Dans un monde dévasté par la cupidité et la corruption, qu’en est-il de notre âme ?
On dit que la conscience est issue de l’univers et qu’elle utiliserait notre cerveau pour faire l’expérience de la conscience dans le corps.
Qu’est-ce que la conscience positive ou âme de lumière ?
Elle émane d’une strate qui induirait une symbiose entre l’homme, son esprit et la nature. Le partage inconditionnel du savoir et une répartition des richesses équitable.
Qu’en est-il de la conscience négative ou âme corrompue ?
Elle émane d’une strate inférieure, une strate où les biens matériels et le pouvoir sont des leitmotiv : Pouvoir sur son prochain, tuer sans scrupule des êtres sans défense pour le seul plaisir de tuer et pour affirmer sa supériorité ; amasser sans compter, dominer en détruisant tous sur son passage, jouissance extrême d’une emprise absolue sur son environnement.
Jusqu’à peu, le bien et le mal étaient deux forces qui s’opposaient tout en créant un équilibre : le yin et le yang, équilibre qui aujourd’hui se réduit comme peau de chagrin au profit des pires péchés ; signe avant-coureur d’une fin programmée soit par l’ignorance, soit par le déni.
Seul le pardon de ces vies sacrifiés sans raison à part le plaisir de faire et de voir souffrir pourra sauver ces âmes sans lumière de centaines de milliers d’années terrestres de ténèbres.
« Ce que tu prends aujourd’hui injustement en profitant du plus petit, de celui qui ne peut pas se défendre, tu devras lors du jugement dernier, à l’heure de ta mort, le lui rendre en suppliant son pardon.
Le Karma qui est le recenseur de tes actes ici bas, te projette de l’autre côté du miroir et t’invite à t’en libérer par le bien, par l’amour inconditionnel et désintéressé qui sont l’essence même de la création. »
A l’heure où notre extinction semble inévitable, la vallée des larmes semble être l’issue inéluctables d’une humanité qui en grande partie a perdu son âme.
La mort terrestre n’est rien d’autre que la renaissance de son âme après une épreuve communément appelée : « Le test terrestre » et il vous incombe de le réussir pour progresser.
Dernière mise à jour : vendredi 21 septembre 2018 – 20:42
Liste des 42 députés qui ont décidé dans la nuit du 14 au 15 septembre 2018 que l’interdiction du glyphosate d’ici 3 ans ne sera pas inscrite dans la loi avec ce message : “Doit-on attendre des élections pour stopper cela, ou serons-nous morts avant ?
J‘ai incrusté en fond sonore « La marseillaise » pour rappeler que les politiciens sont normalement là pour défendre les intérêts du peuple alors qu’aujourd’hui ils démontrent clairement qu’ils sont aux antipodes de ce que les électeurs attendent d’eux. À l’heure actuelle nos politiciens sont en poste pour défendre des intérêts issus de la haute finance et des multinationales qui évoluent dans un monde qui, croient-ils, leur appartient. Les mensonges et les duperies font partie de leur stratégie pour nous ranger dans une sphère dont ils pensent avoir le contrôle.
La Marseillaise est là pour rappeler aux gens qu’ils doivent rester unis et se mobiliser. Il est temps aujourd’hui et ce plus que jamais, de ne pas l’oublier et d’aller de l’avant.
Les préjugés et le Déni, deux mots qui sont intimement liés à la gent humaine et pourtant …
Il suffirait de pas grand chose pour que ce monde ressemble à un paradis. Malheureusement, on passe la majeure partie de notre temps à nous entre-tuer, à spolier notre mère Nature, à diffamer le bon sens et tout ça pour des illusions que le système actuel nous fait cautionner au travers de nos actes de consommateurs.
Quand nous comprendront que nous sommes victimes du syndrome de Stockholm, (sous l’emprise de nos bourreaux), et que ces bourreaux utilisent les médias corrompus pour nous manipuler, la verrue sera sortie du pied.
Mais avant cela :
Le chemin sera long car rares sont celles et ceux qui sont éclairés.
En attendant, une petite vidéo pleine de bon sens et d’humanisme qui nous dévoile que nous sommes tous issus du même monde, que l’amour de son prochain et l’empathie font partie des mots clefs pour un monde meilleur.
Suite à l’article que j’ai publié sur l’esclavage des petits Congolais dans les mines de cobalt, un commentaire qui est à cataloguer dans le registre de l’ironie m’a sidéré et, après réflexion, je me suis dit que finalement, il ne reflétait que la triste réalité et rejoint ce que je condamne vivement sur ces pages : notre déni.
Préambule de l’article :
C’est en République démocratique du Congo que l’on voit des enfants travailler à mains nues dans des mines de cobalt pour un salaire de misère.
Le cobalt est le minerai essentiel à la fabrication de notre smartphone. Les sociétés chinoises qui achètent cette matière première ne s’intéressent absolument pas aux conditions de travail de cette très jeune main d’œuvre.
Ces mines de cobalt où grouillent de jeunes enfants qui travaillent en moyenne 12 heures par jour pour un salaire de 10 centimes d’euros au péril de leur vie n’émeut guerre les traders chinois qui revendent le précieux minerai aux grandes firmes qui l’exploite pour la fabrication de nos téléphones entre autres.
Commentaire :
Ça sert à rien de publier ça, on est tous au courant et on s’en fout royalement, ce qui compte c’est qu’on ai des smartphones et du Nutella plein la bouche.
Le sang d’un gamin je m’en bat les c……s, c’est triste mais je vais pas m’arrêter de vivre pour un ou deux gamins qui vont crever, ça arrive tout les jours.
je vais pas garder un vieux truc, on va se foutre de moi, c’est important d’être a la page, quand même, non?
Faut arrêter l’hypocrisie, entre la vie d’un enfant et un téléphone dernier cri dans ma poche bah j’ai fait mon choix et je l’assume sans complexe.
Je demande même si je devrais pas y envoyer mon propre enfant… Non, ça serait chien, quand même, autant utiliser les p’tits africains, ils sont là pour ça après tout…
Et pour terminer :
Ce commentaire, n’est pas le mien, il est le notre, a l’heure du partage numérique, nous sommes tous au courant de ce qui se passe, nous avons tous le sang d’un enfant, d’un esclave qui coule sur notre visage et nous faisons semblant de ne pas le savoir.
Il est pourtant simple de minimiser l’impact de cette horreur. Il suffit d’arrêter de consommer à outrance, d’utiliser nos biens jusqu’à leur fin de vie, de les faire réparer, d’utiliser le marché de l’occasion, de pratiquer le boycott…
Moi aussi j’aime le iphone, la belle télévision, le chocolat, les crédits qui facilitent la vie ( ou nous la pourrisse…)
Mais j’aime encore plus la vie, surtout celle d’un enfant qui rigole et entre les deux, j’ai fais mon choix.
Arrêtons de nous offusquer devant la souffrance d’un enfant, ça sert a rien. Il faut agir sur la cause de cette souffrance, c’est plus efficace.
Si nous arrêtons d’acheter cette fabuleuse électronique il n’y aura plus cette demande qui conditionne l’offre.
Le pouvoir n’est pas du côté de ces multinationales, si elles l’ont, c’est parce que nous leurs laissons en échange de certaines jouissance futiles. Le pouvoir est à celui qui détient l’argent et l’argent, c’est nous qui leur donnons de par nos achats.Nous vivons dans une société de consommation, nos politiciens se battent pour relancer la consommation parce que sans elle, le système ne tient plus.
Peut qu’un jour, notre raison prendra le dessus et qu’on arrêtera de sacrifier des enfants pour notre plaisir…
Un coup de gueule personnel qui peut faire froid dans le dos et même si cela peut vous sembler exagéré, reconnaissez tout de même que je ne suis pas loin de la vérité.
A mon avis, et cela n’engage que moi, un gros krach qui va se traduire par une convergence de toutes les crises en une crise systémique pointe son nez et ce n’est qu’après que les survivants pourront réorganiser notre mode de vie.
Je ne pense pas qu’en l’état une solution soit viable, que ce soit sur les plans démographiques, économiques, géopolitiques, climatiques et encore moins politiques.
Nous attendons donc passivement notre mise à mort. Mais cela est tellement encré dans l’inconscient collectif que personne ne réagit et malgré tout, on continue à aimer et protéger nos enfants, ces enfants que nous empoisonnons sciemment au quotidien avec des pesticides, des nanoparticules, des micro ondes, des additifs et j’en passe et des meilleurs.
Cessez d’être hypocrites car vous le savez aussi bien que moi, nous en sommes réduits au rang de consommateurs et esclaves volontaires. Nous avons succombé aux charmes de nos bourreaux, aux manipulations de nos geôliers.
Elle est belle notre société. On se voile la face et inlassablement, les uns derrière les autres inspirés par un déni hors norme et commun, nous marchons en direction de l’abattoir vers lequel nous entrainons nos enfants et petits enfants si toutefois, nous leur laissons la possibilité de naître, ce qui est loin d’être sûr, vu notre taux d’ignorance, de peur, d’irresponsabilité et surtout de connerie.
Voilà où on en est rendu !
Les morts vivants, les zombies, on les coutoie tous les jours, ce sont nos voisins, nos amis, nos collègues et les passants dans la rue.
Les miettes et les illusions que veulent bien nous laisser les élites mondialistes nous ont réduits en esclavage et seule une remise à zéro de la matrice dont nous sommes les prisonniers sera salvatrice.
La science fiction a désormais rejoint la réalité.
À celles et ceux qui me diront que je suis négatif, trop pessimiste je leur répondrai simplement qu’ils devraient redescendre de leur petit nuage rose, en effet :
Un simple exemple, dans une société qui en l’espace de 50 ans a su détruire 85% de sa biodiversité, combien de temps ces mêmes personnes estiment-elles qu’il nous reste pour le 15% de la biodiversité restante ?
Antonio à droite sur la photo en compagnie de son frère Javier
Parti de Malaga avec seulement 10 Euros en poche, José Antonio Estevez réussit à monter sa propre boîte d’animations et de spectacles.
Toute l’année, entouré d’une équipe de 40 professionnels du spectacle, il réjouit les touristes en réalisant des spectacles originaux..
C’est sur l’archipel des îles Canaries que se produit Klan Intertainment.
José Antonio Estevez est un homme courageux, entreprenant et dont le cœur n’a d’égal que sa réussite.
J’ai connu Antonio (car c’est comme cela que j’ai l’habitude de l’appeler) il y a une vingtaine d’années alors qu’il n’avait que 13 ou 14 ans et c’était à Malaga en Espagne.
Cette rencontre est le fruit du hasard car à l’époque, je venais régulièrement visiter un ami avec lequel j’avais travaillé à Genève, ma ville natale et qui s’était ouvert un petit restaurant « Casa Alarcon » 18, avenue de la Termica et c’est comme je vous le disais par une rencontre fortuite, alors que je jouais sur un flipper que ce gamin alors âgé de 13 ans s’approcha de moi et me parla.
Cette rencontre changea le cap de ma vie. Au fil de mes voyages en Espagne, destination qui fut privilégiée pour ma part et ce, durant plus de dix ans, j’appris à connaitre Antonio, un être d’exception qui au fil de nos discutions, mutuellement nous nous sommes enseigné la vie.
Antonio est et restera un point culminent de ma vie et notre relation à jamais inscrite dans le livre de la destinée.
C’est la raison pour laquelle je choisi cette étape de ma vie que je considère comme privilégiée pour vous souhaiter de joyeuses fêtes de Noël et une très bonne année.
Propriétaire du nom de domaine Finalscape depuis environ 20 ans, longtemps resté inactif mais toujours renouvelé chez mon registar Omnis Network, il y a 4 ans, en 2014 naissait la version actuelle du site chez Overblog.
Souvenirs et beaucoup d’eau ayant passé sous les ponts depuis.
J’ai été un grand voyageur, un véritable globe trotter et il ne se passait pas 6 mois sans que je prenne mes cliques et mes claques pour une destination décidée à la dernière minute sans organisation, sans but véritable car seule l’aventure comptait.
J’aimerais relater trois évènements qui m’ont profondément touché et changé lors d’un périple en Inde dans la ville de New Delhi et qui se sont déroulés dans un court laps de temps.
Première histoire :
Touriste Suisse, l’image d’un gars blindé de thunes, avec sur les oreilles la dernière technologie de l’époque, le Mini disque, déambulant au hasard dans les rues de Delhi, émerveillé par l’architecture des temples, la beauté des parcs et faisant abstraction de la misère ambiante, mes pas me menèrent dans une ruelle dont les trottoirs étaient jonchés par des tentes fabriquées à l’aide de tissus visiblement récupérés ici et là.
Au fil de ma promenade, je fus interpellé par une femme qui se tenait à genoux devant le corps d’un petit enfant qui paraissait mal en point. Cette femme qui me voyait arriver me lança un regard suppliant, le genre de regard qui sans ne dire mot vous invite à venir en aide. Mes yeux d’occidental averti me dictèrent alors d’ignorer la chose…
Tout en continuant ma promenade, le remord ou la culpabilité que sais-je, me poussèrent à faire demi tour. Je retournais donc sur mes pas et entrait en matière avec la femme qui semblait me supplier. Le petit enfant qui était un garçonnet âgé de 8 ans avait le front bouillant. N’importe qui aurait alors compris qu’il avait une forte fièvre et ma première réaction fut d’aller me procurer de l’eau pour l’hydrater.
J’invitais ensuite la maman à me suivre afin d’emmener son fils consulter, elle n’hésita pas. Nous prîmes un de ces petits taxis jaunes et nous rendîmes dans ce que l’on pourrait comparer à un hôpital d’urgences chez-nous.
La consultation me coûta 15 dollars et le docteur qui avait soigné l’enfant me confia que si je n’étais pas intervenu, il serait probablement mort de déshydratation causée par une bactérie dont j’ai oublié le nom.
Seconde histoire :
Je visitais un parc, il faisait très chaud, environ 50 degrés Celsius. Peu avant la fin de la visite, je me fis entreprendre par une bande de 4 ou 5 babouins qui semblait vouloir en découdre avec moi. Ils m’encerclèrent telle une bande organisée. Finalement et je ne sais pas comment, je me sortis de ce traquenard. A la fin de la visite, je posais mon arrière train sur un muret qui bordait le parc. Assoiffé et presque affamé, je réalisais peu à peu ce dont à quoi je venais d’échapper quand soudain, en levant les yeux, je vis deux jeunes enfants marcher dans ma direction.
Toujours formaté par l’image que l’on nous donne des pays les plus pauvres, mon intuition programmée me dicta de me méfier. « Si tu donnes à un enfant, tu auras tout le village sur le dos« . Et quelle ne fut pas ma surprise :
Moi, apeuré, assoiffé, ayant faim, ces deux gosses qui ne devaient pas avoir plus de 12 ans s’approchèrent de moi avec un sourire accueillant et bienveillant. Ils m’offrirent la moitié de ce qu’ils avaient, à boire et à manger sans que je leur demande quoi que ce soit.
Dernière histoire :
Au fil de mon périple Indien et après quelques entourloupes dont je fus la victime vu ma naïveté à l’époque, je me retrouvais sans argent et sans possibilité de retour. Je fis donc appel à un ami résident en Suisse pour me faire parvenir l’argent nécessaire afin de payer mon billet de retour, billet que j’avais perdu lors d’une mésaventure, ce qu’il fit.
Je me rendis à l’agence locale de la Western Union mais me sentais suivi. J’en avais la certitude, on venait de m’envoyer 1’000 dollars et j’étais suivi, on en voulait à mon argent.
L’argent en poche, celui que je soupçonnais finit par m’interpeller et me dit :
« Ce que tu as vécu, tu devais le faire, tu devais purifier ton âme et évoluer, nous devions nous rencontrer pour que je te le dise. »
Je ne devais plus quitter cet homme tout au long des jours qui me restait à passer en Inde. Avec le temps, nous avons perdu contact mais jusqu’à mon dernier souffle, son souvenir restera gravé dans mon cœur et dans mon esprit. Cette expérience aura nourrit mon âme.
Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent être et cette expérience a profondément changé ma vision de la vie. L’altruisme et l’empathie font désormais inconditionnellement partie de mon être.
Je dédie ce billet à Naïma, Floriant ainsi qu’à tous les enfants de lumière.