États-Unis « Make America great again » : Politique migratoire, « tolérance 0 » pour les mexicains

Des enfants de migrants clandestins séparés de leur parents, cette politique « tolérance 0 » menée par l’administration Trump scandalise les États-Unis.

Dès l’âge de 5 ans, les enfants de migrants illégaux sont séparés de leurs parents, ils sont placés dans des cages et entassés dans des camps. Une cage « accueille » jusqu’à 20 enfants qui dorment avec des couvertures de survie sur des matelas de fortune.  Au total, 2’000 enfants et adolescents ont ainsi été séparés de leurs parents en l’espace de deux mois.

Il s’agit d’un durcissement de la politique aux frontières instaurée par le procureur général Jeff Sessions, du jamais vu aux États-Unis.

Jusqu’à présent, les migrants traversant la frontière pour la première fois étaient jugés pour délit mineur puis relâchés mais désormais, ils seront considérés comme criminels même si ils sont demandeurs d’asile ce qui donne aux autorités le pouvoir de retirer la garde de ces enfants à leurs parents.

G.S

 

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France : La corruption commence déjà au bas de l’échelle

Des médecins fournissent de faux certificats médicaux afin de permettre à des sans papiers d’obtenir frauduleusement un titre de séjour

Le préjudice pour l’état s’élève à plusieurs dizaines de millions d’euros. Le prix pour obtenir le précieux sésame peut aller jusqu’à 300 euros. Il a été découvert que la psychiatre qui est au centre de l’affaire a rédigé plus de 80’000 certificats bidons et à elle seule a fait perdre plus de 3 millions d’euros à la sécurité sociale tout en permettant à des centaines de clandestins d’être régularisé.

Ce cas n’est pas isolé car récemment, 5 autres médecins ont été arrêtés pour des faits similaires.

Le système français qui est unique au monde permet à un sans papiers d’obtenir un titre de séjour pour des raisons de santé, le tout accompagné d’une prise en charge totale de ses soins. Une générosité dans laquelle des réseaux de passeurs ce sont engouffrés avec la complicité de médecins véreux et de faussaires qui ont trafiqué des analyses afin de prouver une séropositivité ou une hépatite, un système qui perdure depuis des années.

Ce ne sont pas les sans papiers qu’il faut stigmatiser et accuser car ils profitent d’une manne qu’un système corrompu a mis en place pour engendrer  des profits à très court terme. Qui, dans la situation de ces personnes en détresse ne ferait pas la même chose ? C’est ce système à bout de souffle, moribond, gangréné te toutes parts et qui sent sa fin  proche qu’il faudrait abattre sans ménagement et au plus vite.

Stéphane Guibert

 

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Coup de gueule : Au nom de la laïcité, la basilique de St Denis dans le 93 devrait être rasée

Dans le cadre de la manipulation, du diviser pour mieux régner, ce coup de gueule illustre le malaise français, l’impuissance du peuple face à des élus, pour la plus part corrompus ainsi qu’ une décadence programmée pour un retour à l’esclavagisme.

Français exaspérés, migrants désabusés, tous sont le jouet d’une machination bien pensée aux rouages bien huilés. D’où viendra le grain de sable qui enrayera ce mécanisme ?

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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Migrants et réfugiés : La Suisse épinglée par les droits de l’homme

Coup de chapeau au service public la RTS qui met en avant un dysfonctionnement dans l’accueil aux migrants.

Le dernier rapport d’Amnesty International pointe du doigt la Suisse, critiquée pour des cas de renvois « inhumains » de migrants.

Ce sont des parents arrêtés, des enfants placés seuls dans des foyers, des liens familiaux ignorés, le dernier rapport d’Amnesty international pointe du doigt la Suisse concernant son durcissement dans le secteur de l’asile.

La Suisse viole régulièrement les droits des migrants et des migrantes, des requérants d’asile et des réfugiés en renvoyant des personnes vers des pays où elles risquent la torture, en séparant des familles alors qu’elles ont vécu ensemble en Suisse. On envoie une partie de la famille vers Italie et l’autre peu rester en suisse.

Le reste dans la vidéo.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Un document du service public de la RTS

Source : Radio Télévision Suisse

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Lettre ouverte à Emmanuel Macron : LE TEMOIGNAGE POIGNANT DU JOURNALISTE YANN MOIX SUR LES VIOLENCES DE LA POLICE FRANÇAISE CONTRE LES MIGRANTS À CALAIS .

La vérité de l’état c’est la vérité même quand c’est un mensonge et la vérité des citoyens, c’est un mensonge même quand c’est la vérité.

Yann Moix

C’est par un texte coup de poing que Yann Moix a répondu au Préfet du Pas-de-Calais ce jeudi 1er février dans Marianne. «Monsieur le “Préfet”, J’ai lu votre lettre. Vos récriminations condescendantes à mon endroit sont aussi méprisables que vos menaces téléphoniques à l’égard de mon producteur.» Voilà comment débute la missive adressée à celui qui a tenté de minimiser les violences policières envers les migrants suite à la lettre ouverte de l’écrivain à Emmanuel Macron. Parue dans Libération le lundi 22 janvier cette lettre accusait le président de la République d’avoir instauré un «protocole de la bavure» à Calais, avec une vidéo-preuve à l’appui.

Et à l’auteur de Naissance de poursuivre :

«Je tiens cependant à vous remercier. En effet, je trouve en vous l’avocat le plus inattendu auprès des exilés victimes des gravissimes exactions policières perpétrées à Calais sous votre responsabilité. Car pas une seule fois, dans votre “réponse” à une tribune qui ne vous était pas adressée, vous ne me démentez. Je persiste et je signe.»

Violences policières face aux migrants de Calais, le témoignage de Yann Moix.

Témoignage vidéo de l’écrivain Yann Moix, qui tourne à Calais un documentaire sur le traitement des migrants. Ce film intitulé Re-Calais (production Hikari) sera diffusé sur Arte en mai.

>>>Chaîne Dailymotion associée<<<

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Suisse : Évacuation de 52 migrants de la salle de Grand-Vennes

Lausanne Vendredi vers 17h, le Collectif  New Life a investi la salle de gym pour la nuit. Ils ont été évacués vers 20h30, sans solution de repli.

À rester 30 minutes dehors ce vendredi soir, à recueillir les versions du Collectif New Life et de la police de Lausanne, on a les mains qui gèlent, l’encre du stylo qui se fige. Pas étonnant, le thermomètre indique -3 degrés. C’est pourtant à cette température qu’auront dû dormir les quelque 80 personnes (une soixantaine selon la police) qui avaient investi la salle de gym de Grand-Vennes dans l’espoir d’y trouver un gîte pour la nuit.

C’est par décision de la Municipalité que les occupants ont été évacués, après une courte entrevue avec le chef du Service des écoles, par «plus de vingt policiers», articule Sébastien Jost, porte-parole de la police de Lausanne. «Un responsable est arrivé vers 19h30 escorté par des policiers en civil et nous a dit: «C’est comme ça, la décision est prise», rapporte un des membres du collectif. Nous n’avons pas pu discuter, ils nous ont forcés à sortir.» Sébastien Jost confirme: «Ces personnes souhaitaient passer la nuit ici, mais la salle est en exploitation. Notre but est qu’ils partent dans le calme.» Les lieux doivent accueillir ce week-end un tournoi de football et plusieurs centaines de sportifs et de spectateurs, justifie la Municipalité, qui déposera une plainte pour violation de domicile.

Interrogé sur les solutions qui s’offrent aux refoulés, alors que les structures lausannoises d’accueil sont saturées, Sébastien Jost indiquait vendredi soir que « la Municipalité est en train de réfléchir à des solutions d’hébergement d’urgence ». C’est pour pallier le manque actuel que le Collectif New Life s’est constitué entre jeudi et vendredi, indique un de ses membres. «Nous sommes plusieurs à nous être mobilisés à cause du froid. Pour cette nuit, c’est râpé. On est dehors.» (24 heures)

Voir aussi sur le site de la Tribune de Genève

 

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Suisse : Pour Cesla Amarelle, la sécurité des terroristes est plus importante que celle des Suisses ?

Cet article qui avait été publié en 2015 suscita de vives réactions dans le public et bien que cet avis n’ait que peu évolué depuis, voici un commentaire publié récemment sur le site source :

En relation avec les commentaires qui seront probablement virulents sur les réseaux sociaux, une analyse de cet article sera publiée dans un prochain billet.

Stéphane Guibert

A virer d’urgence !
Ce sont les cinglés comme elle qu’il faut éradiquer : ces gens-là détruisent nos pays et nos vies et en plus, ces monstres sont nourris gratuitement avec nos impôts.
On a les mêmes malades mentaux en France – je suis franco-suissesse – et on le paye vraiment très cher ! J’ai lu récemment que le seul pays qui n’a plus connu d’attentat terroriste islamique depuis 30 ans est un pays où ils « torturaient » les coupables – désolée e ne plus savoir le nom du pays concerné, je crois que c’est en Asie. Sachant ce qu’ils risquaient ils n’ont pas recommencé !
Chez nous ce laxisme frôle la complicité des dirigeants. Faut-il qu’un membre de la famille d’un gros ponte se fasse massacrer pour qu’il reconnectent leurs quelques neurones… s’il leur en reste car pour agir comme ils le font, on est en droit de se poser la question !!!

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Italie : Des bombes contre les migrants, nous risquons actuellement la guerre civile

De Turin à Tarante, en passant par les régions « rouges » (ndt les régions politiquement à gauche) et le Latium, de plus en plus de bombes explosent près des centres d’accueil et des hôtels qui logent les migrants

Par Francesco Curridori

Du nord au sud, en passant par les îles, la révolte contre le business de l’accueil des migrants envahit toute la botte. Les bombes ou les cocktails molotov, mais également des armes plus rudimentaires sont les moyens les plus utilisés par les citoyens pour stopper l’arrivée des migrants dans leurs villages.

La Sardaigne, l’île où la crise économique favorise la révolte

Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé jeudi de la semaine passée devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance les 64 occupants ne furent pas blessés même si l’explosion a fait un grand trou à l’extérieur du bâtiment.  Ce n’est pas le premier cas en Sardaigne, en faitcette aversion envers les réfugiés a déjà connu deux précédents. Le 11 octobre passé, l’ex caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, a subit un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de mettre à disposition ce bâtiment pour en faire un centre d’accueil. La même chose s’est produite à Burcei, également dans la province de Cagliari, aux premiers jours de septembre, quand une maison privée qui devait accueillir 25 migrants a été dévastée. En novembre, à Buddusò, un village de 4.000 habitants, un complexe de tourisme rural qui devait héberger des réfugiés, a été pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale.

Les Sardes ont dépassé le seuil de tolérance. Ils considèrent cet afflux de migrants comme une invasion en bonne et due forme, et ceci dans une région qui a un des plus haut taux de chômage d’Italie. Le seuil de tolérance est dépassé et a eu une répercussion telle sur le Partito Democratico (ndt, le PD est le parti gouvernemental), autant au niveau national que régional, que le 4 décembre dernier, la Sardaigne a enregistré le taux le plus élevé de Non au référendum constitutionel.

La majorité du président PD Francesco Pigliaru, toujours plus fragile s’est effondrée le 26 juillet à l’occasion d’un vote sur le tourisme, grâce à un amendement qui avait été proposé par Forza Italia. Cet amendement refusait que des fonds régionaux aillent aux hôtels qui, plutôt que recevoir les touristes, accueillent des migrants.

Devant une telle règle de bon sens, et grâce au vote secret, même des conseillers de la majorité ont pu voter conformément à leur sentiment d’apartenance sarde. Mais cela n’a pas suffit à calmer les esprits.

Le 30 juillet, à Sassari, une villa, qui devait devenir un centre d’accueil pour migrants, a été attaquée par quelques individus qui ont mis le feu aux matelas qu’on avait amené quelques jours plus tôt.

La colère des citoyens du Latium et du Nord de l’Italie

Et pourtant, la Sardaigne n’est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux porte de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d’enceinte d’une structure d’accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015,  toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés.

D’autres faits similaires se produisent aussi dans le Nord. En Vénétie, il y a environ une semaine, des jeunes gens ont lancé trois feux de bengale contre le centre d’accueil extraordinaire « La Verdiana di San Vito di Legnago » dans la province de Vérone. Le 17 février de cette année, à Aselogna di Cerea, toujours près de Vérone, une bombe a explosé contre le portail d’une structure qui abrite une vingtaine de requérants d’asile. A la fin octobre 2016, à Prada di San Zeno di Montagnaun, un ancien hôtel a été touché par deux bombes artisanales. En décembre de la même année, au Frioul, une lettre de menace a été envoyée au syndic de Turriaco et une bombe incendiaire a été retrouvée dans les jardins de la rue du 5 Juin, à côté de l’ancienne caserne des carabiniers où devaient être accueillis 12 migrants.

Et, beaucoup plus récemment, des actes similaires se sont produits en Lombardie. Une attaque à coup de cocktails Molotov contre l’hôtel Eureka à Vobarno, (province de Brescia). Ces évènements ont eu lieu début juillet et ont provoqué un incendie qui a détruit le rez-de-chaussée de cet hôtel qui devait recevoir des requérants d’asile. La même méthode a été utilisée fin mars pour endommager une petite villa à Cumignano sul Naviglio (province de Cremona).

Même au Piémont il y a eu des conflits entre Italiens et migrants. En novembre 2016 des Turinois, exaspérés par une situation qui se dégrade de plus en plus, on lancé deux engins explosifs contre les bâtiment ex Moi, occupé depuis des années par des centaines de nord-africains lesquels sont tout de suite descendus dans la rue où il y a eu de très violents affrontements. En septembre, une enveloppe contenant un engin explosif a été envoyé à l’agence de Voyage 747 qui s’occupe d’organiser le rapatriements de migrants.

Dans les régions gouvernées par gauche, la colère contre les migrants monte au son d’engins explosifs

La « rouge Emilie » elle aussi a prouvé qu’elle n’en peut plus de cette arivée continue de migrants. Le 19 juillet, à Forli, deux bouteilles incendiaires ont été lancées sur le Cas (centre d’accueil extraordinaire), géré par la Croix Rouge qui hébergeait un seul migrant. En février, au centre d’accueil de Spadarolo, à Rimini, on a lancé des bouteilles : une vitre a été cassée et les ordures ont été éparpillées ce qui a sali les murs du bâtiment et le jardin. En mai 2016, à Parme, le siège d’un centre d’accueil pour réfugiés où vivaient une vingtaine de personnes, avait aussi été pris pour cible.

Dans les Marches, la plupart des agressions ont eu lieu en 2016, l’année où, à Fermo, Emmanuel Chidi a été tué suite à une dispute. Avant cet épisode, déjà une certaine intolérance montait face à l’arrivée continuelle de migrants. Cela s’est vérifié dans les premiers jours de mai avec un incendie volontaire contre l’hôtel Mark à Frontignano, qui était fermé depuis 10 ans et devait accueillir des réfugiés.

A Montottone, un petit village de la province de Fermo, une bombe a explosé devant l’église Santa Maria à l’endroit où sont accueilli les réfugiés. L’auteur de ce geste avait déjà sévi en avril à San Marco alle Paludi di Fermo.

Au Sud de l’Italie

Si on descend dans le sud de l’Italie, la situation n’est pas différente. En Calabre, à San Fernadino, un incendie probablement volontaire s’est déclaré début juillet dans un village de tentes. Toujours à San Fernandino, entre le 10 décembre et le 3 janvier 2016, 6 nord africains ont été agressés aux alentours de la date anniversaire de la révolte de Rosarno.

Dans les Pouilles, le dernier épisode de violence a eu lieu début juin quand une bombe a explosé près d’un centre d’accueil extraordinaire à Ginosa (province de Tarente).

 

Source : ilgiornale.it 

Traduction D. Borer pour les observateurs.ch

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Italie, vendredi 14 juillet 2017: 4400 migrants en un jour

Plus de 4,400 migrants ont débarqués en Italie vendredi 14 juillet 2017, après avoir été secourus au Sud de la Méditerranée.

Le gouvernement Italien, voulant stopper ce flux de migrants  dans le pays, demande de respecter un « code de conduite » aux organisations non gouvernementales opérant en Méditerranée.

Le ministère de l’Intérieur constate qu’au 13 juillet, environ 86,123 migrants ont débarqués en Italie, depuis le début de cette année. En hausse de 10 pour cent pour la même période de 2016.

Les ONG (Organisations Non Gouvernementales) ont critiqué ces codes de conduite, disant qu’il sera plus difficile d’aider les migrants s’enfuyant de la pauvreté et de la guerre.

Une porte-parole de Nations unies, déclare que l’Italie a besoin de plus d’aide traitant de la crise.

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More than 1,400 migrants disembarked in Italy on Friday, the first of more than 4,400 who are expected to come ashore during the day after being picked up by rescue boats this week in the southern Mediterranean.

Their arrival comes as the Italian government, looking to stem the flow of migrants into the country, has drawn up a draft code of conduct for non-governmental organisations operating in the Mediterranean.

The interior ministry said that up until July 13, some 86,123 migrants had come to Italy so far this year, up 10 percent on the same period in 2016.

While NGOs have criticised plans for a code of conduct, saying it will make it more difficult to help migrants fleeing poverty and war, a United Nations spokeswoman said Italy needed more help dealing with the crisis.

“Basically, in Italy we need more solidarity from the rest of the European Union. In Libya we need more stability, but we also need across all of Africa better investment in order to help people (there),” said Carlotta Sami, spokeswoman for the United Nations refugee agency, the UNHCR.

« Nous sommes envahis »

En Sicile, un maire refuse l’installation de nouveaux migrants dans sa commune.

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Italie, Sicile: Scène de guerre au marché de Fera entre Italiens et migrants africains

Scènes de guerre civile au marché de Fera O’ Luni (marché du lundi).

Deux factions de vendeurs, une composée d’Italiens et l’autre d’Africains, se sont battues à coups de bâton. Un marchand s’est même lancé sur la foule avec un camion, risquant de causer une tuerie.

Scènes de guerre civile au marché de Fera O’ Luni (marché du lundi).

Deux factions de vendeurs, une composée d’Italiens et l’autre d’Africains, se sont battues à coups de bâton. Un marchand s’est même lancé sur la foule avec un camion, risquant de causer une tuerie.

Cette info n’étant issue d’aucun média officiel elle doit être traitée avec précautions.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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