Suisse & Économie : A Genève, les tueurs d’impôts passent à l’offensive

Gérard Jolimay est à la tête du collectif genevois en faveur d’une micro-taxe. CHRISTIAN BONZON

TAXES • Abolir la TVA, l’impôt fédéral direct et le droit de timbre pour les remplacer par une micro-taxe sur les transactions financières électroniques: c’est l’objectif d’un collectif de citoyens et d’élus genevois qui veut lancer une initiative fédérale. L’Etat s’oppose.

Explications :

«Avant, je prêchais dans le désert, mais désormais la dynamique est là. Les citoyens sont de plus en plus nombreux à me rejoindre. Notre but est de transformer la société en rétablissant une justice fiscale.» Gérard Jolimay, président du PDC Chêne-Bougeries, en est convaincu: la micro-taxe permettrait une répartition plus équitable des impôts. Son principe est simple. D’abord, la suppression de la TVA, de l’impôt fédéral direct et du droit de timbre. En remplacement, toutes les transactions financières électroniques seraient taxées à hauteur de 0,5%. La vente d’actions et d’obligations, les factures de restaurant réglées avec une carte de crédit, mais aussi les retraits au bancomat et le versement des salaires, seraient notamment concernés.

Banques dans le collimateur

Pour Marc Chesney, directeur du Département banque et finance de l’Université de Zurich et père fondateur de la micro-taxe, cette solution comporte de nombreux avantages: «Elle simplifie le système fiscal archaïque, complexe et bureaucratique. Tout en réduisant les charges des ménages et des PME. Enfin, elle limite les activités de la finance-casino.» Dans le collimateur, les banques et plus spécialement le trading spéculatif.

En taxant davantage les établissements financiers et moins les particuliers et les entreprises, un collectif de citoyens et d’élus genevois, qui vient d’être créé, espère fédérer un nombre suffisant d’électeurs pour faire aboutir une initiative fédérale. Gérard Jolimay y croit dur comme fer: «L’Etat est aussi gagnant puisqu’il pourra se dédouaner d’une organisation lourde et coûteuse en remplaçant certains impôts par une taxe automatique, sans infrastructure et encaissée immédiatement.»

Tirer une balle dans le pied

Du côté de l’Etat justement, la microtaxe est loin de faire l’unanimité comme le confirme Nathalie Fontanet, conseillère d’Etat en charge du Département des finances: «C’est une réflexion que nous n’avons pas menée au sein du Conseil d’Etat. A titre personnel, j’y suis plutôt opposée si cette taxe devait être ajoutée aux impôts existants. Je rappelle à cet égard que Genève est déjà le canton qui utilise le plus son potentiel fiscal.» Avant de préciser: «Une telle micro-taxe qui impacterait non seulement les transactions financières, mais également tous les paiements électroniques, serait susceptible de prétériter notre canton en comparaison avec le reste de la Suisse et avec les autres pays.» Autrement dit, s’attaquer à la place financière reviendrait à se tirer une balle dans le pied. Ce que les autorités ne seront jamais prêtes à faire, sauf si elles s’y retrouvent contraintes en cas d’acceptation de la future initiative fédérale.

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Gilets jaunes Suisse : L’initiant monnaie pleine et revenu de base inconditionnel en Suisse s’adresse à tous les gilets jaunes de la planète

Mise à jour : lundi 14 janvier 2019 – 15:00 –

François de Siebenthal, ex banquier, initiant pour une monnaie pleine et un revenu de base inconditionnel en Suisse, que j’ai la chance de compter parmi mes contacts et qui entre autres fait partie de mes mentors en matière d’éveil économique, nous dévoile en quelques phrases le mensonge dans lequel nous vivons non seulement en Suisse mais aussi dans le reste du monde.

En Suisse, la banque Nationale ne redistribue pas les bénéfices qu’elle est pourtant sensée redistribuer au peuple selon la constitution Suisse. La population suisse devrait  recevoir 2/3 des bénéfices nets de la création monétaire et des bénéfices nets de la Confédération.

Pour François de Siebenthal :

« Nous avons découvert qu’en prenant une miette, moins de 1% sur tous les transferts financiers  et toutes les créations monétaires en Suisse, on supprimerait tous les impôts : cantonaux, communaux, fédéraux, directs, indirects, de succession etc … Il n’y aurait plus aucune déclaration fiscale.

Il y aurait non seulement assez d’argent pour abolir toutes formes d’impôts, mais cet argent pourrait également financer un revenu de base inconditionnel (RBI) ainsi que la (LAMAL), assurance maladie obligatoire qui d’année en année ruine les ménages de Suisse. À qui profite le crime ?

Bref …

On parle ici de flux monétaires qui se montent à plus de 250 mille milliards par an rien qu’en Suisse.

Il en va de même sur le reste de la planète. »

Je ne veux pas m’étaler sur la répartition des richesses dans ce post mais simplement vous dire qu’une seule miette de la richesse mondiale contribuerait à ce que tous les peuples du monde vivent sans mourir de faim, sans guerre, sans génocide.

Alors pourquoi cet enfer sur terre ?

J’invite tous les économistes pro-pourvoyeurs de l’économie avant tout à ne pas commenter car on parle ici d’humanité et de partage.

Voir aussi : Initiative Suisse pour une monnaie pleine >>>

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Suisse : Monnaie Pleine et tomates insipides

« L’initiative nous aura appris qu’en Suisse les banques commerciales utilisent de l’argent qui n’existe pas. »

le 10 juin, le peuple Suisse devra se prononcer en ce qui concerne l’initiative « Monnaie pleine » qui si elle est adoptée devrait rendre à la banque nationale sa prérogative de battre monnaie ce qui n’est plus le cas aujourd’hui depuis que le secteur privé c’est octroyé le droit de prêter de l’argent qui n’existe pas.

Tous les partis confondus déconseillent au peuple d’approuver cette initiative ce qui démontre à quel point les politiques tous bords confondus sont pieds et poins liés face à ce rouleau compresseur qui suit un chemin inexorable, cette machine infernale dont la course effrénée ne sert qu’aux élites  corrompues par des mafias de l’ombre et tout ça bien sûr, au détriment des plus faibles et des moins nantis.

Cette initiative tout comme celle sur le revenu de base inconditionnel ne passera pas.

Pourquoi ?

Les gens ont trop peur de la vérité, ils ne sont pas préparés à faire le pas décisif, libérateur et salvateur. Ils préfèrent vivre dans le déni et l’ignorance, dans cette bulle opaque qui finira pourtant par exploser un jour et c’est inéluctable.

En explosant, le système que les moutons protègent aujourd’hui inconditionnellement leur renverra au travers du visage une claque, une douche glacée, cela fera très mal et se soldera par un retour de monnaie sur la pièce qui tout au long de ces décennies dévastatrices aura été l’instrument ayant servi à la destruction massive du tissu social, économique et environnemental. Ce n’est plus qu’une question de temps… (Tic tac, tic tac …)

A mon avis, les initiatives « Monnaie pleine », « RBI » et beaucoup d’autres qui suivent le même schéma ne pourront être mises en place qu’après la convergence de toutes les crises et de tout ce qui doit en découler.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK / MondiAspora

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Economie : La Finlande teste un revenu de base inconditionnel à 560 euros par mois

Depuis janvier, 2000 chômeurs finlandais testent un revenu de base inconditionnel. Le projet séduit, a pu constater la RTS sur place, mais ne devrait pas être généralisé rapidement.

L’expérience est conduite avec des chômeurs de longue durée, tirés au sort dans tout le pays. Pendant deux ans, 2000 personnes reçoivent 560 euros par mois de manière inconditionnelle. Le chômeur n’a en effet plus besoin de justifier des recherches d’emploi ou de suivre des formations imposées.

Dans ces formations, « tous les participants savaient déjà tout, donc on a juste perdu une semaine pour ne rien apprendre », témoigne à la RTS Juha Järvinen, charpentier au chômage. Avec le temps ainsi libéré et cette entrée minimale d’argent, il a pu se lancer dans la production vidéo et compte déjà quelques clients.

Ouvrir de nouvelles portes

« Mon salaire fait des hauts et des bas. On a des rentrées d’argent, puis on chôme, et si on a de nouveau une rentrée d’argent c’est un enfer de paperasse avec notre système d’allocations. Alors oui, maintenant c’est plus facile », témoigne pour sa part Katariina Lilqvist, réalisatrice de films d’animation au bénéfice de ce revenu.

Après les deux ans de test, l’expérience sera analysée. Le but est d’étrenner une gouvernance expérimentale basée sur le monitoring des citoyens. « Je pense que ça ouvrira de nouvelles portes pour plus d’expériences. Mais je doute que cela permettra de changer radicalement le système social », admet Markus Kanerva, chargé par le gouvernement finlandais de piloter l’expérience.

« Un manque d’ambition »

Le revenu de base inconditionnel ne devrait donc pas être généralisé de sitôt en Finlande.

Pour Joona-Hermanni Mäkinen, militant d’un revenu universel, l’expérience manque d’ailleurs d’ambition: « Une vraie expérience aurait plus de participants et testerait le revenu universel, et ceci permettrait de réduire la bureaucratie, le monitoring et la surveillance des citoyens, ce qui nous permettrait de voir où ça nous mène. »

Cécilia Mendoza/vkiss

Source : Radio Télévision Suisse

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Suisse : Vers une économie démocratique, sans lobbyistes ni vautours

Un banquier suisse libère la vérité

(Attention aux faillites bancaires)

Vidéo réalisée par l’association « Pour l’initiative monnaie pleine libère la vérité« .

Un banquier suisse François de Siebenthal, économiste HEC, nous explique comment la monnaie est créée en Suisse et dans le monde. Il nous parle également de l’initiative Monnaie Pleine, qui circule actuellement en Suisse.

Taxer les robots, un revenu de base inconditionnel il faut voir et faire l’économie d’une manière démocratique.

Une idée qui pourrait bien faire son chemin !

Cette conférence est à écouter très attentivement elle nous donne des solutions pour une société qui exclurait les lobbyistes et vautours qui nous étouffent chaque jour un peut plus !

Sur VK :

Sur Youtube :

QUI DOIT CRÉER NOTRE ARGENT : LES BANQUES PRIVÉES OU LA BANQUE NATIONALE ?

Vidéo sur l’initiative Suisse

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Suisse : Un début de réponse pour le financement du R.B.I

Genève envisage un impôt punitif pour sauver les caissiers

Dans le canton de Genève, les détaillants qui installent des caisses automatiques pourraient être frappés par un impôt élevé. Avec des répercussions financières importantes pour les grands distributeurs Migros et Coop.

L’idée pourrait émaner des saboteurs de machines obscurantistes du XIXe siècle: dans le canton de Genève, les distributeurs équipés de caisses de «self-scanning» pourraient se voir obligés de payer 10 000 francs d’impôt punitif par mois, soit le salaire de deux caissiers. L’objectif est de maintenir l’emploi dans le commerce de détail. Les sommes perçues seraient attribuées à la formation des apprentis et aux magasins qui n’ont que des caisses desservies.

Débat prévu cet été

Le Grand Conseil genevois débattra cet été encore de ce projet de loi qui émane des rangs du Parti socialiste. Aussi Migros et Coop mettent-ils déjà en place un dispositif de défense. Dans une prise de position, la Communauté d’intérêt du commerce de détail, présidée par le patron de Coop Joos Sutter, calcule ce qu’une telle pénalité pourrait coûter aux entreprises. A elle seule, la Coop qui exploite 181 caisses de «self-check-out» à Genève devrait payer 21,7 millions de francs de plus par année au fisc.

Migros moins touchée

Migros s’en sortirait un peu mieux. Dans le canton, elle n’exploite que 17 caisses automatiques et ne devrait allonger «que» 2 millions à l’Administration des contributions. Si ce type d’impôt était étendu à l’ensemble de la Suisse, Coop devrait débourser un supplément de 170 millions de francs et Migros une somme de 150 millions.

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Economie : Le progrès devait libérer l’homme de la contrainte du travail, c’est le moment de mettre en place le RBI

Suisse : Le RBI en bref 

L’idée: Salaire d’abord, travail ensuite. L’initiative sur le revenu de base inconditionnel (RBI) propose d’inscrire dans la Constitution une rente mensuelle à vie versée à tous les résidents suisses – avec et sans emploi, jeunes et retraités, riches et pauvres. Sans contrepartie. Le montant n’est pas officiellement chiffré, mais les initiants évoquent 2500 francs par mois pour les adultes.

Le fonctionnement: Si besoin, les assurances sociales – chômage, AVS et AI – complèteraient ce revenu de base en fonction du profil de chaque assuré. Il s’agirait d’un transfert de revenu pour la plupart des citoyens qui touchent un salaire ou bénéficient d’une assurance sociale au-delà du montant du RBI. Les réels bénéficiaires seraient ceux qui ne disposent pas d’un revenu ou d’une allocation, soit les étudiants, les femmes au foyer ou encore les sans-emploi.

Dans la vidéo: Paul Jorion explique pourquoi nous allons vers la fin du plein emploi. Mais comment alors garantir à tous un revenu décent ? À qui reviennent les fruits des gains de productivité ? Jorion mentionne l’idée d’une « rente à vie » notamment pour les travailleurs remplacés par les robots.

 

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RBI revenu de base inconditionnel : Comment le financer en partie ?

Les assurances sociales tout comme les congés payés étaient des utopies avant qu’ils ne soient mis en place bien qu’un peut partout en Europe, les acquis sociaux régressent mais ça, c’est une autre histoire.

Le RBI pourrait en partie être financer par la mise en place d’une taxe sur les robots qui prennent les jobs d’ouvriers.

La vidéo présentée ici démontre qu’une chaîne de fabrication chez le constructeur Mercedes ne nécessite aucune main d’œuvre humaine, c’est autant de chômeurs en plus.

Mon Grand-père me disait que le progrès permettrait aux hommes de travailler toujours moins tout en gagnant autant car le progrès était là pour le bien de l’humanité. Je pense que le progrès a loupé ce chapitre car en lieu et place de nous apporter les bienfaits escomptés, il nous précarise toujours d’avantage et nous met en concurrence.

Le RBI est non seulement une solution pour l’humanité, une répartition des richesses et à terme, un des seuls moyens pour relancer l’économie; toutefois, si il était envisagé de distribuer un revenu de base à tous les citoyens, l’éducation serait à revoir fondamentalement car il est clair que les mentalités actuelles ne sont pas préparées à voir une société capitaliste devenir une société de partage et de collaboration; c’est d’ailleurs un frein majeur à la mise en place du revenu de base inconditionnel.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Economie : RBI, une des seules alternatives si l’on veut continuer avec l’économie de marché

Luter contre un système économique perverti par la corruption, essayer de faire changer les choses en diffusant des informations pertinentes, transmettre des messages au monde entier en espérant que la résistance l’emporte sur des lobbys peu voir pas scrupuleux, voilà une chose à laquelle un nombre d’esprits éclairés toujours grandissant s’emploient.

En revanche faire tomber ce système sans avoir d’idées bien préconçues pour le remplacer reviendrait à un retour au bâton et au lance pierres.

Imaginez que du jour au lendemain, votre carte de crédit ou carte de débit direct ne soit  acceptée nulle part. Imaginez-vous que du jour au lendemain dans le cas où vous possédiez des réserves de liquide, le magasin dans lequel vous avez l’habitude de faire vos achats ne soit plus approvisionné.

Et pire encore pour certains d’entre-nous, imaginez-vous que du jour au lendemain l’Internet disparaisse.

Le résultat d’un crash global et total du système nous conduirait très rapidement à une guerre civile dans un premier temps et sans une infrastructure bien organisée, à des famines, des épidémies et pour toutes celles et ceux qui auraient la « chance » de survivre, à un retour à l’âge de pierre.

Le système n’est pas un ennemi en soi mais le problème réside principalement dans la façon dont il est utilisé non seulement par des élites corrompues mais aussi et surtout par nous tous qui au quotidien l’utilisons sans mot dire. Nous sommes tout autant coupables car au travers de nos actes de consommateurs, non seulement nous alimentons ce système cannibale du monde mais nous le renforçons et le protégeons.

Nous nous retrouvons, bon gré pour certains et malgré pour d’autres dans une situation ou nous sommes devenus les  esclaves de ce qui devrait nous servir, j’ai nommé, l’argent.

Comment se sortir de ce traquenard mondial qui ne profite au final qu’a une élite ne représentant et ce n’est plus un secret pour personne que le 1% de la population et à plus forte raison, si sur le 99% restant, plus du 95% s’accroche à ce système mortifère ?

Le RBI ou revenu de base inconditionnel serait une alternative qui permettrait de combattre le feu par le feu. Projet ambitieux qui a été proposé par référendum en Suisse et qui est à l’étude dans des pays comme la France, la Belgique et est même partiellement appliqué dans certains pays, propose un revenu mensuel par habitant versé inconditionnellement et à vie.

En Suisse par exemple, il s’agirait d’un revenu de CHFr. 2’500.- par mois qui selon le tôt de change actuel représente 2’327 Euros redistribué à chaque citoyen qu’il exerce une activité lucrative ou non.

Certains, des opposants à ce projet prétendent qu’il s’agit là d’une idée utopique et se justifient  en démontrant les difficultés que cela engendrerait pour le gouvernement rien que par les moyens de le financer.

En réponse à ces derniers, le financement serait en partie assuré par l’abolition de tous les services sociaux, du chômage aux retraites induisant ainsi une grande économie pour le pays ne serais-ce que par les prestations qui ne seraient plus versées au public mais aussi aux couteux frais administratifs liés ainsi que par l’économie de très nombreux postes de fonctionnaires dont a besoin le social pour un bon fonctionnement.

On pourrait  également imaginer une partie de son financement par une taxe créée pour l’employeur qui remplace de la main d’œuvre humaine par des machines, voir aussi une micro taxe sur chaque transaction boursière. On pourrait dès lors parler d’une répartition des richesses sans que cela en devienne insupportable pour l’économie elle-même.

Sur le plan humain, cela permettrait à chaque citoyen de se sentir bien et d’entreprendre l’avenir avec sérénité.

Sur le plan du marché de l’emploi, cela permettrait à quelqu’un qui n’a pas le choix de faire un 100% aujourd’hui voir même des fois plus encore rien que pour pouvoir joindre les deux bouts, de diminuer sa cadence de travail au profit de sa famille ou de projets de développement personnel et ainsi laisser à quelqu’un d’autre l’espace de travail restant

Les opposants à cette initiative prétendent que la mise en œuvre d’une telle initiative accroitrait le nombre de personnes ne faisant rien et vivant aux crochets de la société. Je ne suis pas tout à fait contre ce point de vue et c’est la raison pour laquelle je pense qu’il faudrait dès à présent et ceci incombe aux initiants, d’ inculquer aux plus jeunes via l’école enfantine déjà, des notions de partage beaucoup plus élaborés et  qui vont dans le sens de ce projet.

L’économie elle-même en serait bénéficiaire car le RBI lui redonnerait un coup de fouet. L’économie est aujourd’hui moribonde et le problème pris dans tous les sens mène vers une solution qui glace le sang et qui se produisit tant en 1914 qu’en 1939, la guerre.

Le RBI est tout comme l’avaient été la retraite et les congés payés en leur temps une utopie. Espérons que le bon sens et que la sagesse humaine lui apportent tous leurs crédits.

Stéphane Guibert / Finalscape

Suisse : Suite à la défaite des initiants de cette initiative, le moral est au beau fixe car il s’agit de la première pierre de l’édifice.

Redistribuer l’argent sans condition

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