce barbu s’échinant à ramasser les monceaux d’immondices et les cadavres de bouteilles que les gens laissaient derrière eux sur des kilomètres de plage ne pouvait être que fou. « Pauvre homme ! Dieu le guérisse ! » soupiraient certains en le regardant.
En mars 2016, lorsque Amar Adjili débarque au pays de ses ancêtres depuis sa France natale, il est tout de suite frappé par l’état de saleté et de pollution dans lequel se trouve l’Algérie, où il comptait reprendre son activité de construction (en matériaux écologiques).
Préambule :
Déjà, Bien que l’exemple devrait provenir des adultes, il faut reconnaître que depuis l’entrée en scène de Greta Thunberg idolâtrée par les jeunes et censée être leur figure de proue pour ce soit-disant combat de la dernière chance, on a pas vu grand-chose se concrétiser dans les actes de nos têtes blondes.
Ce sont toujours autant de canettes, de mégots de cigarettes abandonnés dans la nature, un petit pain acheté, un cornet en plastique qui file aux quatre vents et hormis faire du bruit, des selfies des grèves, acheter le dernier Jean pur coton à la mode qui demande pour sa production autant d’eau qu’il en faut à un être humain durant toute sa vie, se procurer le dernier iPhone qui détruit la faune en Afrique et qui exploite des gamins de 10, 12 ans, ces bonnes tartines d’une marque que je ne citerai pas et elle n’est pas la seule qui se livre à cette course folle à l’huile de palme détruisant les poumons de la terre etc, etc, etc … De la part de nos amis écoliers, quoi de concret ? Hypocrisie ? Déni ? Mensonge ? Où vous situez-vous les jeunes ? qu’attendez-vous pour agir en votre âme et conscience si vous êtes vraiment sincère dans votre démarche ?
Il faut tout de même se rendre à l’évidence : depuis l’avenue de cette jeune adolescente, le bilan en faveur du climat et de l’environnement est plutôt maigre et c’est même dégradé. Beaucoup de bruit pour un résultat pour ainsi dire inexistant à part les milliards engendrés par l’industrie verte et les ONG qui nous culpabilisent.
Cela n’engage que moi, mais malgré toute sa sincérité que je mets à demi-mot en doute aujourd’hui, cette adolescente est le produit d’un marketing issu de l’industrie du greenwashing et récupéré par les politiques eux-même instrumentalisés par l’oligarchie et le monde de la finance afin de masquer un tout autre problème qui nous vient dessus tel un tsunami : la crise financière et c’est sans compter une pensée unique que les médias mainstream complices, s’appliquent à nous imposer par un matraquage cérébral au quotidien.
Ceci dit :
Le climat de notre planète n’a pas eu besoin d’attendre l’apparition de l’homme pour changer. Elle a connu des périodes bien plus chaudes et bien plus froides et ce sont des scientifiques qui nous l’affirment avec des recherches et des analyses bien plus méticuleuses et approfondies que de simples rapports copiés-collés qui d’année en année sont accentués par un pessimisme de plus en plus catastrophique de la part d' »experts » du GIEC.
Depuis l’âge de 15 ans et jusqu’à il n’y a pas si longtemps que ça, j’étais moi aussi persuadé de notre responsabilité dans l’évolution du climat et c’est un ami qui m’a ouvert les yeux. Depuis, ce sont des dizaines d’heures de conférences et de reportages qui sont diffusés très tard sur les chaînes de télévision qui m’ont ouvert les yeux. Ce sont des articles et des rapports qui sont occultés voir même censurés qui m’ont permis de me poser des questions .
Je vous invite dans ce billet à visionner un reportage d’environ 60 minutes qui permet de voir notre implication sur le réchauffement climatique sous un autre angle.
Notre implication sur le changement climatique est hyper médiatisée alors que notre implication sur notre responsabilité concernant la destruction de notre biodiversité tourne en circuit restreint. Posez-vous donc les bonnes questions.
Stéphane Guibert / Finalscape / VK
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Retour sur l’article d’origine >>>
La pensée du jour: «Acheter des bons aliments, c’est bien. Les produire soi-même, c’est mieux!»
Merci à Michel Surchat pour le partage.
Mise en ligne : Stéphane Guibert
Je te mets au défi !
N’as-tu jamais laissé une bouteille en plastique au coin de la rue ? Si tu es sincère tu me diras oui ! Alors laisses-moi te dire que le dépotoir dans lequel tu vas finir, tu le mérites amplement et tu emporteras tes enfants avec toi.
Je suis subventionné par l’association « Vert, Rouge, Jaune et multicolore » l’association qui n’est ni d’ici ni d’ailleurs!
Manges ta merde mon ami ! tu vas la déguster à la petite cuillère !
Ce billet restera sur Finalscape et ne sera pas partagé sur les réseaux sociaux.
Stéphane Guibert / Finalscape / VK
Un coup de chapeau à celles et ceux qui sont lucides et le cas présent : Amar Adjili, l’homme qui murmurait à l’oreille de la nature.
Il n’est jamais trop tard pour bien faire. Heureusement que les amoureux de la vie sont parmi nous !
Vibrant hommage mon ami et ne baisse pas les bras.
Stéphane / Finalscape