Lors de son passage dans l’émission Le Tube, il descend littéralement les politiques « qui ne pensent pas par eux-mêmes ».
Il en profite aussi pour attaquer le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, qu’il décrit en « ennemi viscéral de la République » !
Emmanuel Macron ne sait peut-être pas que l’intelligence ne se mesure pas à son instruction.
Un adolescent qui se fait remettre en boîte par l’actuel locataire de l’Élysée :
« Tu es là, on est dans une cérémonie officielle, tu te comportes comme il faut. Tu peux faire l’imbécile mais aujourd’hui c’est la Marseillaise et le chant des partisans. Tu m’appelles « Monsieur le président de la république » ou « Monsieur » ! Et tu fais les choses dans le bon ordre : Le jour ou tu veux faire la révolution, t’apprends d’abord à avoir un diplôme et à te nourrir toi-même. D’accord ? Et à ce moment-là, tu iras donner des leçons aux gens. »
Ce qui signifie pour simplifier que tant qu’on a pas de diplôme, tant qu’on a pas eu à en découdre avec le système, on est inapte à formuler une opinion claire et on reste à notre place de gueux.
Il est possible que ce jeune homme qui n’a peut-être pas de diplôme ait un Q.I plus élevé que son interlocuteur et pour qu’un peuple se libère, il faut qu’il prenne d’abord conscience que son intelligence n’est pas liée à son statut social et encore moins à son instruction dont les bases même sont de plus en plus remises en question aujourd’hui.
Les médias corrompus s’appliquent plus que jamais à nous enfermer dans une bulle d’idées et de préjugés dans laquelle nous nous auto-flagellons tout en nous laissant bercer par des illusions qui nous relèguent dans un système de consumérisme hors normes.
« TRAVAIL, CONSOMME ET CRÈVE ! »
Je salue ce gosse qui malgré-lui a fait le buz sur la toile et l’invite à suivre ses rêves avec ou sans instruction en lui disant que sans les utopistes, les plus beaux rêves de l’humanité n’auraient jamais vu le jour.
Bonne chance bonhomme et ne te laisse pas corrompre par ce système qui est aux abois.
La fin des Guignols sur Canal + peut se comparer à la fin du service public en France. Retour sur les prémisses d’une catastrophe sociale qui se dessine depuis plus d’un demi siècle.
Selon Bruno Gaccio, humoriste et producteur, on peu comparer la fin des Guignols de l’info à la fin du service public en France, il s’agit d’une méthode qui existe depuis toujours. Quand on veut qu’un service public devienne privé on le désorganise. Pour cela Il faut de l’argent et du temps et il se trouve que l’actionnaire de canal en a et qu’à l’État, quand ils veulent tuer un service public, ils ont des décennies pour le faire.
Pour l’hôpital, ça prendra du temps mais ils vont y arriver, la sécurité sociale, ils vont y arriver, la SNCF, ils vont y arriver, l’énergie … Ils vont arriver à tout.
Et à la question pourquoi ne pas produire les Guignols sur un autre média :
Hors mis l’aspect financier, c’est pour des questions de droits et que ces derniers ont été verrouillés par l’actionnaire de Canal + qui a également racheté la boîte qui fabrique le latex nécessaire à la fabrication des marionnettes, il est donc impossible d’en produire de nouvelles.
Les images sont surprenantes. On parle ici d’acteurs portant des masques du couple princier.
Les téléspectateurs de « Got Talent » en Angleterre étaient convaincus que le Prince Harry et sa dulcinée Meghan Markle étaient dans l’assistance ce soir là mais ils avaient été dupés par des masques très réalistes.
Jean-Claude Bourret, ancien présentateur vedette du JT de TF1 Dénonce
« Vous ne pouvez pas attaquer de front les tout-puissants si non ils vous écrasent et à plus forte raison si ces tout-puissants sont vos employeurs »
Jean-Claude Bourret, ancien présentateur vedette du JT sur TF1 dénonce aujourd’hui à quel point il est difficile pour un journaliste honnête d’exercer son métier dans des conditions normales.
Des médecins fournissent de faux certificats médicaux afin de permettre à des sans papiers d’obtenir frauduleusement un titre de séjour
Le préjudice pour l’état s’élève à plusieurs dizaines de millions d’euros. Le prix pour obtenir le précieux sésame peut aller jusqu’à 300 euros. Il a été découvert que la psychiatre qui est au centre de l’affaire a rédigé plus de 80’000 certificats bidons et à elle seule a fait perdre plus de 3 millions d’euros à la sécurité sociale tout en permettant à des centaines de clandestins d’être régularisé.
Ce cas n’est pas isolé car récemment, 5 autres médecins ont été arrêtés pour des faits similaires.
Le système français qui est unique au monde permet à un sans papiers d’obtenir un titre de séjour pour des raisons de santé, le tout accompagné d’une prise en charge totale de ses soins. Une générosité dans laquelle des réseaux de passeurs ce sont engouffrés avec la complicité de médecins véreux et de faussaires qui ont trafiqué des analyses afin de prouver une séropositivité ou une hépatite, un système qui perdure depuis des années.
Ce ne sont pas les sans papiers qu’il faut stigmatiser et accuser car ils profitent d’une manne qu’un système corrompu a mis en place pour engendrer des profits à très court terme. Qui, dans la situation de ces personnes en détresse ne ferait pas la même chose ? C’est ce système à bout de souffle, moribond, gangréné te toutes parts et qui sent sa fin proche qu’il faudrait abattre sans ménagement et au plus vite.
Même tenue, même coiffure et même danseuses, la parodie de *Toy » de Netta Barzilai aurait pu être drôle si elle n’avait pas été de si mauvais goût
L’humoriste grimée en la jeune israélienne a modifié les paroles du texte de la chanson qui a gagné l’Eurovision en une satire anti-israélienne.
Ce week-end, dans le « Sane Wallis deVires Show », l’humoriste néerlandaise ouvre la séquence en parlant de « la semaine la plus sanglante de ces dernières semaines à Gaza qui a fait 60 morts ». Elle enchaîne ensuite sur le fait que l’Eurovision se déroulera en Israël l’année prochaine puisque c’est la candidate israélienne qui a remporté le concours cette année. Et elle introduit la comédienne auteur de la parodie.
Des paroles très virulentes, d’autant que le texte ne concerne pas seulement Gaza, la comédienne s’attaque directement à Israël. Elle démarre sa chanson par : « Regardez-moi, je suis un très gentil pays, les dirigeants du monde entier me mangent dans la main. Avec un baiser, j’éteins tous les feux ».
Et ça continue … Pendant la chanson, on peut voir sur de grands écrans derrière elle, des images des violentes altercations de la semaine dernière à la barrière de sécurité mais aussi, des images de l’inauguration de l’ambassade américaine à Jérusalem avec le discours d’Ivanka Trump, la fille du président américain.
Une parodie qui est loin d’avoir fait rire tout le monde.
Les commentaires ont rapidement afflué sur les réseaux sociaux ou de nombreux posts ont qualifié la chanson d’anti-israélienne voir teintée de haine du juif.
Une enquête devra déterminer si les institutions ont suffisamment protégé les enfants de Telford, après qu’une investigation du Sunday Mirror a accusé les policiers, la municipalité et les services sociaux d’avoir échoué à démanteler un réseau pédophile d’origine indo-pakistanaise par crainte d’être accusés de «racisme».
Comment les services sociaux, la municipalité de Telford et même les forces de police ont-ils pu fermer les yeux sur les agissements d’un réseau d’agresseurs pédophiles d’origine indo-pakistanaise pendant près de 40 ans? Dans une longue enquête parue la semaine dernière, Le Mirror estime qu’ils ont pu faire jusqu’à 1000 victimes, principalement des jeunes filles de la classe ouvrière blanche de cette ville du nord de l’Angleterre. Aujoud’hui, les institutions de cette petite ville du nord de la Grande-Bretagne sont accusées d’avoir tenté de minorer, voire d’étouffer les agissements de ces gangs criminels par peur d’être accusés de racisme.
C’est l’accusation qu’a essuyé Lucy Allan, la députée Tory (conservateurs) de la circonscription de Telford, lorsqu’elle réclamait à cor et à cri la réouverture de l’enquête sur cette affaire sordide qui avait déjà abouti à plusieurs condamnations. On lui a reproché d’attiser les tensions interraciales en pointant la responsabilité d’hommes indo-pakistanais, alors que les abus d’enfants étaient commis par des personnes de tout milieux.
Un combat de 18 mois
«À ce moment-là, je n’avais même pas mentionné la question de race, je n’étais pas assez courageuse», confessait-elle dimanche dans une interview au Telegraph. «Même moi, j’étais trop facilement prête à accepter le discours du ‘Oui, les statistiques disent que les hommes blancs commettent aussi des abus sexuels…’ Certes, les hommes blancs commettent des abus, mais cette notion de gang est associée à la culture pakistanaise. Reconnaître le problème est la première étape pour le résoudre», estime-t-elle. En effet, une enquête publiée l’année dernière par le think-tank Quilliam a relevé que 85% des hommes condamnés pour leur appartenance à des gangs de violeurs depuis 2005 étaient d’origine indo-pakistanaise.
Sur demande de Theresa May, l’enquête indépendante demandée par Lucy Allan a finalement été ouverte vendredi. Elle aura pour but d’«obtenir la vérité, montrer ce qui n’a pas fonctionné», et «tirer les leçons pour l’avenir», a déclaré un porte-parole du ministère de l’Intérieur. «C’est une affaire vraiment terrible, certains des membres les plus vulnérables de notre société étant la proie de criminels sans pitié». Mercredi, Theresa May avait appelé de ses voeux la mise en place de cette commission le plus rapidement possible. «Nous avons tous été choqués par cette affaire horrible», avait déclaré le premier ministre britannique devant les députés, soulignant la qualité de l’enquête du Sunday Mirror.
Silence des services sociaux
C’est l’aboutissement d’un combat de dix-huit mois mené par Lucy Allan. Elue en 2015, elle reçoit une première jeune femme de 24 ans qui lui dit avoir été victime d’un gang à Telford. Elle demande alors l’ouverture d’une enquête sur le modèle de celles menées à Rotherham et Rochdale, deux ville pauvres du nord de l’Angleterre où des gangs indo-pakistanais se sont rendus coupables de plusieurs centaines de viols et abus sexuels sur mineurs entre 1997 et 2013. Si le premier ministre Theresa May approuve la démarche en privé, la députée se heurte au refus du conseil local de la ville qui estime toute nouvelle enquête inutile.
Car l’affaire n’est pas nouvelle à Telford. Une opération de police menée entre 2010 et 2012, baptisée «Opération Chalice», avait déjà identifié plus de cent victimes potentielles entre 2007 et 2009, et jusqu’à 200 auteurs. Seuls neuf agresseurs ont fini derrière les barreaux. Le chef de gang, Mubarek Ali, a été condamné à 22 ans de prison. Mais ce qu’a révélé l’enquête du Sunday Mirror, c’est que les autorités avaient connaissance de ces abus de masse depuis au moins dix ans lorsque l’opération Chalice a été déclenchée. Le journal a précisé qu’il transmettrait des documents au Home Office (l’exécutif du gouvernement britannique) prouvant ces accusations. Tout aussi grave, les agissements des réseaux pédophiles auraient perduré à Telford après la clôture de cette enquête, sans que les institutions ne réagissent.
«Je suis tombée deux fois enceinte et j’ai subi deux avortements. Quelques heures après mon second avortement, j’ai été raccompagnée par l’un de mes agresseurs pour être violée par plus d’hommes.»
Une victime de 14 ans
Dans le détail, le Sunday Mirror accuse les travailleurs sociaux d’avoir été informés de ces abus sexuels dès les années 1990, et la police d’avoir mis dix ans à lancer des poursuites. Les membres du Conseil ont traité les victimes comme des prostituées, et non comme des victimes. Les autorités ont préféré taire les détails sur l’identité des auteurs issus de communautés indo-pakistanaises, par peur d’être accusées de «racisme». La police a refusé à cinq reprise d’ouvrir une enquête, jusqu’à l’intervention de Lucy Allan. Enfin, l’une des victimes a déclaré que les policiers avait tenté de la dissuader de rechercher pourquoi ses agresseurs n’avaient pas été poursuivis, car ils craignaient qu’elle ne parle au Mirror.
La vérité sur les viols de Telford et Rotherham: Les Grooming Gang.
L’affaire des viols collectifs de Telford concerne le plus grand scandale d’abus sexuels sur mineurs de Grande-Bretagne. 1 000 enfants, la plupart des jeunes filles blanches auraient été drogués, maltraités, violés et parfois tués par des auteurs très majoritairement d’origine ethnique pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane. Il y aurait plus de 200 criminels impliqués et les abus se poursuivent d’après les victimes encore en 2018. Les médias, notamment en France, ont été accusés de ne pas couvrir l’affaire à la hauteur du scandale révélé.
Avant de s’envoler pour les États-Unis, Emmanuel Macron c’est invité sur Fox News la chaîne conservatrice préférée de Donald Trump et en a profité pour faire une déclaration au président américain.
« Nous avons cette relation spéciale car nous sommes en quelque sorte les francs-tireurs de notre système. L’élection de Donald Trump a été inattendue chez vous et mon élection a également surpris tout le monde en France. »
Au sujet du président Russe Vladimir Poutine, Macron déclarait :
« C’est un homme puissant, un président puissant. Il veut une Russie forte et son peuple est fier de sa politique. Mais il ne faut pas être naïf, il interfère dans nos démocraties. Il diffuse beaucoup de » fake news » et une propagande efficace. »
Et à la question concernant les mouvements sociaux en France, chemineaux, étudiants etc… On lui a demandé si il était prêt à reculer :
« Aucune chance ! J’ai été élu pour servir mon pays et lui rendre sa grandeur (Make it great again) comme l’avait dit quelqu’un que je connais bien. »
Tout un programme … Les Français sont donc rassurés.
Le principe de censure ayant déjà fait ses preuves sur les médiats indépendants, on passe à la vitesse supérieure en interdisant à un journaliste du service publique de s’adresser au président Macron.
Cela suit une logique qui se met rapidement en place, voyez également la loi sur le secret des affaires.
Voilà donc ces réformes censées être nécessaires pour la France ; mais pour la France de qui ?