Enfants de lumière : Cette génération qui pense autrement

Avez-vous entendu parler des enfants de lumière ?

Cette génération qui pense autrement

Viennent-ils d’une autre planète, sont-ils des anges ? Ces enfants qui pensent autrement et qui se dévouent pour les autres…

À 9 ans, elle construit des abris pour SDF.

Quand elle avait 6 ans, Hailey Fort qui habite près de Seattle, aux Etats-Unis a croisé un homme qui faisait la manche. Elle a alors demandé à sa mère si elle pouvait lui offrir un sandwich. Depuis ce jour, la petite fille n’a cessé de venir en aide aux personnes démunies.

Hailey a commencé par créer un potager et a distribué 115 kilos de fruits et légumes en 2015. À 9 ans elle c’est lancée dans un projet encore plus ambitieux. Elle a décidé de construire un abri pour son ami Edward avec une fenêtre et des murs isolés avec des jeans recyclés.

Cette enfant a reçu une bourse pour construire 11 autres abris. Elle a récolté 60’000 euros pour offrir des produits de première nécessité et chaque hiver, elle récolte des dizaines de manteaux chauds.

Du haut de ses 12 ans,  Hailey est déjà un modèle.

Il existe de nombreuses discussions qui entourent l’idée de ce qu’est un « enfant des étoiles ».

Êtes-vous l’un d’entre eux ? >>>

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Suisse : Il faut savoir GENÈVE – AUGUSTINS – Les sans-abris expulsés par les branchés

GENÈVE – AUGUSTINS – Les sans-abris expulsés par les branchés

Insignifiant aux yeux de certains mais  important pour moi

Mardi 27 août, 15h : sur la place des Augustins, quatre policiers et trois flics municipaux, tous gantés de plastique noir, soulèvent une la personne qui a trouvé refuge sous l’auvent du kiosque de la place depuis plusieurs mois. Résigné, silencieux, il ne résiste pas verbalement mais se débat pour qu’on ne le touche pas, puis fini par se laisser porter par les flics qui l’embarquent en abandonnant toutes ses affaires stockées dans deux caddies, ainsi que sa guitare. Pendant ce temps là, la nouvelle gérante du Pop-up store tout juste installée dans le kiosque lave calmement ses vitres afin de pouvoir y appliquer un autocollant annonçant l’ouverture de ce lieu fraîchement rénové. 

Ce kiosque, qui est en réalité un ancien abri de bus et des toilettes publiques, est propriété de la Ville de Genève. Abandonné pendant longtemps, il a servi à de nombreuses personnes comme abri, comme lieu de refuge et de rencontre et se trouve au centre des pratiques sociales qui anime cette place.

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Société : Vivre autrement, c’est possible

Des mini maisons économes en terrain et en énergie. Une jeune polytechnicienne s’est lancée dans la création d’un village de Tiny House

Un « Ty Village » (c’est son nom), accueille depuis la rentrée de nouveaux habitants dans le Quartier des villages à coté du Campus d’Armor. À 6 kilomètres de l’université de St Brieuc (20 mn en bus) et 3 km du centre-ville, il s’agit d’un concept d’habitat pour étudiants inspiré des « tiny houses » américaines des années 2000. Les petites maisons de bois sur roues s’installent progressivement derrière le campus d’Armor.

Un projet immobilier d’un genre nouveau

C’est Aurélie Moy, une jeune ingénieure polytechnicienne spécialisée en développement durable qui a eu cette idée. Au départ, Aurélie rêvait d’une tiny-house (micro maison) seulement pour elle, et puis l’idée de partager ce mode d’habitat a germé. C’est sur un terrain de son père, bien connu dans le monde de l’immobilier (Sogéloc), qu’elle a pu lancer son projet.

Les tiny houses sont fabriquées en Ille-et-Vilaine par L’ateliers des Branchés dans le plus grand respect de l’environnement, notamment dans le choix des matériaux. Il s’agit de maisonnettes construites en bois avec un bon coefficient d’isolation phonique et thermique (chauffage électrique). Sur le terrain elles sont raccordées aux réseaux d’eau et électricité. Pour l’instant elles sont équipées de toilettes sèches.

En Suisse (Genève), l’association Carrefour-rue fondée par Noël Constant vient en aide aux plus démunis en leur offrant des espaces de vie, des repas chauds tous les jours, des hébergements d’urgence et des studios mobiles.

Aller à la rencontre des personnes en difficulté, sans-abris ou démunies, leur offrir des espaces d’accueil, d’activités, d’échanges, des repas et des hébergements gratuits chaque jour de l’année, tels sont les objectifs de l’association genevoise : Carrefour-rue.

Association privée d’action sociale, elle propose des alternatives souvent originales aux réponses traditionnelles ou officielles.

En 1986 naît la « Coulou« , abris pour sans -bris ; et au fil des ans : « les villas« , lieu de vie communautaire, « le jardin de Montbrillant« , espace d’accueil et de repas gratuits, « Cartouche« , bus d’accueil et de solidarité, « Le point d’eau« , espace d’hygiène et de santé gratuit. En 2006, « Le hameau des chemineaux » voit le jour ; en 2014, « Le hameau Eureka« .

Depuis le tournage de ce reportage réalisé par la chaîne de télévision « 8 Mont-Blanc, ce sont créés la friperie « Aboudaby« , distribution gratuite de vêtements de seconde main pour tous les âges ainsi que « Le hameau Noé » inauguré en 2015.

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La rue tue ! Tout peut basculer et personne n’est à l’abri (Et si nous redevenions des humains.)

Source de l’image

Ne pas être à l’abri de se retrouver sans-abri, quand la dure réalité de la vie nous rattrape .

Moi qui suis passé par là durant près d’une année, ce reportage me touche tout particulièrement. Heureusement que des associations existent qui à défaut d’éradiquer les problèmes, contribuent en tous cas à rendre des situations souvent devenues intenables, plus supportables tout en redonnant de l’espoir aux cabossés de la vie.

Parmi ces associations, une que je chéris tout particulièrement puisqu’elle m’a permis de me sortir de la rue : il s’agit de Carrefour rue qui oeuvre dans le canton de Genève en Suisse.

Témoignage émouvant, un cri du cœur. Un grand merci à la RTS (Radio Télévision Suisse) pour ce reportage.

Stéphane Guibert / Finalscape

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Mon témoignage sur une radio locale :

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Société : Témoignage d’une sdf de 71 ans vivant dans le deuxième sous-sol d’un parking

Poignant et très émouvant le témoignage de Marie, 71 ans, qui vit dans sa voiture au 2ème sous-sol d’un parking situé à Puteaux.
Ça fait 15 ans qu’elle demande un logement. Aujourd’hui on lui répond que Joëlle Ceccaldi, Maire de Puteaux n’a pas le temps de lui répondre.

« Il n’y a pas à avoir honte d votre situation madame c’est nous qui devrions avoir honte au contraire, il s’agit de la faillite totale de notre système. »

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Société française : À 80 ans, elle fait les poubelles pour se nourrir et nourrir ses pigeons

Ils sont des centaines, ces retraités laissés pour compte par la société et qui pour survivre doivent faire les poubelles.

Renée, (nom de substitution) qui pourrait être votre mère, votre grand-mère ou arrière grand-mère touche une retraite de 180 € par mois. Elle fait des poubelles publiques son supermarché. Elle y vient régulièrement se ravitailler pour manger et pour nourrir ses compagnons, les pigeons.

Cela jure avec le faste et le « bling-bling » que les élites toujours plus méprisantes du petit peuple exhibent sans complexe devant les caméras des médias complaisants.

Jusqu’où iront l’indécence, la provocation et l’injustice ?

Stéphane Guibert / Finalscape

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Solidarité : En Suisse, une association se charge de trouver des logements aux sans-abri

À l’approche de l’hiver qui va nous tomber dessus dans quelques jours, ils sont plus de 10’000 en Suisse à dormir dans la rue, ce sont les sans-abri , ceux que l’on appelait il n’y a pas si longtemps, les clochards.

L’association « Toit pour tous » c’est donné comme mission de fournir un logement à toutes celles et ceux qui partagent cette infortune de ne pas avoir de toit sur la tête.

Il est regrettable de constater qu’aujourd’hui, les politiques manquent visiblement de volonté pour éradiquer le problème et que ce soit des associations privées qui prennent en mains la souffrances des plus démunis.

Pour qui et pourquoi vote-t-on ?

À saluer au passage l’association « Carrefour-rue » qui œuvre dans la même direction.

Merci aussi à Lux peintures pour son soutien et sa solidarité, un exemple à suivre inconditionnellement.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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