Santé publique: Coronavirus, en voila une question…!

Santé publique: Coronavirus, en voila une question…!

Infrarouge et 36.9 fusionnent exceptionnellement.

RTS :

Deux émissions phares de la RTS (Radio Télévision Suisse) fusionnent exceptionnellement ; Infrarouge, le magasine d’actualité et 36.9 le magasine de la santé.

C’est Alexis Favre (Infrarouge) qui, accompagné d’Isabelle Moncada (36.9) nous mettent les papilles en effervescence avec ce fameux coronavirus. Faut-il en avoir peur, faut-il se calfeutrer chez-soi en s’isolant de la société ? Eh bien réjouissons-nous de ce prochain débat qui va peut-être éclairer nos lanternes. Le rendez-vous est donc pris pour ce mercredi 5 février 2020 à 20:10 sur la RTS.

Stéphane Guibert / Finalscape

 

 

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Le coronavirus : Une pandémie planifiée ?

Le coronavirus : Une pandémie planifiée ?

Les délires les plus fous sont mis en avant et on se croirait dans le scénario d’un film cataclysme-catastrophe digne d’un bon roman à la Stephen King.

la grippe espagnole, la grippe asiatique, la grippe de Hong-Kong,  la fièvre de Lassa, le virus VIH, le  SRAS, le H1N1, Ebola etc… on nous prédisait à chaque crise une hécatombe humaine mais nous sommes toujours plus nombreux sur cette bonne vieille planète, la Terre.

De qui se moque-t-on ? À en croire les autorités sanitaires mondialistes les plus avérées, nous serions à chaque fois les otages d’une crise sanitaire qui nous prendrait en porte à faux et n’aurions pas d’autre choix que d’en passer par la vaccination.

Soit…

Combien de cas désespérés et combien de milliards engendrés par l’industrie de la « Big Pharma » ne serais-ce qu’au travers de vaccins administrés tous azimuts ?

Pour un virus dont le brevet remonte à juillet 2015, le coronavirus, c’est beaucoup de bruit et surtout beaucoup d’argent mis en jeux.

Le Coronavirus n’est à mon sens qu’une expérimentation visant à instaurer la peur au sein d’une population névrosée ne demandant qu’à suivre des directives sanitaires afin de se sentir rassurée.

Triste monde.

Le Coronavirus, Un leur fabriqué de toutes pièces !

Rappel :

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Santé publique : Coronavirus Un Chinois dénonce (Vidéo sous-titrée Français / English)

Mise à jour : Dimanche 26 janvier 2020 – 22:40 –

Santé publique : Coronavirus Un Chinois dénonce

Il lance un appel « au secours » désespéré !

Un Chinois expose la culpabilité du gouvernement local dans la contamination de la maladie mortelle. Version sous-titrée en français.

Ce que nous dit cet étudiant est édifiant !

Stéphane Guibert / Finalscape

Sous-titré en Français.

Compte Vimeo associé >>>

English subtitles.

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Santé publique : Perturbateurs endocriniens, les nouveaux poisons de notre quotidien

Santé publique : Perturbateurs endocriniens, les nouveaux poisons de notre quotidien

Les nouveaux poisons de notre quotidien – Enquête de santé le documentaire

Pesticides, bisphénols, phtalates, parabènes…. Des milliers de substances chimiques ont envahi notre quotidien.

Utilisées depuis des décennies pour protéger les récoltes, améliorer les emballages alimentaires ou la conservation des cosmétiques, ces molécules ont fini par révéler leur pouvoir toxique.

Le site Allo docteurs >>> contient tout ce qu’il faut savoir concernant votre santé : anatomie, fatigue, stress, sexualité, contraception, cancer, VIH, dépression, douleur, …

Michel Cymes Marina Carrère d’Encausse Benoît Thévenet France 5.

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Santé publique : Coronavirus en Chine: l’OMS convoque le Comité d’urgence pour le 22 janvier

Santé publique : Coronavirus en Chine: l’OMS convoque le Comité d’urgence pour le 22 janvier

Bientôt un nouveau vaccin miracle obligatoire ? (Une nouvelle manne pour la big pharma ?) (G.S)

Le Comité d’urgence de l’OMS doit se réunir mercredi 22 janvier pour examiner la situation concernant la propagation du nouveau coronavirus en Chine, a annoncé l’organisation.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé qu’elle convoquerait mercredi 22 janvier une réunion de son Comité d’urgence pour évoquer l’épidémie du nouveau coronavirus en Chine.

Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS «convoquera un Comité d’urgence au sujet du nouveau coronavirus (2019-nCoV) en vertu du Règlement sanitaire international. Le Comité se réunira mercredi 22 janvier 2020», a indiqué l’OMS sur Twitter.

Le Comité devra établir «si l’épidémie constitue une urgence de portée internationale» et élaborer les recommandations nécessaires, a ajouté l’OMS.

Transmissible entre humains

Ce 20 janvier, un responsable de la Commission nationale chinoise de la santé a déclaré à la chaîne de télévision d’État CCTV que le nouveau virus était transmissible d’homme à homme.

Selon un dernier bilan établi ce lundi soir et cité par l’AFP, le pays a dénombré 218 cas.

Après trois cas confirmés à l’étranger dès le 19 janvier, dont deux en Thaïlande et un au Japon, la maladie a fait son apparition en Corée du Sud. Un premier cas a été détecté chez une Chinoise arrivée dans le pays par avion.

L’OMS avait précédemment diffusé ses recommandations au sujet du nouveau coronavirus.

Crédit Vidéo : L’express >>>

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SANTE PUBLIQUE : Le bactériophage

Source de l’image

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

SANTE PUBLIQUE : Le bactériophage

En 2050, plus de gens mourront de résistance aux antibiotiques qu’actuellement du cancer.

Face à la résistance aux antibiotiques les bactériophages sont la plus solide alternative.

Et pour rappel :

La résistance aux antibiotiques est aujourd’hui un véritable problème de santé publique. Selon les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), au moins 2 millions d’Américains sont infectés par des germes résistants aux antibiotiques chaque année, et plus de 23 000 meurent de ces infections.

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A voir en seconde partie d’article : Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Selon un rapport publié en avril 2018, le CDC annonce avoir détecté l’année dernière 221 cas de résistance inhabituelle de soi-disant « bactéries cauchemardesques », capables de propager des gènes qui les rendent imperméables à la plupart des antibiotiques. Bien que le CDC ait déjà mis en garde contre le danger des bactéries résistantes aux antibiotiques ces dernières années, ce nouveau rapport nous révèle ici l’ampleur du problème. « Aussi vite que nous avons œuvré pour ralentir la résistance [aux antibiotiques], certains germes nous ont dépassés », note la docteure Anne Schuchat, directrice adjointe du CDC. « Nous devons faire plus, et nous devons le faire plus vite et plus tôt ». Les infections entraînées par ces bactéries sont « pratiquement impossibles à traiter avec la médecine moderne », poursuit-elle.

Le CDC a mis en place en 2016 un réseau de laboratoires à l’échelle nationale, pour aider les hôpitaux à diagnostiquer rapidement ces infections et à les empêcher de se propager. Un échantillon sur quatre de germes envoyé au réseau de laboratoires avait des gènes spéciaux, qui leur permettraient d’étendre leur résistance à d’autres germes, peut-on lire. Dans 1 cas sur 10, les personnes infectées par ces germes transmettent la maladie à des personnes apparemment en bonne santé à l’hôpital – patients, médecins ou infirmières – qui peuvent à leur tour agir comme porteurs silencieux de la maladie. Ces derniers infectent ensuite d’autres personnes, même si elles ne deviennent pas malades.

Les bactéries « cauchemardesques » – celles qui résistent à presque tous les médicaments – sont particulièrement mortelles chez les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies chroniques. Jusqu’à la moitié des infections qui en résultent s’avèrent fatales pour elles. Le CDC affirme qu’un effort conjoint et une approche agressive impliquant des représentants du gouvernement, des médecins et des établissements de santé peuvent aider à arrêter les bactéries résistantes avant qu’elles ne se propagent largement. Le rapport propose une stratégie de confinement, qui selon Anne Schuchat, aidera à « plier la courbe ou à ralentir la propagation de la résistance aux antibiotiques ».

La stratégie de confinement nécessite :

  • Une identification rapide des germes résistants.
  • L’utilisation de mesures de contrôle des infections (gants, blouses d’hôpital et nettoyage spécial dans les chambres des patients infectés).
  • De tester les patients sans symptômes qui peuvent porter et propager le germe.
  • La poursuite du contrôle de l’infection et des tests jusqu’à ce qu’il soit confirmé que la propagation s’est arrêtée.

Le rapport estime que si elle est mise en œuvre correctement, la stratégie pourrait empêcher 1600 cas d’infection dans un État sur une période de trois ans. Chaque individu peut également jouer un rôle dans le contrôle de la propagation des germes résistants :

  • Informez votre professionnel de la santé si vous avez récemment reçu des soins de santé dans un autre pays ou établissement.
  • Discutez avec votre médecin de la prévention des infections, de la prise en charge de maladies chroniques et de l’obtention des vaccins recommandés.
  • Lavez-vous les mains fréquemment et gardez vos plaies propres propres jusqu’à ce qu’elles soient cicatrisées.

Santé publique : Les bactériophages, virus mangeurs de bactéries, sont peut-être l’avenir de l’antibiotique.

Les résultats sont prometteurs, que ce soit dans la lutte contre les pneumonies, les infections urinaires, celles touchant la peau ou encore les os. Faut-il toutefois convaincre les autorités sanitaires.

Le bactériophage, virus qui ne s’attaque qu’aux bactéries et largement utilisé en Géorgie ainsi qu’en Russie n’est pas brevetable en Europe faute de tests et donc pas encore rentable pour l’industrie pharmaceutique.

Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques que l’on retrouve dans de très nombreux aliments comme la viande et le poisson notamment. Le bactériophage pourrait être une solution à terme.

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Santé publique : 38 personnes sont atteintes de cryptosporydiose dans le Var et les Alpes-Maritimes

38 personnes sont atteintes de cryptosporydiose dans le Var et les Alpes-Maritimes

Cette maladie est due à un parasite microscopique, le cryptosporidium

Elle se caractérise par une diarrhée aiguë, des maux de ventre et parfois des vomissements. Le premier cas a été signalé à Grasse.

Si l’on ne connait pas encore avec certitudes les causes de cette contamination, les habitants suspectent toutefois l’eau du robinet d’être à l’origine de cette crise sanitaire et le maire à demandé à l’ARS de procéder à des analyses de l’eau potable. Pour l’heure, aucune anomalie n’a été détectée, mais l’eau reste sous surveillance tant que l’origine exacte des contaminations n’a pas été identifiée.

Stéphane Guibert / Finalscape

Sources : BFM TV & RMC (Publié le 18 novembre 2019)

Source : France Télévision

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