Pourquoi les médias français sont-ils entre les mains de 10 milliardaires ?

Gérard Miller clash en direct « les grandes gueules  » sur RMC/BFMTV.

« Vous trouvez ça normal que 90% des médias de notre pays soient tenus par 9 milliardaires qui ont tous les mêmes intérêts et qui ont tous appelé à voter Macron  »

Gérard Miller professeur des universités, écrivain et cofondateur de la webtélé des Insoumis n’y est pas allé avec le dos de la cuillère face aux présentateurs de l’émission controversée les grandes gueules sur RMC/BFMTV.

En effet le cofondateur de la webtélé agacé des questions visant à le discréditer s’est empressé de rappeler qui était les propriétaires des médias mainstream ayant le total monopole de l’information sur le territoire national.

Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les plus grands médias français .

Pourquoi se masser dans un secteur souvent déficitaire ?

Selon l’influent bloguer Osons Causer spécialiste des anomalies politiques :

« c’est un jeu d’influence qui se joue ici à coup de gros sous. Beaucoup de sondages, un zeste de censure, saupoudrez tout ça de quelques grains de corruption et d’une propagande structurelle et diffuse et vous avez la recette d’une influence réussie. Tant pis pour notre démocratie, notre droit à l’indépendance de la presse et à une information libre ! Que pèse l’intérêt général quand des milliards sont en jeu ? »

A noter en fin de vidéo, l’intervention de Coluche. (ndlr.)

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Journalisme d’investigation : Elise Lucet sans filtre et sans tabou

Petite huitaine de repos, vacances bien méritées pour moi, (Finalscape / Stéphane Guibert) où je vais probablement rester dans mon « quartes murs et un toit » (oui, j’ai cette chance, j’ai un toit) pour me remettre en question et méditer.

Toutefois, je vous rappelle  que les journalistes d’investigations n’ont de cesse que de dévoiler la vérité, ce qui sera un sujet prépondérant la semaine prochaine.

En attendant, Une Elise Lucet de France Télévision, Cash Investigation, plus déterminée que jamais pour la vérité, sollicitant les hackers en leur disant que la liberté d’informer est extrêmement importante et que si on ne se mobilise pas tous et tout le temps, les multinationales vont gagner parce qu’elles ont énormément de moyens, des batteries d’avocats et qu’elles sont en mesure d’influencer toutes les procédures judiciaires en cour.

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Il n’y a rien de plus rentable que la charité, Amancio Ortega, patron de Zara le démontre haut la main

Comme cela fut le cas avec Rockefeller durant les années 40 qui distribuait des dollars à la population, le patron de la firme Zara, Amancio Ortega se lance en tant qu’homme de charité en offrant au système de santé espagnol plus de 300 millions d’euros. Il s’agit d’équipements permettant la détection des cancers.

Il s’agit bien évidemment d’une aide majeur pour un pays comme l’Espagne qui est en proie à de grandes difficultés financières mais aussi et surtout une aide pour tous les malades qui vont pouvoir détecter leur cancer beaucoup plus tôt.

Toutefois, la fédération des associations pour la défense de la santé publique demande aux hôpitaux de na pas accepter cette aide ce qui pourrait paraitre comme totalement aberrant d’autant plus que le parti politique Podemos et diverses autres associations ce sont alliés à cette fédération afin de protester contre la générosité de Amancio Ortega.

Pourquoi ?

Parce que des milliers de postes ont été supprimés dans le secteur hospitalier depuis des années, que les politiques d’austérité y ont fait des ravages. Le groupe Inditex a économisé environ 600 millions d’Euros d’impôts par des méthodes d’optimisation fiscales.

Les associations et le parti Podemos estiment que son rôle est avant tout de payer des impôts pour financer les services publics et certainement pas de décider quels sont les équipements qui vont être utiles dans les hôpitaux.

Ce qui est reproché à ce processus d’optimisation fiscale qui permet ensuite de s’acheter une image de générosité, c’est le fait que Amancio Ortega par le biais de sa fondation décide quels sont les équipements nécessaires et à quel endroit. Lui-seul décide de favoriser par exemple des équipements de détection ultra modernes parce que cela fait partie du spectaculaire de la santé alors que partout, ce qui serait avant tout nécessaire, ce sont des postes de soignants ainsi que des accompagnants pour les malades.

La réponse des libéraux ne c’est pas faite attendre :

« Comment peut-on critiquer quelqu’un qui décide de sauver des vies et qui le fait généreusement en donnant autant d’argent ? »

La question de la charité qui est devenu absolument cruciale aujourd’hui, elle se pose de la même façon autour de Bill Gates qui a donné la moitié de sa fortune et ce qui fait de lui, sans doute, le plus grand philanthrope dans l’histoire de l’humanité.

Ce qu’il faut savoir, c’est que la fondation Bill et Melinda Gates incite les petits paysans à utiliser les semences Monsanto, ce qui les rend totalement dépendants de la multinationale. Il y a un choix politique de la manière dont est utilisé l’argent de la charité de Bill Gates.

Microsoft comme tous les grands groupes, pratique l’optimisation fiscale à l’échelle industrielle. Les comptes aux Bermudes de Microsoft sont de notoriété publique et la trésorerie hors Etats Unis de Microsoft s’élevait en 2015 à 96’000 milliards de dollars qui ne sont jamais rapatriés.

Natacha Polony

 

 

 

 

 

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Médias : La confidentialité en ligne pour les journalistes

 

De nombreux journalistes, toutes générations confondues, ont probablement remarqué que les allusions au Watergate pleuvent dans tous les sens ces derniers temps. Des livres comme 1984 de George Orwell sont de retour dans les vitrines des librairies, et une ambiance menaçante envers la liberté de parole et la liberté de la presse se répand doucement, comme un nuage noir sur l’hémisphère ouest, réveillant des peurs anciennes.

Quand un président américain en faction accuse l’ancien président de surveillance ; quand il empêche l’accès à certains journalistes et médias américains – un accès qui a toujours été autorisé, et considéré comme acquis – aux conférences de presse qu’il tient ; quand il attaque constamment les médias, les accusant d’être l’ennemi numéro 1 du pays, il n’est pas surprenant de voir remonter à la surface des souvenirs du président Nixon, à chaque nouveau tweet larmoyant qui attaque le SNL. Même John McCain, sénateur républicain, exprime des inquiétudes au sujet de l’avenir de la démocratie.

Et McCain n’est pas le seul. De nombreux journalistes à qui j’ai parlé récemment m’ont fait part de leur inquiétude quant à l’avenir de la liberté de la presse. Dans une époque où il est possible de dire que Donald Trump contrôle la NSA sans passer pour un menteur, tout est possible. Quand on ajoute à ça les évènements récents relatifs à la CIA, qui nous ont appris que presque tous les systèmes de cryptages peuvent être compromis avec de la persévérance, on commence à envisager un monde complètement dystopique, où l’on ne serait jamais à l’aise, même allongé sur son canapé devant sa télé.

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de rendre la tâche difficile à ceux qui souhaiteraient intercepter vos emails, vos SMS ou vos appels. Vous pouvez prendre des mesures pour compliquer la vie de ceux qui souhaitent découvrir vos sources et les informations qu’elles vous révèlent. Évidemment, les mesures que vous êtes prêt à prendre pour protéger votre confidentialité, l’anonymat de vos sources et la sécurité de vos données doivent être proportionnelles à la possibilité qu’une telle menace survienne, que ce soit du piratage ou de l’espionnage.

« Les promesses à l’ancienne – je ne révèlerai pas l’identité de ma source et ne donnerai pas mes notes – sont inutiles si vous ne prenez pas les mesures nécessaires pour protéger vos informations numériques », nous dit Barton Gellman du Washington Post, dont la source, Edward Snowden, ancien sous-traitant de la NSA, l’a aidé à découvrir la portée des opérations de la NSA et du GCHQ anglais avec la journaliste Tony Loci. Loci elle-même, qui couvrait le système judiciaire américain pour AP, Le Washington Post et USA Today, et qui a été convoquée par la cour pour avoir refusé de dévoiler ses sources, serait d’accord avec cette déclaration.

Alors, qu’est-il nécessaire de faire pour s’assurer que les sources et les données des journalistes soient à l’abri et bien protégées ? Grosso modo, les astuces peuvent être classées dans les catégories suivantes :

  1. Isoler vos appareils et/ou leur environnement- par exemple, l’isolation physique d’un ordinateur dans le but de vérifier des fichiers, ou l’utilisation de téléphones prépayés.
  1. Sécuriser les applications et fonctions des appareils- C’est ce qu’on appelle réduire la « surface d’attaque », c’est-à-dire limiter les applications installées au strict minimum, n’installer que depuis des sources fiables, choisir des applis qui nécessitent peu d’autorisations, maintenir le système à jour, et effectuer de nombreux contrôles de sécurité (basés sur le dernier livre blanc des meilleures pratiques) sur l’appareil.
  1. Agir avec précaution, dans le monde réel comme dans le monde numérique- il s’agit plus de bon sens que de bons logiciels ; par exemple, n’écrivez jamais le nom de votre source, surtout pas sur une appli, ni un document stocké dans votre ordinateur, et certainement pas non plus sur le cloud.

Voir aussi :

Censure sur les réseaux sociaux et copyright : La mise à mort de la liberté d’expression.

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Économie : Krach économique, le compte à rebours a commencé

Voltaire disait « Une monnaie basée sur la confiance envers celui qui l’émet retournera invariablement à sa valeur d’origine »

Se dirige-t-on vers un nouveau Krach économique ?

Selon certains experts en économie cela est inéluctable et pour les plus alarmistes, la crise des subprimes de 2008 aurait été une partie de plaisir en comparaison de la bulle qui va nous exploser à la figure d’ici une quinzaine de mois.

Un document vidéo (fin d’article) relatant des évènements économiques liés à la situation mondiale actuelle vous permet en quelques minutes de vous faire une idée de la taille de la bombe à retardement sur laquelle nous sommes tous assis.

Après la crise des subprimes en 2008 les choses ne ce sont pas améliorées et les promesses faites par les banquiers et les élites de l’époque à savoir : Les trois fameux « Plus jamais » ne peuvent pas être tenues :

  • Plus jamais les états n’interviendront.
  • Plus jamais les contribuables ne paieront.
  • Plus jamais une banque fragilisée mais responsable ne sera sauvée de la faillite.

Si par exemple la Deutsche bank qui se trouve être en état de quasi Banqueroute devait aujourd’hui faire faillite, que se passerait-il ?

Dans le cadre du « Too big to fail » l’état n’aurait d’autre choix que de la renflouer car une faillite de cette banque systémique entrainerait par effet de dominos un krach économique qui aurait des répercutions désastreuses à l’échelle planétaire. Il est aussi intéressant de savoir que depuis 2015, la grande banque a perdu plus de la moitié de sa valeur en bourse.

Le quantitative easing permet à la banque centrale d’acheter des actifs ou des titres (dettes) avec de l’argent qu’elle crée. Il s’agit donc d’un moyen de réinjecter de l’argent dans l’économie en espérant la refaire partir.

Quelles seront les conséquences d’une utilisation extrême de la planche à billets ?

En tant normal, pour une croissance mondiale qui varie entre 3 et 4 ℅, la masse monétaire fluctue dans les mêmes proportions.
Aujourd’hui, pour une croissance mondiale qui est proche des 0, on se retrouve avec une masse monétaire qui est proche des 18℅.

Autrement dit et avec des mots simples :

Vous vous retrouvez sans emploi, sans aucun bien personnel, la banque vous inonde de billets en basant leur valeur sur ce que vous possédez. Par conséquent, quelle est la valeur de votre argent ?

Une banque qui fait faillite peut en toute légalité se renflouer sur votre propre compte.

En France, depuis janvier 2016, une loi passée pendant l’été 2015 permet aux banques françaises menacées de faillite de se servir sur le compte de ses clients.

Et pour rester dans l’indécence, en Suisse comme c’est très probablement le cas dans bien des pays en Europe et dans le reste du monde, les assurances maladie ajustent leurs primes en fonction des pertes occasionnées par de mauvais placements  sur les marchés financiers.

Et tout récemment,

L’union européenne explore un gel préventif des comptes afin d’éviter des ruées bancaires.

Cette information est tombée hier, et elle n’est pas des plus optimistes. Selon ce que rapporte reuters, les états membres de l’union européennes envisagent des mesures qui permettraient de geler provisoirement les comptes des déposants afin d’éviter toute ruée bancaire. Voilà ce qu’a révélé reuters en ayant pris connaissance d’un document européen.

Selon cet article, ce projet étudié depuis le début de l’année, sort moins de 2 mois après qu’une telle ruée aux guichets de la banque espagnole Banco Popular, ait contribué à sa faillite.

Stéphane Guibert / Finalscape/ VK

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Médias : Un nouvel algorithme de Google limite l’accès aux sites Web progressistes et de gauche

Google s’en prend désormais aux sites dits de fausses nouvelles (Fakes), aux sites de réinformation etc …

Voyez en fin d’article la manière de se débarrasser de cet espion qui nous veut pas tant de bien que cela.

Merci à Etienne Chouard pour cette information capitale.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Au cours des trois mois écoulés depuis que le monopole des moteurs de recherches sur Internet, Google, a annoncé qu’il fallait empêcher les utilisateurs d’accéder à de « fausses nouvelles » (fake news), le classement mondial du trafic d’une large gamme d’organisations de gauche, progressistes, anti-guerre et démocratiques a considérablement diminué.

Le 25 avril 2017, Google a annoncé qu’il avait mis en place des modifications de son service de recherche pour rendre plus difficile pour les usagers d’accéder à ce qu’il appelait des informations « de mauvaise qualité » telles que les « théories du complot » et les « fausses nouvelles ».

La société a déclaré dans un article de blogue que l’objectif central de la modification de son algorithme de recherche était de donner au géant des recherches un plus grand contrôle dans l’identification du contenu jugé répréhensible par ses directives. Il a déclaré qu’il avait « amélioré nos méthodes d’évaluation et effectué des mises à jour algorithmiques » afin de « contenir un contenu plus autorisé ».

Google a poursuivi : « Le mois dernier, nous avons mis à jour nos lignes directrices sur la qualité de la recherche (Search Quality Rater Guidelines) pour fournir des exemples plus détaillés de pages Web de mauvaise qualité pour que les évaluateurs puissent les signaler de manière appropriée ». Ces modérateurs sont invités à signaler « les expériences qui pourraient perturber des usagers », y compris les pages qui présentent de « théories du complot », sauf si « la requête indique clairement que l’usager recherche un autre point de vue ».

Google n’explique pas précisément ce qu’il entend par le terme « théorie du complot ». En utilisant la catégorie large et amorphe des « fausses nouvelles », l’objectif du changement dans le système de recherche de Google est de restreindre l’accès à des sites Web présentant des opinions différentes, dont la couverture et l’interprétation des événements s’opposent à celles des médias de l’establishment tels que le New York Times et le Washington Post.

En signalant le contenu de telle sorte qu’il n’apparaît pas dans les premières une ou deux pages d’un résultat de recherche, Google est capable de bloquer efficacement l’accès des usagers à celui-ci. Étant donné qu’une grande partie du trafic sur le Web est influencée par les résultats de recherche, Google peut dissimuler ou enterrer efficacement le contenu auquel il s’oppose, grâce à la manipulation des classements des recherches.

Le mois dernier, la Commission européenne a imposé une amende de 2,7 milliards de dollars à la société pour avoir manipulé les résultats des recherches pour orienter les usagers de manière inappropriée vers son propre service de comparaison, Google Shopping. Maintenant, il semble que Google utilise ces méthodes criminelles pour empêcher les utilisateurs d’accéder aux points de vue politiques que l’entreprise considère comme répréhensibles.

Le World Socialist Web Site fait partie des cibles des nouvelles « méthodes d’évaluation » de Google. En avril 2017, 422 460 visites au WSWS venaient de recherches Google, ce chiffre a chuté à environ 120 000 ce mois-ci, soit une baisse de plus de 70 pour cent.

Même si l’on utilise des termes de recherche tels que « socialiste » et « socialisme », les lecteurs nous ont informés qu’il leur était de plus en plus difficile de localiser le World Socialist Web Site dans les recherches de Google.

Les références des recherches de Google vers le WSWS ont diminué d’environ 70 pour cent

Selon le service d’outils pour les webmestres de Google, le nombre de recherches qui ont permis aux usagers de voir le contenu du World Socialist Web Site (c’est-à-dire un article WSWS apparu dans une recherche Google) est passé de 467 890 par jour à 138 275 au cours des trois derniers mois. La position moyenne des articles dans les recherches, entre-temps, est passée de 15,9 à 37,2 au cours de la même période.

David North, président du Conseil de rédaction international du WSWS, a déclaré que Google était engagé dans la censure politique.

« Le World Socialist Web Site existe depuis près de 20 ans », a-t-il déclaré, « et il a développé un large public international. Au cours du printemps dernier, le nombre de visites individuelles au WSWS par mois dépassait 900 000 ».

« Alors qu’un pourcentage significatif de nos lecteurs se rend directement sur le WSWS, de nombreux internautes accèdent au site via des moteurs de recherche, dont Google est le plus utilisé. Il n’y a pas d’explication innocente pour la chute extraordinairement forte du lectorat, pratiquement du jour au lendemain, en provenance des recherches Google ».

« L’affirmation de Google selon laquelle il protège ses lecteurs contre les « fausses nouvelles » est un mensonge politique. Google, un monopole massif, avec les liens les plus étroits avec les agences de l’état et du renseignement, bloque l’accès au WSWS et à d’autres sites Web progressistes et de gauche grâce à un système de recherches biaisé ».

Au cours des trois mois écoulés depuis que Google a mis en œuvre les modifications apportées à son moteur de recherche, moins de personnes ont eu accès aux sites d’information de gauche et anti-guerre. Sur la base des informations disponibles sur les analyses d’Alexa, d’autres sites qui ont subi des baisses dans le classement incluent WikiLeaks, Alternet, Counterpunch, Global Research, Consortium News et Truthout. Même les groupes de défense des droits démocratiques tels que l’Union américaine pour des libertés civiles et Amnesty International semblent avoir été touchés.

Un large éventail de sites de gauche, progressistes, et anti-guerre ont vu diminuer leur rang dans les palmarès du trafic au cours des derniers mois

Selon Google Trends, le terme « fausses nouvelles » a quadruplé en popularité au début de novembre, à l’époque des élections américaines, alors que les démocrates, les médias et les agences de renseignement cherchaient leur imputer la responsabilité de la victoire électorale de Donald Trump sur Hillary Clinton.

Le 14 novembre, le New York Times a proclamé que Google et Facebook « ont fait face à de nombreuses critiques sur les fausses nouvelles sur leurs sites qui ont influencé le résultat des élections présidentielles » et qu’ils prendraient des mesures pour lutter contre les « fausses nouvelles ».

Dix jours plus tard, le Washington Post a publié un article intitulé « L’effort de propagande russe a contribué à diffuser de “fausses nouvelles” lors des élections, disent les experts », qui ont cité un groupe anonyme appelé PropOrNot qui a compilé une liste de « fausses nouvelles » diffusant « la propagande russe ».

La liste comprenait plusieurs sites classés par le groupe comme « de gauche ». De manière significative, il a ciblé globalresearch.ca, qui reproduit souvent des articles du World Socialist Web Site.

Après des critiques très répandues sur ce qui n’était pratiquement rien d’autre qu’une liste noire de sites anti-guerre et anti-établissement, le Washington Post a été obligé de publier une rétractation, en déclarant : « Le Post, qui n’a nommé aucun de ces sites, n’apporte aucune garantie quant à la validité des résultats de PropOrNot. »

Le 7 avril, Bloomberg News a rapporté que Google travaillait directement avec le Washington Post et le New York Times pour « vérifier les articles » et éliminer les « fausses nouvelles ». Ceci a été suivi par la nouvelle méthodologie de recherche de Google.

Trois mois plus tard, sur les 17 sites déclarés « fausses nouvelles » par la liste noire discutée du Washington Post, 14 avaient leur classement mondial en baisse. Le déclin moyen de la portée mondiale de tous ces sites est de 25 pour cent, et certains sites ont vu leur portée mondiale descendre de près de 60 pour cent.

« Les actions de Google constituent de la censure politique et sont une attaque flagrante contre la liberté d’expression », a déclaré North. « À un moment où la méfiance du public envers les médias de l’establishment est répandue, cette entreprise géante exploite sa position de monopole pour restreindre l’accès du public à un large éventail de nouvelles et d’analyses critiques ».

Andre Damon et Niles Niemuth

EN COMPLEMENT : L’UNESCO et le « symposium international sur la liberté d’expression » : entre instrumentalisation et nouvelle croisade (il fallait le voir pour le croire) https://www.legrandsoir.info/l-unesco-et-le-symposium-international-su… (où un patron de Google s’exprime sur la liberté d’expression…)

Quelques alternatives à Google :

https://framabee.org/
https://duckduckgo.com/
https://www.qwant.com/?l=fr
https://www.wolframalpha.com/
https://www.startpage.com/
http://yacy.net/fr/

Voici comment consulter tout ce que Google sait de vous :

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Médias libres : Les journalistes sont-ils tous des vendus ? La liberté d’expression recule encore !

Les journalistes sont-ils tous des vendus ? La liberté d’expression recule encore … Le dernier exemple en date de cette politique de censure! L’invité d’Olivier Galzi du 29/06/2017.. Bravo à Clémentine Autain qui a su garder son sang-froid

Cette vidéo sera utilisée pour un futur article mais l’intervention de cette journaliste, Clémantine Autain qui n’a pas froid aux yeux méritait d’être mise en ligne aujourd’hui-même.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Interview Natacha Polony : Le journalisme et polony.tv. Hommage après son éviction d’europe 1 et PP.

Interview Natacha Polony : Le journalisme et polony.tv. Hommage après son éviction d’europe 1 et PP.

Natacha Polony a accepté, dans cette vidéo interview, de répondre à toutes les questions politiquement incorrecte de Jean-Patrick Grumberg.

© Dreuz.info 17/04/2017

Bienvenue sur Polony TV

Vous faites peut-être partie de ceux qui considèrent que les journalistes sont une profession dans laquelle on ne peut pas avoir confiance, rassurez-vous, c’est très répandu en France. Et nous-même, journalistes, nous nous posons la question des conditions d’exercice de notre métier, c’est pourquoi nous nous sommes réunis à quelques uns et avons fondé « Polony TV »; parce que des naufrages médiatiques il y en a eu beaucoup, il y en a eu beaucoup trop ces dernières années.

Ca commence en 2005 avec le référendum sur le traité constitutionnel et puis ça continue ensuite ces dernières années avec le Brexit, l’élection Trump mais pas seulement, ce sont tous les sujets qui passent en dessous des écrans radar, ceux qui ne sont jamais traité ou quand ils le sont, de manière totalement anecdotique, ce sont des pans entiers du territoire français qui ne sont pas explorés et ce sont surtout des citoyens qui ont l’impression que les journalistes ne voient pas ce que eux voient et qui ont l’impression que les médias se donnent pour mission de dire le bien et le mal et non pas de décrire le plus honnêtement possible la réalité; parce que c’est ça, normalement, le journalisme.

Alors nous, nous nous sommes réunis et avons fondé « Polony TV ».

Pourquoi ?

Parce que « Polony TV » est un média libre qui va vous parler de ce que vous voyez réellement, qui va décrypter l’actualité et qui va donner à penser.

« Polony TV » ne dépend pas de la publicité, il dépend entièrement de ses abonnés. 5 Euros par mois, 50 Euros sur l’année pour une information différente, une information indépendante.

Natacha Polony

Finalscape s’associe à Polony TV et vous encourage vivement à y souscrire afin de rester dans la lumière.

Bonne chance à Natacha et toute son équipe.

Stéphane Guibert  / Finalscape  /  VK

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Daniel Balavoine mort dans un accident d’hélicoptère en janvier 1986, des zones d’ombre s’éclaircissent.

Balavoine, Coluche et bien d’autres, ces célébrités qui dérangent le pouvoir en place et qui doivent disparaitre :

Daniel Balavoine est mort dans l’accident d’hélicoptère survenu en janvier 1986, au cours du rallye Paris/Dakar. Il était accompagné de Thierry Sabine, organisateur de la compétition, mais également de trois autres passagers. Ils sont morts sur le coup après le terrible crash de leur appareil. Or, la version officielle de cet accident est entachée de nombreuses zones d’ombre. En effet, l’accident n’aurait pas eu lieu le 14 janvier, mais bien la veille. Il n’aurait pas provoqué la mort instantanée des cinq personnes. Il y a eu momentanément des survivants. L’enquête a été bâclée.

Le rapport d’accident n’a jamais été rendu public. Les faux témoignages fleurissent lors d’interventions officielles. L’hélicoptère change de look sur différentes photos (preuves à l’appui dans cet ouvrage) C’est un essai mensonger qui nous est présenté et imposé. Malheureusement pour les comploteurs, les morts de cet effroyable drame n’en sont pas restés là. Ils nous communiquent depuis l’Au-delà des informations et des précisions indiscutables totalement contraires à la version qui nous est assénée. Le démantèlement du mensonge est total et difficilement contestable. La lecture de ce livre vous conduira dans une passionnante enquête qui semble invraisemblable, à première vue, mais qui pourtant rencontre l’écho le plus assourdissant. Les responsables, quelle que soit leur situation sociale, doivent répondre de leurs actes au moins devant les admirateurs de Daniel. Vous n’en sortirez pas indemnes. Croyants ou incroyants d’une vie après la mort, votre esprit en sera inévitablement transformé. (Olivier, Daniel et leurs amis guides spirituels.)

Jean Pernin

 

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Économie : Le remboursement des intérêts de la dette en France implique une croissance de 4.7 %

La croissance de la France stagne à 0.7 % alors que durant les années 50 – 60 elle était 10 fois supérieure. C’est durant ces années fastes qu’on été mises en places des assurances sociales telles que le chômage, la maladie etc… On essaye de vous faire croire aujourd’hui qu’en gagnant 10 fois moins on va réussir à vivre avec le même train de vie. Aucun homme politique n’a le courage de le dire et c’est la que le bât blesse.

le moment va venir ou il va falloir expliquer clairement aux gens qu’un ménage ne peut pas vivre de la même manière avec un salaire de 10’000 Euros qu’avec un salaire de 1’000 Euros et il en va de même pour un pays.

Le simple remboursement des intérêts de la dette française implique une croissance de 4.7 % !

Où vont la France, l’Europe et l’Euro ?

Olivier Delamarche économiste et invité sur le plateau du média indépendant Meta TV nous ouvre les yeux sur un désastre économique imminent.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

La vidéo dans son intégralité sur Youtube :

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