Si vous pensez qu’un enfant est abusé ou mal traité, faites quelque chose / If you think a child is being abused or treated badly, do something

Si vous pensez qu’un enfant est abusé ou mal traité, faites quelque chose

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If you think a child is being abused or treated badly, do something

Si je devais mourir demain et que je n’avais pas su venir en aide à un gosse qui en avait besoin, j’aurai alors  l’impression d’avoir vécu pour rien.

If I were to die tomorrow and didn’t know how to help a child who needed it, then i would feel like i lived for nothing.

Stéphane Guibert

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Covid – 19 : Vivre enfermé

Covid – 19 : Vivre enfermé

extrait du reportage d’Arte « Vieillir enfermés »

 Il faut trouver la force de le regarder, on doit avoir une pensée pour ces résidents d’Ehpad et le personnel, ce qu’ils vivent est épouvantable.

Le quotidien poignant des équipes dévouées et des résidents esseulés d’un Ehpad frappé par la Covid-19. Un documentaire en immersion dans lequel la pandémie crée un effet de loupe sur les conditions de vie indignes de nos aînés.

Mars 2020, à l’Ehpad Furtado-Heine, dans le 14e arrondissement de Paris. « Madame Benichou, on a eu le résultat de votre test. Vous portez le virus du Covid. Il ne faut pas rester dans le couloir, sinon vous allez contaminer les autres résidents« , explique Anita Rossi, la directrice, protégée de la tête aux pieds. Son interlocutrice, une vieille dame postée dans le couloir, le dos courbé mais la parole vive, panique à l’idée de rester cloîtrée dans sa chambre. Sur les 120 résidents, 35 sont malades du virus et 8 en sont déjà décédés. Une partie du personnel est en arrêt maladie et l’autre tente tant bien que mal de faire face.

Infinie bienveillance
Pendant trois mois, le réalisateur Éric Guéret et son équipe ont partagé le quotidien de cet Ehpad, de ses employés et de ses résidents. Ce documentaire en immersion raconte l’engagement sans faille de ces héros en blouse blanche, les états que chacun traverse et verbalise tout au long du film, du sentiment de tristesse à celui, plus vertigineux encore, « d’être coupé de ses émotions« , sans oublier la peur, le courage, la solidarité et le dévouement. Au milieu de ce chaos infernal, alors que tous les résidents sont enfermés dans leur chambre et privés de visites, les équipes continuent, dans le peu de temps dont elles disposent, de s’occuper des anciens avec une infinie bienveillance. Ce document poignant, où l’épidémie agit comme un révélateur, incite à regarder en face les conditions de vie dans les Ehpad, des lieux où, par manque de moyens, on meurt du virus mais aussi de ce qu’il amplifie : la solitude et l’ennui.

Lien sur le documentaire >>>

Stéphane Guibert / Rares Mihai Florescu / Finalscape / VK

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Zoom – Jean-Louis Caccomo : Enfermé de force en hôpital psychiatrique mais toujours debout !

Zoom – Jean-Louis Caccomo : Enfermé de force en hôpital psychiatrique mais toujours debout !

L’hôpital psychiatrique pour avoir dit la vérité. Dans son autobiographie « Le rescapé de l’âme », Jean-Louis Caccomo, brillant professeur d’économie à l’Université de Perpignan, raconte comment il a été interné de force par sa hiérarchie après avoir dénoncé un trafic de faux diplômes. Il dénonce la corruption d’un réseau aux pratiques mafieuses et la machination psychiatrique à l’œuvre en France. Un témoignage unique pour ouvrir les yeux…

Crédit vidéo TVLIBERTES

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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« HOLD UP » : Ma réflexion sur le film documentaire « HOLD UP »

« HOLD UP »

Ma réflexion sur le film documentaire « HOLD UP »

De mon confrère journaliste Pierre Barnérias et Christophe Cossé.

Il ne s’agit pas de nier les victimes car il y a des victimes évidemment ! J’en ai moi-même dans mon entourage. La question n’est donc pas là. Il s’agit d’avoir un regard observateur et critique sur les déclarations, les contradictions multiples, les annonces à l’emporte-pièce, les aberrations, les non-sens permanents, toutes les mesures et conditions sanitaires qui entourent le « covid ».

Jusqu’à détruire l’économie, jeter des millions de personnes dans la rue et en appauvrir bien plus encore ? … On parle de plus d’1,5 million de disparition de postes rien que dans les secteurs artistiques et touristiques… Mais que se cache-t-il derrière tout « cela » ? Les témoignages du document de pierre Barnérias sont saisissants et on ne peut pas ne pas se poser des questions. A moins d’un discernement « altéré ».

Bien à vous tous.

Le combat pour la vérité ; documentaire à ne pas manquer car nous sommes tous concernés. La peur, arme politique.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

 

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Adrenochrome, satanisme et torture d’enfants : Quand la vérité est dévoilée.

Adrenochrome, satanisme et torture d’enfants : Quand la vérité est dévoilée.

Juste monstrueux, innommable et à vomir !

Accrochez-vous !

Ce document est interdit aux moins de 18 ans et fortement déconseillé aux personnes sensibles.

Il y a des jours où je n’aimerais pas me réveiller tellement ce monde me répugne.

L’adrénochrome est un composé organique de formule C9H9NO3. C’est un pigment bleu issu de l’oxydation de l’adrénaline.

« Suis le lapin blanc ! »

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Accrochez-vous ! Avortement à 9 mois désormais légal ?

Accrochez-vous ! Avortement à 9 mois désormais légal ?

Loi Bioéthique – Meurtre avant 9 mois possible !

Mais jusqu’où iront-ils ? Il y a de la chair fraîche dans l’air, avis aux pédo-satanistes !

On dit qu’il y a le purgatoire et l’enfer. Je pense que la terre est l’étape avant l’enfer.

Je n’aimerais pas avoir 15 ans aujourd’hui !

Stéphane Guibert / Finalscape

 

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Maltraitance sur enfant : Attention à l’extrême dureté des images / Child abuse: Beware of the extreme harshness of the images

Maltraitance sur enfant : Attention à l’extrême dureté des images ! / Child abuse: Beware of the extreme harshness of the images !

L’erreur que font beaucoup de parents, c’est de voir leurs enfants au travers de leur propres yeux sans tenir compte du fait que l’enfant est un être à part entière, il construit son avenir avec ses rêves, ses illusions, ses espoirs, ses motivations. Les parents doivent être un levier leur permettant l’accomplissement de leur être et non un tuteur rigide et égoïste.

Stéphane Guibert / Finalscape

The mistake that many parents make is to see their children through their own eyes without taking into account the fact that the child is a being in its own right, he builds his future with his dreams, his illusions, his hopes,  his motivations. Parents should be a lever for the fulfillment of their being, not a rigid and selfish guardian.

Stéphane Guibert / Finalscape

Ces images m’on fait pleurer. / This images makes me cry.

Commentaire de celle ou celui qui a posté cette vidéo sur les réseaux sociaux : / Comment of the person who posted this video on social networks :

« Je t’en conjure au nom de Dieu le tout puissant de partager cette publication dans tous les groupes auxquels tu es adhérent afin que tout le monde puisse être au courant de l’injustice de cet être humain. »

« I implore you in the name of God the Almighty to share this publication in all the groups to which you are a member so that everyone can be aware of the injustice of this human being. »

Attention à l’extrême dureté des images ! Beware of the extreme harshness of the images !

Criminel il n’y a pas d’autre mot ! / Criminal there is no other word!

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Notre pauvre monde : Palestine, Corne d’Afrique, Syrie, quand les enfants payent le lourd tribut de la folie humaine !

Notre pauvre monde : Palestine, Corne d’Afrique, Syrie, quand les enfants payent le lourd tribut de la folie humaine !

Our poor world: Palestine, the Horn of Africa, Syria, when children pay the heavy price of human madness!

Ces images pour nous souvenir que le déni est plus violent que la plus violente des violences !

These images to remind us that denial is more violent than the strongest violence.

Les mots n’ont plus de sens dans cette horreur. / Words no longer have any meaning in this horror.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Attention, certaines images peuvent choquer ! / Be careful, some images may shock !

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Harcèlement scolaire : Briser la loi du silence

Source de l’image

Harcèlement scolaire : Briser la loi du silence

Les enfants peuvent être cruels. C’est vieux comme le monde mais c’est d’autant plus frappant aujourd’hui, dans une société qui appelle sans cesse au respect.

Crédit Vidéo : Radio Télévision Suisse

Et pour rappel :

Le harcèlement, c’est quoi ?

On parle de harcèlement lorsqu’une personne est victime d’une violence verbale, physique et/ou psychologique contre laquelle elle ne peut rien faire toute seule. Ces actes agressifs se caractérisent par la répétitivité, l’intentionnalité, et l’isolement de la victime. Le harcèlement n’implique toutefois pas une seule personne. Il s’agit d’un phénomène de groupe dans lequel interviennent, outre la victime, un harceleur et des témoins. Ses formes peuvent viser l’apparence, l’identité sexuelle, le handicap, les centres d’intérêt, les origines sociales ou encore les croyances.

Quels en sont les signes

Ces signes peuvent vous aider, vous et vos parents, à reconnaître le harcèlement scolaire :

  • Vous avez peur d’aller à l’école.
  • Vos résultats scolaires baissent.
  • Vous vous sentez seul(e).
  • Vos camarades se moquent de vous mais vous n’osez pas en parler.
  • Vous pensez que c’est de votre faute.
  • Vous avez envie de vous faire du mal.

Si vous pensez être victime de harcèlement, parlez-en ! Cela n’aggravera pas la situation, bien au contraire : l’intervention des adultes est primordiale pour stopper le cercle vicieux induit par des comportements violents.

Le harceleur

Contrairement aux idées reçues, le harceleur n’est pas si différent de sa victime. Souvent peu sûr de lui, il utilise la violence pour affirmer sa position dans un groupe. Puni et exclu pour ses comportements inadéquats, le harceleur peut développer à long terme une défiance à l’égard des adultes. Par ailleurs, son attitude peut devenir de plus en plus violente, car c’est une manière pour lui de maintenir sa position de domination.

Les témoins

Sans public, le harcèlement ne fait pas de sens. C’est très souvent l’insécurité qui motive les comportements des témoins de ces actes violents. L’élève témoin a peur de devenir victime et tolère, voire encourage, des gestes inadéquats qu’il condamnerait en temps normal. Pourtant, il a un rôle central à jouer : s’il intervient pour défendre la victime et qu’il brise la loi du silence, il peut stopper la spirale du harcèlement. Il devra alors être lui-même défendu et protégé par les adultes au même titre que la victime.

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Maltraitance : Gabriel, 14 ans, a cru qu’il allait « mourir en garde à vue »

Maltraitance : Gabriel, 14 ans, a cru qu’il allait « mourir en garde à vue »

« Il y a une femme qui m’a tenu les pieds, pendant qu’un policier me tapait avec la pointe de ses pieds » : Gabriel a été interpellé à Bondy. Gabriel a 14 ans. 14 ans. Gabriel a accepté de nous raconter son histoire.

Entretien avec David Perrotin.

L’affaire avait été révélée par le Bondy Blog >>>

Sur la table de la cour d’un domicile bondynois, un rapport médical, le procès-verbal du dépôt de plainte à l’IGPN et de quoi attester que Gabriel Djordjevic, 14 ans, est un jeune garçon sans histoires. Des documents qui résument et permettent de reconstituer les dernières 48 heures que viennent de vivre les personnes présentes autour de la table. La mère de Gabriel, son grand frère, Chérif Jovanovic et une proche de la famille, Sylvie Stevanovic.

Tous sont encore sous le choc de ce qui est arrivé à Gabriel dans la nuit du 25 au 26 mai. Ce soir-là, il ne rentre pas. Sa mère le pense avec son grand frère, sorti dîner dehors. Il est environ 23 heures quand ce dernier rentre, constate l’absence de son petit frère avec qui il partage sa chambre et se met à le chercher un peu partout dans la ville, inquiet. « D’habitude, il sort toujours avec moi, je n’aime pas le laisser sortir seul ».

« J’aurais préféré qu’ils l’attrapent et le mettent en prison plutôt qu’ils me le massacrent comme ça. »

Dans la nuit, le commissariat de Bondy appelle la famille. Gabriel est en garde à vue. Une histoire de vol de scooter avec un autre jeune. Sa mère raconte s’être enquis de son état de santé, on lui répond que tout va bien. Elle déclare avoir appelé le commissariat à 8 heures puis 9 heures. A chaque fois, on lui répond que son fils va l’appeler. Ce sont finalement les urgences pédiatriques de l’hôpital Jean Verdier de Bondy qui la contactent pour lui indiquer que son fils a été transporté du commissariat à l’hôpital par les pompiers.

Tout cela, elle l’a déjà détaillé quelques heures auparavant dans les bureaux de l’IGPN lors du dépôt de plainte contre X. « Violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique sur mineur », lit-on dans la marge. Le rapport médical lui, indique un traumatisme facial et crânien accompagné de vomissements, trois dents cassées et une « fracture maxillaire gauche étendue au plancher de l’orbite ». La médecin prescrit 14 jours d’ITT (incapacité totale de travail). Le certificat médical établi le 28 mai sur réquisition d’un officier de police dans le cadre de l’enquête fait lui état de 30 jours d’ITT.

Comment Gabriel, 14 ans, pesant une quarantaine de kilos et mesurant à peine plus d’un mètre 70 s’est-il retrouvé dans cet état ?

Photos prises par la famille à l’hôpital

A l’hôpital, il déclare avoir été interpellé par des agents de police vers 1 heure du matin alors qu’il était avec un ami qui tentait de voler un scooter. Les deux jeunes prennent la fuite dans deux directions opposées en voyant les forces de l’ordre arriver. L’interpellation se passe normalement pour l’ami de Gabriel qui est mis à terre avant d’être menotté et emmené. Gabriel lui, déclare avoir reçu plusieurs coups de pied au visage.

« Il y avait trois garçons et une femme, raconte-t-il. Ils m’ont plaqué au sol, ils ont mis un genou sur ma tête, un genou sur mes épaules, ils m’ont mis les menottes. La femme qui est blonde tenait mes chevilles pendant qu’un agent barbu, assez gros, me donnait des coups de bottes dans la tête ». Ce n’est qu’après ça qu’il sera emmené au commissariat de Bondy. Jamais auparavant il n’avait été confronté à la police. Cette interpellation, c’est sa première fois. Il n’existe, à notre connaissance, aucune vidéo de l’interpellation qui se serait déroulée sans témoin, les seules personnes pouvant faire son récit sont donc Gabriel et les agents qu’il désigne.

Gabriel, le 27 mai, dans sa chambre d’hôpital – © Chérif Jovanovic

La famille demande justice

« J’aurais préféré qu’ils l’attrapent et le mettent en prison plutôt qu’ils me le massacrent comme ça », déplore sa mère.

Gabriel est encore en état de choc. « Il ne mange rien, tout ce qu’il avale, il le vomit, raconte son frère, la gorge serrée. Si je l’attrape et que je lui fais ce qu’il a fait à mon petit frère, moi, on va me donner combien d’années de prison ? Nous, ce qu’on veut aujourd’hui, c’est que les policiers paient pour leurs actes et qu’on nous envoie des policiers qui savent gérer ».

Me Thomas Maïer est l’avocat de la famille. Il n’a pas encore eu accès au dossier mais déclare « personne n’a rien contre le fait que la police arrête des gens, c’est évidemment naturel, rappelle-t-il. Ce qui me parait moins naturel, c’est la disproportion entre arrêter et éclater la tête d’un jeune de 14 ans. Mais on a fréquemment des personnes qui ressortent de garde à vue avec la tête au carré ».

« Je ne peux pas comprendre qu’un enfant de 14 ans se fasse arrêter et éclater la figure. »

L’avocat, qui défend aussi un syndicat de police, dit comprendre tous les points de vue et note un climat très tendu en ce moment entre police et population : « les forces de l’ordre sont à bout et parfois entre police et jeunes, on a l’impression que ce sont des gangs les uns contre les autres mais je ne peux pas comprendre qu’un enfant de 14 ans se fasse arrêter et éclater la figure ».

Ce climat, il effraie de plus en plus Sylvie Stevanovic, maman d’un garçon atteint d’autisme : « Lui, son handicap, il est invisible. Imaginez, demain il sort, il met du temps à réagir à ce que lui dit la police et il lui arrive ce qui est arrivé à Gabriel ? Je ne veux plus rester dans le 93, c’est invivable. Nous on est en train de se demander quelles séquelles Gabriel va garder de tout ça pendant que celui qui l’a frappé, il doit être tranquillement en train de manger avec sa femme et ses gosses ? »

« Ce qu’on veut, c’est obtenir justice. »

Dans cette histoire, tout parait incompréhensible à la famille. Chérif, le grand frère est connu des services de police mais ne s’explique pas ce qui est arrivé. « J’en ai fait des conneries, mais jamais on ne m’a attrapé et tabassé comme ça, assure-t-il. Ca veut dire qu’ils font les malins que sur les petits ? Vous savez on est serbes et on n’a pas voulu trop en parler autour de nous, on ne veut pas que ça dégénère mais on veut montrer que ce qu’on veut, c’est obtenir justice ».

La mère de Gabriel, elle, ne comprend pas que les agents du commissariat de Bondy aient pu faire ça à son fils alors qu’ils n’ont rien fait quelques semaines plus tôt quand elle a été menacée à son domicile. Ce que l’avocat confirme. « J’ai appelé le commissariat de Bondy, ils m’ont dit qu’ils avaient d’autre chose à faire alors que des personnes se sont introduites chez la famille. Ils ont fini par passer mais n’ont rien fait du tout ». De quoi rompre le très frêle lien de confiance qui existait entre elle et les forces de l’ordre.

Reste seulement l’espoir de voir la justice condamner les personnes coupables de ce qui est arrivé à Gabriel. Contacté, le commissariat de Bondy n’a pas donné d’informations sur les conditions de l’interpellation de Gabriel. Une source policière confirme qu’une interpellation a bien eu lieu cette nuit-là à Bondy, concernant un vol de scooter. La famille quant à elle, a demandé le rapport d’intervention aux pompiers. La maire de Bondy, Sylvine Thomassin, est entrée en contact avec la famille hier au soir mais n’a pas répondu à nos sollicitations.

Gabriel, lui, est toujours hospitalisé. Son état nécessite une prise en charge par un service de chirurgie maxillo-faciale. Il devrait se rendre aujourd’hui à Necker, l’hôpital pour enfants.

Latifa OULKHOUIR

Un collectif de Bondy « Justice pour Gabriel » a décidé de mettre en ligne une cagnotte pour aider sa famille, modeste, qui a besoin de soutien financier. >>>

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