Histoire et manipulation des masses : Qui était Adolf Hitler ?

Est-ce que Hitler était en possession de ses moyens où était-il, vu son charisme inquiétant, la marionnette d’un pouvoir encore plus obscur ?

Visionnons cette courte vidéo tournée lors des jeux olympiques d’été de 1936 à Berlin et où l’on voit un führer se comporter comme un petit enfant de 5 ans.

Adolf Hitler était-il autiste ?

G.S / Finalscape

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Histoire : Quand Françoise Dior faisait l’apologie de la race Aryenne

Quand Françoise Dior faisait l’apologie de la race Arienne

En 1962, Françoise Dior, qui a rompu avec le royalisme, fonde la section française de la World Union of National Socialists (WUNS), une association néonazie internationale, à partir de noyaux isolés d’étudiants. Elle en est une Liaison officer.

Source Wikipédia

Archive INA où l’on assiste à une interview durant laquelle elle parlait de son mariage et où elle faisait l’apologie de la race Aryenne.

G.S

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Histoire : L’étrange similitude des drapeaux de France durant les dictatures

Le symbole de l’aigle

L’aigle impérial, symbole de l’empire romain, va devenir le symbole de tout empire universel.

Ce qui est intéressant de savoir en histoire c’est qu’entre chaque république ou le drapeau français était bleu, blanc et rouge et où le peuple était souverain, les drapeaux ce sont  successivement ornés de motifs similaires, dont les étoiles que l’on retrouve aujourd’hui sur le drapeau européen.

Héraldique céleste, le drapeau bleu ou blanc aux fleurs de lys

Drapeau de la France sous Napoléon.

Drapeau de la France durant la restauration des bourbons symboles qui reviennent sur le drapeau de la monarchie française avec les fleurs de lys.

Drapeau de la France sous Napoléon 3, la souveraineté est retirée aux français et on ajoute au drapeau des étoiles représentées ici par des abeilles d’or.

Drapeau de la France sous le régime de Vichy ou une fois de plus on retire aux français leur souveraineté nationale et ou l’on voit apparaitre les étoiles d’or.

Le drapeau européen puis l’UE qui retira aux peuples leurs droits aux référendums nous replonge dans le doute et remet en cause la légitimité du régime qui se met en place.

L’histoire ne se répète pas mais elle bégaye toujours, elle emprunte de nouvelles formes, l’empire se transmute mais c’est un fin de compte toujours la même histoire.

Les gens refusent d’ouvrir les yeux de peur de perdre leurs illusions.

Vidéos :

  • L’histoire des drapeaux français par François Asselineau.
  • Conférence complète sur l’histoire de la France dite par François Asselineau.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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Histoire : POUR NE PAS OUBLIER…… Il était musulman est pourtant …..

Ces paroles du Commandant Massoud gardent toute leur actualité. C’était pourtant il y a 17 ans ! Il était alors le seul à affronter Al Qaida et les Talibans… pendant que les grandes puissances armaient ou soutenaient Ben Laden et ses amis au Pakistan ou ailleurs… Il entreprit alors de faire le tour des capitales mondiales pour appeler à l’aide. Mais il n’eut le soutien que de quelques ONG…

C’était un grand Monsieur, qui se battait pour son peuple tout en ayant conscience qu’il se battait pour la démocratie dans le monde. Il était musulman et il défendait les droits de l’homme et les droits des femmes. Il a été assassiné le 9 septembre 2001, deux jours avant le drame du 11 septembre…

« Aujourd’hui, le monde voit et perçoit clairement les résultats de méfaits aussi inconsidérés. Le monde est plongée dans les troubles, et des pays sont au bord de la guerre. La production illégale de la drogue, les activités et les organisations terroristes y sont en hausse.

Des massacres de masses à motivation ethnique ou religieuse, des déplacements forcés de populations ont lieu, et les droits de l’homme et de la femme les plus élémentaires sont violés sans vergogne.

Les pays d’Asie centrale ont été graduellement occupé par des fanatiques, des extrémistes, des terroristes, des mercenaires, des mafias de la drogue, et des assassins professionnel…

Nous considérons comme de notre devoir de défendre l’humanité contre le fléau de l’intolérance, de la violence et du fanatisme. Mais la communauté internationale et les démocraties du monde ne devraient pas perdre un temps qui est précieux, et devraient jouer leur rôle critique pour aider de toutes les manières possibles(…) à venir à bout des obstacles qui existent sur le chemin de la liberté, de la paix, de la stabilité et de la prospérité. »

AHMAD SHAH MASSOUD
8 OCTOBRE 1998

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Histoire : Bernard Lugan revient sur le faux massacre (inventé par le FLN) du 17 octobre 1961 !

Comme chaque année à la date anniversaire de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris, communistes et socialistes, amis du FLN et militants « anticolonialistes » (sic), vont commémorer un « massacre » qui aurait été perpétré par la police française. Ils se réuniront ensuite sur le Pont Saint-Michel d’où, toujours selon  eux, des dizaines, voire des centaines d’Algériens auraient été précipités dans la Seine.

Le seul problème, mais il est de taille, est que ce « massacre » n’a pas eu lieu… Quant aux noyades, à l’exception de celles pratiquées par le FLN sur les membres du MNA ou sur les Harkis, elles n’ont pas davantage existé…car nous sommes en réalité en présence d’un montage.

Démonstration [1] :

1) Le 18 octobre 1961 au matin, le bilan de la manifestation de la veille parvient à Maurice Legay, directeur général de la police parisienne. Il est de 3 morts. Nous voilà donc loin des dizaines, voire des centaines de morts et de noyés avancés par certains.

2) Or, deux de ces trois morts, à savoir Abdelkader Déroués et Lamara Achenoune n’ont aucun lien avec la « répression » du 17 octobre puisqu’ils ont été tués, non pas à coups de matraque, mais par balle, non pas dans le centre de Paris, mais à Puteaux, donc loin de la manifestation. De plus, le second a été préalablement étranglé….

3) Un mort, un seul, a tout de même été relevé dans le périmètre de la manifestation et il ne s’agit pas d’un Algérien, mais d’un Français « de souche » nommé Guy Chevallier, décédé vers 21h devant le cinéma REX de fractures du crâne. Etait-il un simple passant ou bien un porteur de valises manifestant avec le FLN ? Nous l’ignorons. Fut-il tué lors d’une charge de la police ou bien par les manifestants ou bien par une toute autre cause ? Nous ne le savons pas davantage.

La conclusion qui s’impose à tout esprit doté d’un minimum de réflexion est que la « répression » de la manifestation algérienne du 17 octobre semble n’avoir paradoxalement provoqué aucun mort algérien…

A ces faits, les tenants de la thèse du « massacre » répondent que le vrai bilan de la « répression » policière n’a pu être établi que plusieurs jours plus tard, une fois pris en compte les blessés qui décédèrent ultérieurement, et une fois les cadavres retirés de la Seine. Mais aussi, parce que, terrorisés, les manifestants cachèrent d’abord les corps de leurs camarades.

Trois grandes raisons font que cette argumentation n’est pas recevable :

– Les archives des hôpitaux parisiens ne mentionnent pas une surmortalité particulière de « Nord-Africains » (selon la terminologie de l’époque), durant la période concernée. Même si de nombreux manifestants blessés à coups de matraques y furent pris en charge. – La police ayant totalement et hermétiquement bouclé le périmètre de la manifestation, l’on voit mal comment des porteurs de cadavres auraient pu passer à travers les barrages. – Et, in fine, que seraient devenus les cadavres en question ? Ils n’apparaissent en effet pas dans les archives de l’IML, l’Institut médico-légal (la Morgue), où sont transportés les morts relevés sur la voie publique ou repêchés dans la Seine et dans la Marne.

Le « Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961 », à l’Institut médico-légal de Paris, pour la période allant du 17 octobre au 21 octobre, nous apprend ainsi que:
– Le 17 octobre, alors que se déroulait dans Paris un prétendu « massacre », l’Institut Médico-Légal n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA ».
– Le 18 octobre, deux corps de « NA » furent admis à l’IML. Il s’agissait d’Achour Belkacem, qui avait été tué ce 18 octobre à Colombes, donc le lendemain de la manifestation, par un policier invoquant la légitime défense. Le second était Abdelkader Bennahar relevé lui aussi à Colombes et portant des blessures à la tête avec possibilité, dixit le rapport de police, d’écrasement par un véhicule.
– Les 19 et 20 octobre, l’IML n’a comptabilisé aucune entrée de corps de « NA ».
– Le 21 octobre, soit 5 jours après la manifestation, 1 corps fut déposé à l’IML, celui de Ramdane Mehani décédé vers 22h 30 durant son transfert du commissariat du 13° arrondissement au palais des Sports de la Porte de Versailles. Le registre de l’IML parle de mort naturelle, donc, là encore, sans aucun lien avec la manifestation du 17 octobre.

Conclusion : nous sommes donc en présence d’un « massacre » sans cadavres, ce qui s’explique parce qu’il n’y eut pas de « massacre » !!!

C’est donc un « massacre » imaginaire qui va être commémoré le 17 octobre prochain à l’occasion d’une grande cérémonie culpabilisatrice à laquelle des médias incultes ou partisans vont une fois de plus donner une grande publicité.

Un « massacre » imaginaire fruit d’un montage politique fait à l’époque par le FLN voulant peser psychologiquement sur les négociations en cours avec le gouvernement français. Montage qui fut ensuite orchestré par le parti communiste et  plus que complaisamment relayé par les médias…hier comme aujourd’hui.

Pour les historiens du futur ce prétendu « massacre » restera donc comme la fabrication d’un des grands mythes du XX° siècle. A l’image de la manipulation de Katyn, des cadavres de Timisoara en Roumanie, des « couveuses » du Koweit et des « armes de destruction massive » en Irak. Leur principal sujet d’étonnement sera cependant l’insolite caution donnée à un tel mensonge par les plus hautes autorités de l’Etat français sous la présidence de François Hollande…

Bernard Lugan

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Mémoire & Histoire : le 17 octobre, date anniversaire du massacre d’Algériens à Paris (1961). Un pan de notre histoire à ne pas oublier…

Le massacre du 17 octobre 1961 à Paris : « ici on noie les Algériens ! »

« Vibrant hommage au peuple Algérien et à tous les peuples opprimés dans le monde »

G.S / Finalscape

Le 17 octobre 1961, deux à trois cents Algériens et Français d’origine algérienne, qui manifestaient contre le couvre feu que le Préfet de police Papon leur avait imposé, ont été tués et jetés dans la Seine par des policiers déchaînés.

Quarante ans plus tard, peu de gens connaissent ce pogrom perpétré en plein Paris, avec la bienveillance du préfet de police, lui-même couvert par les plus hautes instances de l’État.

Le 17 octobre 1961 alors que la guerre d’Algérie touche à sa fin,
le FLN appelle à une manifestation pacifique dans les rues de Paris
pour dénoncer le couvre-feu raciste imposé quelques jours plus tôt aux Algériens et par extension à tous les Maghrébins (obligation d’être sans cesse isolé, et interdiction aux travailleurs algériens de sortir de 20h30 à 5h30, les cafés tenus par des musulmans doivent fermer à 19h…). Cette manifestation rassemble environ 30.000 personnes.

Le préfet de police de Paris, Maurice Papon, qui a reçu carte blanche des plus hautes autorités, dont de Gaulle, lance, avec 7.000 policiers, une répression sanglante. Il y aura 11.730 arrestations, et peut-être beaucoup plus de 200 morts, noyés ou exécutés, parmi les Algériens.

Ce crime au coeur de l’État français n’a toujours pas été reconnu officiellement alors même que les partisans de la Nostalgérie prônent la promotion de l’oeuvre positive française durant la colonisation dans les programmes scolaires !!!

Le 27 octobre 1961, Claude Bourdet, alors conseiller municipal de Paris et aussi journaliste à « France-Observateur », avait interpellé le préfet de police, Maurice Papon, en plein conseil municipal de Paris sur l’exactitude des faits qui se lisaient dans la presse parisienne, à savoir le repêchage dans la Seine de 150 cadavres d’Algériens depuis le 17 octobre 1961 entre Paris et Rouen.

« Monsieur le Préfet de Police »

Intervention de Claude Bourdet au Conseil municipal de Paris, le 27 octobre 1961

- Les silences de Monsieur Maurice Papon

« J’en viens d’abord aux faits. Il n’est guère besoin de s’étendre. Parlerai-je de ces Algériens couchés sur le trottoir, baignant dans le sang, morts ou mourants, auxquels la Police interdisait qu’on porte secours ? Parlerai-je de cette femme enceinte, près de la place de la République, qu’un policier frappait sur le ventre ? Parlerai-je de ces cars que l’on vidait devant un commissariat du quartier Latin, en forçant les Algériens qui en sortaient à défiler sous une véritable haie d’honneur, sous des matraques qui s’abattaient sur eux à mesure qu’ils sortaient ? J’ai des témoignages de Français et des témoignages de journalistes étrangers. Parlerai-je de cet Algérien interpellé dans le métro et qui portait un enfant dans ses bras ? Comme il ne levait pas les bras assez vite, on l’a presque jeté à terre d’une paire de gifles. Ce n’est pas très grave, c’est simplement un enfant qui est marqué à vie !

Je veux seulement mentionner les faits les plus graves et poser des questions. Il s’agit de faits qui, s’ils sont vérifiés, ne peuvent pas s’expliquer par une réaction de violence dans le feu de l’action. Ce sont des faits qui méritent une investigation sérieuse, détaillée, impartiale, contradictoire.

D’abord, est-il vrai qu’au cours de cette journée, il n’y ait pas eu de blessés par balle au sein de la Police ? Est-il vrai que les cars radio de la Police aient annoncé au début de la manifestation dix morts parmi les forces de l’ordre, message nécessairement capté par l’ensemble des brigades… et qui devait donc exciter au plus haut point l’ensemble des policiers ? C’était peut-être une erreur, c’était peut-être un sabotage, il faudrait le savoir ; et peut-être, d’autre part, n’était-ce pas vrai. C’est pour cela que je veux une enquête.

De même, est-il vrai qu’un grand nombre des blessés ou des morts ont été atteints par des balles du même calibre que celui d’une grande manufacture qui fournit l’armement de la Police ? Qu’une grande partie de ces balles ont été tirées à bout portant ? Une enquête dans les hôpitaux peut donner ces renseignements. Il est clair que ce n’est pas n’importe quelle enquête et que ceux qui la feraient devraient être couverts par son caractère officiel et savoir qu’ils ne risqueraient rien en disant la vérité.

Et voici le plus grave : est-il vrai que dans la « cour d’isolement » de la Cité, une cinquantaine de manifestants, arrêtés apparemment dans les alentours du boulevard Saint-Michel, sont morts ? Et que sont devenus leurs corps ? Est-il vrai qu’il y a eu de nombreux corps retirés de la Seine ? Dans les milieux de presse, et pas seulement dans les milieux de la presse de gauche, dans les rédactions de la presse d’information, on parle de 150 corps retirés de la Seine entre Paris et Rouen. C’est vrai ou ce n’est pas vrai ? Cela doit pouvoir se savoir. Une enquête auprès des services compétents doit permettre de le vérifier. Cela implique, ai-je dit, non pas une enquête policière ou administrative, c’est-à-dire une enquête de la Police sur elle-même, mais une enquête très large, avec la participation d’élus.

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HISTOIRE & EDUCATION : Une autre histoire de la France, vous ne la verrez plus jamais comme avant

Plus de trois heures d’histoire dite par François Asselineau.

Une vidéo que je vous suggère de visionner et partager en particulier avec les plus jeunes.

Partant de l’empire gaulois et allant jusqu’ à la 5ème république, si vous avez des lacunes dans cette matière ce document est fait pour vous. Il s’agit-là de la vraie histoire de France.

Je remercie vivement François Asselineau, cet homme qui m’a permis d’ouvrir les yeux sur la réalité de ce monde et de me « Dématrixer »

François Asselineau sera en direct mardi 26 septembre sur la radio du Discord Insoumis à partir de 21h et répondra aux questions des internautes.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

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Info ou Intox ? 1960 – L’homme de confiance de Hitler devient chef-suprême de l’OTAN

En 1907, Adolf Heusinger entre dans l’armée allemande. Le lieutenant Heusinger participe à la bataille de la Somme, est blessé à Arras et fait prisonnier par les britanniques qui le libèrent en 1919. Heusinger rejoint alors son unité et  suit brillamment les cours d’état-major de l’école de Cassel avant d’être affecté à l’Etat-major secret de la future Wehrmacht, en 1929. Puis, en 1933, Hitler l’incorpore dans  son Etat-major opérationnel.

Le fuhrer, qui n’accorde sa confiance qu’à de très rares personnes, le charge de réaliser plusieurs plans d’invasion dés 1940.

En 1941, c’est Heusinger qui est chargé de concevoir l’opération d’invasion de l’URSS. Sa « guerre éclair » prévoit l’élimination de 30 millions de slaves et l’incendie des villes et villages.

Les résistants devront évidemment être pendus et les responsables politiques soviétiques systématiquement abattus sur place.

En août 1942, le général Heusingerorchestre lui-même les exterminations. Sur ordre du fuhrer, la Gestapo et les S.S. sont placés sous son commandement direct. En 1945, les S.S. et les membres de la Gestapo sont condamnés par le Tribunal international militaire pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité… Heusinger, lui, n’est pas inquiété : il occupe même le poste le plus élevé de la hiérarchie militaire de la République Fédérale d’Allemagne jusqu’en 1960…

Cette année là, à WashingtonAdolf Heusinger est élu chef suprême de l’OTAN (NATO) par l’ensemble des chefs d’Etats-major des pays membres. En 1962, le député communiste Florimond Bontedécouvre, dans les archives du KGB, le rôle qu’Heusinger a tenu pendant la guerre. Il raconte alors ce qu’il sait dans un livre (« Le dossier Heusinger » aux Editions SocialesParis). La diffusion de ce « livre choc » reste toutefois confidentielle.

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Histoire & Réalités : Le massacre des Amérindiens

L’un des plus grands génocides de l’histoire de l’humanité et pire encore celui-ci continue tranquillement.

Les amérindiens sont parqués principalement dans des zoos réserves au états-unis d’Amérique.

Le cinéma des années soixante en a fait des barbares sauvages qui agressaient les pauvres colons esseulé dans leurs forts… ce qui est assez loin de la réalité historique. Aujourd’hui leur seul droit est de conserver le silence.

Avant l’arrivée des colons, huit millions d’Amérindiens vivaient parmi soixante millions de bisons (Carl et Lewis traverseront des troupeaux s’étendant sur plus de 20 kilomètres) et deux millions de loups sur un espace de 9.364.000km carré, actuel Etats-Unis d’Amérique.. Soit six bisons par km carré, un homme par 2 km carré et un loup par 5 km carré.

Et de nos jours :
Quelque centaine d’amérindiens
Quelques milliers de loups (traqué sans cesse)
Dix mille bisons

S’il est certain et reconnu que les maladies intégrées involontairement par les colons en Amérique causèrent la majeure partie des morts amérindiens, le regroupement, la déportation et l’exécution de tribus entières, qui ne figurent dans aucun manuel d’histoire, est responsable d’un nombre de morts ahurissants, oubliés.

Les Anglo-saxons n’ont jamais pensé que les Amérindiens pouvaient être « utilisables ». Ils les considéraient comme des adorateurs de Satan, des sauvages qui ne pouvaient pas trouver de salut au sein de la toute puissante Eglise, aussi leur extermination pure et simple, fut adoptée, petit à petit, « comme la seule politique acceptable ».

David E. Stannard écrivait « des milliers d’Indiens furent assassinés, sans relâche, escarmouche après escarmouche. Des centaines d’autres furent aussi assassinés au cours d’empoisonnements de masse, planifiés avec une habileté et une traîtrise ignoble. Un grand nombre d’amérindiens furent capturés au cours de véritables battues, à l’aide de chiens de meute et des Mastiff. »

Les bisons sont massacrés pour leurs fourrures et pour priver les amérindiens de leurs principales sources de nourriture.

Jusque dans les années 1830-1840, l’Ouest des Etats-Unis demeure le domaine des Indiens. L’honteuse déportation des tribus amérindiennes de l’Est par les troupes américaines vers le « Territoire indien » (une bande de terre au centre des USA « accordée » aux amérindiens) marque le peu d’intérêt que les colons européens portent à cette région jugée trop aride pour être cultivé.

Tout change en 1848 avec la découverte de l’or en Californie (où là aussi de nombreuses tribus vont disparaître, exterminées pour la folie de profit des colons).

Depuis les grandes villes de la côte Est des USA, des dizaines de milliers de colons vont s’élancer vers l’Ouest. S’en suivront de nombreux accrochages avec les peuples amérindiens qui habitaient les grandes plaines des Etats-Unis. Ces accrochages vont se transformer en de véritables guerres avec l’envoi des troupes américaines, envoyées par le Congrès américain pour protéger l’avancée de leurs colons.

Ces guerres vont se terminer en 1890 par un triste et célèbre massacre : Le massacre de Wounded Knee, où plus de trois cents Sioux-Lakotas désarmés vont être massacré par les mitrailleuses Hotchkiss du 7e régiment de Cavalerie. Les morts (hommes, femmes et enfants) dépouillés de leurs vêtements, sont jetés dans une fosse commune.

S’il est vrai qu’aucun des camps n’eut jamais le monopole de la terreur et des crimes, une simple comparaison des pertes subites par chacun des deux « camps » suffit à comprendre l’ampleur du désastre.
Le génocide culturel, qui s’accompagne par la disparition total des rites indiens, est lui reconnu de tous.

La vidéo qui suit est très intéressante, elle vous donne en image et en musique un résumé de ce qui est écrit ci dessus et vous propose une très bonne leçon d’histoire accessible à tous.

A voir absolument.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

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Histoire : Mai 68, nous irons jusqu’au bout et 50 ans plus tard, en 2018 ça sera un siècle de régression sociale !

>>>Source de l’image<<<

Nuit debout, Association du 14 juillet, La Résistance … Où êtes-vous ?

En 68, pas d’Internet, pas de réseaux sociaux, pas de portables, pourtant ça a bougé et pas rien qu’un peut ! Les gens étaient-ils plus éveillés, plus intelligents, plus guerriers ?

50 ans après, c’est près d’un siècle d’acquis sociaux pour lesquels parents et grands-parents se sont battus parfois au prix de leur propre vie et qui en l’espace d’un quinquennat ont fondu comme neige au soleil.

Que c’est-il passé ?

Pourquoi le peuple c’est-il donc laissé tondre aussi facilement, pourquoi c’est-il donc laissé « Sodominer » sans réagir ou presque ?

Je vous propose dans la rubrique « Histoire et Instruction » un petit retour en arrière sur ce qu’a été cette page historique de la France.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Mai 1968 Le retour de la démocratie

Mai 68, l’équipe de Continents sans visa, emmenée par Alain Tanner et Jean-Pierre Goretta est à Paris pour rencontrer cette jeunesse estudiantine, à l’origine du mouvement de protestation contre le pouvoir gaullien et la bourgeoisie.

Le mal-être d’une France pourtant prospère éclate aussi dans les usines occupées par les ouvriers. Mais l’union des travailleurs et des étudiants ne se fait pas, notamment en raison des accords de Grenelle, négociés les 25 et 26 mai, qui améliorent la condition des ouvriers.

Une grande manifestation sur les Champs-Élysées à l’appel de la droite, la dissolution de l’Assemblée nationale et le triomphe des gaullistes aux élections anticipées le 30 juin mettront un terme à la crise politique.

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