La politique n’est pas ma tasse de thé mais l’UPR qui a su par la voie de son président fondateur : François Asselineau que j’ai d’ailleurs eu le plaisir de rencontrer à Genève dans le cadre de l’une de ses nombreuses conférences, m’ouvrir les yeux sur bien des aspects de notre société ; ce qui m’a permis il y a déjà de nombreuses années, de m’affranchir de la sinistrose ambiante et de me détacher du troupeau des moutons de Panurge.
Au départ (1992), séduit comme une multitude d’européens, l’Europe était pour moi une nouvelle vision du monde, une ouverture sur le partage et l’amitié des peuples. J’ai bien vite déchanté et si l’on compare ce qui nous était promis à l’époque à ce qui est aujourd’hui la réalité, il n’y a pas photo.
Concernant le Brexit, le spectre d’un nouveau référendum se pointe de plus en plus mais pour moi il n’y a pas de doute possible, il s’agit une fois de plus de faire revoter un peuple en agrémentant la campagne des européistes par des menaces apocalyptiques.
L’Europe que nous présentent les médias n’est qu’un artifice fait de paillettes, de fausses promesses et de mensonges éhontés ce qui jusqu’ici, il faut bien le reconnaitre, étaient assez convaincants ; mais les esprits se réveillent et l’insurrection gronde. Le système s’en rend compte et tel un animal aux abois, il joue ses dernières cartes pour résister.
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