Santé publique : La ministre de la santé Agnès Buzyn assume ses responsabilités

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« Je vais vous dire devant tout le monde ici que je vais parfaitement assumer cette responsabilité que de sauver la vie de dizaines d’enfants et de jeunes par an.  Et ces familles ne pourront même pas me remercier mais ce n’est pas grave. Je pense que quand on regarde le débat sur la vaccination, il faut regarder qui est l’émetteur ; et qui prend des risques. Eh bien, je prends les risques que je dois prendre pour sauver la vie des enfants et je l’assume. Quand on prend la décision de désinformer l’opinion public, qu’on fait circuler de fausses informations et que des familles hésitent et ne font pas vacciner leurs enfants et que ces familles perdent un enfant d’une méningite, aujourd’hui elles ne peuvent pas se retourner contre ces distileurs (Pardon Madame la première ministre mais on dit : Distillateurs. ndlr) de mauvaises informations. Donc les pouvoirs publics prennent leurs responsabilités, je l’assume et j’en suis fière.  »

Agnès Buzyn : Ministre de la santé sous Macron

Nous prenons acte Madame la Ministre mais la responsabilité qu’est la votre n’engage que celles et ceux qui vous croient.

Rappelons nous l’affaire du sang contaminé et comment l’affaire  fut étouffée.

De l’aluminium dans le corps d’un enfant de moins de deux ans à raison de plus de 1’440 microgrammes ne serais-ce que dans les 3 vaccins initialement obligatoires :

Ainsi que les 3 vaccins qui leurs sont en général associé :

Alors que l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre et qu’au delà le liquide devient dangereux pour la santé humaine.

En injectant ces 6 valences à un nourrisson, il reçoit une dose d’aluminium qui est entre 20 et 40 fois supérieure à celle autorisée pour l’eau.

Le reste dans la vidéo :

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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