JUGES DES ENFANTS ? ASSISTANTES SOCIALES ? ÉDUCATEURS DE L’ASE ? VOUS ÊTES LICENCIÉS.
L’observation de terrain, faite depuis des années par des milliers de parents, des militants associatifs et des avocats de plus en plus nombreux, comme Maître Michel Amas à Marseille, conduit à cette décision irrévocable et non négociable des citoyens libres et souverains de France.
Juge des Enfants ? Assistantes sociales ?
Éducateurs de l’ASE ? Vous êtes licenciés.
Vous n’êtes plus dignes de la fonction que vous occupez au service de la population. Vous n’êtes plus crédibles. Et donc vous n’êtes plus légitimes.
COUP DE GUEULE : « MACRON VOUS NE VALEZ RIEN RIEN RIEN ! »
Elle est éducatrice et touche un salaire annuel de 12’128 €. On lui sucre sa prime d’activité, sa CAF (Caisse d’allocations familiales), ses APL (Aide personnalisée au logement) ; cause invoquée : cette dame gagne trop d’argent pour prétendre à une aide financière. Désespérée, elle appelle l’Elysée qui lui suggère de prendre contact avec une assistante sociale.
Entendons-nous bien, cette femme travaille plein pot et doit en recourir aux services sociaux pour joindre les deux bouts.
Il n’y a plus qu’à lui souhaiter la bienvenue dans le club de plus en plus fréquenté des « Working poor »
Mise à jour : vendredi 13 septembre 2019 – 16:56 –
Ça aurait du être un post “Celui qui prend le train tout seul pour la première fois pour aller aider son Papa à la ferme”
En fait je suis extrêmement en colère ! Et je vais vous demander de reprendre cette photo et sa légende si vous le souhaitez.
Gauthier est donc monté dans un train pour faire 10 km, rejoindre son Papa qui l’attendait à l’arrivée, 10 minutes plus tard, muni d’un billet numérique d’une valeur de 2,60€, à son nom mais tarif adulte car l’application Oui SNCF n’a pas voulu m’éditer de billet 4-11 ans.
Mon fils m’a appelé 10 minutes plus tard, paniqué, me demandant de lui envoyer son passeport par texto car une contrôleuse lui disait qu’il n’était pas en règle. Je demande à parler à cette personne et j’envoie en même temps le passeport par texto. Je lui demande quel est le problème : elle me répond qu’il doit prouver qu’il n’a pas 13 ans. Logique. Il fait si grand. Mais je lui rétorque quand même que je ne vois pas le problème puisqu’il a un billet adulte suite à un bug de l’application. Puis je réalise que 13 minutes sont passées. Je demande à Gauthier s’il est à la gare d’arrivée ? Il me répond très angoissé qu’on l’a empêché de descendre. Bon. Mon mari attend donc pour rien. La contrôleuse me prévient que mon fils va avoir une amende de 50€. Pour un billet qui n’est pas au bon tarif. Il aurait du avoir un billet à 1,40€. Mon fils de 11 ans a donc été retenu comme un fraudeur, empêché de descendre, emmené vers une gare inconnue où personne ne l’attendait pour avoir payé 1,20€ DE TROP son billet. Et quand je suis allée, calmement, demander dans ma gare à parler à un responsable on m’a répondu que personne ne pouvait me parler qu’on ne prenait plus de plainte en gare.
Je suis TRÈS EN COLÈRE. Non seulement j’ai payé un titre de transport, mais j’ai même payé plus cher à cause d’un dysfonctionnement. Et mon fils a été mis dans une situation anxiogène et qui aurait pu être dangereuse s’il n’avait pas pu nous appeler ! Et personne ne peut me rendre de compte face à face ?
Après des milliers de commentaires et partages sur les réseaux sociaux, voici un autre son de cloche :
La maman d’un garçon de 11 ans a publié, ce mercredi 11 septembre 2019, sur les réseaux sociaux, un texte dénonçant l’attitude d’agents de la SNCF. Selon elle, son fils, monté dans un TER à Chartres, a été empêché de descendre à son arrêt de La Taye à cause d’un contrôle de billet. La SNCF répond et livre sa version, évoquant « une protection de l’enfant ».
C’est une mésaventure ferroviaire qui nourrit de nombreux commentaires et partages sur les réseaux sociaux, depuis ce mercredi 11 septembre. Dans la soirée de mercredi puis dans la matinée de ce jeudi, Emmanuelle Drouhin-Ferrand, maman d’un garçon de 11 ans, a publié, notamment sur Facebook, un texte dénonçant l’attitude d’agents de la SNCF, vis-à-vis de son fils.
Cette Chartraine raconte avoir accompagné son fils pour qu’il prenne le train à la gare de Chartres, ce mercredi 11 septembre. Le jeune garçon est monté dans le train TER de 14h38, à destination de la gare de La Taye (à Saint-Georges-sur-Eure), pour un trajet de 10 minutes (arrivée prévue à 14h48). Il devait rejoindre son père agriculteur à la gare, pour passer l’après-midi.
Emmanuelle Drouhin-Ferrand explique avoir acheté elle-même le billet en ligne : « C’était son premier trajet seul. J’ai pris son billet numérique à son nom, sur l’application OUI SNCF. Je ne suis pas parvenue à prendre un billet enfant. Dans le doute, j’ai pris un billet adulte au prix de 2,60 € ».
Tout se complique une fois dans le TER, selon la maman : « Le train parti, une contrôleuse SNCF explique à mon fils qu’il n’est pas en règle. Elle demande ses papiers d’identité pour prouver qu’il n’a pas 13 ans. Paniqué, mon fils me téléphone et j’envoie sur son portable un texto avec son passeport. Je ne voyais pas vraiment le problème. J’ai ensuite réalisé que 13 minutes étaient passées depuis le départ du train. J’ai demandé à mon fils s’il était bien arrivé à la gare de La Taye. Il m’a répondu qu’on l’avait empêché de descendre. La contrôleuse me prévient que mon fils va avoir une amende de 48 €. Pour un billet qui n’est pas au bon tarif, car il aurait dû avoir un billet enfant à 1,40 €. »
« Il y a une disproportion »
Le jeune garçon est descendu, accompagné d’un agent, à la gare suivante, à Bailleau-le-Pin. Une situation qui agace Emmanuelle Drouhin-Ferrand : « Il y a une disproportion. Heureusement que mon fils avait un portable. Sinon, les contrôleurs l’emmenaient faire toute la tournée avec eux avant de le ramener à la gare de Chartres à 16h30. Mais il se passait quoi ensuite ? Mon mari attendait mon fils à La Taye. On n’a trouvé aucun responsable pour parler de la situation ensuite. »
Contactée par L’Echo Républicain, la SNCF donne sa position. Marjorie Hetté, responsable communication de SNCF Mobilités Centre-Val de Loire, explique : « Il y avait trois agents à bord de ce train. Ils ont vu un mineur voyager seul. Dans ce cas-là, il faut être attentif à l’enfant. Pour nos collègues, c’est la préoccupation première. Il faut vérifier son âge et son identité, car il y a aussi des enfants fugueurs, par exemple. C’est aussi une procédure dans l’intérêt de l’enfant. Ils ont été vigilants. »
La SNCF évoque également le contrôle du billet de l’enfant : « Il est normal que le contrôleur s’assure de la date de naissance par rapport au tarif du titre de transport. Ce n’est pas abusif. Pour un mineur, il s’agit aussi de vérifier qu’il est normal que l’enfant voyage seul. Ce qui explique l’appel à la maman et la demande d’envoi d’une pièce d’identité. Comme le trajet est très rapide entre Chartres et La Taye, le temps de l’échange par téléphone, l’enfant n’a pas pu descendre à La Taye. Les contrôleurs ont décidé de l’accompagner et de le remettre à un agent à la gare suivante de Bailleau-le-Pin. Le garçon était sous la garde d’un agent SNCF, jusqu’à ce que le papa vienne récupérer son enfant. »
« Pas de procès-verbal dressé, donc pas d’amende »
La responsable communication de SNCF Mobilités Centre-Val de Loire rejette toute volonté de nuire et se dit prête à échanger avec Emmanuelle Drouhin-Ferrand : « Je précise que le tarif enfants est bien disponible et existe sur la plateforme OUI SNCF. Il y a peut-être eu un problème. Par ailleurs, il faut préciser qu’il n’y a pas eu de procès verbal de dressé par les agents SNCF par rapport à cette situation, donc pas d’amende. Après, peut-être qu’un des agents a seulement indiqué le montant prévu en cas d’infraction, juste pour information. Dans le pire des cas, il y a peut-être eu de la maladresse dans l’expression, mais l’intention n’était pas de piéger l’enfant ou le mettre mal à l’aise. Il y a une vigilance et la vérification lui a fait rater son arrêt. On peut comprendre le désarroi des parents et on s’en excuse. Mais il n’y avait pas de mauvaises intentions et l’enfant n’a jamais été laissé seul. Nous sommes prêts à échanger avec cette maman pour discuter. »
Réseaux sociaux : Plus on like, moins on consulte et plus on devient Con !
Au fil du temps, je me suis rendu compte que sur les réseaux sociaux, les « posts » les plus « likés » ne sont pas forcément les plus consultés ; de plus, et ce très souvent, les commentaires laissés sous les « posts » qui pourraient avoir une importance non négligeable en matière d’information, dénaturent l’article lui-même en lui faisant perdre en grande partie, voir, toute sa crédibilité.
Deux poids deux mesures sur les réseaux sociaux : Celles et ceux qui cherchent à faire le « buz » en « likant » et partageant tout ce qui fait sensation afin de s’attirer les faveurs d’amis potentiels et celles et ceux qui cherchent la vérité en partagent l’information, la vraie et ce parfois dans l’ombre, voir même au péril de leur propre sécurité.
Il est désolant de voir à quel point la technologie de l’Internet a été pervertie en faveur de l’ignorance et de la bêtise mais aussi et surtout navrant de voir à quel point certains grands médias autrefois considérés comme sérieux et fiables font de cette foire à la connerie humaine leur pain quotidien.
Exploitée et spoliée depuis que l’homme est l’homme, l’Afrique qui est de loin le continent le plus riche en matières premières ne cesse d’attiser les convoitises. Un continent que l’occident sous des prétextes fallacieux maintient sous sa coupe.
Le 25 mais est donc la journée de l’Afrique que tout le monde s’accorde en toute hypocrisie à lui octroyer.
Natif de ces contrées favorisées que représente l’occident, j’ai franchement honte de ce qu’est devenu notre monde. Bâti sur le mensonge les fausses promesses et le déni, nourri par le consumérisme et la débauche, ce monde reflète la pâle image de ce que nous sommes devenus.
Je vomis de toutes mes tripes sur ce qu’est notre humanité aujourd’hui, son manque de compassion, son manque de discernement et l’absence d’amour.
L’Afrique :
Aux yeux de notre bel occident si attaché au matériel, l’Afrique n’est autre que la poule aux œufs d’or qui est exploitée jusqu’au sang de ses enfants.
Triste monde.
Réveillez-vous peuples d’Afrique, ne vous laissez plus ni spolier ni sacrifier.
Stéphane Guibert / Finalscape
Stéphane Guibert / Finalscape
Afrique mon Afrique
Afrique des fiers guerriers dans les savanes ancestrales
Afrique que chante ma grand-mère
Au bord de son fleuve lointain
Je ne t’ai jamais connue.
Mais mon regard est plein de ton sang
Ton beau sang noir à travers les champs répandu
Le sang de ta sueur
La sueur de ton travail
Le travail de l’esclavage
L’esclavage de tes enfants.
Afrique dis-moi Afrique
Est-ce donc toi ce dos qui se courbe
Et se couche sous le poids de l’humilité
Ce dos tremblant à zébrures rouges
Qui dit oui au fouet sur les routes de midi.
Alors gravement une voix me répondit
Fils impétueux cet arbre robuste et jeune
Cet arbre là-bas
Splendidement seul au milieu des fleurs
Blanches et fanées.
C’est L’Afrique ton Afrique qui repousse
Qui repousse patiemment obstinément
Et dont les fruits ont peu à peu
L’amère saveur de la liberté.
A mon avis, ce qui est en train de se passer en Suisse en ce moment avec ces fraudes électorales et le chantage de l’UE à l’encontre de la Suisse sur, notamment, l’équivalence boursière correspond à ce qui c’est passé en France avec le référendum de 2005 et la ratification du traité de Lisbonne en 2007.
On est en train de nous la mettre à la sauce Helvétique !
Et que l’on ne vienne pas me parler de populisme ou de racisme vis-à-vis de ce billet car cela n’a rien à voir. Il s’agit de la part des européistes, de mettre la main sur le dernier bastion de la résistance anti-européenne, cette Europe que l’on nous impose de gré ou de force et ils sont en train d’y parvenir à coups de forfaitures, de corruption et de manipulations électorales !
Oui à une Europe sociale, Non à une Europe dont les multinationales et les marchés financiers dictent leurs lois liberticides aux peuples du monde entier qu’ils esclavagisent !
Stéphane Guibert / Finalscape
Commentaire illustrant l’image de ce post sur Facebook :
La liberté de la Suisse.
Votez NON pour que la Suisse reste un pays sûr et sans terrorisme.
Votez NON à l’imposition d’une loi dangereuse, coûteuse et discriminatoire.
Votez NON à la soumission à un gouvernement étranger.
Votez NON pour éviter que l’échec européen soit appliqué en Suisse.
Votez NON pour que 728 années d’indépendance et liberté, enviées par tous les peuples du monde, ne soient pas extorquées par la commission européenne.
Votez NON pour que le plus beau et libre pays au monde ne se fasse pas corrompre par des technocrates étrangers non élus.
Votez NON pour rester un citoyen helvète, un citoyen libre.
Voter NON ce n’est pas voter pour un parti politique, c’est voter pour le Drapeau et la Patrie.
À chaque fois qu’ils parlent, c’est comme si ils sortaient une sulfateuse ! Est-ce qu’il y a une once de sagesse dans ce gouvernement ? À chaque fois qu’ils font une sortie c’est pire ; le débat c’est mort, c’est fini, c’est juste un paquet cadeau, un emballage, un pansement, ça ne sert plus à rien ! »
Coup de gueule d’un Gilet jaune qui appel à solder massivement les comptes en banques et à la destitution d’Emmanuel Macron.
Solder les comptes bancaires pourrait certainement avoir un impact bien que les banques y soient d’ores et déjà préparées : (Bank run) ; quand à la destitution de l’actuel locataire de l’Élysée, Emmanuel Macron, ce que la plupart des Gilets jaunes revendiquent, cela serait un coup d’épée dans l’eau car le système néolibéral qui dirige aujourd’hui mettrait à sa place une autre marionnette qui ferait probablement la même chose voir même pire.
Pour que les français obtiennent quelque chose de concret mais cela n’engage que moi, il faudrait :
Sortir de l’Europe
Sortir de l’euro (Retour à la souveraineté monétaire)
Sortir de l’OTAN
Référendum d’initiative citoyenne (Passage d’une démocratie représentative à une démocratie directe)
Sortir des Accords de libre-échange ou les renégocier drastiquement
Annuler la loi sur le secret des affaires
À partir de ce moment, une grosse épine serait déjà sortie du pied des français mais beaucoup de travail resterait à faire.
Mon admiration à ces français qui d’une manière ou d’une autre participent pacifiquement à ce mouvement des Gilets jaunes. L’histoire est en marche.