Santé publique : Vaccins et autisme, quand les liens sont démontrés

« ARRÊTEZ DE FAIRE VACCINER VOS ENFANTS CERTAIN NE S’EN SORTIRONS PAS INDEMNE »

C’est ce que dévoile le film « VAXXED » sur l’autisme.

Les vaccins provoquent de graves inflammations aux intestins et ensuite cela remonte au cerveau induisant l’autisme chez l’enfant.
Les laboratoires savent cela depuis 20 ans et ne le dévoilent pas publiquement.

Vaxxed, From Cover-Up to Catastrophe réalisé par Andrew Wakefield, révèle comment le risque associant le vaccin ROR à l’incidence d’autisme a été dissimulé par le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), l’organisme scientifique le plus écouté de la planète.  S’appuyant sur des preuves incontestables, fournies par les confessions du principal expert de l’étude, ce film dénonce l’un des plus grands scandales de l’histoire de la médecine.

Depuis sa projection aux USA, Vaxxed résonne et impulse un mouvement citoyen, révélant  au grand jour une tragédie dont personne n’avait soupçonné l’ampleur…
À l’occasion de la tournée du film plus de 6000 témoignages ont été recueillis,  dont 1000 ont été filmés : autisme, paralysie, narcolepsie, épilepsie… Tous les vaccins sont en cause et chaque jour de nouvelles voix s’en font l’écho.

Crédit vidéo Viméo

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Réflexion : Les appareils connectés sont-ils nos amis ?

La publication d’un de mes contacts a attiré mon attention. Elle disait :

QUESTION / SONDAGE :

« A quel age, votre/vos enfant(s) a eu son premier smartphone connecté à internet ?? »
Réponse en Commentaire Svp p;-) Merci.

Voici ma réponse :

La société nous pousse à connecter nos enfants aussi tôt que possible.

Un grand nombre d’applications leurs sont d’ailleurs dédiées.

Pour moi, cela fait partie d’un plan savamment orchestré par les « élites » de ce monde, à savoir : faire de nos enfants, les vassaux d’un système qui a su corrompre la classe politique jusqu’à la bassesse de jeter en pâture nos propres enfants entre les griffes de vautours assoiffés de chair fraîche, d’argent et de pouvoir.
Personnellement, aucun de ces appareils ne sera mis entre les mains de mes enfants avant qu’ils ne soient en mesure de comprendre ce que j’explique ci-dessus.

A bon entendeur !

Si vous voulez faire de vos enfants des lobotomisés, cela vous regarde. En ce qui me concerne, la nature demeurera la seule interconnexion entre moi et mes enfants. La technologie doit être faite pour nous servir et non nous asservir.

Pour celles et ceux qui comprennent, bienvenue, pour les autres, je prie pour vous.

Stéphane Guibert

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Santé publique : Et si les vaccins faisaient partie d’une stratégie pour diminuer l’espèce ?

Petit récapitulatif concernant les vaccins

Hormis les 3 vaccins initialement obligatoires qui sont :

À partir du 1er. janvier, on ajoutera ceux-là :

Vaccination en France :

La polémique enfle toujours un peu plus et pour commencer, sur le caractère obligatoire de la vaccination qui prive les parents de leur libre arbitre sur le fait de faire vacciner ou non leurs enfants. Ensuite, sur les adjuvants et plus particulièrement l’aluminium dont des traces se retrouvent dans le cerveau.

Certaines théories qualifiées de complotistes prétendent que l’aluminium baisserait drastiquement le Q.I des individus, ce qui fabriquerait une génération d’hommes et de femmes incapables de se révolter en en faisant de parfaits robots consommateurs jetables.

Il y a aussi ces décès de bébés qui seraient survenus après des injections.

Le gouvernement est sur la sellette, accusé d’avoir nommé en tant que ministre de la santé, Agnès Buzyn, à qui il est reproché d’être en conflit d’intérêt en favorisant l’industrie pharmaceutique. À ce propos, il a été démontré à maintes reprises que cette industrie n’émet que peu de scrupules lorsque des intérêts qui se chiffrent en milliards sont en jeu.

La vidéo que je vous propose dans ce billet relate ces différents aspects. Vous allez écouter le Docteur Ploncard d’Assac dont les arguments peuvent convaincre des dangers que ces vaccinations massives risquent de faire encourir aux patients.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Santé publique : Un vaccin contre le cancer testé avec succès sur des souris

Un vaccin contre le cancer testé avec succès sur des souris et bientôt testé sur l’être humain.

En faisant abstraction de sa composition, sachant les polémiques liées à la vaccination aujourd’hui, cette nouvelle qui n’est pas un fake sera-t-elle vraiment exploitée par la médecine alors que l’on sait les bénéfices pharamineux que les traitements contre la maladie engendrent pour l’industrie pharmaceutique de nos jours.

De nombreuses autres thérapies ont également fait leurs preuves comme par exemple, celle du jeûne qui permet si ce n’est de s’en débarrasser totalement, en tous cas de la diminuer significativement, la chimiothérapie, tout en obtenant des résultats plus que satisfaisants et qui aboutissent à de très nombreuses réminiscences.

Dans cette société ou le profit passe avant même les intérêts des patients, le temps nous dira si c’est la trappe qui attend cette découverte ou le bien des malades.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Sécu : les 1ères poses de puces RFID sous la peau, remplaçant les cartes vitales, ont commencé un peu partout en France.

Mise à jour le 27 juillet 2018 – 20:45

Attention, cet article est à prendre au conditionnel, en effet :

Aucune source fiable hors mis celle mentionnée en fin d’article ne semble accréditer cette information. Par contre il est plus que probable qu’à terme, cette puce soit implantée en chacun d’entre nous et ce, bon gré mal gré. L’aberration devenant obligation, cela n’est-il pas déjà le cas avec ces 11 vaccins ?

Il n’y a pas de fumée sans feu non plus et c’est comme toujours les lanceurs d’alerte qui préviennent et qui sont pris au début pour des conspirationnistes que l’on lynche en premier sur la place publique.

Il ne s’agit ni plus ni moins de la version moderne de l’inquisition, la chasse aux sorcières !

De plus, suite aux innombrables commentaires publiés sur les réseaux sociaux après la parution de cet article, voici ma réponse qui semble avoir mis tout le monde d’accord :

« Même si cet article est un 1/2 fake car trop peu sourcé, il n’en demeure pas moins un article visionnaire car cette puce, à terme, finira, bon gré mal gré à devenir une obligation et c’est inéluctable.
Regardez les 11 vaccins qui lorsque les lanceurs d’alerte en parlaient au début étaient pris pour des conspirationnistes !

Au lieu de vous déchirer par commentaires interposés, si pour une fois vous preniez les devants et commenciez à rassembler votre énergie pour luter contre ce fléau annoncé ».

Stéphane Guibert

L’article :

Les premières implantations, facultatives mais gratuites, ont commencé en France. Mais les puces sous-cutanées deviendront obligatoires dès le 1er janvier 2019. Ainsi, les puces RFID remplaceront définitivement les tant décriées cartes vitales des assurés sociaux définitivement l’an prochain.

Face au trop grand nombre de pertes de cartes vitales et face à leur coûteux remplacement, qui coûte des centaines de milliers d’euros à la Sécurité sociale chaque année, l’organisme met peu à peu en place les puces électroniques qui sont directement implantées dans le corps des assurés sociaux.

“Pour tout le monde, enfants compris”

Les premières poses d’implants ont débuté la semaine dernière. Elles se poursuivront durant toute cette année pour les assurés qui désirent avoir la puce dans leur corps avant tout le monde. Dès le 1er janvier 2019, l’implant Carte vitale sera obligatoire pour tout le monde, enfants compris. “Les assurés pourront se présenter dans l’une de nos agences sur tout le territoire. Pour le cas des enfants, l’un des parents ou le tuteur légal devra être obligatoirement présent. L’intervention sera faite par des élèves en médecine faisant leur service sanitaire. L’implantation ne durera pas plus de 10 minutes, anesthésie locale et points de suture compris”, explique un médecin en charge des opérations spéciales à la Sécurité sociale.

“J’ai eu une appréhension au début, mais j’ai décidé de sauter le pas et d’accepter de me faire poser, de mon plein gré, leur puce carte vitale sous la peau. Franchement, je ne le regrette pas du tout. Mieux vaut le faire maintenant en plus, car quand ça sera obligatoire, il y aura trop de monde dans les agences de la sécu. En plus, pour les volontaires de cette année, c’est gratuit, et la sécu nous donne même un bon d’achat de médicaments dans les pharmacies pour un montant de 10 euros. C’est vraiment super. En plus, je perds ma carte vitale à chaque fois, une vraie tête en l’air. Là à moins de perdre ma tête, je suis sûre de l’avoir avec moi. Pour les points de suture, l’étudiant en médecine qui me l’a implanté m’a dit que les fils se désagrégeront très vite et que la cicatrice ne sera pas du tout visible. On a le choix entre l’implanter dans le crâne, sur le bras ou les fesses. Moi, j’ai choisi la tête. Sur le bras, j’avais peur que cela fasse relief et comme j’ai des tatouages, ça va faire moche. Sur les fesses, ça a été non dès le début. Comme je fais des selfies de mon popotin, j’avais peur que ça brouille les photos de mon smartphone, à cause des ondes. J’ai donc choisi le crâne. Très bonne idée de la Sécu cette puce, vraiment”, précise une assurée sociale parisienne.

“Des puces UHF, très haute fréquence, de 868 MHz”

La décision est partie d’un double constat. Tout d’abord, les assurés sont trop nombreux à égarer leur carte vitale. Ensuite, la Sécurité sociale française a besoin de redorer son blason face aux institutions sanitaires étrangères. “Lors de chaque symposium international, on passe vraiment pour des cons. Il faut voir au Canada, en Suisse ou dans les pays scandinaves comment ça se passe. Tout est connecté chez eux. Ils ne travaillent qu’avec des puces électroniques. Nous, on en est encore au papier-stylo ou à l’imprimante jet d’encre, la préhistoire en quelque sorte. Avec eux, un coup de flash de lecteur RFID portable et le tour est joué. Nous avons 50 ans de retard et cela ne va pas en s’arrangeant. La France a quand même été en avance sur toutes les autres nations avec le Minitel. Mais ça, c’était avant. Mais on va rattraper le coup avec ces puces dernier cri. Les puces que nous avons reçues sont ce qu’il se fait de meilleur dans le domaine. Des puces UHF, très haute fréquence, de 868 MHz. Pour expliquer clairement et simplement. En électricité, il y a le triphasé. En RFID, il y a le 868 MHz. Mais je rassure les assurés, ils ne ressentiront aucune douleur, ni gêne. Au début de toutes petites vibrations se feront sentir, le temps que la puce se loge bien et fasse son nid pour faire simple, entre la chair humaine et la peau. Comme pour un chien ou un chat avant de dormir, il fait des tours sur lui-même pour être en position confortable. C’est pareil avec la puce sous-cutanée. Elle se loge peu à peu pour rester stable et ne pas se balader jusqu’aux artères, ce qui serait très ennuyeux. Après, l’assuré ne ressentira plus rien. Ce choix est d’abord pour ne pas passer pour des minus devant les organismes de sécurité social étrangers lors des grandes rencontres internationales, mais également pour permettre aux appareils de lecture RFID d’avoir un signal à longue distance et ainsi, de ne pas effrayer les personnes âgées essentiellement. Voir un appareil de ce genre vous scanner en effraierait plus d’un. C’est la raison pour laquelle nous avons choisi des puces UHF, car on peut les lire à plus de 9 mètres de distance. Nous scannerons pépé ou mémé avant même son arrivée au guichet d’accueil. Mais nos assurés s’y habitueront très vite. C’est pareil pour toutes les grandes innovations, il faut un temps d’adaptation psychologique. Nos assurés n’ont pas le choix de toute façon”, précise un haut fonctionnaire de la Sécurité sociale.

“La transplantation de la puce se fera avec ou sans leur accord”

“La semaine dernière, nous avons commencé par les bénéficiaires de la CMU et CMU-C. Il ne faut pas le répéter, mais la raison est qu’ils n’ont pas vraiment trop le choix. De toute façon, s’ils refusent, ils devront avancer l’argent pour leurs soins, les médicaments et leurs opérations. Et vu les économies qu’ils ont, c’est-à-dire pas grand chose, ils acceptent l’implantation de la puce sans broncher. On voit sur leurs visages qu’ils sont réticents, mais la puce se retrouve en eux en fin de compte. Ensuite, ce seront les indépendants qui suivront. Depuis la disparition du RSI, ils feront ce qu’on leur dira de faire, sinon on rétablit le Régime Social des Indépendants. Par contre, nous nous attendons à des refus de la part de la classe moyenne. Nous savons déjà ce que les bobos diront pour ne pas se faire pucer. Nous connaissons leurs répliques par cœur. Et ‘je ne veux pas d’un GPS dans mon corps’, et ‘c’est contre mes libertés et mes droits’, et ‘si ça se trouve c’est cancéreux votre connerie de puce’, et ‘c’est du totalitarisme sanitaire’, et gnagnagna et gnagnagna. Mais bon, on ne va pas caresser les bobos dans le sens du poil à vie. Nous n’avons pas peur d’eux, mais on les craint un peu quand même, à vrai dire. Mais bon, comme ils ne manifestent pas, donc on craint pas grand chose de leur part. Les bobos sont trop occupés à travailler 60 heures par semaine, à aller à leurs séances de yoga et à préparer des plats bio. Pour faire cuire du tofu, il faut des heures, sinon ça ressemble à des tripes pas cuites. Mais nous n’allons pas les brusquer. C’est quand même eux qui paient en grande partie les soins des autres. C’est pour cette raison que les puces des bobos seront implantées en dernier. Mais nous avons trouvé la parade si ces petits cons (bobos, ndlr) refusent. Les lunettes. Les bobos lisent à l’excès, c’est de notoriété publique. Donc la vue en pâtit forcément. Si les bobos refusent les puces RFDI, nous sucrerons les remboursements sur les lunettes de vue. Idem pour les professions libérales. J’imagine mal un notaire ou un médecin travailler sans lunettes, impossible. Les gynécologues, je n’en parle même pas. Pour eux, c’est la double peine, ils ne pourront ni lire leurs revues scientifiques qu’Einstein ne comprendrait même pas, tellement c’est compliqué et sinueux, ni se rincer l’œil en matant les foufounes des patientes. Cette réforme de la carte vitale passera crème, comme dit mon fils, qui en a déjà une en lui. Mon fiston ne lit pas beaucoup, mais j’ai trouvé une astuce. J’ai mis en balance le voyage qu’il a prévu de faire avec ses potes à Pattaya. Il a accepté sans broncher le mioche. Il a beau avoir 22 ans, faire de grandes études, il a quand même la tête dure le petit morveux. Mais j’ai gagné à la fin. Cela sera pareil avec les assurés sociaux, la transplantation de la puce se fera avec ou sans leur accord”, indique un chargé de mission de la Sécurité sociale.

Les implantations de puces RFID se font dans toutes les agences de la Sécurité sociale en France métropolitaine, ainsi que dans les DOM-TOM. Les autorités sanitaires sont en pourparlers avec l’Assemblée corse qui donnera sa décision pour valider cette mesure dans l’île. “De toute façon, c’est toujours la même chose avec nos voisins corses. Une loi est votée en France et leur parlement nationaliste vote pour l’appliquer ou non dans l’Ile de Beauté. En général, c’est surtout non. Donc nous attendons pour les assurés sociaux corses”, indique un agent de la Sécurité sociale.

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Santé publique : La noyade sèche, un danger méconnu

Cet enfant s’appelle Johnny, il a 10 ans. Un jour, il va nager chez des amis.

L’après-midi, sa mère le récupère. A la maison, il se sent fatigué et de mauvaise humeur. Sa maman lui dit d’aller dans son lit pour qu’il se repose. Le soir, alors qu’elle veut voir comment il va, Johnny gît déjà mort sur son lit.

Il est mort d’une « noyade sèche »

Pendant qu’il se baignait, Johnny a dû avaler de l’eau de travers. Même une petite quantité d’eau peut provoquer une inflammation ou un œdème des poumons. C’est particulièrement dangereux pour les jeunes enfants car leurs poumons sont encore petits.

Faites donc bien attention aux symptômes suivants :

  • Une toux lourde et persistante.
  • Une toux avec rejet d’eau.
  • Des douleurs thoraciques.
  • Une respiration difficile.
  • Une grosse fatigue et une humeur changeante.
  • Des lèvres bleues.
  • Un état apathique.

La maman de Johnny ne connaissait pas le danger en envoyant son fils se coucher. Maintenant elle veut alerter les autres parents pour que cela ne leur arrive jamais.

En période de canicule, les enfants font partie des personnes à risque. Suivez les conseils de spécialistes et les astuces de mamans avisées pour les protéger.

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Santé publique : L’imposture des vaccins

Cette vidéo qui remonte à 2009 et qui parlait des vaccins est on ne peut plus d’actualité.

Cela fait pas mal d’années que chercheurs, scientifiques et médecins tirent la sonnette d’alarme en ce qui concerne les vaccins et les adjuvants qu’ils contiennent. Cette vidéo qui remonte à 2009 nous fait prendre conscience des dangers potentiels que la vaccination nous fait encourir.

Comme si des accidents étaient probables, aux États-Unis, les fabricants de vaccins ont obtenu une immunité juridique et sont donc couverts en cas de catastrophe sanitaire.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Santé publique : Les téléphones mobiles néfastes pour la mémoire des jeunes, selon une étude

Une étude du Swiss TPH portant sur 700 jeunes en Suisse démontre que les téléphones mobiles ont un effet néfaste sur le développement de la mémoire des jeunes. Les champs électromagnétiques à hautes fréquences sont en cause.

Pour le cerveau, la principale source d’exposition à de tels champs électromagnétiques est l’utilisation d’un téléphone à proximité de la tête, a indiqué jeudi l’Institut tropical et de santé publique suisse (Swiss TPH) à Bâle. Les études menées jusqu’ici n’avaient pas permis de tirer de conclusions claires.

L’équipe de Martin Röösli a fait un pas de plus par rapport à une recherche publiée en 2015 dans la revue Environment International, avec un échantillon doublé ainsi que de nouvelles informations sur l’absorption du rayonnement électromagnétique par le cerveau. Il s’agit des premières études épidémiologiques sur l’estimation de la dose cumulée chez les jeunes, note le Swiss TPH.

Près de 700 écoliers de 12 à 17 ans provenant de classes de 7e à 9e année en Suisse alémanique ont été recrutés pour cette étude baptisée HERMES (Health Effects Related to Mobile phone usE in adolescentS). Ils ont été suivis pendant un an par les chercheurs, qui ont notamment obtenu des opérateurs de téléphonie les données individuelles des utilisateurs.

Mémoire figurale touchée

Résultats: les conclusions de l’étude de 2015 ont été confirmées, soit un effet négatif sur le développement des prestations de la mémoire dite figurale. Il s’agissait de tests mémoriels sur ordinateur à l’aide de figures abstraites à assembler.

La mémoire figurale est située principalement dans l’hémisphère droit du cerveau, et les chercheurs ont mis en évidence une baisse significative de performance chez les jeunes utilisant leur appareil sur l’oreille droite. Cela tend à indiquer que la dose de rayonnement électromagnétique absorbée est responsable des effets observés, selon le Pr Röösli, cité dans le communiqué.

Etudes supplémentaires requises

Comparativement, envoyer des messages, jouer ou surfer sur Internet ne provoque qu’une irradiation modeste du cerveau, et aucun lien avec le développement de la mémoire n’a été mis en évidence. Les jeunes ont aussi été soumis à des tests de mémoire verbale, sans résultat significatif.

Pour les chercheurs, des études supplémentaires sont nécessaires, en particulier afin d’exclure d’autres facteurs comme la puberté ayant une influence non seulement sur l’usage du téléphone mais aussi sur le comportement et les capacités cognitives des jeunes.

En attendant, le Pr Röösli suggère de réduire les risques potentiels en utilisant les écouteurs ou le haut-parleur, notamment lorsque la réception est mauvaise et la puissance du téléphone à son maximum.

Source : Radio Télévision Suisse

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Santé publique : Scientifiques et médecins alertent sur les effets de la 5G

Plus de 170 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur le déploiement de la 5G – cinquième génération de téléphonie mobile – jusqu’à ce que des études d’impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché. La 5G s’ajoutera au brouillard électromagnétique déjà produit par la 2G, 3G, 4G, Wi-Fi, etc., exposition dont il a été prouvé qu’elle est nocive pour les humains et pour l’environnement. Article tiré d’un Communiqué de Presse par Etienne Cendrier, Porte-Parole de Robin des Toits, Paris, le 13 Septembre 2017.

Le déploiement de la 5G conduirait à une augmentation générale et massive de l’exposition aux ondes du sans-fil alors que les dangers de ces technologies sont établis. La technologie de la 5G est efficace sur des petites distances seulement. Elle se transmet mal à travers les solides. Il faudra beaucoup de nouvelles antennes-relais, et la nouvelle architecture du réseau exigera une nouvelle antenne toutes les 10 ou 12 maisons en zone urbaine créant de fait une exposition massive à laquelle nul ne pourra se soustraire.

Le déploiement de nouveaux transmetteurs pour la 5G (on les trouvera également dans les foyers, les boutiques, les hôpitaux) devrait générer selon les estimations entre 10 et 20 milliards de connexions (réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et bus sans conducteur) et constituera l’Internet des objets. Tout cela augmentera substantiellement l’exposition permanente de l’intégralité de la population européenne aux champs électromagnétiques des technologies du sans-fil. Les dangers de l’exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM) sont déjà démontrés. Plus de 230 scientifiques de plus de 40 pays ont exprimé leur «préoccupation sérieuse» concernant l’accroissement permanent et universel de l’exposition aux champs électromagnétiques par les technologies du sans-fil avant l’ajout du déploiement de la 5G. Ils font référence aux «nombreuses études scientifiques récentes qui ont démontré que ces champs électromagnétiques affectent les organismes vivants à des niveaux d’exposition bien en-dessous des valeurs limites internationales». Ces effets accroissent le risque de cancer, le stress cellulaire, augmentent l’apparition de radicaux libres nocifs, de dommages génétiques, de changements structurels et fonctionnels du système reproductif, de déficits d’apprentissage et de mémoire, de désordres neurologiques et d’impacts négatifs sur le bien-être. Ces dommages n’affectent pas seulement l’homme mais aussi la faune et la flore selon un nombre croissant d’études.

Pour Etienne Cendrier, porte-parole: « Robin des Toits soutient cet appel de scientifiques et de médecins de grand renom pour que la 5G ne soit pas mise sur le marché: il serait irresponsable et criminel de traiter la population en cobaye alors que les radiofréquences sont peut-être cancérigènes d’après l’OMS … »

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Propos anti-vaccins : la radiation du Pr Joyeux annulée en appel

En appel, la radiation du Pr Henri Joyeux consécutive à la publication de deux pétitions anti-vaccins a été annulée mardi par la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins. 

La radiation du controversé Pr. Henri Joyeux pour des pétitions anti-vaccins a été annulée en appel. Michel Cymes tenait à lui adresser un message :

« Ainsi donc, Henri Joyeux pourra continuer son œuvre destructrice… »

Michel Cymes ne tenait pourtant pas le même discours en 2012, loin de là :

Le Pr. Romain Gherardi, directeur de recherche à l’Inserm et à l’hôpital Henry-Mondor, était l’invité du « Magazine de la santé », sur France 5, le 12 novembre 2012.

« Depuis qu’on les utilise dans la fabrication des vaccins (1926 aux Etats-Unis, 1990 en France), les sels d’aluminium alimentent le débat et la controverse.

Techniquement, une dose infime d’hydroxyde d’aluminium suffit pour stimuler la réaction immunitaire en induisant un petite réaction inflammatoire locale. Et, si une majorité de scientifiques considère qu’une fois injecté dans l’organisme, l’aluminium se dissout spontanément et n’a donc pas d’effet toxique, d’autres comme le Réseau Environnement Santé et le Pr. Romain Gherardi, chercheur à l’Inserm et médecin à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, avancent le contraire.  »

« Nocivité des sels d’aluminium dans les vaccins : du soupçon aux certitudes ». C’est ce qu’estime aujourd’hui le Réseau Environnement Santé sur la question des sels d’aluminium utilisés comme adjuvants dans la plupart des vaccins.

Selon le Pr. Michel Georget

« Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui injecte entre 600 et 650 microgrammes d’aluminium ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre. »

Le Docteur Jean-François Saluzzo, ex-directeur de production des vaccins viraux chez Sanofi, avoue lui-même :

On ne sait pas comment marchent les vaccins

Rendre obligatoires 11 vaccins pour toute la population est un non-sens médical car les réactions à un vaccin sont strictement individuelles. Elles dépendent de l’état physiologique de l’hérédité de celui qui la reçoit et les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles.

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