Le tétanos n’est pas une maladie auto-immune et voici tout ce que vous devriez savoir sur cette infection qui rappelons-le, n’est pas contagieuse
Contrairement à la France, en Suisse les vaccins ne sont pas obligatoires ce qui est paradoxal si l’on sait que la ville de Genève héberge l’OMS : Organisation Mondiale de la Santé qui préconise avec l’appuis de la fondation Bill-et-Melinda- Gates la vaccination à tout-va.
Une vidéo très intéressante que nous devons à la blogueuse Suisse Ema Krusi.
Santé publique VS buiseness de la Big Pharma : Si l’OMS m’était compté
L’Artemisia vulgaris, LA VÉRITÉ A FINI PAR ARRIVER. VOILÀ LES FAITS SOUS VOS YEUX.
Décriée par l’OMS, interdite en France et dans de nombreux pays occidentaux, cette plante qui soigne le paludisme en quelques heures est le cauchemar de l’industrie pharmaceutique. En grande partie financée par la fondation Bill-et-Melinda-Gates, l’OMS s’oppose à son utilisation sous le prétexte de la sacro-sainte mesure de précaution.
Tant que des conflits d’intérêts siégeront dans les plus hautes instances de l’OMS, la situation a peu de chance d’évoluer.
La Chine menace d’interrompre l’approvisionnement du monde en antibiotiques
Quand on pense que 97% des antibiotiques utilisés aux États-Unis, et probablement dans tous les autres pays, sont importés de Chine, on mesure la gravité du problème et sa profondeur.
Pas de panique car il existe une alternative bien plus efficace que les antibiotique et qui est largement utilisée notamment en Russie : Le bactériophage. voir le rappel et les vidéos en fin d’article. Source Arte et Radio Télévision Suisse (ndlr.)
Non seulement on a transféré les technologies vers la Chine à une vitesse hallucinante, lui économisant des années de recherches et lui permettant ainsi de ne payer ni droits, ni redevances sur les brevets qu’elle utilise et qu’on l’a laissée piller à volonté, mais on s’est volontairement mis en état de dépendance totale envers une dictature communiste totalitaire, et à présent on en paye le prix !
On a oublié que la Chine, malgré des progrès considérables, en grande partie financée par nos achats et nos impôts, a gardé un mélange de structures claniques et communistes héritées de Mao et ne peut absolument pas être considérée comme fiable. On leur a donné, même pas vendu comme ironisait Kroutchev, la corde pour nous pendre tout en sciant la branche sur laquelle on était assis ! Non seulement on a exporté nos savoir-faire acquis depuis la révolution industrielle du XIXème siècle mais on a aussi exporté nos emplois avec, et humiliation suprême, en forçant les employés à former ceux qui allaient les remplacer. On leur a cédé des pans entiers des industries de nos pays, et on a poussé la capitulation et la stupidité jusqu’à leur donner le contrôle des secteurs les plus sensibles et les plus stratégiques de nos économies.
Étonnamment, ni la grippe porcine, ni la grippe aviaire, toutes deux venant de Chine, ni le pillage systématique et organisé de la propriété industrielle, ni le protectionnisme outrancier qu’elle pratique sans états d’âme, ni la mauvaise qualité constante de ce qu’elle nous vend, ni le fait qu’elle sous-traite elle-même certains produits qu’elle réexporte, ni son comportement arrogant et abusif n’ont servi d’alerte à nos dirigeants politiques, aux acteurs économiques ou aux chefs d’entreprises du reste du monde.
On a fait plus que renoncer, on s’est soumis à une dictature totalitaire qui ne respecte pas plus les règles d’hygiène élémentaire que les Droits de l’Homme.
« On s’est volontairement mis en état de dépendance totale envers une dictature communiste totalitaire. »
On a fait plus que renoncer, on s’est soumis à une dictature totalitaire qui ne respecte pas plus les règles d’hygiène élémentaire que les Droits de l’Homme.
« Si cette crise ne nous sert pas de signal d’alarme, ce qui nous arrive en ce moment se reproduira immanquablement et de plusieurs manières jusqu’à l’annihilation de nos démocraties. »
En 2050, plus de gens mourront de résistance aux antibiotiques qu’actuellement du cancer.
Face à la résistance aux antibiotiques les bactériophages sont la plus solide alternative.
Et pour rappel :
La résistance aux antibiotiques est aujourd’hui un véritable problème de santé publique. Selon les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), au moins 2 millions d’Américains sont infectés par des germes résistants aux antibiotiques chaque année, et plus de 23 000 meurent de ces infections.
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A voir en seconde partie d’article : Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.
Selon un rapport publié en avril 2018, le CDC annonce avoir détecté l’année dernière 221 cas de résistance inhabituelle de soi-disant « bactéries cauchemardesques », capables de propager des gènes qui les rendent imperméables à la plupart des antibiotiques. Bien que le CDC ait déjà mis en garde contre le danger des bactéries résistantes aux antibiotiques ces dernières années, ce nouveau rapport nous révèle ici l’ampleur du problème. « Aussi vite que nous avons œuvré pour ralentir la résistance [aux antibiotiques], certains germes nous ont dépassés », note la docteure Anne Schuchat, directrice adjointe du CDC. « Nous devons faire plus, et nous devons le faire plus vite et plus tôt ». Les infections entraînées par ces bactéries sont « pratiquement impossibles à traiter avec la médecine moderne », poursuit-elle.
Le CDC a mis en place en 2016 un réseau de laboratoires à l’échelle nationale, pour aider les hôpitaux à diagnostiquer rapidement ces infections et à les empêcher de se propager. Un échantillon sur quatre de germes envoyé au réseau de laboratoires avait des gènes spéciaux, qui leur permettraient d’étendre leur résistance à d’autres germes, peut-on lire. Dans 1 cas sur 10, les personnes infectées par ces germes transmettent la maladie à des personnes apparemment en bonne santé à l’hôpital – patients, médecins ou infirmières – qui peuvent à leur tour agir comme porteurs silencieux de la maladie. Ces derniers infectent ensuite d’autres personnes, même si elles ne deviennent pas malades.
Les bactéries « cauchemardesques » – celles qui résistent à presque tous les médicaments – sont particulièrement mortelles chez les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies chroniques. Jusqu’à la moitié des infections qui en résultent s’avèrent fatales pour elles. Le CDC affirme qu’un effort conjoint et une approche agressive impliquant des représentants du gouvernement, des médecins et des établissements de santé peuvent aider à arrêter les bactéries résistantes avant qu’elles ne se propagent largement. Le rapport propose une stratégie de confinement, qui selon Anne Schuchat, aidera à « plier la courbe ou à ralentir la propagation de la résistance aux antibiotiques ».
La stratégie de confinement nécessite :
Une identification rapide des germes résistants.
L’utilisation de mesures de contrôle des infections (gants, blouses d’hôpital et nettoyage spécial dans les chambres des patients infectés).
De tester les patients sans symptômes qui peuvent porter et propager le germe.
La poursuite du contrôle de l’infection et des tests jusqu’à ce qu’il soit confirmé que la propagation s’est arrêtée.
Le rapport estime que si elle est mise en œuvre correctement, la stratégie pourrait empêcher 1600 cas d’infection dans un État sur une période de trois ans. Chaque individu peut également jouer un rôle dans le contrôle de la propagation des germes résistants :
Informez votre professionnel de la santé si vous avez récemment reçu des soins de santé dans un autre pays ou établissement.
Discutez avec votre médecin de la prévention des infections, de la prise en charge de maladies chroniques et de l’obtention des vaccins recommandés.
Lavez-vous les mains fréquemment et gardez vos plaies propres propres jusqu’à ce qu’elles soient cicatrisées.
Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.
Les résultats sont prometteurs, que ce soit dans la lutte contre les pneumonies, les infections urinaires, celles touchant la peau ou encore les os. Faut-il toutefois convaincre les autorités sanitaires.
Le bactériophage, virus qui ne s’attaque qu’aux bactéries et largement utilisé en Géorgie ainsi qu’en Russie n’est pas brevetable en Europe faute de tests et donc pas encore rentable pour l’industrie pharmaceutique.
Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques que l’on retrouve dans de très nombreux aliments comme la viande et le poisson notamment. Le bactériophage pourrait être une solution à terme.
Comment se comporter et se protéger face à la propagation du coronavirus ?
Quelles sont les mesures prévues pour limiter les conséquences économiques pour les travailleurs et les entreprises ?
Vous êtes Suisse de l’étranger et vous ne savez pas vers qui vous tourner ?
Vous voyagez ou devez vous déplacer pour votre travail ?
Vous êtes un frontalier ?
Quel est le rôle de l’armée dans ce contexte ?
Sur cette page constamment mise à jour, vous trouverez des informations et des conseils utiles sur la Suisse et les différents cantons, ainsi que des numéros de téléphone pour trouver des réponses à vos questions.
Coronavirus : Chloroquine, le médicament de la dernière chance ?
Malgré une étude chinoise qui démontrerait que l’hydroxychloroquine ne serait pas plus efficace que d’autres traitements, l’Europe semble adopter cette molécule qui, associée à un antibiotique spécifique serait dans un premier temps le traitement miracle pour limiter la pandémie.
La Belgique ne fait pas exception à la règle, interview :
Le Bahreïn et la Belgique signalent que le traitement contre les coronavirus annoncé par Trump est efficace pour les patients et que les tests cliniques des hydroxychloroquines pour lutter contre le COVID-19 au Bahreïn sont concluants.
Le Bahreïn et la Belgique indiquent que leurs hôpitaux traitent avec succès les patients atteints de coronavirus avec l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique dont le président Trump a parlé comme d’une possible avancée dans la pandémie.
Le président du Conseil suprême de la santé du Royaume de Bahreïn a déclaré que son pays était parmi les premiers à utiliser ce médicament et que son impact a été « profond », selon l’Agence de presse du Bahreïn.
Le Dr Shaikh Mohamed, qui dirige le groupe de travail national pour la lutte contre la COVID-19, a également été cité par l’agence de presse comme ayant déclaré que l’hydroxychloroquine était administrée selon les mêmes schémas posologiques que ceux utilisés en Chine et en Corée du Sud.
Le premier cas de COVID-19 au Bahreïn a été signalé le 21 février, et l’hydroxychloroquine a été administrée pour la première fois aux patients présentant des symptômes viraux le 26 février. Au 25 mars, le virus avait causé 4 décès au Bahreïn, selon le Johns Hopkins Coronavirus Resource Center.
L’hydroxychloroquine est utilisée pour prévenir et traiter le paludisme et est administrée aux patients souffrant d’arthrite rhumatoïde ou de lupus.
Pendant ce temps, en Europe, un autre allié des États-Unis, Bruxelles, fait état d’un succès précoce similaire avec le même médicament et prend des mesures pour garantir sa disponibilité pour les patients les plus malades atteints de coronavirus.
« L’utilisation des stocks limités de ces médicaments pour des traitements préventifs inutiles ou injustifiés compromet la disponibilité de ces médicaments pour les patients qui en ont besoin : les patients chroniques et les patients hospitalisés gravement touchés par le Covid-19 », a déclaré cette semaine l’Agence fédérale belge des médicaments et des produits de santé.
La Belgique, comme les États-Unis, a commencé un essai clinique à plus long terme sur l’efficacité de l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour traiter les patients atteints de COVID-19.
(Une version antérieure de cet article a rapporté de manière erronée le nombre de décès dus aux coronavirus au Bahreïn. Le nombre correct, en date du 25 mars, est de 4).
Coronavirus & chloroquine : Interview du Professeur Éric Chabrière, collaborateur du Pr Didier Raoult
À regarder et partager sans modération !
Éric Chabrière, collaborateur du Pr Didier Raoult à l’IHU–Méditerranée Infection de l’Hôpital de la Timone à Marseille sur le traitement que leurs équipes donnent à leurs malades du coronavirus (hydroxychloroquine et azithromycine (anti-bactérien)), avec aussi le Pr Pierre Saliou, professeur agrégé du Val-de-Grâce, directeur médical de Pasteur-Vaccins .
22. mars 2020 à Marseille, France.
Sur VK :
Sur Youtube :
Tout le monde ne partage pas de cet avis :
Pour Karine Lacombe, infectiologue : « Ce qui se passe à Marseille est absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique ».
Testé négatif au coronavirus mais pourtant traité à la chloroquine, un patient d’Amiens témoigne
Par Romane Idres
Un patient du CHU d’Amiens qui présentait des symptômes du coronavirus Covid-19 s’est vu administrer un traitement à base de chloroquine. 48 heures après le début du traitement, son état semble s’être amélioré. Finalement, d’après l’hôpital, le test du Covid-19, réalisé deux fois, était négatif.
« Je n’en reviens toujours pas« , nous écrit Xavier Fouque depuis sa chambre d’hôpital. « Samedi, j’étais un légume, je ne pouvais même pas ouvrir les yeux tant la lumière me faisait mal au crâne. » Cette histoire à multiples rebondissements n’a pas fini de faire parler.
Les premiers symptômes du coronavirus Covid-19 sont apparus le 12 mars. L’homme de 48 ans, orginaire de Laviéville dans la Somme, s’est alors rendu chez son médecin traitant, qui lui a diagnostiqué une bronchite et lui a prescrit un traitement antibiotique.
« Je me suis senti mourir »
Quelques jours plus tard, le mercredi 17 mars, l’état de santé de Xavier s’aggrave et son médecin lui conseille d’appeler le 15. Une ambulance l’emmène au CHU d’Amiens. Xavier n’est pas fiévreux, mais ils est pris de grosses quintes de toux, de « brûlures dans la gorge et dans les poumons » et de maux de tête violents. Un premier test du Covid-19 est réalisé à son arrivée à l’hôpital, mais il affirme que les résultats ne lui sont pas communiqués.
Le vendredi 20 mars, son état s’aggrave. « J’ai eu une grosse crise de toux, je n’avais plus moyen de respirer, raconte-t-il. Les personnels soignants n’ont pas réfléchi, ils se sont précipités dans ma chambre avec leurs masques et leurs gants. » C’est à ce moment-là que Xavier est au plus bas. « Je me suis senti mourir. (…) J’ai quatre enfants, je n’ai cessé de penser à eux. J’ai eu tellement peur de les abandonner. » Sans hésiter, il ajoute que les soignants lui ont « sauvé la vie ».
Un scanner révèle ensuite une infection aux poumons. Un nouveau test du Covid-19 est réalisé, mais Xavier assure qu’il n’est toujours pas informé des résultats. Tout lui laisse croire qu’il s’agit bien du coronavirus. Il signale même la présence d’étiquettes indiquant « nouveau coronavirus Covid-19 » dans sa salle de bain.
Le même jour, les médecins commencent à lui administrer le fameux traitement évoqué depuis plusieurs semaines dans les médias, à base d’hydroxychloroquine, une molécule utilisée comme antipaludique, et d’un antiobiotique utilisé pour le traitement des infections à la gorge et aux bronches, l’azithromycine. « Il y avait urgence, mon état de santé s’est dégradé à grande vitesse, ils m’ont dit ce qu’ils allaient me donner (…) Si je fais partie des testeurs pour ce traitement, je ne le regrette pas. »
Tests négatifs
Le CHU d’Amiens confirme avoir administré de l’hyrdoxychloroquine mais assure que les deux tests réalisés à quatre jours d’intervalle sont revenus négatifs. Recontacté, Xavier nous redit qu’il n’avait pas été mis au courant des résultats des tests. Il n’en aurait été informé qu’après publication de l’article sur notre site internet. « On vient juste de me dire, à 18h20 (deux heures après publication de l’article, ndlr), que les deux tests étaient négatifs. » C’est également à ce moment-là qu’on lui annonce une autre nouvelle surprenante : « Comme je suis négatif, ils stoppent la chloroquine. » D’autres examens devraient être réalisés pour déterminer ce qu’il a réellement.
Nette amélioration en 48 heures
Néanmois, dés le lendemain du début du traitement, Xavier en ressent les effets. « Je me sentais encore faible, mais je me sentais déjà mieux. » Aujourd’hui, 48 heures après, il est toujours un peu faible et a encore du mal à parler, mais il sent une nette amélioration. « Avant, j’avais des inhalations d’oxygène régulièrement, entre 8 et 12 par jour. Aujourd’hui, seulement en cas de besoin, quand la respiration devient trop difficile, indique-t-il. Les médecins me gardent sous surveillance, et si mon état continue à progresser, je pourrais finir le traitement chez moi, avec des règles strictes de confinement, il faut surtout que j’évite d’être à nouveau contaminé. » Les médecins surveillent également l’apparition d’effets secondaires, qui sont connus pour ces médicaments, mais pour l’instant Xavier n’en a eu aucun. « Inquiet ? Non,je leur fais confiance. »
Il nous fait part à plusieurs reprises de sa reconnaissance envers le personnel soignant. « Je remercie les soignants chaque fois qu’ils entrent dans ma chambre. Ce ne sont pas des soldats, mais ça y ressemble. (…) Quand j’étais au plus mal, ma femme a téléphoné au service, ils l’ont toujours informée mais aussi rassurée. »
Traitement expérimental
À noter néanmoins que ce traitement n’en est encore qu’au stade d’expérimentation. S’il est défendu depuis le début de l’épidémie par le professeur Didier Raoult, infectiologue à Marseille, il est encore tôt pour connaître les résultats à grande échelle. Le médecin marseillais a annoncé avoir traité plusieurs de ses patients de cette manière-là et avoir obtenu des résultats prometteurs. Des essais qui ne font pas consensus dans la communauté scientifique. Ce lundi à 13 heures dans le JT de France 2, Karine Lacombe, infectiologue, estimait que « ce qui se passe à Marseille est absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique. »
🔴 #Chloroquine : « Ce qui se passe à Marseille est absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique »
Le ministre de la Santé Olivier Véran a cependant autorisé des essais cliniques pour différents traitements potentiels, dont celui à la chloroquine. Face aux polémiques, il précise finalement ce lundi soir, sur avis du Haut conseil de santé, que le recours à la chloroquine serait strictement encadré et que cette molécule ne devait être utilisée que dans le cadre hospitalier. « La chloroquine pourra être administrée aux malades souffrant de formes graves du coronavirus, mais ne doit pas être utilisée pour des formes moins sévères« , a-t-il déclaré.
La chloroquine pourra être administrée aux malades souffrant de « formes graves » du #coronavirus, mais ne doit pas être utilisée pour des formes « moins sévères », a statué lundi le Haut conseil de santé publique, selon le ministre de la Santé Olivier Véran #AFPpic.twitter.com/UaeGNo6hWN
Un essai clinique a par ailleurs été lancé à l’échelle européenne dans au moins sept pays pour tester quatre traitements expérimentaux contre le coronavirus Covid-19, dont celui à l’hydroxychloroquine. D’après nos informations, des protocoles ont déjà commencé à Amiens. Recontacté, le CHU a finalement confirmé que deux de ces traitements étaient effectivement en cours d’expérimentation.