Les gilets jaunes reprochent aux élites d`être déconnectés de la réalité

Quand une députée reconnait ne pas savoir à combien se monte le smic.

Il y a beaucoup d’exemples tels que celui-là et cela démontre à quel point les représentants du peuple vivent dans un monde qui n’a rien à voir avec la réalité. La France est devenue une province européenne et les politiques n’y entendent plus rien quand il est question du peuple, d’où cette rupture qui se creuse de jour en jour.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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France : L’État Français n’existe plus

L’État Français n’est plus un État, il est devenu une province Européenne dirigée par des technocrates de Bruxelles (non élus) et dominée par des intérêts Germano-américains.

Pour qu’un pays soit souverain, quatre éléments sont requis : battre monnaie, faire les lois, rendre la justice, décider de la paix ou de la guerre et la France ne possède aucun de ces éléments.

L’article 5 de la constitution Française stipule que :

« Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »

Autrement dit :

Le peuple est souverain par sa représentation et le président est garant de cette souveraineté.

Pour les plus jeunes, les enfants du début du siècle et pour rappel : en 2005, lors du référendum sur l’adhésion du pays à lEEE, le peuple le rejeta à plus de 55% des voies. En 2007, par le biais du traité de Lisbonne que Nicolas Sarkozy ratifia avec le soutien du PS dont le président était François Hollande, la France adhéra à l’Union européenne mais par la porte de derrière. Les élites françaises de l’époque bafouèrent donc un vote démocratique.

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Politique : Selon l’économiste Charles Gave, Emmanuel Macron risque de ne pas arriver au terme de son mandat

Selon le président Emmanuel Macron, les Français sont réfractaires au changement et selon l’économiste et entrepreneur Charles Gave, Macron réforme la France à tour de bras alors qu’il se garde bien de toucher à toutes les chasses gardées de l’État. Il devrait en priorité détruire tous les privilèges indus qui existent dans l’État. Il devrait détruire les privilèges que les politiques ont de toucher cinq ou six retraites…

G.S / FINALSCAPE

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Suisse : Balance pas ta Suisse !

Voter non le 25 novembre à l’initiative pour l’autodétermination, c’est laisser partir son droit de vote en fumée. Alors dites OUI à l’initiative pour l’autodétermination et OUI à notre démocratie directe !

Voter non à cette initiative ferait intégrer le pays à l’Union européenne par la petite porte comme l’ont fait les français en 2007 avec le mortifère traité de Lisbonne.

G.S / FINALSCAPE

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Politique : Gros coup de gueule de François Asselineau

Gros coup de gueule de François Asselineau à l’encontre d’Emmanuel Macron qu’il accuse notamment de mentir effrontément aux Français.

Et pour celles et ceux qui ne connaitraient pas encore cet homme, François Asselineau, président-fondateur du parti politique UPR, voici un petit récapitulatif d’une cinquantaine de minutes retraçant son parcours.

G.S / FINALSCAPE

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François Asselineau : Taxes sur les carburants, la grogne des Français est justifiée

Mise à jour : samedi 27 octobre 2018 – 19:10 –

Pour le Président de l’UPR, François Asselineau, qui est aussi tête de liste pour les européennes, le gouvernement se trompe de cible : « Cette grogne est juste parce que le but est de rééquilibrer le budget en taxant les français plutôt que de lutter contre l’évasion fiscale »

Cette évasion fiscale a été légalisée en Europe par l’article 63  du TFUE qui autorise la libre circulation des capitaux.

Voir aussi >>>

Président de l’UPR, François Asselineau plaide pour une sortie pure et simple de la France des Traités sur l’Union Européenne. Il sera à nouveau tête de liste pour les élections européennes de mai prochain.

G.S / FINALSCAPE

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Politique : François Asselineau versus les grands médias mainstream

François Asselineau, Président-Fondateur du parti politique UPR face à ses irréductibles empêcheurs de tourner en rond, les grands médias mainstream.

Je ne fais pas de politique mais les idées et les analyses de François Asseineau que je suis sur les réseaux sociaux depuis bientôt 10 ans m’ont toujours captivé pour ne pas dire fasciné. C’est en tombant par hasard sur l’une de ses conférences il y a bien longtemps, (les huiles de vidange dans la mayonnaise), alors que je ne connaissais ni l’homme et encore moins son parti, que j’ai commencé à lui tendre une oreille particulièrement attentive.

Taxé de conspirationnisme par les médias qui lors des élections de 2017 ont confirmé leur mépris vis à vis de cet homme et de ses idées en ne lui accordant que très peu de temps d’antenne, François Asselineau à qui j’ai eu la chance de serrer la main en me présentant lors de son passage à Genève dans le cadre d’une conférence sur les origines de l’Europe, est un homme, qui bien que pour moi, la politique, aujourd’hui, ne soit plus représentative de l’attente des peuples, mérite une attention toute particulière ne serais-ce que par son bagage impressionnant quand à ses connaissances de l’histoire, la qualité de ses analyses et  l’authenticité de ses sources.

Je ne suis pas affilié à l’UPR comme je ne suis affilié à aucun parti politique. Le but de ce billet est de saluer un homme qui a su, en allant à contre courant, dévoiler une partie de ce qui se cache en dessous de l’aspect visible de l’iceberg tout en tentant de réveiller une population qui ne cesse de se perdre dans les méandres d’une actualité pré-programmée.

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Bruxelles versus Switzerland, l’insoutenable chantage de l’Union européenne

Source de l’image

En 2005, le référendum français à l’adhésion du pays à l’EEE disait « NON » à plus de 55%. Ce référendum fut balayé d’un revers de main par le mortifère traité de Lisbonne en 2007, ce qui sonna le glas de la démocratie dans ce pays.

Bien que la résistance s’organise et se mobilise depuis, c’est par le truchement de lois de plus en plus liberticides suggérées par la désinformation et la manipulation de médias soumis que le gouvernement tue littéralement la résistance dans l’œuf.

En Suisse, le scénario qui est différent pourrait, pour le peuple, se solder par une situation similaire à celle de la France. Il est aujourd’hui certain que ce pays n’adhèrera pas à l’EEE mais des accords cadre qui se négocient entre la Suisse et l’UE pourraient avoir raison d’une souveraineté si chèrement protégée au sein de la population.

C’est par un odieux chantage que Bruxelles tente un rapprochement, une guerre déclarée à l’économie d’un pays souverain qui risque de n’avoir d’autre choix que de se plier aux exigences de Bruxelles si il veut conserver une place compétitive dans l’économie mondiale. On parle ici et entre autres d’équivalence boursière.

Parmi ces accords, des juges étrangers seraient à même de légiférer sur le droit Suisse (Débat à suivre en vue des prochaines élections fédérales le 25 novembre 2018). Des textes de lois de plus en plus flous pouvant amener la population à ne plus comprendre et voter contre ses propres intérêts.

Équivalence boursière : Retour sur la polémique au sein du gouvernement Helvétique

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Retour sur l’article >>>

Il faut garder en mémoire que l’Union européenne qui était soumise aux scrutins nous promettait une Europe plus sociale, avec plus de choix, plus de libertés, plus de travail…

La démocratie directe a permis à tout un peuple de ne pas se laisser séduire et duper par la beauté du diable, c’était le 6 décembre 1992.

Europe : Quand Jacques Chirac retourne sa veste

Aujourd’hui et avec du recule, on se rend compte que c’est une Europe néolibérale qui c’est mise en place, une Europe des riches pour les riches.

Ces nouvelles concessions imposées à la Suisse ne vont que dans le sens des intérêts de Bruxelles et de sa cour de nantis.

Note personnelle :

Ce que je dis ne reflète peut-être pas l’avis des suisses en général, il s’agit de l’avis d’un citoyen qui n’a jamais cru en la légitimité de cette Europe qui durant l’époque hitlérienne, n’ayant par la force pu obtenir ce qu’elle voulait tente aujourd’hui, par des moyens plus subtiles tels que la diplomatie, le chantage ou la corruption d’arriver à ses fins.

Pour moi et cela n’engage que moi, l’Union européenne telle que nous la connaissons aujourd’hui n’est que la continuité d’un projet d’avant-guerre destiné à ne profiter qu’à une classe de privilégiés dont le seul but est d’engendrer toujours plus de pouvoir.

Si l’enfer est vide aujourd’hui, c’est en majeur partie parce que tous ceux qui le peuplaient sont sur terre et cela perdure depuis des décennies.

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Stéphane Guibert / Finalscape

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