Kla.TV contre la censure mondiale de la vidéo de PLANdémie

Kla.TV contre la censure mondiale de la vidéo de PLANdémie

D.R. JUDY MIKOVITS

La vidéo PLANdemie montre le Dr Judy Mikovits, microbiologiste, en conversation avec le cinéaste Mikki Willis. Sur YouTube et d’autres plateformes de publication, la vidéo est fortement censurée, c’est-à-dire qu’à peine mise en ligne elle est supprimée à nouveau. Qu’est-ce qui rend cette vidéo si « dangereuse » ? Regardez et jugez par vous-même.

La crise du coronavirus marquera l’histoire non seulement comme un événement au cours duquel un « verrouillage » économique mondial a eu lieu, mais aussi comme une période de censure mondiale des médias qui ont contredit le rapport officiel sur le coronavirus. Un soir, la rédaction de Kla.TV a pris connaissance de la vidéo PLANdemie par le biais d’une lettre d’un téléspectateur. Lorsque les collaborateurs de Kla.TV ont voulu visionner la vidéo le lendemain matin, elle avait déjà été supprimée de YouTube. Une autre lettre pointait à nouveau vers la vidéo, cette fois-ci les collaborateurs de Kla.TV l’ont sauvegardée le jour même. Deux jours plus tard, elle a de nouveau été supprimée de YouTube. Vimeo et Facebook censurent également la vidéo, et sur Wikipédia, un rapport critique de la vidéo a déjà été fait. La vidéo a été visionnée au moins huit millions de fois sur YouTube avant la censure.

Qu’est-ce qui rend cette vidéo « dangereuse » au point d’être censurée dans le monde entier ?

Par la suite, nous rediffusons la vidéo en exclusivité sur Kla.TV. Vous verrez le Dr Judy Mikovits, microbiologiste, s’entretenir avec le cinéaste Mikki Willis. Le Dr Judy Mikovits a passé 22 ans aux National Institutes of Health, l’autorité la plus importante en matière de recherche biomédicale aux États-Unis. Lorsqu’elle a réalisé que les vaccinations pouvaient être la cause de l’autisme et du cancer, elle a pris la parole. Elle a été menacée de voir sa carrière brisée, elle a été trahie et a passé cinq jours en prison. Pendant cinq ans, elle n’a pas été autorisée à s’exprimer, elle a été menacée d’être à nouveau jetée en prison. Mais maintenant, elle prend la parole. Elle a travaillé entre autres avec le Dr Rashid Buttar, qui figure parmi les « cinquante meilleurs médecins » des États-Unis depuis plus de 20 ans.

Visionnez dès maintenant la vidéo PLANdemie Partie 1 et distribuez-la. Si ce dont témoigne cette microbiologiste de haut niveau est vrai, c’est un crime de guerre que de censurer sa voix professionnelle sur l’Internet libre. Tous les procureurs et magistrats du monde entier sont légalement tenus d’enquêter sur ces témoignages. Ce n’est rien de moins qu’un génocide si tous ces professionnels disent la vérité, comme le montre la vidéo suivante.

Les peuples ont droit à la voix et à la contre voix ! Imitez Kla.TV tout de suite : enregistrez les émissions qui vous tiennent à cœur sur un disque dur externe dès aujourd’hui.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscqape

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Didier Raoult et la guerre ouverte déclarée contre lui par « Big Pharma » et les gouvernements

Didier Raoult et la guerre ouverte déclarée contre lui par « Big Pharma » et les gouvernements

On dit que le nerf de la guerre c’est l’argent, cet épisode pharmaco-médiatico-politique est est un parfait exemple !

Cette vidéo nous Montre sa Sérénité avec des Réponses excellentes sur différents points . Au total , Plus de 28 phrases dont on va se Souvenir.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Port du masque obligatoire et test du niveau de CO2

Port du masque obligatoire et test du niveau de CO2

Mandatory mask wearing and CO2 level test

Au Texas, la loi exige que les plus de 10 ans portent un masque. Regardez les effets sur un gosse de 11 ans. C’est juste hallucinant. / In Texas, the law requires people over 10 to wear a mask. Look at the effects on an 11 year old kid. It’s just mind blowing.

Vidéo en anglais sous-titrée en français / Video in English with French subtitles

Stéphane Guibert / Finalscape

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Vaccins : Tétanos, le grand mirage

Vaccins : Tétanos, le grand mirage

Le tétanos n’est pas une maladie auto-immune et voici tout ce que vous devriez savoir sur cette infection qui rappelons-le, n’est pas contagieuse

Contrairement à la France, en Suisse les vaccins ne sont pas obligatoires ce qui est paradoxal si l’on sait que la ville de Genève héberge l’OMS : Organisation Mondiale de la Santé qui préconise avec l’appuis de la fondation Bill-et-Melinda- Gates la vaccination à tout-va.

Une vidéo très intéressante que nous devons à la blogueuse Suisse Ema Krusi.

Les vaccins et ce qu’ils contiennent >>>

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

« Those who want to achieve something great will find the ways to get there ; the others, only excuses. » (G.S)

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Santé publique VS buiseness de la Big Pharma : Si l’OMS m’était compté

Santé publique VS buiseness de la Big Pharma : Si l’OMS m’était compté

L’Artemisia vulgaris, LA VÉRITÉ A FINI PAR ARRIVER. VOILÀ LES FAITS SOUS VOS YEUX.

Décriée par l’OMS, interdite en France et dans de nombreux pays occidentaux, cette plante qui soigne le paludisme en quelques heures est le cauchemar de l’industrie pharmaceutique. En grande partie financée par la fondation Bill-et-Melinda-Gates, l’OMS s’oppose à son utilisation sous le prétexte de la sacro-sainte mesure de précaution.

Tant que des conflits d’intérêts siégeront dans les plus hautes instances de l’OMS, la situation a peu de chance d’évoluer.

Stéphane Guibert / Finalscape

Reportage.

Sur VK :

Sur Youtube :

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Le gel Hydroalcoolique, une invention Suisse

Le gel Hydroalcoolique, une invention Suisse qui sauve des millions de vies dans le monde chaque année.

Il aurait pu devenir richissime : l’inventeur du gel hydroalcoolique, c’est lui. On vous raconte son histoire.

La crise du coronavirus et le profit se conjuguant le prix a carrément passé de 1 à 20 euros le flacon. Un véritable scandale. (ndlr.)

Crédit vidéo : TF1

 

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La Chine menace d’interrompre l’approvisionnement du monde en antibiotiques

La Chine menace d’interrompre l’approvisionnement du monde en antibiotiques

Quand on pense que 97% des antibiotiques utilisés aux États-Unis, et probablement dans tous les autres pays, sont importés de Chine, on mesure la gravité du problème et sa profondeur.

Pas de panique car il existe une alternative bien plus efficace que les antibiotique et qui est largement utilisée notamment en Russie : Le bactériophage. voir le rappel et les vidéos en fin d’article. Source Arte et Radio Télévision Suisse (ndlr.)

Non seulement on a transféré les technologies vers la Chine à une vitesse hallucinante, lui économisant des années de recherches et lui permettant ainsi de ne payer ni droits, ni redevances sur les brevets qu’elle utilise et qu’on l’a laissée piller à volonté, mais on s’est volontairement mis en état de dépendance totale envers une dictature communiste totalitaire, et à présent on en paye le prix !

On a oublié que la Chine, malgré des progrès considérables, en grande partie financée par nos achats et nos impôts, a gardé un mélange de structures claniques et communistes héritées de Mao et ne peut absolument pas être considérée comme fiable. On leur a donné, même pas vendu comme ironisait Kroutchev, la corde pour nous pendre tout en sciant la branche sur laquelle on était assis ! Non seulement on a exporté nos savoir-faire acquis depuis la révolution industrielle du XIXème siècle mais on a aussi exporté nos emplois avec, et humiliation suprême, en forçant les employés à former ceux qui allaient les remplacer. On leur a cédé des pans entiers des industries de nos pays, et on a poussé la capitulation et la stupidité jusqu’à leur donner le contrôle des secteurs les plus sensibles et les plus stratégiques de nos économies.

Étonnamment, ni la grippe porcine, ni la grippe aviaire, toutes deux venant de Chine, ni le pillage systématique et organisé de la propriété industrielle, ni le protectionnisme outrancier qu’elle pratique sans états d’âme, ni la mauvaise qualité constante de ce qu’elle nous vend, ni le fait qu’elle sous-traite elle-même certains produits qu’elle réexporte, ni son comportement arrogant et abusif n’ont servi d’alerte à nos dirigeants politiques, aux acteurs économiques ou aux chefs d’entreprises du reste du monde.

On a fait plus que renoncer, on s’est soumis à une dictature totalitaire qui ne respecte pas plus les règles d’hygiène élémentaire que les Droits de l’Homme.

PUBLIÉ PAR EBER HADDAD LE 20 MARS 2020
« On s’est volontairement mis en état de dépendance totale envers une dictature communiste totalitaire. »

On a fait plus que renoncer, on s’est soumis à une dictature totalitaire qui ne respecte pas plus les règles d’hygiène élémentaire que les Droits de l’Homme.

« Si cette crise ne nous sert pas de signal d’alarme, ce qui nous arrive en ce moment se reproduira immanquablement et de plusieurs manières jusqu’à l’annihilation de nos démocraties. »

© Eber Haddad

Le bactériophage

En 2050, plus de gens mourront de résistance aux antibiotiques qu’actuellement du cancer.

Face à la résistance aux antibiotiques les bactériophages sont la plus solide alternative.

Et pour rappel :

La résistance aux antibiotiques est aujourd’hui un véritable problème de santé publique. Selon les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), au moins 2 millions d’Américains sont infectés par des germes résistants aux antibiotiques chaque année, et plus de 23 000 meurent de ces infections.

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A voir en seconde partie d’article : Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Selon un rapport publié en avril 2018, le CDC annonce avoir détecté l’année dernière 221 cas de résistance inhabituelle de soi-disant « bactéries cauchemardesques », capables de propager des gènes qui les rendent imperméables à la plupart des antibiotiques. Bien que le CDC ait déjà mis en garde contre le danger des bactéries résistantes aux antibiotiques ces dernières années, ce nouveau rapport nous révèle ici l’ampleur du problème. « Aussi vite que nous avons œuvré pour ralentir la résistance [aux antibiotiques], certains germes nous ont dépassés », note la docteure Anne Schuchat, directrice adjointe du CDC. « Nous devons faire plus, et nous devons le faire plus vite et plus tôt ». Les infections entraînées par ces bactéries sont « pratiquement impossibles à traiter avec la médecine moderne », poursuit-elle.

Le CDC a mis en place en 2016 un réseau de laboratoires à l’échelle nationale, pour aider les hôpitaux à diagnostiquer rapidement ces infections et à les empêcher de se propager. Un échantillon sur quatre de germes envoyé au réseau de laboratoires avait des gènes spéciaux, qui leur permettraient d’étendre leur résistance à d’autres germes, peut-on lire. Dans 1 cas sur 10, les personnes infectées par ces germes transmettent la maladie à des personnes apparemment en bonne santé à l’hôpital – patients, médecins ou infirmières – qui peuvent à leur tour agir comme porteurs silencieux de la maladie. Ces derniers infectent ensuite d’autres personnes, même si elles ne deviennent pas malades.

Les bactéries « cauchemardesques » – celles qui résistent à presque tous les médicaments – sont particulièrement mortelles chez les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies chroniques. Jusqu’à la moitié des infections qui en résultent s’avèrent fatales pour elles. Le CDC affirme qu’un effort conjoint et une approche agressive impliquant des représentants du gouvernement, des médecins et des établissements de santé peuvent aider à arrêter les bactéries résistantes avant qu’elles ne se propagent largement. Le rapport propose une stratégie de confinement, qui selon Anne Schuchat, aidera à « plier la courbe ou à ralentir la propagation de la résistance aux antibiotiques ».

La stratégie de confinement nécessite :

  • Une identification rapide des germes résistants.
  • L’utilisation de mesures de contrôle des infections (gants, blouses d’hôpital et nettoyage spécial dans les chambres des patients infectés).
  • De tester les patients sans symptômes qui peuvent porter et propager le germe.
  • La poursuite du contrôle de l’infection et des tests jusqu’à ce qu’il soit confirmé que la propagation s’est arrêtée.

Le rapport estime que si elle est mise en œuvre correctement, la stratégie pourrait empêcher 1600 cas d’infection dans un État sur une période de trois ans. Chaque individu peut également jouer un rôle dans le contrôle de la propagation des germes résistants :

  • Informez votre professionnel de la santé si vous avez récemment reçu des soins de santé dans un autre pays ou établissement.
  • Discutez avec votre médecin de la prévention des infections, de la prise en charge de maladies chroniques et de l’obtention des vaccins recommandés.
  • Lavez-vous les mains fréquemment et gardez vos plaies propres propres jusqu’à ce qu’elles soient cicatrisées.

Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Les résultats sont prometteurs, que ce soit dans la lutte contre les pneumonies, les infections urinaires, celles touchant la peau ou encore les os. Faut-il toutefois convaincre les autorités sanitaires.

Le bactériophage, virus qui ne s’attaque qu’aux bactéries et largement utilisé en Géorgie ainsi qu’en Russie n’est pas brevetable en Europe faute de tests et donc pas encore rentable pour l’industrie pharmaceutique.

Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques que l’on retrouve dans de très nombreux aliments comme la viande et le poisson notamment. Le bactériophage pourrait être une solution à terme.

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Coronavirus : SDF, Genève, urgence sanitaire

Coronavirus : SDF, Genève, urgence sanitaire

Comment se comporter et se protéger face à la propagation du coronavirus ?

Quelles sont les mesures prévues pour limiter les conséquences économiques pour les travailleurs et les entreprises ?

Vous êtes Suisse de l’étranger et vous ne savez pas vers qui vous tourner ?

Vous voyagez ou devez vous déplacer pour votre travail ?

Vous êtes un frontalier ?

Quel est le rôle de l’armée dans ce contexte ?

Sur cette page constamment mise à jour, vous trouverez des informations et des conseils utiles sur la Suisse et les différents cantons, ainsi que des numéros de téléphone pour trouver des réponses à vos questions.

Aller sur le site >>>

Crédit vidéo : Léman bleu

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Coronavirus : Chloroquine, le médicament de la dernière chance ?

Coronavirus : Chloroquine, le médicament de la dernière chance ?

Malgré une étude chinoise qui démontrerait que l’hydroxychloroquine ne serait pas plus efficace que d’autres traitements, l’Europe semble adopter cette molécule qui, associée à un antibiotique spécifique serait dans un premier temps le traitement miracle pour limiter la pandémie.

La Belgique ne fait pas exception à la règle, interview :

Le Bahreïn et la Belgique signalent que le traitement contre les coronavirus annoncé par Trump est efficace pour les patients et que les tests cliniques des hydroxychloroquines pour lutter contre le COVID-19 au Bahreïn sont concluants.

Le Bahreïn et la Belgique indiquent que leurs hôpitaux traitent avec succès les patients atteints de coronavirus avec l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique dont le président Trump a parlé comme d’une possible avancée dans la pandémie.

Le président du Conseil suprême de la santé du Royaume de Bahreïn a déclaré que son pays était parmi les premiers à utiliser ce médicament et que son impact a été « profond », selon l’Agence de presse du Bahreïn.

Le Dr Shaikh Mohamed, qui dirige le groupe de travail national pour la lutte contre la COVID-19, a également été cité par l’agence de presse comme ayant déclaré que l’hydroxychloroquine était administrée selon les mêmes schémas posologiques que ceux utilisés en Chine et en Corée du Sud.

Le premier cas de COVID-19 au Bahreïn a été signalé le 21 février, et l’hydroxychloroquine a été administrée pour la première fois aux patients présentant des symptômes viraux le 26 février. Au 25 mars, le virus avait causé 4 décès au Bahreïn, selon le Johns Hopkins Coronavirus Resource Center.

L’hydroxychloroquine est utilisée pour prévenir et traiter le paludisme et est administrée aux patients souffrant d’arthrite rhumatoïde ou de lupus.

Pendant ce temps, en Europe, un autre allié des États-Unis, Bruxelles, fait état d’un succès précoce similaire avec le même médicament et prend des mesures pour garantir sa disponibilité pour les patients les plus malades atteints de coronavirus.

« L’utilisation des stocks limités de ces médicaments pour des traitements préventifs inutiles ou injustifiés compromet la disponibilité de ces médicaments pour les patients qui en ont besoin : les patients chroniques et les patients hospitalisés gravement touchés par le Covid-19 », a déclaré cette semaine l’Agence fédérale belge des médicaments et des produits de santé.

La Belgique, comme les États-Unis, a commencé un essai clinique à plus long terme sur l’efficacité de l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour traiter les patients atteints de COVID-19.

(Une version antérieure de cet article a rapporté de manière erronée le nombre de décès dus aux coronavirus au Bahreïn. Le nombre correct, en date du 25 mars, est de 4).

Merci à Jeppy Neron pour le partage.

Avis divergeant >>>

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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